Article sur le chapitre 2 partie VI. "depuis deux jours, la neige tombait."

Écrivez un article de critique littéraire sur ce chapitre, destiné à un public de lycéens.

Vous veillerez à:

- respecter l'écriture d'un article: un gros titre et deux sous titres, le pronom "vous", le présent...

- interpréter le texte en puisant aux trois sources interprétations possibles (la sensibilité personnelle, les connaissances issues du cours et la connaissance de l’œuvre)

Commentaires

1. Le 02 février 2016, 19:16 par ThomasR

Une fin de grève
Traitres !
Si vous avez lu ce chapitre, vous pouvez voir que les mineurs de Montsou sont tous en grève, et décide de faire cesser aux travailleurs des mines voisines de travailler, de gré ou de force. Les mineurs de Montsou agissent plutôt avec violence en détruisant tous sur leur passage et tabassant tous les ouvriers qu’ils obligent à sortir de la mine. Leur violence est comparable à celle de Chaval envers Catherine. Vous pouvez observer que les femmes sont les plus actives et les plus brutales lors de cette grève. Quand les hommes s’arrêtent pensant qu’il y en a assez, les femmes continuent a détruire la mine dans laquelle ils se trouvent tous.
Une famille qui se décompose.
Dans ce chapitre vous remarquerez que le temps est froid, il neige depuis deux jours. C’est alors que la fille de la Maheude attrapa une grippe, elle ne s’en relèvera pas.. On observe que la Maheude est folle, voir même surexcitée, elle cri « Mon Dieu, pourquoi ne nous prenez-vous pas ? Mon Dieu, prenez-nous par pitié, pour en finir ! », énervée. Sa colère la fait paraitre comme possédée. Les habitants de la maison, surtout Étienne et Maheu, qui voulais cesser la grève, se sont fait cri dessus par la Maheude. Elle ne voulais pas que cette grève s’arrête à cause de la perte de sa fille. Elle dit à Maheu que s’il retournait à la mine, elle sera présente au tournant pour lui cracher à la figure. On peut dire que la Maheude a été contaminée par la méchanceté de Chaval.

2. Le 03 février 2016, 11:43 par Tom.L

La misère

L'attente interminable:

Dans ce chapitre la situation chez les Maheu est catastrophique : pas de nourriture, pas de chauffage... on sent la mort roder dans les parages.Vous pouvez voir la petite Alzire très malade,et vous pouvez remarqué que la puissance du froid lorsque qu'on a pas de quoi ce réchauffer est fatale.L'attente du médecin vas impatienter la Maheude toute la journée. Puis pour passer le temps elle iras ce disputer avec la voisine pour des ragots sur son compte. Le médecin arrivera pour déclarer sa mort de Alzire.

Le désespoir

Dès que la mort fut prononcée vous pouvez voir la tristesse mais surtout le désespoir, cette pauvre mère qui veut mourir pour ne plus subir se sort .Le père vient de perde officiellement sont travail et Etienne veut arrêter la grève, vous remarquerez cher lecteur que rien ne vas dans ce chapitre la misère et le désespoir prenne le dessus sur leur vie.

3. Le 03 février 2016, 14:18 par mme baudry

Attention de se concentrer sur le chapitre 2 partie VI: le commentaire 1 est en grande partie hors sujet.
Vous devez utiliser aussi le présent.
trop peu d’insertion de connaissances. Non, la Maheude n'est pas contaminée par la méchanceté de Chaval (mauvaise compréhension du texte).
Vos textes sont trop neutres: ils doivent dégager un point de vue personnel. Pour l'instant, vos écrits ne sont pas au niveau attendu.

4. Le 03 février 2016, 15:01 par Inès.H

Un retournement de situation

Le froid, la fin :

Ce chapitre nous démontre la cruauté du monde ouvrier, sans scrupules. Zola n'hésite pas à faire mourir des personnages bons et innocents tel que la jeune Alzire, délirante, qui finira par mourir de faim et du froid suite à l'attente presque interminable du médecin.
Cette mort peut-être considérée comme l'acte de trop, qui va alors pousser les ouvriers à s'en sortir. Ou au contraire, une mort bien trop injuste qui va faire réfléchir les ouvriers sur leurs actes...

Un grève à bout de souffle :

Vous observez également dans ce chapitre que Etienne débarque chez les Maheu, l'air grave et désemparé face à la situation : il pense retourner à la mine ce qui énerve fortement la Maheude. Zola vous laisse alors la liberté de choisir votre camp : les grévistes, qui jusqu'à là, persévérants, qui commencent à n'en plus pouvoir. De l'autre côté, la compagnie, bien au chaud, le ventre plein, regardant la grève passer.
Il est possible d'interpréter cette partie du chapitre comme une pause où les personnages remettent tout en question. Le lecteur peut alors se sentir compatissant face aux ouvriers fatigués et affamés ou bien révolté contre ces ouvriers trop audacieux qui s'attendaient à en finir avec cette injustice et qui, finalement, pensent à tout recommencer.

5. Le 03 février 2016, 15:04 par ju

Pourquoi?

Ce chapitre parle encore et toujours de cette misère qui rend fou ce monde ouvrier a bout.

Mon Dieu!

Ce "village mort" résonne le vide, la peur, le froid mais surtout le desespoir infini méler a de la haine.
Les familles du Coron sont épuiser mais cela ne les empeche point de continuer encore et toujours de se crier dessus pour des broutilles que un tel a dit et que un tel as répéter, qui a dit sa et pourquoi tel des enfants qui se chamaillent comme pour faire passer le temps.
Le couple Maheu eux sont sont sur la défensive et en deviennent meme vulgaire ainsi que violent envers la Pieronne qui se fait "récurer par tous les chefs" comme le dit la Maheude ainsi que Maheu qui " fou sa main dans la gueule" de Pierron. Un peu comme des animaux.

A Dieu

Quelle fin si terrible et si poignante, une compassion et une peine énorme nous envahi devant les paroles du médecin annonçant la mort de la petite Alzire si jeune, douce et innocente encore, puis la Maheude qui tient " ce petit cadavre encore chaud" rend l'atmosphère morne et davantage triste.

6. Le 03 février 2016, 15:15 par Théophile

Dans l'attente...
Chez la Maheude, les temps sont dures, ils manques d'argents et de provisions: a ce rythme la, il ne tiendrons pas longtemps... A cause de la faim, sa fille Alzire peine à se lever. Que va t-il lui arriver? De plus, la grève est encore debout, les ouvriers parcourent les mines pour faire stopper le travaille partout mais, vu les conditions des familles, tienne va rapidement vouloir stopper la grève de plus que le père de Alzire vient d'être licencier.
Ce chapitre fait apparaître la terreur de la grève qui leurs fait subir d’atroces conditions.

7. Le 03 février 2016, 15:23 par mme baudry

Commentaire 4: bien, même s'il manque des connaissances et des citations.
commentaire 5: revoir la présentation. Pas assez de connaissances!! pas de rapport direct avec le lecteur.
Commentaire 6: trop court!!!

8. Le 03 février 2016, 15:30 par mme baudry

Pour mémoire et pour vous aider, rappel de quelques exemples déjà étudiés en classe:
Les Hennebeau.

Le couple bancal.

Si vous avez lu le livre, vous pouvez voir que la relation de ce couple est très froide et particulière. Mme Hennebeau mène son mari à la baguette et M. Hennebeau accepte tout. Vous noterez que ce couple est très bancal car la femme est très superficielle comme lorsqu'elle dit: "Nous n'allons point cesser de manger, n'est-ce pas?", ce qui démontre l'individualisme de Mme Hennebeau, qui fait en partie la faillite de leur couple. Mais, M. Hennebeau ne réagit pas aux nombreux amants de sa femme et préfère jouer l'enfant en fermant les yeux sur sa situation de couple. L'adultère, thème favori des auteurs naturalistes, refait surface. Le narrateur vous le dit: "Cette femme prenait le bonheur où elle le trouvait": voici qui nous prouve bien qu'elle va voir ailleurs, ce qui est très irrespectueux envers son mari.

Voyez la puissance du désir, chers lecteurs : le corps de la femme désirable, désiré mais interdit domine le chapitre. Voyez la puissance des pulsions et du désir, qui semble le moteur de la mécanique humaine. Zola ose nous montrer la réalité de son temps : les frustrations, les conditions sociales, la stupidité des plus riches, les rapports inégaux dans le couple. Rappelons qu'à l'époque, le divorce est interdit ! Rien d'étonnant que le couple Hennebeau batte de l'aile !

Du pur Naturalisme, chers lecteurs. Zola critique volontairement les bourgeois pour donner de l'importance au peuple, au monde ouvrier.

article 2

L'orage après la tempête.

Ce chapitre nous emmène au coeur de la mine de Jean Bart. Cette partie, centrée sur Catherine nous fait vivre les péripéties que subies la hersheuse. Voici un chapitre fort en émotion et en panique qui ne vous laissera pas de marbre, mes chers lecteurs.

Asphixie.

La jeune et douce Catherine ne cesse de se donner corps et âme à la mine. Torturée par la chaleur trop intense, sa chemise lui collant à la peau, la faisant succomber de douleur, elle persiste et continue son ouvrage. N'étant pas habituée à flâner, elle ne lâche rien. Ce ne sont pas les odieuses réflexions de Chaval qui la tourmente et l'empêchent de pousser sa berline. Pour Catherine, c'est le début de la décadence. L'air irrespirable de la mine va nuire à sa respiration. Prise d'asphixie, elle s'effondre au sol: nous avons bien failli perdre notre Catherine! Ce chapitre, plein de surprises, vous en réserve une belle d'ailleurs! Chaval semble s'être adouci! Oui, oui, vous avez bien lu! il est devenu "gentil"! il esquisse même un "je t'aime" à Catherine, plutôt fou, non?Cette phase de gentillesse ne durera facheusement qu'un temps puisque Chaval retombera dans ses vieux démons de méchanceté.

Peur de la mort!

Comme une accalmie ne dure qu'un temps, vous pouvez compter sur les mineurs de Montsou pour semer la cohue à Jean-Bart. En effet, comment pouvait-on imaginer qu'ils viendraient couper les câbles pour empêcher les mineurs de remonter à l'air libre. C'est un passage absolument atroce, vous pouvez me croire. Vous imaginez-vous à leur place, pieds, nus, à remonter des kilomètres d'échelles: quel chox! quelle horreur!

article 3
Une nouvelle ère pour Lantier.
Dans l'article d'aujourd'hui, il y aura de l'amour, de l'arrogance...tout pour plaire. Germinal qui, jusqu'alors, pouvait ennuyer certaines personnes, va réveiller vos papilles à vous, mes lecteurs.
Rejoignez le mouvement!
Ce chapitre 3 est plein de surprises. lantier s'affirme enfin! Les habitants du coron le reconnaissent enfin! Le petit Etienne est en fait devenu le Grand Etienne. Tout le monde l'aime! Tout le monde suit Etienne! Lantier va enfin vous montrer qu'il est capable de partager ses idées grâce à son intelligence qui va être reconnue de tous. mais, attention, notre cher Lantier risque de se perdre dans cette foule d'adoration...De nouvelles bottines, de l'estime pour soi-même, des satisfaction d'amour propre...L'ogueil et l'arrogance commencent à se faire ressentir sur notre petit Lantier!
Une attirance interdite...
Hoho! Mais, notre Lantier a enfin rejoint la famille Maheu!Cet hébergement risque de ne pas plaire à Chaval! De l'action est à venir. Notre romantique Etienne était éperdu de notre belle catherine! L'attirance entre eux deux se ressent...Une tension sexuelle est présente! Mais, attention, Chaval n'est pas loin...



article 4
Question sociale.
Ce chapitre de Germinal, roman de la mine, est consacré à la vie chez les bourgeois, les Hennebeau directeur de la mine de Montsou. On remarque l'énome fossé qui les sépare des mineurs.
La haute.
Ce chapitre parle presque entièrement de la haute classe sociale dont font partie des Hennebeau mais aussi les Grégoire. Les Hennebeau et les Grégoire sont supérieurs au coron et se permettent de rire et de critiquer les mineurs avec des phrases telles que "Voici un rond de saucission qu'ils n'auront pas". Monsieur Hennebeau dit aussi que la guerre durera peu de temps: il n'en a pas peur. On voit alors la méchanceté de ces gens qui sont abonimables et cruels. Malgré tout, c'est la naiveté des femmes de la haute société que vous voyez aussi: elles sont ingrates et mesquines. Mme Hennebeau parle du coron comme d'un lieu de vacances, que les ouvriers sont "ingrats" car ils sont "logés, soignés". On voit alors très bien que Zola nous montre l'énorme foss" qui les sépare des mineurs.
Plus bas que terre.
Les ouvriers restent tout de même un peu présents car ils sont en train de mendier du pain pour survivre.



article 5
La révolte des mineurs!
Vous avez pu lire que les mineurs se révoltent: "La grève venait d'éclater" comme le dit le texte. Mais, le chapitre se concentre plus sur les riches lors de cetet grève.
Les riches qui en rient.
Malgré les soupçons de M. Hennebeau sur l'histoire entre Paul et sa femme, celle-ci continue à se moquer des pauvres: "sont-ils drôles de faire les méchants, ces gens qui sont si heureux!" Les personnages se moquent de tous ces mineurs. Dans un sens, ils ne les prennent au sérieux. M. Grégoire ajoute: "Voici toujours un rond de saucisson qu'ils n'auront pas!" On dirait que le moment de la révolte est pour eux un amusement. ils se moquent tellement qu'ils paraissent même bêtes à certains moments. Comme si Zola avait forcé leurs paroles et leurs pensées pour que vous, lecteurs ressentiez du dégoût en pensant à ces personnages.
Les riches qui jugent.
Durant tout le chapitre, les riches se moquent et surtout jugent les pauvres. Paul dit même à M. Grégoire: "On pourrait même vous piller". Nous voyons très bien que les riches les considèrent comme des barbares qui pourraient les piller et les voler. C'est là que l'on voit que les riches ne sont pas si à l'aise face aux pauvres.

9. Le 03 février 2016, 16:24 par julien p-e

De l'union à la dispute

Quel souffrance!

Vous verrez que dans ce chapitre rien ne vas.Les ouvriers qui ont du stopper ce combat sont affamé,ne savent plus quoi faire et préfèrent mourrir plutot que vivre.En lisant ce chapitre mes chers lecteurs vous resentirez de la tristesse en voyant que les enfants qui sont eux de simple innocent souffre plus que leurs parents.Malgré tous vous verrez que la pauvre Alzire malgré ses faiblesses et sa souffrance sourit,et ne veut pas faire de peine à ses parents.Zola veut vous montrer la force des ouvriers et que malgré leurs souffrance ils restent fort.

Les disputes

Si vous lisez ce chapitre vous verrez que les ouvriers,ont tellement faim,la faim leurs ronge le cerveau et ils se mettent à se disputer pour des histoires de coucherie.Vous serez l'enorme connaissance de zola sur le monde ouvrier et sur,ce qu'ils sont pret a faire pour survire.Zola vous montre qu'il est le chef de file du naturalisme ou il raconte comment la mere de lydie couche avec un homme de la direction,"Qu'elle se fit bourrer la gorge,les jupes en l'air".

10. Le 03 février 2016, 16:58 par emilie.blanchard

La misère qui se fait ressentir

Voilà encore un chapitre de Germinal qui fait mal au cœur, l'hiver est arrivé et les mineurs sont encore en grève. L'argent commence à manquer et les Maheu n'ont plus de quoi se chauffer et a peine de quoi se nourrir. Mais voilà que le sors s'abat sur eux!!! Leur fille Alzire tombe malade et la Maheude reste planter devant sa fenêtre sans bouger en attendant la venue du médecin qui ne viendra jamais. Ce chapitre ne vous a-t-il pas attrister de voir une mère qui peine a faire survivre sa famille? D'autant plus que lorsqu'Etienne vient lui dire qu'il vaudrait mieux arrêter la grève celle-ci s'y refuse et dit qu'elle ne veut pas avoir fait tout ca pour rien et qu'elle a trop perdu pour s'arrêter maintenant. On pourrait croire a une femme forte qui a envie de se battre mais il n'en est rien. En effet, on peut lire dans les dernier paragraphe de ce chapitre le désespoir de la Maheude qui implore Dieu de les prendre pour que leur cauchemar s'arrête.

11. Le 03 février 2016, 17:47 par enzo h

la faim, fin ?
Ce chapitre de Germinal ce concentre sur la famille maheu souffrant atrocement de la faim. On découvre dans ce chapitre que Alzire est très malade et que si le médecin n'intervient pas rapidement elle n'a plus beaucoup de temps a vivre, quelle misère ! Finalement elle décède se qui fait tombé un poids sur ce chapitre.La neige présente dès le début du chapitre rajoute a cet situation un sentiment de détresse et de ténébre.

moment grave pour la gréve !
vous pouvez voir dans ce chapitre que Etienne rentre chez les Maheu,: il propose retourner à la mine!!!
Ce qui met la maheude dans une colère noire...
La gréve s'empire, les mineurs n'y renoncent pas malgré le froid et la faim qui les menacent. Pour fuir la colère des mineurs et des gendarmes, Etienne habite le terrier de jeanlin, quelle vie !!

12. Le 03 février 2016, 18:23 par Mathilde.G

L'enfer continu

Sombre Misère
Dans ce chapitre, jalousie, questionnements, peur et tristesses sont constamment présents. Vous verrez dans ce chapitre que l'auteur, n'hésite pas à faire perdre aux Maheu leur fille Alzire en plus de leurs cruelle situation de vie. Notons également que chez les Maheu il n'y ni chauffage ni nourriture. Les Maheu devront passez par des situations certainement dégradantes et honteuses quand ils devront se séparer de leurs biens pour pouvoir vivre...Comment vont-ils finir?

La peur au ventre
Après la révolte, chez Les Maheu, on se demande comment faire. Désespérés, ils hésitent quoi faire après cette terrible révolte. Perdus, sans ressources et sans solutions valables et pourtant révolus a garder leur point de vus et a ne pas se rendre, ils devront faire un choix.

13. Le 03 février 2016, 18:54 par Matéo P.

La misère des grévistes

Les disputes incessantes

Sûrement du fait de la pauvreté et de l'ennui, les grévistes ne cessent de faire courir d'affreuses rumeurs les uns sur les autres; vous pourrez voir, par exemple, que la Pierronne fait courir des rumeurs sur pratiquement tous les habitants du village; et vous pourrez voir que ces rumeurs, accompagnées du désespoir, de la faim, du froid, des maladies et de la mort, provoquent des disputes, qui se transforment toujours en bagarres. On peut imaginer que toute cette misère augmentent les pulsions des grévistes, et ces pulsions les poussent à se battre entre eux. Vous pourrez cependant remarquer que ces bagarres ne provoquent jamais aucune mort.

Une attente interminable, une mort

Nous retrouvons la Maheude, chez elle, attendant désespérément le médecin, car sa fille Alzire à la fièvre, et se meurt sur le canapé. A deux reprises, elle a un faux espoir lorsque la porte de la maison s'ouvre, mais que ce n'est pas le médecin qui entre, mais une autre personne (le prêtre, puis Etienne). Dans cette partie de chapitre, Etienne entre chez les Maheu et annonce qu'il voudrait arrêter la grève, et abandonner. Vous pourrez voir la Maheude annoncer haineusement qu'elle préférerait mourir qu'abandonner à ce stade, et qu'ils ont trop souffert pour abandonner.
Au bout d'un moment, le médecin rentre dans la maison, examine Alzire, et déclare que la petite mourra. La Maheude se mettra à pleurer, et à supplier Dieu de la faire mourir, pour lui épargner toute cette souffrance.
Ce chapitre, je vous l'assure, chers lecteurs, vous fera ressentir un profond sentiment de désespoir.

14. Le 03 février 2016, 19:10 par LS

Irrévocable

Dans ce chapitre deux de la partie six nous avons la mort de l'un des enfants des maheu, Alzire. Par cette mort nous lecteurs pouvons avoir cette sensation de destin irrévocable pour les maheu mais aussi pour tous ces ouvriers, car de par ces événements passé nous constatons que leurs vie est fait de fatalités qu'ils ne pourrons sans doute pas évité.

15. Le 03 février 2016, 19:36 par ORELI1

LE DEBUT DE LA FIN

Dans ce chapitre le froid et la fin vont ce faire ressentir chez les mineurs. La famille Maheu va être aussi toucher par ces condition météo et n'aura rien a se mettre sous la dent , ce qui aggravera son cas. De plus la petite Alzire qui est gravement malade et personne pour la soigner .La Maheude a bout de nerf déjà entrera dans une colère noir et s en prendra directement a Etienne. Une attente interminable pour attendre le médecin va régner au sein de la maison ( le père tournant en rond, la Maheude s'énervant et Alzire souffrante) .Ce chapitre ce finira malheureusement par la mort de la petite, le médecin n ayant rien pu faire . La Maheude de tristesse en arrivera même a vouloir elle aussi mourir. Ce qui montrera a quelle point cette famille est entrain de disparaître.

16. Le 03 février 2016, 20:42 par mme baudry

Commentaire 9: des fautes. C'est inabouti sur la fin: exploiter davantage les connaissances sur le naturalisme et l'explication de la citation.
Commentaire 10: erreur de compréhension. Le médecin arrive finalement. Trop peu d'interprétations. Texte trop court.
commentaire 11: AB: à développer davantage. Il faut plus de connaissances.
commentaire 12: idem que le commentaire 11.
commentaire 13: il y a un canapé chez les Maheu!!!!!!? NON! De plus, tu racontes trop. Pas assez de connaissances.
Commentaire 14: des idées intéressantes mais bien trop court!
commentaire 15: l'objectif n'est pas de raconter mais d'exprimer un point de vue personnel.

17. Le 03 février 2016, 20:58 par Elise Bonneau

Si loin mais pourtant si proche

Chers lecteurs, dans ce chapitre vous avez pu lire à quel point la sexualité n'est pas un sujet tabou chez Zola. Dans le chapitre 2 partie VI, un nouvel adultère se produit. Pourquoi tromper son mari en cachette lorsque celui-ci est consentant ?! Pourquoi la Pierronne trompe a-t-elle trompé son mari avec Dansaert !? A partir de ce chapitre on peut distinguer une ressemblance entre 2 couples : les Hennebeau et les Pierron car les 2 hommes se font mener par les bout du nez par leur femme. Dans ce livre, Emile Zola met à nu les bourgeois : leur vie n'est faite que de mensonges et d'enfantillages alors que de l'autre côté du mur, se sont des familles qui se battent pour nourrir leurs enfants et pour pouvoir survivre, Zola dénonce la pauvreté sordide des basses classes.
Germinal est un livre réaliste où l'écrivain choque son public avec des récits vulgaires pour le forcer à ne voir que les laideurs du monde.

L'appel de la mort

Chers amateurs de littérature française, dans la deuxième partie du chapitre, la mort vient littéralement envelopper la famille des Maheu. Hé oui ! Qui y a t-il de plus horrible que de perdre un enfant !? Après que Catherine soit partie rejoindre Chaval, c'est la petite Alzire qui meurt à son tour de la fièvre. A nouveau, Zola nous montre la misère des pauvres qui ne peuvent même pas recevoir un médecin rapidement pour administrer des soins aux malades . Ce livre fait preuve d'imagination car l'auteur insiste sur les horreurs que vivent les personnes de la basse société à cette époque là.

18. Le 03 février 2016, 21:04 par theo_tapia

UNE FAIM GLACIAL ET TRAGIQUE

Vous avez du sans aucun doute lire ce nouveau chapitre , avec un bouleversement et un vide dans la vie des Maheu causé par la mort de leur enfant , Alzire . Cette mort nous laisse abasourdi sur cette révélation . Le malheur ne cessera pas , la faim qui rongeait cette petite reste malgré tout pressente , aussi bien chez les Maheu que pour tout les ouvriers qu y préfèrent mourir plutôt que de vivre et continuer a en souffrir . nous somme amené a penser que la fin approche et qu y n y a plus d espoirs . Nous apprendrons aussi que Etienne se questionne et demande a la Maheude d’arrêter cette grève bien que celle ci refusa . La Maheude ne veut pas avoir fait tout sa pour rien . Es-ce un sentiment d'espoirs que l'auteur a voulu nous faire part ?

19. Le 03 février 2016, 21:23 par le houezec mathieu

de mal en mal
la paix contre les gréviste

Cher lecteur nous pouvons voir que dans ce chapitre tout est grave car les mineurs plus particulièrement les Maheu sont mal en points. Nous remarquons que Alzire est très malade sur le point de mourir ce qui nous donne de la compassion pour ce personne et que en plus il neige, cela nous rend d'autant plus triste car la faiblesse des gréviste par le manque de nourriture les empeche d'en profiter. Nous avons aussi bien remarqué que chez les Maheu il n'y a pas de chauffage et que la neige s'installe sur le village ce qui peut nous faire ressentir de la froideur du contexte auquel les Maheu avec Alzire malade souffre durant cette grève.

le bouleversement
Les Maheu sans nourriture avec Alzire malade et la fraîcheur de la température avec la neige tous semble être contre les mineur. Nous pouvons voir que Etienne pourtant il est disons le lanceur de la grêve propose aux Maheu de retourner a la mine ce qui provoque une explosion de colère qui doit nous attrister car Etienne change de position , lui et les Maheu sont en incompréhension. De plus il y a aussi Alzire qui meurt,même si nous nous y attendons notre pensé autour de ce passage est bouleversé.
Ce chapitre est fort en émotion il peut nous procurer de la tristesse de la peine de la compassion et ce chapitre est très réaliste de la pauvreté de la classe ouvrière ce qui nous ouvre aussi les yeux sur le monde dans lequel Emile Zola vit

20. Le 03 février 2016, 21:46 par mme baudry

2 copies de la 2nde 10 sur le même exercice:
Copie 1:
A vos mouchoirs!
Ho oui! Mes chers lecteurs, je vous avais promis quelques potins croustillants, en voilà! Le début de ce chapitre est mouvementé: à la fois drôle et à la fois obscène...Malheureusement, mes fidèles lecteurs, sortez vos mouchoirs, une triste nouvelle arrive...
Alzire, douce Alzire...
Un chapitre riche en émotions car notre chétive Alzire est malade...Cette Alzire, si discrète auparavant rendra la Maheude complètement folle. Cette pauvre femme a de terribles envies de meurtres, elle parle de "tuer le monde": à vos abris! Cependant, qu'auriez-vous fait à sa place? supplié pour que ça s'arrête ou continué à vous battre? la Maheude, elle, supplie. Dieu aura sa place dans ce chapitre, c'est sûr. cela vous gêne-t-il? Zola a l'air de vouloir bien appuyer sur le sujet.
ça croustille....
Eh oui, nous sommes en plein naturalisme, n'est-ce pas..entre tromperie et insultes, ce début de chapitre est, comment dire...INTERESSANT....

Copie 2
Rendez-vous en enfer.
Chers lecteurs, aujourd'hui, c'est une tempête qui balaye le coron des deux-cent-quarante. Le chapitre ne vous laissera pas indifférent, croyez-moi! Entre indignation et désolation, vous n'êtes pas au bout de vos surprises! Ce chapitre n'est qu'une torture et un miroir du naturalisme.
Gloire à Alzire.
Notre chère Alzire, l'enfant infirme caractérisé par sa bonté et sa gentillesse quitte cet enfer plus communément appelé le coron. Nous avons perdu Alzire. Toujours prête à aider sa mère malgré son infirmité. Voilà la représentation parfaite d'une fille déterminée à offrir son aide à sa famille au péril de sa santé. la faim aura raison d'elle. Ce personnage à qui vous vous êtes sûrement attaché est désormais libéré. La Maheude, à l'agonie devant le corps de sa chère fille implore Dieu pour que tous meurent et quittent cet endroit devenu le lieu où la mort s'invite. Cette famille et les autres sont guettées par l'auto-destruction.

21. Le 03 février 2016, 23:00 par Léa.C

Le désespoir

Ils n'attendent qu'une chose : l'espoir d'un jour plus heureux

Dans le chapitre 2 de la partie VI vous pouvez voir que les ouvriers sont exténués, à bout de force et que certains n'attendent qu'un seule chose: mourir pour être enfin en paix car les souffrances comme la faim, avoir froid sans ne pouvoir rien faire, mis à part attendre et espérer que tout ira mieux sont trop dur pour eux qui ont toujours souffert et vécu dans la misère . Les ouvriers ont toujours vécu dans la pauvreté mais jamais à ce point, ils sont tellement pauvres qu'ils ont du vendre tout mobilier pour avoir ne serait-ce qu'un peu à manger et la Maheude qui oblige ses enfants à mendier, chose qu'elle interdisait auparavant . Leur moral en prend donc un coup, ils sont au plus bas. Tout leurs sentiments enfouie en eux ressortent en haine contre les siens avec par exemple la Maheude qui se dispute presque tous les jours avec sa voisine. La faim est tellement omniprésente que la mort commence à gagner leurs rangs, beaucoup d'enfants meurt et parmi ses victimes se trouve la fille bossu de la Maheude se prénommant Alzire. Suite à cela la Maheude n'a plus gout à vivre elle dit alors:"Mon dieu, c'est mon tour, prenez-moi!...Mon dieu, prenez mon homme, prenez les autres, par pitié, pour en finir!

22. Le 03 février 2016, 23:33 par Jordan Soumat

La Fin Approche
I-La Faim de Montsou?
Dans ce chapitre chers lecteurs,on peut s'apercevoir que les conditions de vie s'aggravent dans les foyers de Montsou, ils sont mêmes catastrophiques chez les pauvres Maheu.Il n'y a plus rien a mangé les habitants sont à bout,sur les nerfs comme quand la maheude attend avec impatience l'arrivée du docteur pour Alzire.L'hiver fait rage et la neige s'installe sur Montsou,alors que dans ses foyers froids dont les feux ce sont éteint à cause du charbon,ces familles souffrent de la grève plus que la compagnie.Tout ces détails peuvent etre des signes pour les habitants,comme ci on leurs indiquaient d'arrêter la grève, que cela était inutile,qu'ils seraient entrain de se nuir a eux-mêmes.
II-Une bosse de moins a Montsou
Durant ce chapitre le froid et la fatigue vont finir par tuer la petite bossue,Alzire qui est d'après l'observation du docteur morte de faim.La maheude va commencer a s'énerver contre les dieux et cette grève qui les affaiblit énormément,maheu lui va se faire renviyer de la mine ce qui va les abbatre encore plus.Ce chapitre montre le plus dur moment de la grève pour surêment montrer, mes chers lecteurs les mauvais cotés d'une grève,les inconvénients.Emile Zola cherche à nous toucher avec ce chapitre,nous mettre dans la peau des personnages.Voila mes fidèles lecteurs ce que vous ressentirez en lisant ce chapitre plûtot triste de germinal.