Souvenirs photographiques
26 avril 2017
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:28
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:24
Acrostiches
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:20
Mondes imaginaires
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:17
Lieu où j’ai rêvé, lieux qui font rêver
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:15
A la manière d'un portrait chinois
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:09
A la manière d'un haïku
Nous sommes jeunes et nous voulons réaliser nos rêves, projet SIEL 2017
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 26 avril 2017, 20:01
Définitions de l'art
28 février 2017
Ateliers d'écriture de la classe de Danielle Jans, école Maurice Thorez
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 28 février 2017, 11:43
Plaisir et déplaisir, l’amour et ses contraires
J’aime / Je n’aime pas
J’aime avoir une bonne note.
Je n’aime pas les crêpes au sarrasin.
J’aime les crêpes.
Je n’aime pas le goût amer.
J’aime que ma tata vienne.
Je n’aime pas qu’on me copie.
J’aime l’anglais.
Je n’aime pas le chocolat noir.
J’aime le parc.
Je n’aime pas le marché, car tout le monde me pousse.
J’aime les roses.
Je n’aime pas le mauvais temps.
J’aime la forêt noire.
Je n’aime pas les bonbons.
J’aime les sorties et le cinéma.
J’aimerais être docteur pédiatre, car il n’y a plus de pédiatres qui veulent prendre les clients.
J’aime trop les légumes.
Inès
J’aime passer du temps avec mes parents et avec mes amis.
Je n’aime pas faire des choses d’adulte.
J’aime faire des activités sportives.
Je n’aime pas être au bord du vide.
J’aime me lever tôt le matin.
Je n’aime pas attendre.
J’aime, de temps en temps, m’éloigner de mes parents.
Je n’aime pas avoir de mauvaises notes.
J’aime faire des blagues.
Je n’aime pas être seul.
J’aime les jeux vidéos.
Je n’aime pas dire certains secrets.
J’aime la musique.
J’aime la gentillesse des gens.
Pierre
J’aime mes parents.
Je n’aime pas ma sœur.
J’aime les mathématiques, car c’est simple et cela ne demande pas de la difficulté.
Je n’aime pas quand on prononce mal mon prénom.
J’aime les flippeurs.
Je n’aime pas ce qu’on fait en ce moment (9h38).
J’aime les pythons, car ils sont beaux avec leurs écailles.
Je n’aime pas qu’on me critique.
J’aime les bandes dessinées.
Je n’aime pas qu’on m’insulte avec de gros mots pour rigoler.
Je n’aime pas me réveiller tôt, car je suis fatigué le midi.
Adam
J’aime mes amies, car elles me font rigoler.
Je n’aime pas les légumes, je trouve que leur goût est mauvais.
J’aime mes parents et mes deux sœurs et Gréo, mon ancien chat, et tout le reste de la famille.
Je n’aime pas que mon chat soit parti.
J’aime les animaux, car ils sont mignons.
Je n’aime pas les garçons violents et qui tapent.
J’aime l’école, car on y apprend des choses.
Je n’aime pas la géographie.
J’aime les habits et la couture.
Je n’aime pas quand il fait froid.
Jasmine
J’aime ma maman et mon papa.
Je n’aime pas les gros mots.
J’aime les oiseaux.
Je n’aime pas les chiens, car ils font des crottes partout.
J’aime lire et écrire des textes.
Je n’aime pas être sur de toutes petites chaises.
J’aime mes deux sœurs, car elles prennent soin de moi.
Je n’aime pas quand on me regarde mal, car ça me fait de la peine.
J’aime Julie-Claire, car c’est ma meilleure amie.
Je n’aime pas les crocodiles, car ils sont méchants.
J’aime les sirènes, car elles sont belles.
J’aime les chats, car ils sont doux et tout beaux.
J’adore Dieu.
Chaïnesse
J’aime jouer avec mon papa.
Je n’aime pas les chats, car ils ont un peu peur de nous.
J’aime jouer dehors, mais j’aime aussi regarder la télé et surtout aider ma maman.
Je n’aime pas aller faire les courses.
J’aime les chiens, car ils sont doux et mignons quand ils sont petits.
Je n’aime pas quand on se moque de moi.
J’aime rigoler avec ma maman.
Je n’aime pas aller à l’école, surtout quand on a des contrôles.
J’aime la natation.
Je n’aime pas avoir des points en moins.
J’aime avoir de bonnes notes.
Je n’aime pas être puni.
J’aime quand ma mère m’envoie tout seul quelque part.
Je n’aime pas jouer sur les nuages.
J’aime quand on fait le géant toboggan à la Villette.
Je n’aime pas le bateau, ça me donne le mal de mer.
Je n’aime surtout pas me battre.
J’aime la Cité des Sciences.
Je n’aime pas le décollage de l’avion, ça monte.
J’aime les maths.
Je n’aime pas la production d’écrits.
Je déteste les bébés.
Mohammed El Amin
J’aime patiner, car on peut rêver.
Je n’aime pas les méchants.
J’aime les gens qui se parlent.
Je n’aime pas les disputes.
J’aime la musique classique.
Je n’aime pas trop les bonbons.
J’aime mon papa et ma maman.
Je n’aime pas les personnes qui ne pensent qu’à elles.
J’aime les mathématiques.
Je n’aime pas le chocolat noir.
J’aime cet exercice.
Je n’aime pas les gens prétentieux.
J’aime le chocolat au lait.
Je n’aime pas les gens tristes.
J’aime rigoler.
J’aime m’amuser.
J’aime les étoiles et la lune.
Shayma
J’aime ma famille.
Je n’aime pas quand on me contredit.
J’aime mes copines.
Je n’aime pas quand je me fais mal (quand je tombe).
J’aime rigoler, avec mes copines ou avec ma famille.
Je n’aime pas quand on me gronde.
J’aime les bonbons.
Je n’aime pas quand, le matin, on me dit ce que je dois faire.
J’aime être en vacances avec ma famille.
Je n’aime pas quand ma maman me coiffe, parce qu’elle me tire les cheveux.
J’aime avoir des animaux (mon chat Ledy).
Je n’ai pas aimé quand mon chien et mon lapin sont morts.
J’aime dormir chez ma tata, car nous faisons des activités manuelles.
Je n’aime pas quand je rate quelque chose d’important.
J’aime faire des raclettes avec ma maman et mon papa et ma petite sœur et mon grand frère.
J’aime faire les magasins avec ma maman, car elle m’achète des vêtements.
J’aime Noël, car il y a toute ma famille.
J’aime promener le chien de ma mamie et mon papi.
Justine
J’aime les chiens.
Je n’aime pas quand je me dispute avec mon frère.
J’aime mes parents, et mon frère, et ma chienne.
Je n’aime pas les épinards, car ça me fait vomir.
J’aime jouer avec ma chienne.
Je n’aime pas quand je me dispute avec Inès (ma meilleure amie), car on ne reste plus amis pendant plusieurs jours.
J’aime envoyer des balles à ma chienne, et elle les rattrape.
Je n’aime pas être puni.
J’aime bien aller chez la mamie de ma meilleure amie pour jouer.
Je n’aime pas la cantine, car ce n’est pas bon (sauf les fromages).
J’aime bien quand ma chienne me fait rire.
Je n’aime pas les tableaux à feutre d’ardoise.
J’aime le mercredi, car je mange à la maison et je fais du tennis.
Je n’aime pas les maths.
J’aime bien les tableaux à craie.
Je n’aime pas les araignées, car j’en ai une phobie.
J’aime les anniversaires, car on fait la fête.
Je n’aime pas les clowns.
J’aime les cadeaux.
Je n’aime pas les appartements, car il n’y a pas de jardin.
J’aime les tatouages, car je trouve ça joli.
Je n’aime pas les voleurs.
J’aime mes séries.
Je n’aime pas chercher dans le dictionnaire.
J’aime mes grands parents et toute ma famille, car tous ses membres sont très gentils.
Je n’aime pas quand mes parents refusent de m’acheter un téléphone avec mon argent.
J’aime beaucoup les villas, parce que c’est moderne.
J’aime ma maîtresse.
Esteban
J’aime le système solaire.
Je n’aime pas cet exercice.
J’aime les jeux vidéos.
Je n’aime pas ma sœur.
J’aime mon papa et ma maman.
Je n’aime pas écrire.
J’aime lire à voix haute.
Je n’aime pas les gens qui font exprès de m’énerver.
J’aime être tout seul.
Je n’aime pas les méchants.
J’aime jouer au football.
Je n’aime pas quand il y a beaucoup de soleil, et que nous sommes à l’école, et que nous ne pouvons pas nous changer, car nous avons un gros manteau.
J’aime les mathématiques.
Je n’aime pas le français.
J’aime Madame Beaume.
Je n’aime pas faire le ménage à la maison.
J’aimerais avoir une belle voiture volante, qui peut aller plus vite que les avions de François Hollande.
J’aimerais ne pas avoir toujours des devoirs, comme ça je dormirais longtemps.
J’aimerais avoir un avion qui va très vite et qui marche avec le soleil, pour que ça ne fasse pas de pollution.
J’aimerais qu’il n’y ait pas de pollution, j’aimerais que ça marche avec des peaux de légumes, comme ça on protégerait la planète.
Marwan
J’aime le foot.
Je n’aime pas les insultes.
J’aime les mathématiques.
Je n’aime pas les araignées, car elles piquent.
J’aime ma famille.
Je n’aime pas la peinture.
J’aime les jeux de console.
Je n’aime pas cracher dans l’école.
J’aime manger.
Je n’aime pas l’histoire.
J’aime les fruits.
Je n’aime pas les travaux de la terre, parce que lorsqu’il pleut il y a de la boue partout.
J’aime rigoler.
Je n’aime pas travailler, car on écrit beaucoup.
J’aime la nature.
J’aime le soleil.
J’aime la lumière.
J’aime la science, car on apprend des choses extraordinaires.
Johnny
J’aime ma maman et mon papa.
Je n’aime pas les brocolis.
J’aime lire et écrire.
Je ne supporte pas que l’on se moque de moi ou de mes proches.
J’aime surtout écrire un texte que j’inventerais.
Je n’aime pas les secrets.
J’aime faire des ballades en vélo ou en rollers.
Je n’aime pas que l’on me tape.
J’aime regarder la télé.
Je n’aime pas que l’on me dérange quand je fais quelque chose.
J’aime aller chez mes amis pour jouer.
Je n’aime pas les cauchemars.
J’aime travailler.
Je n’aime pas le noir, car l’on n’y voit rien.
J’aime acheter de nouveaux vêtements.
Je n’aime pas la chaleur, car quand je cours je transpire.
J’aime l’art plastique, parce que la création c’est moi.
J’aime les chatons et les chiots, ce sont des boules de poils trop mignonnes et moi j’adore les choses mignonnes.
J’aime les bonbons et les chips parce que c’est bon, mais je n’en consomme pas beaucoup.
Samia
J’aime le chocolat chaud.
Je n’aime pas les reptiles, parce qu’ils sont carnivores.
J’aime les chats parce qu’ils sont tout doux.
Je n’aime pas le vent froid.
J’aime les armoiries car certaines armes sont magnifiques.
J’aime faire des mots croisés.
J’aime la neige.
Clémence
J’aime le chocolat.
Je n’aime pas qu’on soit méchant.
J’aime les chats.
Je n’aime pas qu’on prenne mes affaires.
J’aime mes parents.
Je n’aime pas les épinards.
J’aime mes sœurs.
Je n’aime pas qu’on m’embête.
J’aime les frites.
Je n’aime pas les gros mots.
J’aime la conjugaison.
Je n’aime pas la bave des escargots.
J’aime les jeux.
Je n’aime pas lire.
J’aime les chiens.
Je n’aime pas le café.
J’aime les maths.
Je n’aime pas la peinture.
J’aime les dessins.
Je n’aime pas les baleines.
J’aime les étoiles.
Je n’aime pas le froid.
J’aime les gâteaux.
Je n’aime pas le foot.
Hana
J’aime les livres, c’est ma passion. Ce sont comme des amis qu’on ouvre pour découvrir leurs histoires.
Je n’aime pas ce qui pollue la Terre, qui est comme une immense maison.
J’aime aussi inventer. La plupart du temps je m’amuse à faire des livres.
Je n’aime pas la violence, je trouve qu’elle ne règle rien.
J’aime aussi l’école, là on apprend en s’amusant.
Je n’aime pas les courgettes, car elles n’ont pas bon goût.
J’aime aussi les loisirs, mes préférés sont le dessin, la gym, le multi-ballons et la natation.
Je n’aime pas du tout faire le ménage, même si je suis obligée de le faire.
J’aime les animaux, surtout les félins, car ils sont comme de gros chats douillets… mais très sauvages.
Je n’aime pas la peau des haricots verts.
Je déteste ceux qui abandonnent, car tout est possible quand on y croit.
Salma
J’aime les chiens.
Je n’aime pas l’hiver, car il fait froid.
J’aime le printemps, car les fleurs repoussent et il y a de nouvelles couleurs.
J’aime le français, car j’aime apprendre de nouveaux mots.
J’aime l’école pour avoir de nouvelles amies et apprendre.
J’aime les mathématiques, car il y a des énigmes à résoudre.
J’aimerais être architecte, car j’aime construire des maisons.
J’aime les gâteaux, car je suis gourmande.
J’aime les surprises.
J’aime la nature, car c’est vert, tout est naturel, pas de produits mauvais pour la santé.
J’aime sortir mon chien, car il est joueur et très câlin.
J’aime les animaux.
J’aime mes parents, car ils sont gentils la plupart du temps.
J’aime mes copines car elles sont gentilles, j’aime rigoler avec elles.
J’aime les balades.
Laëtitia
Phrases mêlées / Jeux du dictionnaire
Aujourd’hui c’est l’anniversaire de Gucci, mon chien aura un os.
Si la matière grise était plutôt rose, le monde aurait moins les idées noires.
Laëtitia
Le foot, c’est ma passion depuis que je suis tout petit.
Johnny
Tiens, te voilà, j’en ai marre de t’attendre tous les matins.
Anonyme
Aujourd’hui je suis partie de chez moi à 8h40, car j’ai révisé mon contrôle.
Jasmine
Pardon, les dictionnaires, où se trouvent les dictionnaires ?
Julia
Je ne me suis pas lavé car il n’y avait plus de shampoing, mais je le ferai demain.
Marwan
En ce moment nous sommes en classe à faire des phrases à l’envers et c’est très dur.
Adam
Tu vas te faire éliminer bientôt, donc pars d’ici tout de suite !
Boubacar
Demain j’irai à la piscine et je sauterai dans l’eau.
Hana
Pardon, pourriez-vous me dire où se trouve l’école ?
Mohammed el Amine
Aujourd’hui j’ai vu un chat rose et des chiens rouges, tu les as vus ?
Justine
Entraîne-toi avec tes parents pour devenir fort.
Pierre
Portraits chinois
Si j’étais un objet, je serais un pistolet à billes, parce que je pourrais faire des guerres.
Si j’étais un plat, je serais un grec, parce que je pourrais me manger.
Si j’étais un animal, je serais un panda, parce que je serais doux et violent.
Si j’étais une couleur, je serais le jaune, parce que le jaune, ça fait penser à la plage.
Si j’étais un livre, je serais Titeuf, parce qu’il me fait rire.
Si j’étais un film, je serais Le petit Nicolas, pour frapper Agnan.
Si j’étais un endroit, je serais un terrain de foot.
Si j’étais un oiseau, je serais un aigle, parce qu’il est rapide.
Si j’étais un fruit, je serais la banane.
Si j’étais un bruit, je serais celui que pourrait faire un bébé géant.
Si j’étais une planète, je serais la Terre.
Si j’étais une montagne, je serais Le Mont Blanc.
Si j’étais un véhicule, je serrais une Ferrari.
Si j’étais un pays, je serais le Congo.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais la maîtresse, pour voler son cerveau.
Ely
Si j’étais un objet, je serais un marteau, car un marteau ne casse pas.
Si j’étais une saison, je serais le printemps, car je suis née au printemps.
Si j’étais un plat, je serais une forêt noire, car je pourrais me manger moi-même.
Si j’étais un animal, je serais un chat, car ils sont moins agressifs que les chiens.
Si j’étais une couleur, je serais le noir, car c’est sombre et je n’aime pas les couleurs fluos, ça me fait mal aux yeux.
Si j’étais un livre, je serais Charlie et la chocolaterie, car ça parle de bonbons et même de l’herbe.
Si j’étais un film, je serais Les noces funèbres.
Si j’étais une arme, je serais un couteau.
Si j’étais un endroit, je serais une chambre.
Si j’étais un fruit, je serais la fraise, car j’aime la tarte aux fraises.
Si j’étais un climat, je serais un climat chaud, car à la maison il fait froid.
Si j’étais une planète, je serais Mercure, car elle peut bronzer sans fondre.
Si j’étais une montagne, je serais les Alpes, car c’est haut et il y de la neige.
Inès
Si j’étais un objet, je serais un vêtement, car j’adore les porter.
Si j’étais une saison, je serais l’hiver, car j’adore quand il neige.
Si j’étais un plat, je serais des « moules-frites ».
Si j’étais un animal, je serais un chien, car j’aime les chiens, ils sont tellement beaux !
Si j’étais une couleur, je serais le bleu.
Si j’étais un dessin animé, je serais un dessin animé avec des princesses, car quand j’étais petite j’avais plein de robes de princesse.
Si j’étais une arme, je serais un couteau, pour que les gens se défendent avec moi chez eux.
Si j’étais un endroit, je serais un parc d’attractions, car j’aimerais y être tous les jours.
Si j’étais un oiseau, je serais un perroquet, car c’est joli et il répète tout ce qu’on dit, et quand j’étais petite je faisais pareil, je répétais tout ce qu’on me disait.
Si j’étais un bruit, je serais une berceuse, car cela m’endort.
Si j’étais un climat, je serais un climat montagneux, car c’est joli à regarder.
Si j’étais un loisir, je serais la natation à la piscine, car j’aime être dans l’eau.
Si j’étais un vêtement, je serais une robe, car ça se porte avec tout et pour toutes les occasions.
Si j’étais une montagne, je serais le Mont Blanc, car il est haut.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma maman et mon papa, car ce sont les meilleurs parents du monde.
Justine
Si j’étais un objet, je serais un stylo, parce que j’aime écrire avec.
Si j’étais une saison, je serais l’hiver, parce qu’il neige.
Si j’étais un plat, je serais des spaghettis et des raviolis.
Si j’étais un animal, je serais le chien, car j’adore les chiens, ils sont mignons.
Si j’étais une couleur, je serais le noir, parce que c’est une couleur de vampire.
Si j’étais un livre, je serais Les chiens, Guide complet.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais un vampire.
Si j’étais un film, je serais Les vacances de Ducobu, parce que c’est marrant.
Si j’étais un dessin animé, je serais Scooby Doo.
Si j’étais un endroit, je serais une maison, parce que c’est grand et joli.
Si j’étais un oiseau, je serais une hirondelle, parce que c’est mignon.
Si j’étais un fruit, je serais la fraise, parce que j’aime bien le goût des fraises.
Si j’étais un bruit, je serais un bruit de plastique froissé, parce que j’aime bien ce bruit.
Si j’étais un climat, je serais la pluie, parce que cela mouille.
Si j’étais une planète, je serais la Terre, parce qu’on peut y vivre.
Si j’étais des vêtements, je serais des chaussures, parce qu’on peut marcher avec.
Si j’étais une montagne, je serais le Mont Blanc, car c’est haut.
Si j’étais un véhicule, je serais la voiture, car c’est très joli.
Si j’étais un pays, je serais la France, car c’est très grand.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma meilleure amie, car elle est chouchoutée et pas moi.
Esteban
Si j’étais un objet, je serais une télé, comme ça je me regarderais toute la journée.
Si j’étais une saison, je serais l’été, comme ça je brûlerai tout le monde.
Si j’étais un plat, je serais des lasagnes, car je serais délicieux.
Si j’étais un animal, je serai un tigre blanc, car je serais magnifique et féroce.
Si j’étais une chanson, je serais Les quatre saisons, pour être la meilleure des chansons.
Si j’étais une couleur, je serais le bleu, pour représenter la mer et le ciel.
Si j’étais un livre, je serais un livre de super héros, comme ça je serais le plus fort des livres.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais Ant-Man, pour me rendre tout petit et musclé.
Si j’étais un film, je serais, The amazing spider-man, comme ça les araignées ne me feront aucun mal.
Si j’étais un endroit, je serais l’Océan Atlantique, pour engloutir tout ce qui viendrait chez moi.
Si j’étais un oiseau, je serais l’aigle royal, pour être majestueux, rapide et beau.
Si j’étais une musique, je serais celle de Mozart, car c’est la sonnerie de l’école.
Si j’étais un fruit, je serais la figue, car je l’adore.
Si j’étais un bruit, je serais un bruit de perceuse, comme ça personne ne pourrait dormir.
Si j’étais un climat je serais un climat froid, comme ça tout le monde gèlerait.
Si j’étais un loisir, je serais du tennis.
Si j’étais une planète, je serais la Terre.
Si j’étais un vêtement, je serais un boxer, comme ça je ne serais pas tout nu.
Si j’étais une montagne, je serais le Mont Blanc.
Si j’étais un véhicule, je serais une moto de cross, pour être rapide.
Si j’étais un pays, je serais la France.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais mon papa, car je ne changerais pas.
Adam
Si j’étais un objet, je serais un arc, car j’aime faire du tir à l’arc.
Si j’étais une saison, je serais l’été, car j’embêterais les gens avec les bestioles.
Si j’étais un plat, je serais des boulettes de viande, car ma maîtresse de moyenne section m’appelait Reinbould.
Si j’étais un animal, je serais un dragon de Komodo, car il est grand et intimidant.
Si j’étais une chanson, je serais I believe I can fly, car je la trouve drôle.
Si j’étais une couleur, je serais le noir, car je ferais peur.
Si j’étais un livre, je serais Le livre des records, car je serais intéressant.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais Naruto, car il est trop fort et joli.
Si j’étais un film, je serais Naruto the Last, car les graphismes sont si jolis que ma mère bluffait.
Si j’étais une arme, je serais un sabre, car ça tranche tout (presque).
Si j’étais un endroit, je serais Disneyland, car c’est extrêmement célèbre.
Si j’étais un oiseau, je serais un cygne, car je pourrais aller sur l’eau et je pourrais voler à la fois.
Si j’étais un fruit, je serais une nectarine, car j’en mange tout le temps.
Si j’étais un bruit, je serais le grincement de la porte.
Si j’étais un climat, je serais le chaud, car j’aime bien quand il fait chaud.
Si j’étais un loisir, je serais le rugby, car on plaque !
Si j’étais un une planète, je serais Jupiter, car elle est énorme.
Si j’étais une montagne, je serais l'Atchouria.
Si j’étais un véhicule, je serais une moto, car ça va vite.
Si j’étais un pays, je serais le Brésil.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma mère, car c’est un ange.
Pierre
Si j’étais un objet, je serais un lit, car c’est confortable et je pourrais dormir toute ma vie.
Si j’étais une saison, je serais le printemps, car il fait beau et des fois il pleut.
Si j’étais un animal, je serais un chaton, car c’est trop mignon.
Si j’étais une chanson, je serais « Ti amo », car c’est une musique qui me plaît.
Si j’étais une couleur, je serais le rose, car j’aime bien cette couleur.
Si j’étais un livre, je serais L’enfant de la mer, car c’est un livre qui touche, une histoire fabuleuse.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais Harry Potter.
Si j’étais un film, je serais Le roi lion, car l’histoire est touchante.
Si j’étais une arme, je serais un canon, car ça fait « Boom ! ».
Si j’étais un endroit, je serais les chutes du Niagara, car c’est magnifique.
Si j’étais un oiseau, je serais un aigle, car c’est très beau, et c’est un prédateur.
Si j’étais une musique, je serais « Love Yourself » de Justine Bibers.
Si j’étais un fruit, je serais l’ananas, car j’aime bien la couleur de l’ananas.
Si j’étais un bruit, je serais une berceuse, car cela endort, et j’aime dormir.
Si j’étais un climat, je serais un climat montagnard, car j’aime bien les montagnes.
Si j’étais un loisir, je serais de la gymnastique.
Si j’étais un vêtement, je serais un jeans.
Si j’étais une montagne, je serais Le Mont Blanc.
Si j’étais un véhicule, je serais une moto.
Si j’étais un pays, je serais l’Indonésie, car il y a des paysages magnifiques dans ce pays.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais la maîtresse.
Jasmine
Si j’étais un objet, je serais une robe, car ça peut tourner.
Si j’étais une saison, je serais l’été.
Si j’étais un plat, je serais des spaghettis, car on peut rouler les pâtes.
Si j’étais un animal, je serais un chat, car ils sont tout doux.
Si j’étais une chanson, je serais une chanson classique, car c’est doux, fort et sentimental.
Si j’étais une couleur, je serais le violet.
Si j’étais un film, je serais un film d’amour.
Si j’étais un endroit, je serais Paris, parce que j’aime voir des gens se promener.
Si j’étais un oiseau, je serais un perroquet.
Si j’étais une musique, je serais de la musique classique.
Si j’étais un fruit, je serais une fraise.
Si j’étais un climat, je serais le chaud.
Si j’étais un loisir, je serais la danse.
Si j’étais une planète, je serais la Terre.
Si j’étais un vêtement, je serais une robe.
Si j’étais un véhicule, je serais une voiture.
Si j’étais un pays, je serais l’Australie.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma maman, car je la trouve très forte.
Shayma
Si j’étais un objet, je serais un stylo.
Si j’étais une saison, je serais l’hiver, parce que l’hiver il y a de la neige.
Si j’étais un plat, je serais des pâtes à la carbonara.
Si j’étais un animal, je serais un chat, parce qu’ils sont tout doux.
Si j’étais un endroit, je serais Paris.
Si j’étais un oiseau, je serais un aigle.
Si j’étais un climat, je serais le froid.
Si j’étais une planète, je serais Neptune.
Si j’étais un vêtement, je serais des bottes noires.
Si j’étais un pays, je serais la Serbie, parce que ma meilleure amie est Serbe.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma maman.
Clémence
Si j’étais un objet, je serais le bijou de ma maman.
Si j’étais une saison, je serais l’été ou le printemps, parce qu’aujourd’hui j’ai froid, et je sais que l’été j’aurai chaud.
Si j’étais un plat, je serais une bûche, parce que c’est mon dessert préféré.
Si j’étais un animal, je serais le lapin ou le cheval.
Si j’étais une chanson, je serais « Une dernière danse » ou « On écrit sur les murs ».
Si j’étais une couleur je serais le jaune, l’orange, ou le beige.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais une sirène, parce qu’elles sont belles.
Si j’étais un endroit, je serais une maison.
Si j’étais un oiseau, je serais une belle perruche verte et jaune.
Si j’étais un fruit, je serais la mangue.
Si j’étais un bruit, je serais celui que fait ma trousse quand elle tombe par terre.
Si j’étais un climat, je serais le chaud ou le froid.
Si j’étais un loisir, je serais la danse classique ou le cheval.
Si j’étais une planète, je serais la Terre.
Si j’étais un vêtement, je serais une jupe ou une robe.
Si j’étais une montagne, je serais le mont Rose.
Si j’étais un véhicule, je serais Ferrari Carerra 911S.
Si j’étais un pays, je serais les Comores.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma mère, ou mon père ou une de mes sœurs !
Chaïnesse
Si j’étais un objet, je serais un cartable, pour être toujours porté, comme ça je ne marcherais pas.
Si j’étais une saison, je serais l’été, comme ça il ferait toujours chaud.
Si j’étais un animal, je serais un jaguar, et je courrais très très vite !!!
Si j’étais une chanson, je serais « La légende de PNL », c'est du rap.
Si j’étais une couleur, je serais le bleu, car c’est une très belle couleur.
Si j’étais un livre, je serais Le tour du monde en 80 jours », car moi je rentre bien dans cette histoire.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais Superman, car j’aimerais voler.
Si j’étais un film, je serais Retour aux origines de la Terre, car j’aime le système solaire.
Si j’étais une arme, je serais le Pépé AK71803 de Hitler — mille balles par minute, c’est incroyable !
Si j’étais un oiseau, je serais un Stégosaure.
Si j’étais un fruit, je serais la pêche, car c’est tellement bon !
Si j’étais un bruit, je serais une chaise qui grince.
Si j’étais un climat, je serais le climat montagnard, car j’aime quand il fait froid.
Si j’étais un loisir, je serais le foot, car c’est trop bien.
Si j’étais une planète, je serais la Terre, car j’aime notre jolie planète.
Si j’étais un pays, je serais le Maroc, car c’est un pays magnifique.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais mon père ou ma mère, parce que je les aime.
Marwan
Si j’étais un objet, je serais le collier de ma maman.
Si j’étais une saison, je serais l’hiver, car il y a de la neige.
Si j’étais un plat, je serais de la purée, car c’est bon avec du fromage.
Si j’étais un animal, je serais une mouche, parce que j’aimerais me faufiler partout.
Si j’étais une chanson, je serais le bleu, c’est la couleur du ciel.
Si j’étais un livre, je serais Le livre de la jungle, ça fait peur.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais Batman.
Si j’étais un film, je serais Les 10 commandements.
Si j’étais une arme, je serais un canon, c’est génial et en plus ça fait « boom ! ».
Si j’étais un endroit, je serais la Vache noire, il y a plusieurs boutiques.
Si j’étais un oiseau, je serais le rouge-gorge, en hiver il est chaud.
Si j’étais une musique, je serais la « Champions Ligue ».
Si j’étais un fruit je serais une pomme et je pousserais dans les arbres.
Si j’étais un bruit, je serais le bruit du tambour, c’est magnifique !
Si j’étais un climat, je serais le climat océanique.
Si j’étais un vêtement, je serais un costard bleu, blanc et rouge.
Si j’étais une planète, je serais Jupiter, la plus grande planète gazeuse.
Si j’étais une montagne, je serais le Mont Blanc, c’est la montagne la plus grande.
Si j’étais un véhicule, je serais la Lamborghini B911, elle va vite comme l’éclair.
Si j’étais un pays, je serais les États-Unis, c’est le pays le plus riche au monde.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais Lewis Hamilton.
Mohammed el Amine
Si j’étais une saison, je serais l’été, parce qu’il fait beau et le jour reste plus longtemps.
Si j’étais un plat, je serais une pizza.
Si j’étais un animal, je serais un tigre, parce qu’il est féroce.
Si j’étais une couleur, je serais le bleu.
Si j’étais un livre, je serais Harry Potter.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais Superman, parce qu’il est puissant.
Si j’étais un film, je serais Harry Potter, parce qu’il y a du suspense.
Si j’étais un dessin animé, je serais Foot de rue extrême.
Si j’étais un endroit, je serais un endroit du Vietnam, parce qu’il s’y trouverait ma famille.
Si j’étais un oiseau, je serais l’aigle, parce qu’il est violent.
Si j’étais une musique, je serais Lukus Drams.
Si j’étais un fruit, je serais la prune.
Si j’étais un bruit, je serais le cri du loup.
Si j’étais un climat, je serais celui d’un pays chaud.
Si j’étais un loisir, je serais la patinoire.
Si j’étais une planète, je serais la Terre.
Si j’étais un vêtement, je serais un short.
Si j’étais une montagne, je serais le Jura.
Si j’étais un véhicule, je serais un avion.
Si j’étais un pays, je serais la France.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais Adam.
Johnny
Si j’étais un objet, je serais une montgolfière, pour m’envoler dans les airs.
Si j’étais une saison, je serais le printemps, car les fleurs repoussent et ça donne de nouvelles couleurs.
Si j’étais un plat, je serais le cachupa, car c’est un plat traditionnel.
Si j’étais un animal, je serais un loup, car je serais le plus agile et le plus rapide.
Si j’étais une couleur, je serais le bleu turquoise, car c’est une couleur vive qui me fait penser au ciel et à la mer.
Si j’étais un livre, je serais Les enquêtes de la Main Noire, car j’aurais plein d’énigmes à résoudre.
Si j’étais un personnage de fiction, je serais un extraterrestre, car je pourrais voir l’Univers.
Si j’étais une arme, je serais un arc, pour combattre les méchants.
Si j’étais un endroit, je serais la Maison Blanche, pour découvrir le président américain.
Si j’étais un oiseau, je serais une colombe, car je pourrais voir d’en haut.
Si j’étais une musique, je serais « Te amo », car c’est la première musique que j’ai écoutée.
Si j’étais un fruit, je suis la papaye, car elle a un goût particulier et c’est juteux.
Si j’étais un bruit, je serais le bruit du tonnerre.
Si j’étais un climat, je serais un climat tropical, car ça me fait rêver.
Si j’étais un loisir, je serais du patinage artistique, pour faire des figures incroyables.
Si j’étais un vêtement, je serais une robe, pour tourner de plus en plus vite.
Si j’étais un véhicule, je serais une Porsche, pour être admirée de tout le monde.
Si j’étais un pays, je serais le Cap Vert, car c’est mon pays, et je pourrais voir mes cousines.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais ma grand-mère, parce qu’elle a beaucoup voyagé.
Laëtitia
Si j’étais un objet, je serais un ballon.
Si j’étais une saison, je serais l’été.
Si j’étais un plat, je serais une pizza.
Si j’étais un animal, je serais un guépard.
Si j’étais une couleur, je serais le bleu.
Si j’étais un film, je serais un documentaire sur les animaux.
Si j’étais un endroit, je serais une maison.
Si j’étais un animal, je serais un faucon.
Si j’étais un fruit, je serais une mangue.
Si j’étais un bruit, je serais un aboiement de chien.
Si j’étais un climat, je serais le chaud, parce que j’aime le chaud.
Si j’étais une planète, je serais Mars.
Si j’étais un vêtement, je serais un pantalon, parce que j’aime les pantalons.
Si j’étais une montagne, je serais les Alpes.
Si j’étais un véhicule, je serais un avion.
Si j’étais un pays, je serais la France.
Si j’étais quelqu’un que j’admire, je serais mon père.
Anonyme
Comptines
Rue Victor Hugo
J’ai pris mon seau.
Rue Mozart
J’ai dormi tard.
Rue Blaise Pascal
J’ai fait du cheval.
Rue Gustave Eiffel
J’ai mangé des fallafels.
Un, deux, trois, mes habits de soie,
Quatre, cinq, six, mon chapeau tout lisse,
Sept, huit, neuf, mes souliers de bœuf,
Dix, onze, douze, ma petite blouse,
Treize, quatorze, quinze, mon petit singe,
Seize, dix-sept, dix-huit, ma petite truite.
Laëtitia
Rue Vasco de Gama
J’ai dressé mon mât.
Rue Pascal Cost
Je travaille à la poste.
Rue Jean de la Fontaine
Je n’ai pas de haine,
Rue Maurice Thorez
J’ai allumé ma braise.
Samia
Rue Mozart
J’ai fouillé dans mon placard.
Rue de la Loire
J’ai dormi dans le noir.
Mohammed el Amine
Rue Mozart
J’ai fait de l’art.
Rue Albert Petit,
Je n’ai jamais vu plus petit.
Un, deux, trois, mes habits de soie,
Quatre, cinq, six, mon chapeau tout lisse,
Sept, huit, neuf, mes souliers de bœuf,
Dix, onze, douze, mon gilet, ma blouse,
Treize, quatorze, quinze, mon monde est mince.
Hana
Rue Charles de Gaule
J’ai rencontré Paul.
Rue Takachi Murakami
J’ai trouvé une fourmi.
Rue Lamartine
J’ai marché sur une épine.
Un, deux, trois, mes habits de soie,
Quatre, cinq, six, mon chapeau tout lisse,
Sept, huit, neuf, mes souliers de bœuf,
Dix, onze, douze, mon lapin sur la pelouse.
Treize, quatorze, quinze, ma sœur bien mince
Seize, dix-sept, dix-huit, ma tarte est cuite.
Salma
Rue Jean d’Arc
J’ai tiré à l’arc.
Rue Pascal
Je n’ai pas le moral.
Un, deux, trois, mes habits de soie,
Quatre, cinq, six, mon chapeau tout lisse,
Sept, huit, neuf, mes souliers de bœuf,
Dix, onze, douze, ma ville est Toulouse,
Treize, quatorze, quinze, mon beau linge
Seize, dix-sept, dix-huit, ma toute belle truite.
Adam
Rue Maurice Thorez
J’ai mangé une merguez.
Rue Mozart
J’ai fait de l’art.
Rue Henri Barbusse
J’ai pris le bus.
Rue Paul Vaillant-Couturier
J’ai enfilé mes souliers.
Clémence
Rue Wolfgang Amadeus Mozart
Je t’ai trouvé bizarre.
Rue John Cena
J’ai dansé la samba.
Rue Takashi Murakami
J’ai ri grâce à lui.
Un, deux, trois, mes habits de soie,
Quatre, cinq, six, mon chapeau tout lisse,
Sept, huit, neuf, mes souliers de bœuf,
Dix, onze, douze, mon tee-shirt de bouse,
Treize, quatorze, quinze, mon manteau en singe,
Seize, dix-sept, dix-huit mon écharpe toute cuite,
Dix-neuf, vingt, vingt-et-un, c’est une phrase de fin.
Pierre
Rue Maurice Longlet
Je n’ai jamais fait de l’anglais.
Rue Mozart
J’ai fait de l’art.
Rue Albert Petit,
Je n’ai jamais vu plus petit.
Isaac
Rue Maurice Longlet,
J’ai parlé anglais.
Rue Henri Barbusse
J’ai suivi un bus.
Rue Takachi Murakami
J’ai mangé des sushis.
Chaïnesse
Rue Maurice Thorez,
J’ai mangé une merguez.
Rue Henri Barbusse,
J’ai pris un bus.
Rue Léonard de Vinci,
J’ai mangé du riz.
Rue Albert Petit
Je deviens tout petit.
Rue Takachi Murakami
J’ai marché sur une fourmi.
Marwan
Rue Victor Hugo,
J’ai été rigolo.
Rue Blaise Pascal
J’ai eu un animal.
Un, deux, trois, mes habits de soie,
Quatre, cinq, six, mon chapeau tout lisse,
Sept, huit, neuf, mes souliers de bœuf,
Dix, onze, douze, mes jolies blouses,
Treize, quatorze, quinze, mon tout petit singe,
Seize, dix-sept, dix-huit mes pommes cuites.
Inès
Poèmes à lanceurs / Structures inductrices
D’après Roger Bernard, Mes parts semblables,
et Paul Éluard, L’Amour, la Poésie
J’ai un poème d’amour.
Je n’ai pas de bonbon.
Je n’ai plus de pomme noire.
Je n’ai jamais eu un chat rigolo.
J’ai eu parfois de l’encre sur les mains.
J’ai eu souvent de la tristesse.
Si j’avais eu une robot qui faisait tout à ma place…
J’aurais encore le droit de chanter ?
Dans la braise il y a de l’eau.
Dans l’année il y a des jours tristes et des jours heureux
Et dans l’azur le ciel bleu.
Dans la brume il y a des gens qui fument.
Dans l’amour il y a l’amour et l’amitié
Et dans le sang il y a le rouge.
Dans le feu il y a des gouttes de feu
Et dans la vie les amis.
Je te l’ai dit pour le chat.
Je te l’ai dit pour toute la vie
Pour chaque midi, pour manger dans la salle
Pour les chats qui ont tout mangé.
Pour toute la vie.
Je te l’ai dit pour les amies, pour les parents d’amour…
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Hana
J’ai plein de jouets vivants.
Je n’ai pas de téléphone qui parle.
Je n’ai plus de tablette tactile vivante.
Je n’ai jamais eu de petite sœur.
J’ai eu parfois des friandises à manger.
J’ai eu souvent de la chance, car je suis allé dans les airs.
Si j’avais eu des pouvoirs particuliers j’aurais été content.
J’aurais encore plein de jouets immobiles.
Aurai-je enfin de la magie ?
Dans la braise il y a des crêpes qui cuisent.
Dans l’année il y a les pays des merveilles.
Et dans l’azur un arc-en-ciel multicolore.
Dans la brume il y a des oiseaux de toutes les couleurs.
Dans l’amour il y a aussi un cœur multicolore.
Et dans le sang un géant cœur rouge.
Dans le feu il y un pays rouge
Et dans la vie des pays imaginaires
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour le soleil.
Je te l’ai dit pour le ciel.
Pour chaque jour, pour les vacances dans le ciel
Pour les planètes, le chef c’est le Soleil, et le Soleil leur dit de tourner autour de lui
Pour les humains, ce sont leurs parents immobiles qui ne parlent pas.
Pour toute la ville, pour la statue du Maire.
Pour la mer et pour la lune,
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Isaac
J’ai une mère.
Je n’ai pas une médaille.
Je n’ai plus de jouet.
Je n’ai jamais eu un ordinateur.
J’ai eu souvent un ballon.
Si j’avais eu un ordinateur qui joue des jeux mathématiques…
Aurai-je enfin un ballon de football?
Dans la braise il y a des bois.
Dans l’année il y a 365 jours.
Dans l’amour il y a un homme et une femme.
Dans le feu il y a des couleurs, bleu et orange
Et dans la vie des maisons
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour ton travail.
Je te l’ai dit pour toi.
Pour les footballeurs, s’il leur faut un ballon
Pour toute la maison, il lui faut la porte.
Pour la fleur, il lui faut un peu d’eau et de Soleil.
Je te l’ai dit pour tes frères et sœurs.
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Youcef
J’ai un livre.
Je n’ai pas de page dans mon livre.
Je n’ai plus de pensée.
Je n’en ai jamais eu de mauvaise.
J’ai eu parfois des voyages en Italie.
J’ai eu souvent des disputes.
Si j’avais eu une douceur...
J’aurais encore des amis, des vrais.
Aurai-je enfin un peu d’amour ?
Dans la braise, il y a de la chaleur, de la fumée et du bois.
Dans l’année, il y a des jours, des semaines et des mois.
Dans l’azur, il y a le bleu, la mer et le ciel
Et dans la brume, il y a le brouillard et la pluie.
Dans l’amour, il y a de la joie et de la confiance
Et dans le sang, il y a de la pureté.
Dans la peine, il y a de la tristesse.
Dans le feu, il y a des flammes
Et dans la vie il y a de la poésie, de la mélancolie et des émotions.
Je te l’ai dit pour ne pas te faire de la peine.
Je te l’ai dit pour que tu m’aimes.
Pour chaque jour, pour les mois dans les années.
Pour les autres, pour les amis, pour toute la famille.
Pour la joie et la bonne humeur.
Pour la confiance, pour un bisou,
Je te l’ai dit pour tes bêtises, pour tes sottises…
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Samia
J’ai un stylo qui danse.
Je n’ai pas de cahier qui rit.
Je n’ai plus de crayon magique.
Je n’ai jamais eu de trousse.
J’ai eu parfois une orange qui boit son jus
J’ai eu souvent une pomme qui se mange toute seule.
Si j’avais eu une gomme, j’aurais pu gommer.
J’aurais encore une pomme qui se mange.
Aurai-je enfin un cahier qui rit ?
Dans la braise, il y a de la poussière qui se transforme et d’autres couleurs
Dans l’année, il y a un parc d’attractions qui vole.
Dans l’azur, il y a de l’ombre qui va voir le soleil, du bleu qui peut se changer en rose
Et dans la brume, il y a de l’eau qui change de couleur quand tu la touches.
Dans l’amour il y a de la soie verte
Et dans le sang, il y a des crayons de couleurs.
Dans la peine, il y a la souffrance que tu as pour ton amour.
Dans le feu, il y a du gaz qui fait un feu d’artifices
Et dans la vie, il y a un enfant qui s’appelle B et qui est marrant.
Je te l’ai dit pour que tu ne partes pas en Amérique
Je te l’ai dit pour que tu me laisses y aller en vacances.
Pour chaque jour, pour les mois, mais dans la vie il y a un enfant qui s’appelle B et qui est marrant
Pour les magiciens, qui ont des voitures qui leur transforment les cheveux.
Pour les lapins, il y a des carottes.
Pour toute la famille bizarre,
Pour la mère et la sœur qui va me frapper.
Pour la dame, pour un monsieur dont la tête ne va pas bien.
Je te l’ai dit pour tes amis, pour tes grands frères, car ils vont me transformer en carotte.
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Marwan
J’ai un stylo de toutes les couleurs
Je n’ai pas de ciseaux tout ronds et rigolos
Je n’ai plus de cahier car je l’ai fini
Je n’ai jamais eu un joli stylo tout beau
J’ai eu parfois une pomme pour le goûter
J’ai eu souvent de bonne notes en grammaire
Si j’avais eu un cahier j’aurais pu travailler
J’aurais encore de quoi être embêté.
Dans la braise il y a des grimaces
Dans l’année il y a les vacances
Et dans l’azur il y a des bonbons
Je te l’ai dit pour toi
Je te l’ai dit pour que tu danses la samba.
Esteban
J’ai un ballon robot
Je n’ai pas de robe blanche
Je n’ai plus de jouet
Je n’ai jamais eu de maître
J’ai eu parfois des chaussures
J’ai eu souvent des voitures rapides
Si j’avais eu des bateaux je serais navigateur
Dans la braise il y a des flammes,
Dans l’année il y a des souvenirs
Et dans l’azur il y a du vent.
Dans la brume il y a le vide,
Dans l’amour il y a la famille
Et dans le sang il y a la force.
Dans la peine il y a le courage,
Dans le feu il y a la souffrance
Et dans la vie il y a la nature.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour que tu m’aimes
Je te l’ai dit pour que je sois dans le monde.
Pour chaque jouet, pour les enfants,
Pour les humains,
Pour les robots,
Pour toute la terre,
Pour la planète, pour un sourire.
Je te l’ai dit pour tes enfants,
Pour tes filles.
Johnny
J’ai un livre trop mignon !
Je n’ai pas de téléphone.
Je n’ai plus de carton rose.
Je n’ai jamais eu d’animal dressé.
J’ai eu parfois de très gros cadeaux.
J’ai eu souvent des peluches rouges.
Si j’avais eu de la neige, j’aurais pu faire plein de batailles de boules de neige.
J’aurais encore des bonshommes de neige.
Aurais-je enfin un tigre blanc ?
Dans la braise il y a la lune.
Dans l’année il y a mes poneys
Et dans l’azur il y a les murs.
Dans la brume il y a des gens qui fument.
Dans l’amour il y a l’amitié.
Et dans le sang il y a du chant.
Dans la peine il y a les veines.
Dans le feu il y a la guerre.
Et dans la vie il y a la poésie
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour t’aimer.
Je te l’ai dit pour chanter.
Pour chaque jour, pour les paroles dans le cœur
Pour les faire parler
Pour faire bouger
Pour toute la vie
Pour la peluche,
Pour la poupée, pour un jouet
Je te l’ai dit pour tes amis, pour tes jouets
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Pierre
Dans la braise il y a des pierres volantes.
Dans l’année il y a des planètes qui disent bonjour à la Terre
Et dans l’azur des extraterrestres.
Dans la brume il y a trop de nuages humains
Dans l’amour il y a des arbres qui volent
Et dans le sang il y a des branches d’arbres.
Dans le feu il y a des cerveaux qui volent
Et dans la vie des rêves.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Boubacar
J’ai un livre, des jeux.
Je n’ai pas d’yeux.
Je n’ai plus de cartable.
Je n’ai jamais eu de sable.
J’ai eu parfois une banane qui rit.
J’ai eu souvent des avions pour voyager dans des pays extraordinaires.
Si j’avais eu un ballon, j’aurais joué tous les jours avec lui.
J’aurais encore des fruits.
Aurais-je enfin tout ce que je veux ?
Dans la braise il y a des bruits très marrants.
Dans l’année il y a toujours la maîtresse
Et dans l’azur il y a des nuages éternels.
Dans la brume il y a trop de bruits très gentils.
Dans l’amour il y a le frigo qui saute.
Et dans le sang il y a du chant.
Dans la peine il y a des enfants très gentils
Et dans la vie il y a les copains.
Je te l’ai dit pour toi.
Je te l’ai dit pour que tu partes,
Pour chaque poème, pour les enfants dans la classe,
Pour les personnes rigolotes,
Pour les petits garçons qui font du sport,
Pour toute la vie,
Pour la ponctuation, pour un livre.
Je te l’ai dit pour tes chaussures,
Pour tes chaussettes.
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Lenny
J’ai un jeu
Je n’ai pas d’yeux.
Je n’ai jamais eu d’art.
J’ai eu parfois des souvenirs qui font rire.
Si j’avais eu un renard …
J’aurais encore mes yeux.
Aurais-je enfin mon dictionnaire?
Dans la braise il y a du feu.
Dans l’année il y a des événements
Et dans l’azur il y a du ciel.
Dans la brume il y a des messages,
Dans l’amour il y a un mois
Et dans le sang il y a du sucre.
Dans la peine il y a des secrets.
Dans le feu il y a la braise
Et dans la vie il n’y a que moi.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Mohammed el Amine
J’ai un stylo.
Je n’ai pas de cahier.
Je n’ai plus de papier coloré.
Je n’ai jamais eu de pompon.
J’ai eu parfois des maîtresses méchantes.
J’ai eu souvent le droit d’aller au Portugal.
Si j’avais eu un cheval, j’aurais parcouru le monde entier.
J’aurais encore mon hamster tout doux.
Aurais-je enfin le temps de faire de la danse classique?
Dans la braise il y a de l’amour,
Dans l’année il y a tant d’espoir
Et dans l’azur il y a soit la joie, soit de la tristesse.
Dans la brume il y a des enfants pas très contents.
Dans l’amour il y a des fous rires
Et dans le sang il y a du vent.
Dans la peine il y a du sang froid
Et dans la vie il y a toujours du beau temps.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Shayma
J’ai un poème.
Je n’ai pas de plume.
Je n’ai plus le droit d’être poète.
Je n’ai jamais eu de pompon.
J’ai eu parfois de l’encre pour écrire avec une brindille.
J’ai eu souvent un peu d’inspiration.
Si j’avais eu une plume
J’aurais eu encore mon hamster tout doux.
Aurais-je enfin une plume?
Dans la braise il y a de l’eau
Dans l’année il y a les étoiles
Et dans l’azur les nuages qui pleurent.
Dans la brume il y a la joie.
Dans l’amour il y a l’arc-en-ciel des sentiments
Et dans le sang il y a la vie.
Dans la peine il y a la sérénité et la tranquillité
Et dans la vie il y a les années.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour que tu m’aimes.
Je te l’ai dit pour t’avouer,
Pour chaque nuit, pour les journées dans la joie de la vie,
Pour les histoires pleines d’amour,
Pour les endroits pleins d’amitié,
Pour toute la vie, tu seras mon amie.
Je te l’ai dit pour tes soucis, pour tes ennuis.
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Salma
J’ai mon doudou bleu.
Je n’ai pas mon sac extraordinaire.
Je n’ai plus ma Barbie qui parle.
Je n’ai jamais eu ma maison de poupées.
J’ai eu parfois des bonbons.
J’ai eu souvent des sucettes.
Si j’avais eu une grande armoire
J’aurais encore mes habits noirs.
Aurais-je enfin une grande armoire
Qui me donne des habits noirs?
Dans la braise il y a du feu
Dans l’année il y a 2007
Et dans l’azur il y a du bleu ciel.
Dans la brume il y a du rhume.
Dans l’amour il y a de l’émotion
Et dans le sang il y a de la douleur.
Dans la peine il y a de la joie, mais pas tant que ça,
Dans le feu il y a du bois
Et dans la vie il y a le monde.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour une raison.
Je te l’ai dit pour ne pas mentir,
Pour chaque instant, pour les secrets bien cachés dans l’oreille,
Pour les filles ou
Pour les femmes.
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Chaïnesse
J’ai une trousse.
Je n’ai pas de stylo.
Je n’ai plus de vélo.
Je n’ai jamais eu un lit superposé.
J’ai eu parfois du chocolat.
J’ai eu souvent des jouets.
Si j’avais eu une trottinette
J’aurais encore mon vélo.
Aurais-je enfin des patins à roulettes ?
Dans la braise il y a le rouge
Dans l’année il y a la joie
Et dans l’azur il y a le ciel.
Dans la brume il y a les nuages qui pleurent de rire.
Dans l’amour il y a la peine
Et dans la vie il y a la poésie.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Clémence
J’ai un baby-foot.
Je n’ai pas beaucoup de jeux de foot.
Je n’ai plus de ballon.
Je n’ai jamais eu de tapis de foot.
J’ai eu parfois des crampons.
J’ai eu souvent des coups au foot.
Si j’avais eu un gâteau je l’aurais mangé.
Dans la braise il y a des bois.
Dans l’année il y a la fête
Et dans l’azur il y a des trous.
Dans la brume il y a du noir,
Dans l’amour il y a l’Amérique
Et dans le sang il y a de la douleur.
Dans la peine il y a des pleurs,
Dans le feu il y a la mort
Et dans la vie le foot.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour ma mère
Je te l’ai dit pour mon père, mes frères et Grïzmann,
Pour les footballeurs
Pour les maîtres, mais pas pour les maîtresses.
Pour toute la France,
Pour la Terre et pour Mars.
Toute caresse, toute confiance se survivent.
Ely
J’ai une sœur qui ne fait que des grimaces.
Je n’ai pas de stylo qui sourit.
Je n’ai plus de bijoux verts.
Je n’ai jamais eu de banane bleue.
J’ai eu parfois des ongles verts.
J’ai eu souvent des peluches vertes avec des cheveux.
Si j’avais eu un chien qui parle
J’aurais encore des chaussures qui dorment.
Aurais-je enfin une maîtresse avec un visage rose ?
Dans la braise il y a des voix qui parlent
Dans l’année il y a des vêtements qui parlent
Et dans l’azur il y a de l’argent qui tombe.
Dans la brume il y a des voix qui nous parlent et qui nous disent « Retournez chez vous ! »
Dans l’amour il y a des bouteilles qui parlent
Et dans le sang il y a du vert clair.
Dans la peine il y a de la joie,
Dans le feu il y a des enfants qui rigolent
Et dans la vie des petits bonshommes qui pleurent.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour la vie
Je te l’ai dit pour ton assurance voiture,
Pour chaque vie, pour les années qui passent dans les pays des extraterrestres,
Pour les amis de ta fille,
Pour les chiens qui parlent,
Pour toute la confiance que tu m’as donnée.
Justine
J’ai un cartable.
Je n’ai pas de chaussures.
Je n’ai plus de table.
Je n’ai jamais eu de maîtresse.
J’ai eu parfois un robot.
J’ai eu souvent dans mes cheveux des tresses.
Si j’avais eu un cerveau
J’aurais eu encore envie de jouer.
Aurais-je enfin tout ce que je voulais?
Dans la braise il y a des chaussettes aux yeux verts,
Dans l’année il y a des poules qui volent des bijoux
Et dans l’azur il y a le bleu qui chante sous la douche.
Dans la brume il y a des gouttes d’eau qui volent,
Dans l’amour il y a des cœurs qui parlent
Et dans le sang il y a des bijoux et des squelettes.
Dans la peine il y a des mouchoirs qui pleurent,
Dans le feu il y a des flammes qui forment un lien
Et dans la vie des nounours de toutes les couleurs.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour que tu m’emmènes jouer au parc
Je te l’ai dit pour que tu m’achètes une poule qui n’a pas de tête,
Pour chaque enfant, pour les bébés dans les berceaux,
Pour les cartables qui pleurent,
Pour les stylos qui sont vivants.
Jasmine
J’ai un dragon
Je n’ai pas de stégosaures
Je n’ai plus mon dinosaure
Je n’ai jamais eu un parasaurolophus.
J’ai eu parfois un archéoptéryx.
J’ai eu souvent un tyranosaurus rex.
Si j’avais eu un avion, j’aurais pu voler avec mon dragon
J’aurais encore un dinosaure pour mon anniversaire.
Aurais-je enfin mon parasaurolophus ?
Dans la braise il y a une lueur rouge,
Dans l’année il y a des mois
Et dans l’azur il y a du bleu.
Dans la brume il y a du vent,
Dans l’amour il y a un cœur
Et dans le sang il y a du rouge.
Dans la peine il y a du chagrin,
Dans le feu il y a de la braise
Et dans la vie il y a les jeux vidéos !!!
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Adam
J’ai une chaussure.
Je n’en ai pas une paire entière.
Je n’ai plus de chaussettes.
Je n’ai jamais eu de chaussure qui danse.
J’ai eu parfois une paire de gants.
J’ai eu souvent des gants troués.
Si j’avais eu des gants qui écrivaient dans mes évaluations…
J’aurais encore des chaussures qui me ramènent mon livret.
Aurais-je enfin des vacances et de bonnes notes ?
Dans la braise il y a un arc-en-ciel,
Dans l’année il y a de l’argent
Et dans l’azur un ballon qui danse sans cesser.
Dans la brume il y a du feu
Et dans le sang il y a une ferme.
Et dans l’homme il n’y a qu’un poème de joie.
Je te l’ai dit pour les poissons dans le ciel
Je te l’ai dit pour la voiture qui met des maillots de bain,
Pour chaque semaine, pour les chiens dans la piscine
Pour les Galaxies et pour tout l’Univers.
Inès
J’ai un chien qui fait des selfies.
Je n’ai pas de stylo qui marche.
Je n’ai plus de montgolfière qui vole dans les airs.
Je n’ai jamais eu une vie de mousquetaire.
J’ai eu parfois des cheveux jaune d’or
J’ai eu souvent des nuages en forme de mouton.
Si j’avais eu une bonne étoile
J’aurais encore mon amie Kenrjian.
Aurais-je enfin une amie ?
Dans la braise il y a une fleur,
Dans l’année il y a des gens
Et dans l’azur des vaches qui rient.
Dans la brume il y a des personnes qui parlent,
Dans l’amour il y a une joie de vivre
Et dans le sang pas de bêtise.
Dans la peine il y a la tristesse.
Laëtitia
Les jeux du dictionnaire
A la manière de Jacques Prévert
Une brosse à double face avec un scotch à dents
Un statue en bois avec un meuble en or
Un ministère de haut niveau avec un sportif de la guerre
Un serpent d’eau avec un verre à sonnettes
Un produit à lèvre avec un rouge de luxe.
Samia
Une étoile de chocolat avec une plaquette de mer
Un flocon à café avec une cuillère de neige
Une plume à papier avec un crayon de paon
Une équerre en plastique avec un jouet en fer.
Clémence
Des aiguilles en bois avec une maison en fer
Une piscine de lave avec une planète d’eau
Un stylo à manger avec une salle à billes
Un loup à carreaux avec une boîte des neiges
Un jeu en plastique avec un jeu d’action.
Pierre
Un enfant à poils avec un renard à malices
Une plume en fer avec un avion en tissu
Une règle à papier avec une feuille en fer
Une table à café avec trois cuillères en bois
Une feuille en tissu avec des chaussettes en papier
Un bonhomme en or avec un tiroir de neige.
Mohammed el Amine
Une brosse de terre avec un ver à dents
Une cuiller de café avec un verre à soupe
Une table à papier avec un crayon en bois
Une reine de peine avec un homme d’Angleterre
Boubacar
Une brosse d’eau avec un verre à dents
Un avion à goûter avec une boîte en papier
Un carton en plastique avec une pochette en bois
Une école à dos avec un sac de foot.
Johnny
Une veste à goûter avec une boîte en jean
Un rire à linge avec une armoire en folie
Une ligne en carton avec une carte à joker
Une casserole à fleurs avec un sol en fer.
Lenny
Des lunettes à encre avec un stylo en plastique
Des sourcils de couleur avec un pull en pagaille
Une règle avec des branches avec un sapin en fer
Des souliers en tissu avec un cartable de vair
Un vendredi en tissu avec une trousse de mars
Une feuille avec des oreilles avec un serre-tête en plastique
Un chat avec des motifs avec un tissu avec des poils
La jupe à barbe à papa avec une machine de Juliette.
Jasmine
30 septembre 2016
Prix littéraire 2016
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 30 septembre 2016, 10:23
L’étrange, joyeux et incertain livre des Fleurs de la ville,
qui raconte les choses
comme elles auraient pu
se passer
à lire à l’envers ou à l’endroit, dans un sens ou dans l’autre
écrit par les élèves
de la classe de 6e E
du collège Henri Barbusse
professeur D. Beaume
L’histoire semble commencer…
…un bon matin, une petite fille, une petite Chaperon rouge, se promène avec son père dans la ville toute grise…
… seule la petite fille est colorée…
… elle a beaucoup d’imagination…
… elle s’intéresse à tout, elle regarde tout…
… pas comme son père, qui est scotché à son téléphone…
Il ne remarque rien, parfois la fille ne lui tient plus la main et va chercher des fleurs, peut-être pour en offrir.
Pour lui la petite fille est invisible, car il ne fait pas attention à elle. Il porte un sac à courses et parle sans cesse au téléphone.
Il y a partout des gens occupés et toutes sortes de choses, parfois des enfants qui jouent.
La petite et son père regardent dans des directions différentes… puis on voit la fille et les jambes des passants…
Cette fille est magique, car tout ce qu’elle regarde et tout ce qu’elle touche devient tout d’un coup coloré.
Soudain, à côté d’un poteau, elle remarque une fleur et la ramasse. Elle en vois d’autres, et veut en cueillir, peut-être pour faire un bouquet pour sa maman.
Un moineau rend son âme et la petite fille lui rend hommage, mais son père ne se rend compte que plus tard qu’elle n’est plus là.
Elle se sent seule, mais elle s’identifie à ces fleurs, qui sont colorées comme elle. Et plus elle en donne, plus le monde se colore.
A chaque passant que côtoie son père elle offre des fleurs. C’est comme une marque de respect. Et puis, on dirait que lorsque la fille leur offre des fleurs ils deviennent tous joyeux.
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En fait, c’est l’histoire d’une fille qui vit dans une ville en noir et blanc et qui sait trouver partout des fleurs colorées. Ce sont les fleurs du bonheur.
Non idem est si duo vident idem
Ce que pourrais penser la petite fille
Je suis partie avec mon père pour faire des courses. Mon père a commencé à parler au téléphone dès qu’on a quitté la maison. On avance vite dans la rue, trop vite, mais je trouve des fleurs partout, sur tout le chemin de la maison ! Il y a un oiseau mort sur le chemin du parc, je dépose sur lui une de mes fleurs. C’est bizarre, il y a un monsieur allongé sur un banc, je lui en donne aussi. Puis nous sortons du parc et nous rencontrons un ami de papa qui promène son chien, auquel j’offre des fleurs. Nous rentrerons à la maison, où maman nous attend.
… ou bien…
Je m’appelle Lisa. Autour de moi il y a de grandes personnes qui ne font pas attention aux choses, qui parlent au téléphone où ne regardent que les fils électriques. Tiens, des fleurs ! Elles sentent tellement bon ! Je les garde. J’espère en trouver d’autres.
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Je vois des gens, et du gris, et du gris ! Et puis des fleurs, des fruits et des légumes, des taxi, et encore des gens, et papa qui ne fait attention à rien. Attends papa, il y a un oiseau mort ! Je lui pose une fleur…
… ou bien…
C’est toujours comme ça, les grands ne regardent même pas autour d’eux ! Oh, une fleur ! Mmm, elle sent bon ! Encore une, elle sent encore mieux que l’autre ! Et encore une autre !
Cette femme est tellement drôle…
Ah, les objets de cette vitrine sont très rares, je n’en ai jamais vu de pareils…
Cet oiseau est mort, je dois lui rendre hommage. Je vais poser sur lui quelques fleurs…
C’est un vieux monsieur, il est peut-être mort aussi, je vais lui mettre une fleur… Papa est en train de saluer quelqu’un. Moi, je salue le chien. Et je lui mets des fleurs…
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… ou bien…
Mon papa ne me surveille pas. Je vois une fleur et décide de la cueillir. Je vois un moineau mort, je lui donne des fleurs pour qu’il repose en paix. Je vois un homme qui dort, et je décide de lui donner aussi des fleurs. Puis je vois un chien et je lui mets des fleurs dans le collier. Qui suis-je ?
… ou bien…
Je vois un chien, je crois qu’il est triste. Du coup, je lui donne des fleurs. Je vais arriver chez moi avec mon père. Je verrai ma mère et lui ferai un gros câlin. Et je jouerai avec mes petits frères dans le jardin.
… ou bien…
Je m’appelle Radija. J’ai un papa toujours au téléphone. Je suis la seule chose colorée de la ville. J’aime les fleurs, mais mon papa est trop occupé avec son téléphone, tellement qu’il ne sait même pas que je suis à côté de lui… A chaque fois que je regarde une
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chose elle devient colorée… On passe devant une vitrine pleine de bocaux. Mon papa ne voudra jamais
m’en acheter un, ça ne sert à rien… Je continue à cueillir des fleurs. Malheureusement, un oiseau est mort. Pour lui rendre hommage, je pose des fleurs sur lui. Je continue à marcher avec mon papa. Je l’impression de faire le tour du monde. On passe à côté d’un chien très beau et très gentil. Je le salue et pose des fleurs derrière sa laisse. Je suis arrivée chez moi. Contente ! Je vais jouer avec mes cousins ! Grâce à moi, le monde est en couleurs !
Ce que pourrais penser le papa
Je ne vois pas ce qui m’entoure, à part mon téléphone. « Ma fille, vient, arrête de la lâcher la main ! Allo, allo !!! Voilà, tu peux être contente, j’ai perdu un de mes meilleurs clients »
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… ou bien…
« Allo ! Oui chérie, j’ai acheté les légumes… Attends un instant… Lisa, dépêche-toi, la prochaine fois que tu me lâcheras la main tu auras la fessée ! » Hmm, c’est bizarre, je n’ai jamais remarqué cet endroit. « Lisa, ne touche pas aux personnes que tu ne connais pas — je ne pourrai jamais raisonner cet enfant ! C’est bizarre, je n’ai jamais remarqué cet endroit non plus. Je traverse le parc et je ne suis pas content.
… ou bien…
J’espère que je vais vite arriver à la maison pour finir le projet. Je vais appeler mon patron pour lui dire que j’ai presque fini. Bon, vite les courses et ho, go maison !
… ou bien…
J’ignore tout sauf ma fille en parlant au téléphone. Je ne sais pas où je vais…
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… ou bien…
Moi, Paul, je peux me balader aujourd’hui avec ma fille. Mais mon patron m’appelle et me dit qu’en ce moment ça ne va pas et que je suis sur le point d’être viré… Et moi, qui essaie de négocier pour lui prouver qu’il faut me garder et puis… Je m’en fiche de ce qu’il y a à côté de moi ! Ma fille se disperse et je la laisse, je m’en occuperai qu’en j’aurai réglé le problème avec le patron… Ah, il répond ! Finalement… mais non il va pas me garder ! Et puis… je ne suis pas d’humeur… je dois faire des courses… je me trompe certainement de ce que je dois acheter !
… ou bien…
Moi, Patrick, j’ai une fille qui aime la nature, c’est bien ! Mais elle abuse, à la fin ! Toujours quand je suis au téléphone ! Normalement pendant cinq minutes… Mais il n’y a plus de réseau, je vais devoir répéter la dernière phrase…
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… ou bien…
Dring, dring, dring ! « Allo ! » Bla bla bla… » Non, je t’en supplie, je veux qu’on vende la petite ! Et vite ! Comment ça, où est-elle ? Elle est à la maison, pourquoi ? Non, je ne crois pas. Je te laisse, je dois aller à l’épicerie… Des pommes, 3 kilos, et des fraises… 26 s’il vous plaît. » Dring, dring, dring ! « Allo ! » Il y a de beaux parfums ici, je raccroche… Dring ! Ça suffit !
Interactions
- Oh ! Papa, regarde, un oiseau mort !
- Chérie, viens, c’est dégoutant !
- J’arrive ! Je lui donne des fleurs !
ou bien…
- Papa, j’ai vu un petit oiseau mort sur le chemin !
- Ah, bon ? Dépêche-toi !
- Oui, je lui ai déposé une fleur.
- Et pourquoi ?
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- Mais… parce qu’il est mort ! Comme ça il est bien orné !
- Dépêche-toi, on va arriver en retard pour le déjeuner !
ou bien…
- Oh, un oiseau, je dois lui rendre hommage !
- Mais qu’est-ce que tu fais ?
- Attends papa, j’arrive !
ou bien…
- Papa, il y a un oiseau !
- Laisse-le, il est mort.
- Je lui dépose une fleur.
ou bien…
- Attends, je suis au téléphone !
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ou bien…
- Oui patron, j’ai presque fini la préparation du chantier !
- Papa, il y avait un moineau mort !
ou bien…
- Il faut vite rentrer, on est en retard !
- Mais papa, un oiseau est mort, je peux m’occuper de lui, pour lui rendre hommage ?
- Si tu veux, mais tu as trois minutes !
- Merci papa !!
ou bien…
- Viens Lisa !
- Attends papa, j’arrive ! Tu ne t’occupes jamais de moi.
- Non mais… ! Bon, tu viens tout de suite !
ou bien…
- Papa ! Je cueille des fleurs ! Tu veux les voir ?
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- Attends ma fille, je parle avec ta maman je dois savoir ce que je dois acheter pour ce soir.
- D’accord papa.
ou bien…
- Attends papa, j’ai trouvé un oiseau ! Mais… Il est mort ! Je vais lui mettre des fleurs pour lui rendre hommage.
- Tu viens ma puce ?
Explications
La fille voit le monde autrement. Triste, mais coloré. Le père, lui, le voit banalement, ennuyeux.
La fille a un don. C’est pour cela qu’elle est en couleurs et pas les autres. Mais personne ne fait attention à elle. Quand elle retrouve sa mère, son frère et sa sœur, elle est heureuse. Son bonheur colorie le monde.
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La fille fait plus attention à la terre, à la nature, aux gens. Le père est débordé. Elle ne pense qu’à son monde à lui, qui est noir. On dirait qu’il est esclave de quelque chose.
Les deux personnages ne voient pas la même chose car ils ne sont pas dans le même monde.
La petite fille s’intéresse à tout car elle n’est pas occupée. Pas comme le père, qui s’en fiche de tout à cause du téléphone.
Le monde est en couleurs grâce au regard de la petite fille. Et aux fleurs…
Ce n’est que la petite fille qui fait vraiment attention au monde…
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L’histoire semble finir…
Le père et la fille ont marché, marché et marché encore dans cette ville qui s’est colorée progressivement. Ils arrivent enfin chez eux, où la mère les attend. La fille laisse ses parents et court retrouver ses petits frères et sœurs, dans le jardin.
ou bien…
« Je suis heureuse de pouvoir colorer le monde et d’offrir du bonheur, à moi et à ma famille. C’est pour ça que ma mère m’autorise à lui poser des fleurs dans les cheveux et d’en parer mon frère et ma sœur. »
ou bien…
Arrivée au bout du parc, la fille voit un homme seul, couché sur un banc, en train de dormir. Elle met des fleurs dans ses chaussures. On peut comprendre qu’elle est touchée par la solitude de cet homme et veut partager avec lui ce qu’elle possède : des fleurs. Plus loin, dans la rue, elle découvre encore des fleurs près d’une grille, et, sensible à leur beauté, elle les cueille. Et son père reste totalement coupé de l’environnement et toujours au téléphone.
Devant un magasin, la petite fille regarde des vases colorés, alors que son père regarde le vase gris. Il rencontre un de ses amis, et la fillette met de fleurs dans le collier du chien de l’ami. Ensuite, ils arrivent dans un petit quartier où le père salue une voisine.
Ils continuent le chemin et arrivent chez eux. La maman prend dans ses bras la petite fille et celle-ci met des fleurs dans le pull de sa maman. Soudain, elle va dans le jardin, où elle voit ses petits frère et sœur. Elle dispose des fleurs sur la tête de la petite sœur et sur le pantalon de son frère. A la fin, elle ôte sa capuche et place une fleur dans ses cheveux.
ou bien…
La fille va directement dans son jardin. Il y a des fleurs partout. Puis elle regarde le ciel bleu est s’offre une fleur à elle-même …
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ou bien…
Un fois rentrée chez elle la petite fille voit sa mère et lui fait plein de câlins et de bisous. Elle met des fleurs sur sa petite sœur et sur son petit frère.
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ou bien…
La petite fille embrasse sa mère et lui dit qu’elle a profité de la balade pour lui cueillir des fleurs. C’est beau ! Et il y a du soleil.
ou bien…
La petite fille passe avec son père devant des pâtés de maisons. Quand ils arrivent devant chez eux la petite fille est très contente de revoir sa mère, comme si elle ne l’avait pas revue depuis longtemps. Puis elle va dans son jardin merveilleux, comme si elle voulait raconter son aventure…
ou bien…
Le monde est maintenant en couleurs ! Et c’est tout ce qui compte !
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Le Petit Poucet - adaptation théâtrale
Par Diana Beaume (Collège Henri Barbusse, Bagneux (92)) le 30 septembre 2016, 10:10
Le Petit Poucet
Adaptation théâtrale par la classe de 6e E, avril 2015
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