Marwan, Myriam, Beyzanur, Yassine et Khaina vous présentent ...
06 février 2018
Question de Liberté - La vidéo !
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 06 février 2018, 19:53 - déclaration universelle des droits de l'homme
05 février 2018
TOUT POUR ÊTRE LIBRE :(PARTIE 1)
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 05 février 2018, 19:37 - Rédaction abolition et citoyenneté
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Introduction :
Un jour, un groupe d’esclaves, travaillant dans une plantation, décida, de se révolter. Avec l’aide de la fille de leur Maître, ils vont s’enfuir. Ils vont vivre une aventure périlleuse mais ils vont absolument tout faire pour être libre.
01 février 2018
Article 5
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 01 février 2018, 12:24 - BD déclaration universelle des droits de l'homme

29 janvier 2018
La 404, Mme Moulin, Mme Martinez et M. Mocka à l'UNESCO
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 29 janvier 2018, 10:15 - sorties
Mardi 12 décembre la 404 accompagnée de Mr Mocka, Mme Martinez et Mme Moulin est allée au siège de l’UNESCO à Paris pour assister à un campus UNESCO. Il s’agissait du 50ème CAMPUS depuis le début de cette organisation et le thème retenu était « Les droits de l’Homme aujourd’hui ». C’était le thème idéal pour préparer la Matinée de l’engagement citoyen du 21 décembre ! Après avoir pris le train et métro dispersés en 3 groupes, passés devant la Tour Eiffel nous sommes arrivés à l’UNESCO. Assis dans la salle où se réunissent les ambassadeurs de l’UNESCO, nous avons écouté les différents intervenants présents, à savoir Chékéba Hachemi diplomate afghane et fondatrice de l’ONG « Afghanistan libre » ; Konstantinos Taravas, chercheur à l’UNESCO depuis 17ans et Plantu, dessinateur célèbre et fondateur de « Cartooning for peace ».
Cette conférence a mis en avant que les droits de l’Homme sont l’idéal, qu’ils sont communs et universels à chaque individu dans tous les pays du monde.
Ainsi les droits de l’Homme sont une caractéristique, une faculté que personne ne peut nous enlever. Ils ont évoqué les droits de la femme, la condition de celle-ci dans certains pays notamment l’Afghanistan, l’éducation qui est primordiale pour la liberté et l’égalité.
Ensuite Plantu a parlé de son parcours scolaire, de ses caricatures à prendre au « second degré » et les limites qu’il n’a pas. « Nous pouvons tout écrire, tout penser et dessiner mais à chaque fois il faut se mettre à la place de celui ou ceux que l’on caricature ». (Plantu). Cela s’appelle la liberté de penser et d’expression mais la limite est la responsabilité des images que l’on diffuse. C’est le fameux Vivre-ensemble qui revient à écouter la culture des autres.
Nous avons eu le droit à des dessins réalisés par Plantu en direct, c’était super car en même temps qu’il parlait, il dessinait sur sa tablette qui était projeté au un grand écran. C’est quelqu’un de très captivant, il a toujours plein d’anecdotes à raconter, d’ailleurs le récit d’Ismaïl va vous le montrer :
« Article 19 : Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiéter pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. Jean Plantureux, dit « Plantu » est dessinateur et fondateur de « Cartooning for peace ». Il a commencé à dessiner à 3 ans avec un crayon dans la main. Dans son corps, il se sent proche de nous. Il pensait toujours au dessin. C’est pour cette raison qu’il a raté ses études. Il comprenait différemment les cours. Il a voulu faire de la BD mais ses parents l’ont obligé à faire médecine. Il s’est fait virer de toutes ses études. Il a fini par faire ce qu’il voulait : de la BD. » ISMAIL
Chékéba Hachemi est une femme afghane qui a fuit son pays pendant sa jeunesse en migrant en France. Elle nous a raconté la condition des femmes et des petites filles dans son pays, que ces dernières ne vont pas à l’école et donc que si elles n’ont pas accès à la culture elles ne pourront pas aider dans la mise en place des droits de l’homme dans ce pays. Son principal combat est dans son ONG qu’elle a créée pour aider les petites filles de son pays pour qu’elles puissent aller à l’école. Elle nous a parlé de la vie là bas. Dans certains pays d’Afrique, les femmes ne peuvent conduire que depuis deux mois (avant cela leur était interdit), que depuis peu les personnes en Arabie Saoudite peuvent aller au cinéma, avant cela leur était interdit car « se divertir pouvait devenir dangereux ». Un autre exemple en Afghanistan : les loisirs ou de faire du cerf-volant sont interdits ce qui viole un droit de l’homme.
C’était très intéressant car ce que nous croyons, nous, normal dans notre pays ne l’est pas ailleurs et donc que la déclaration des droits de l’homme avec son premier article où « les hommes naissent libres et égaux en droits » dépend fortement de l’endroit où nous naissons. Il y a le « bon endroit » et le « mauvais endroit » pour naître, comme nous a dit Chékéba qui est a connu les deux côtés.
Après plus de 2h d’écoute attentive, un buffet offert par l’UNESCO nous attendait pour reprendre des forces et ensuite le chemin du collège.
Selen, Noémie et Sika vous parlent de Ramon Estono, célèbre caricaturiste emprisonné :
« Ramon Esono Ebalé :
Ramon Esono Ebalé est né en 1977 à Mikomeseng en Guinée Équatoriale c’est un illustrateur et dessinateur de bandes dessinées.Il a été emprisonné à Malabo dans la prison de Black Beach, les Droits de l’Homme ne sont pas respectés. »
Petite phrase philosophique dite pendant le discours par Plantu à retenir et méditer :
« Vivre ce n’est pas attendre que l’orage passe. Vivre c’est apprendre à danser sous la pluie » (Sénèque).
Les élèves de la 404 et Mme Moulin leur professeur
Question de Liberté et d’Esclavage
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 29 janvier 2018, 09:54 - Rédaction abolition et citoyenneté
Pourquoi l’esclavages n’est pas interdit comme dans certains pays du monde. L’un d’eux se nomme la Lybie, et pourquoi l’esclavage a été créé me direz vous. Pour cela, demandez aux esclavagistes : ils ont la réponse eux . Mais je peux vous en procurer quelques une si le cœur vous en dit: Les esclaves ont toujours été une main d’œuvre gratuite qui permettait de faire un énorme profit à celui qui en était le propriétaire, aussi certaines personnes n’avaient pas l’argent pour se procurer des ouvriers et des travailleurs qu’ils devaient rémunérer .Et que l’esclavage a permis de créer le commerce triangulaire.
Les esclavagiste avaient même créé un code : le CODE NOIR. Ce code disait que l’esclave était un meuble et que l’esclave affranchi doit allégeance à ces anciens maîtres.Il était une fois quatre jeunes gens qui vivaient au 21ème siècle et qui se nommaient : Y, Y, K et B.
Ils étaient libres comme l’air : ils n’étaient pas emprisonnés entre quatre murs comme la plupart des gens de ce monde.
Ils se demandaient pourquoi l’esclavage n’avait pas été aboli plus tôt le professeur leur disait que il y avaient trop d’avantage à pratiquer l’esclavage et que trop peu nombreux étaient ceux qui voulaient stopper cette folie. Ils se dirent que aujourd’hui heureusement qu’il n’y a plus de de navires négriers pour emporter les esclaves dans les colonies car là-bas il n’y a pas de liberté que des atrocités. Et sans citoyenneté et sans humanité il n’y a plus de liberté.
Une révolution en marche
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 29 janvier 2018, 09:20 - Rédaction abolition et citoyenneté
Dans une colonie située en Amérique du sud, vivait un esclave qui se nommait Bilel. Il était très courageux car il devait supporter sans cesse les mauvais traitements et la maladie. Il aidait ses camarades qui l’ aidaient en retour.
Mais un jour alors que toute la colonie était en plein travail un homme sonna une cloche, qui indiquait l’heure du déjeuner. Alors la colonie stoppa son activité pour aller manger. Bilel attendait ce moment avec impatience car à ce moment précis allait se dérouler un moment important.Bilel avait sauté l’heure du déjeuner pour aller se cacher dans une fougère pour guetter le moment où les gardes qui surveillaient la porte s’en iraient manger.
Une fois les gardes partis, il appela ses amis. Ils récupérèrent les fusils des gardes puis ils les cachèrent dans leurs abris qui leur servaient de maison. Le lendemain matin, ils prirent les fusils et se rendirent à la porte de la plantation et éliminèrent les gardes grâce aux fusils puis ils tuèrent les gardes qui tentaient de les arrêter.
Une fois cette tache accomplie, ils firent évacuer le reste des esclaves puis ils décidèrent de s’éloigner le plus possible des villes et des habitations pour créer un village où ils vivraient en paix.
Bilel décida de défendre son village et les siens jusqu'à la fin de sa vie. Grâce à l’aide de ses compagnons, il put accomplir sa tâche et il défendit les siens avec fierté jusqu'à la fin de sa vie.
Le groupe 1
25 janvier 2018
Scénario du groupe de M, C, R et T
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 25 janvier 2018, 18:44 - Rédaction abolition et citoyenneté
30 décembre 2017
Article 20
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 30 décembre 2017, 12:35 - BD déclaration universelle des droits de l'homme

Article 4
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 30 décembre 2017, 12:33 - BD déclaration universelle des droits de l'homme

Article 4
Par seghrouchni fatna (Collège Montaigne Goussainville 95), le 30 décembre 2017, 12:25 - BD déclaration universelle des droits de l'homme

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