Journal du collège Louis Pasteur

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31 janvier 2020

Moi, Chloé 14 ans asthmatique

L’asthme

une maladie, ma maladie

par Chloé 3e

 

J'ai 14 ans et je suis en 3e au collège. Depuis que je suis toute petite je ne dois pas oublier mes médicaments, sous peine de ne plus pouvoir respirer. Pourquoi ça? parce que je suis asthmatique!

 

1. l'asthme qu'est ce que c'est?

L'asthme est une maladie respiratoire silencieuse et chronique (maladie à long terme et dont les effets évoluent avec le temps) dû à une inflammation des bronches et aboutissant à des crises d'asthme dont les effets sont (ci dessous):

On dit d'une personne qu'elle est asthmatique lorsqu'elle est sujette à des crises d'asthmes:

-Bronches complètement bouchées, difficultés à respirer, quintes de toux, oppression de la cage thoracique et enfin sifflements respiratoires.

Étant moi même asthmatique j'ai vécu et vis encore ces crises assez fréquemment; je ne vous mentirai pas: c'est vraiment pénible ne plus arriver à bien respirer c'est quelque chose de paniquant et assez impressionnant pour les personnes qui y assistent: voir quelqu'un en train de s' étouffer est une expérience choquante...

En tout cas pas de doute, vous vous en souviendrez!

Cela peut m'arriver partout: au collège,dans des magasins, chez moi, au cinéma ... il ne faut jamais oublier son traitement.

2.Bronches normales / bronches asthmatiques:

3.Comment et pourquoi ces crises d'asthme se déclenchent-elles?

 

Généralement les personnes asthmatiques sont aussi allergiques(poussières,pollen)et moi y compris; un trop plein dans l'air qui nous entoure de ses allergies peut entraîner une crise.

Un trop gros effort physique (la course particulièrement) peut engendrer également une crise.

Pour l'exemple: Si je cours trop longtemps en présence de poussière ou d'allergènes tels que la poussière j'ai une crise.

4.Les personnes touchées.

l'asthme touche environ 4 millions de personnes en France.Le taux de mortalité lié à l’asthme stagne depuis les années 2000. En France, 851 décès étaient à déplorer en 2014. Les personnes les plus touchées sont les enfants mais les adultes sont aussi touchés.

Quand j'étais plus petite je ne pouvais pas faire 30 mètres sans manquer de tomber dans les pommes: j’étouffais, ma gorge me brûlait, j’étais pliée en deux tellement je manquais de souffle…

 

5.les traitements.

Heureusement, il existe des traitements!

L'asthme ne se guérit pas forcément (chaque cas est différent) mais il faut savoir que des traitements de fond (inhalateur par exemple) existent afin de calmer l'irritation des bronches:

il est important de consulter régulièrement son médecin traitant aussi appelé pneumologue afin de se tenir au courant de l'évolution de cet asthme.

A l'heure ou vous lisez cet article je suis sous traitement et sûrement pour toute ma vie.

Ce traitement est vraiment important car ma vie ne serait faite que de crises d'asthme si je ne l'avais pas.

Des inhalateurs sous toutes les formes; Faites votre choix!

 

12 octobre 2018

Myope comme une taupe...

Une Taupe, comme mes yeux !

 

Et oui, moi aussi, comme beaucoup de Français maintenant, je suis myope comme une taupe ! Et je dois porter des lunettes tous les jours, mais ce n'est pas toujours marrant, alors je vais vous expliquer comment je vis tous les jours !

1. Mon premier problème, c'est de devoir les entretenir surtout pour nettoyer les verres, et ça prend du temps !

2. Ne pas les casser ! Et oui ! J'ai cassé 11 fois mes lunettes ! Et pour les racheter, ce n'est pas donné ! Et puis quand tu les casses, tu as toujours peur de la réaction de tes parents !!!

myope1.png
myope1.png, oct. 2018

3. Devoir s'apercevoir de la baisse de la vue. Après il faut voir si ta vue n'as pas baissé, et si c'est le cas, tu es bon pour l'ophtalmo, et il va te faire souffrir ! Mais non, je rigole, par contre c'est très cher, et tu attends tes nouvelles lunettes avec impatience !

Voilà, maintenant vous savez comment je vis tout les jours !

 

 

 

Florian.B 6ème C

 

08 janvier 2016

Une drôle de "maladie" : l'arachnophobie

L’arachnophobie

De Lisa (6ème b)


Source : site « Psychologie »

Et oui, nous sommes très, très nombreux à être touchés par l’arachnophobie dont moi, c’est pour cela que j’ai fait cet article pour en savoir un peu plus.

Alors si vous aussi, vous êtes arachnophobes, je vous propose de lire ce document. Nous avions peur des araignées avant même notre naissance !

Voici une petite définition de « arachnophobie »

L’arachnophobie désigne la peur des araignées. Elle se caractérise par des réactions paniques (cris, sueur, paralysie) en présence d’araignées.

La phobie n’est pas liée à la morsure, mais à la présence de l’animal.

Mon « expérience »

Voici mon « expérience » : Je suis presque incapable de me débarrasser d’une araignée de 1mm seule. Quand je suis à table et qu’il y a une araignée dans la pièce, je la surveille pour voir si elle bouge. Si elle n’est pas à sa place (d’avant), je regarde dans tous les coins pour la retrouver (ce n’est pas très rassurant de retrouver l’araignée mais rassurant de savoir qu’elle n’est pas dans mon assiette…). Cela se passe aussi avec les guêpes, je me lève de table dès que j’en voie une (c’est pire qu’avec l’araignée – en terme de table -) et ça énerve les autres ! :D

Je ne sais pas pourquoi mais chez mes grands-parents (comme on n’enlève pas les araignées) quand il y a une araignée, je suis capable de dormir avec une au dessus de la tête, c’est sans doute l’habitude ! Ce qui est aussi étonnant, c’est que je suis presque le seul cas « d’arachnophobie » dans ma famille.

26 millions d’arachnophobes ?

De la petite peur à la grande phobie, nous serions 26 millions à redouter les araignées. Un chiffre fort mais impossible à vérifier, en réalité, tant cette phobie est courante.

C’est une grande phobie, certaines personnes en profitent pour nous faire peur, nous, les arachnophobes.

 

Si l’arachnophobie semble plus légère, presque normale, elle est aussi nettement moins prise au sérieux. Combien d’arachnophobes s’entendent opposer « ce n’est pas la petite bête qui va manger la grande » en réponse à leurs angoisses ?

Des difficultés au quotidien

Alors les arachnophobes ont tendance à se taire, et à « faire avec ». Par habitude ou par honte, un peu, aussi. Pourtant, leur phobie peut se révéler réellement handicapante au quotidien.

Voici plusieurs personnes qui ont la peur des araignées :

  • Obligée de déserter sa chambre et son lit dès qu’elle a « le malheur d’en apercevoir une sur un mur avec personne pour l’écraser. ».

  • Obligée de demander de l’aide dès qu’elle en croise une : « Un jour, j’ai dû appeler mon mari en plein milieu de son travail. Heureusement, il a pu quitter son poste pour me débarrasser d’une araignée devant laquelle j’étais complètement bloquée. Mais je n'étais pas très fière de l'avoir dérangé ».

  • Les araignées lui « ont fait vivre un mois d'insomnie dans un appartement situé dans une vieille maison. J’ai dû appeler un copain en pleine nuit pour venir tuer une araignée, ou carrément aller dormir à l’hôtel en bas de chez moi pour passer une nuit tranquille. Je me suis même retrouvée sur le parking du travail à 4h du matin, parce que je ne supportais plus d'être chez moi. »

De la peur à la phobie

Des réactions démesurées ? Seulement pour ceux qui ne souffrent pas d’arachnophobie ! « La phobie est une peur excessive et incontrôlable, explique la psychologue et psychothérapeute Manuela Tomba. La peur est une émotion très utile pour la survie de l’espèce, exactement comme la douleur. Mais elle est toujours une réponse adaptée à un stimulus* donné alors que la phobie est une réaction démesurée face à un élément anodin**. C’est un dérèglement du mécanisme de la peur. » Le processus classique ? La vue de l’araignée génère de l’anxiété, qui altère la respiration, qui dérègle à son tour le système neuro-végétatif. Avec comme conséquences possibles de la tachycardie***, des vertiges, des maux de ventre, des crises de panique, voire des vomissements ou des évanouissements. Autant de symptômes sur lesquels la personne n’a aucune maîtrise. « Alors que la peur passe avec le temps, la phobie, elle, entraîne une réaction émotionnelle soudaine dont l’intensité ne diminue pas, poursuit Manuela Tomba. De la même manière, s’il existe dans la peur des éléments concrets qui peuvent nous rassurer (la distance, la présence d’un tiers, etc.), dans la phobie, rien ne rassure.

Lexique :

* stimulus : correspond à une excitation chez l’être vivant : un son, une image, une lumière…

** anodin : sans importance

*** tachycardie : rythme cardiaque qui est plus rapide que la normale

26 novembre 2015

Emilie et Lisa: jumelles pour la vie





Les jumeaux

De Émilie (6ème a)

J’ai décidé de vous faire un article sur les jumeaux car il y a 5 paires de jumeaux-jumelles dans ma famille, moi-même je suis la jumelle de Lisa (6ème b). Nous sommes vraies jumelles et je vais vous expliquer ce que ça fait d’avoir une jumelle.

Avoir une jumelle ? Aidée de Lisa (6ème b) pour ce chapitre

C’est vrai, qu'est-ce-que ça fait d’avoir une jumelle ? Nous allons répondre à cette question.

Une jumelle est comme une amie : on joue avec elle, on discute des mêmes sujets mais on peut tout de même se disputer… Déjà toutes petites, nous jouions ensemble.

En général, des jumeaux (elles) sont inséparables, très proches et parfois complices…

Nous avons beaucoup de goûts en commun. Mais le goût n’est pas le caractère ! Même si nous avons un peu le même caractère, les jumeaux peuvent avoir des caractères complètements différents ! Ce n'est pas notre cas!

Avoir une jumelle c’est comme avoir un double, un clone et je trouve ça très bien.

Ce qui est énervant, c’est quand on nous confond ! Je dois toujours rappeler mon prénom.

Quand il y a une paire de jumeau fille-garçon, c’est embêtant car en termes d’ami(e)s c’est plus compliqué. Nous nous avons les mêmes amies. Il n'y a jamais de problèmes avec nos amis.

Des jumeaux ? Mais vrais ou faux ?

Tout d’abord, qu’est-ce-que la définition d’un jumeau ???

Un jumeau est une personne qui est née d’un même accouchement qu’un autre enfant.

Une paire de jumeaux peut-être composée d’au moins 2 personnes différentes issues de la même mère et du même père.

Aujourd’hui, on estime 129 millions (1,9%) de jumeaux dans la population. Seuls 10 millions sont des monozygotes.

Il y a plusieurs types de jumeaux : les vrais (monozygotes) et les faux (dizygotes).

Les vrais (monozygotes) : C’est toujours du côté paternel que viennent les vrais jumeaux, comme dans notre cas. Cette situation survient quand un ovule est fécondé par un spermatozoïde qui forme deux embryions (organisme en développement).

Les vrais jumeaux peuvent être siamois si la scission (fait de se séparer) n’a pas eu lieu au cours de la grossesse.

Voici une phrase de Wikipédia que nous n’avons su changer car nous ne pouvions rien dire de moins ou de plus et qui est parfaitement formulée :

Les jumeaux monozygotes sont souvent très ressemblants physiquement. En prenant de l'âge, les jumeaux monozygotes se différencient à la suite des choix personnels comme la nourriture, les activités physiques et intellectuelles... ainsi que des expériences de vie. La scolarité constitue également un pas important dans ce domaine de différenciation.

A ce jour, rien ne nous différencie ma soeur et moi.

Les faux (dizygotes) : C’est la femme qui permet de faire naître des dizygotes car le père n’influence pas la double ovulation. Pour faire naître des dizygotes, il faut 2 ovules fécondés (faits par la femme) par 2 spermatozoïdes (donnés par l’homme).

La parenté génétique entre des jumeaux dizygotes, est la même que celle entre deux enfants nés de deux grossesses différentes. Ils peuvent donc être de sexes différents.

Il existe aussi des jumeaux siamois. Ils peuvent être collés par la tête ou par le ventre, partager le même corps…

Source : Wikipédia