Arthur de Pins, l'auteur de Zombillénium nous explique :
J'étais au collège quand j'ai commencé à dessiner des dragons, des momies et des squelettes. J'avais même affiché ma bande dessinée dans la classe. Seul souci : je faisais partie des moins bons élèves. Tous ces monstres, au final, c'étaient mes meilleurs copains. Ils m'aidaient à aller mieux quand je me sentais triste ou incompris.
Mais les monstres ne sont pas forcément ceux que l'on croit. Francis le vampire est beau, mais c'est un sale type. Quant à Hector, le héros, il est détestable en tant qu'être humain, mais il devient touchant quand il est transformé en monstre. Il a des airs de super héros Hellboy avec ses cornes et il est très triste d'être séparé de sa fille.
Peu importe l'apparence ou le physique d'une personne. C'est la bonté de son âme qui compte. Le film le dit avec le sourire et j'espère pas mal d'émotions...