Comment fonctionne la machine du grand magasin le Bonheur des Dames ?

Bonjour les lecteurs, bonjour les rédacteurs ! 

Voici votre nouvel article qui présente le fonctionnement de cette machine qu'est le grand magasin d'Octave Mouret.

Bonne lecture  ! Et félicitations pour votre travail !

 

Mme Deaucourt 

Commentaires

1. Le 30 mars 2017, 13:27 par Dorian Moutailler 4°5

 

 

                                                                      L’ancien Paris

 

   Je me trouve en ce jour de vente d'hiver dans le bureau d'Octave Mouret, patron du magasin " Au Bonheur Des Dames ". Celui-ci m'explique que le travail de vente est long et dur. Tous les vendeurs sont toujours très fatigués chaque jour mais d'après lui, tous les salariés sont toujours très bien payés car ils ont une prime en plus lorsqu'ils travaillent d'avantage. Puis, après avoir discuté avec lui,  j'ai décidé de m'entretenir avec une vendeuse pour en savoir plus : Denise Baudu.Elle m'explique qu'être  vendeur est un métier épuisant et compliqué. En effet, il faut continuellement courir, être partout au bon moment. Les ventes varient car parfois les personnes sont fidèles, d'autres pas du tout. Il faut également être bien habillé, le costume propre, être bien coiffé. Mais le pire reste la cantine. Celle-ci est mal organisée et donc le personnel perd du temps à force de courir partout. En plus, la décoration est horrible. Finalement, j'ai décidé de m'entretenir avec une cliente : Mme Marty. Elle me disait qu'elle adorait le magasin. Tout était grandiose,le personnel était très dynamique,agréable, accueillant et surtout plaisant. Pour conclure, ce travail de vendeur est long et compliqué, certes, mais quelque fois on tombe sur de la clientèle plutôt sympathique qui aide au développement des ventes.

2. Le 30 mars 2017, 13:28 par BOILOT Adeline

« Tout me plait »

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, à l’entrée du grand magasin et je vois sur le visage des femmes qui entrent, de la gaïté, elles sont heureuses. La plus part sont habillées avec des longues robes de couleurs, rose, bleu ou encore rouge. J’aperçois Madame Aurélie qui s’occupe d’une clientes, elle lui conseille des articles de bonne qualité, des bijoux étincelants, des mentaux avec de la fourrure, des foulards en soie, elle lui propose aussi des chapeaux de couleur originale. La cliente émerveillée par ce grand magasin où elle n’avait jamais rentrer, essaye énormément de chose et les achète. Octave Mouret est très content de voir que ses vendeuses sont efficaces. Madame Desforges passe à la caisse avec son ticket et Madame Aurélie renseigne une autre cliente. La cliente sort du grand magasin épuisé mais heureuse de ses achats, elle marmonne qu’elle y reviendra tellement elle a été séduite par la beauté et l’originalité des articles.

BOILOT Adeline

3. Le 30 mars 2017, 13:31 par Nelson Pereira

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver,  à 8 heures du matin. Tous les vendeurs arrive, ils préparent le magasin, ils arrangent les rayons. Vers 10 heures des clientes arrivent. Je me dirige au rayon de la soie ou je vois le vendeur Hutin aidé Mme Marty et Mme Desforges à choisir de la soie. Hutin sortit une pièce de soie qui avait l’air chiffoner mais il trouve qu’elle ne les pas et je les vit partir au rayon des confections il avait l’air dépité par sa défaite et il les conduisit au rayon des confections et Mme de Boves arriva et commença à discuter avec Mme Marty et Mme Desforges  pendant que Hutin tenaient du tissu de la tête au pied, il attendit très longtemps avant quelle finissent de discuter.

Pereira Nelson

4. Le 30 mars 2017, 13:33 par  LETELLIER Audran.

                       Article_LETELLIER Audran

 

 

Thème : Témoignez des conditions de travail

 

   -Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver avec les employées du magasin. Il est 6 heures du matin et les vendeuses sont déjà opérationnelles et prêtes à suivre les clientes toute la journée durant sans se reposer. Ces femmes sont déjà fatiguées car leur rythme de travail est déjà très soutenu alors que la journée n’est pas commencée. Il est 8 heures, elles font les derniers préparatifs pour l’arrivée des acheteuses juste avant que le rideau ne s’ouvre et qu’elles se mettent à la queue en attente des clientes. En fin de matinée il n’y eut que très peu d’achats pour le Bonheur. Quelques heures après  j’eus le plaisir d’interroger Denise et certaines de ses collègues  pour parler de leurs conditions de travail « Ici c’est un combat continuel, les conditions  sont déplorables, nous dormons très peu à cause de la fatigue quotidienne et la journée nous devons travailler comme des acharnées ». Monsieur le directeur  Octave MOURET quant a lui, a nié la question et a répondu quelque chose qui bien sur allait dans son intérêt « J’espère que cette vente ne sera pas un calvaire ». Toute l’après-midi il y eut un flot de monde et l’enseigne était bondée de personnes, ce qui a dû satisfaire M MOURET quant aux employées, elles eurent encore une journée accablante.

 

                                                                                     LETELLIER Audran.

5. Le 30 mars 2017, 13:34 par Pauline Coutard

Au Bonheur des yeux :

Je me trouve, en ce premier jour de la vente d’hiver à l’entrée du grand magasin. Je vois sur le visage des clientes qui entrent un regard fasciné, émerveillé. Mais l’expression du visage de celles qui sortent est mitigée. Certaines clientes sont déçues des vendeurs qui n’étaient pas agréables ou trop fatigués pour suivre leur rythme, tandis que d’autres étaient heureuses d’avoir trouvé chaussures à leurs pieds. En revanche je peux remarquer les visages fatigués des vendeurs qui courent partout dans le magasin pour suivre les clientes surexcitées. J’ai également assisté à une dispute entre les vendeurs et Favier, car M. Hutin avait décliné son tour pour une cliente pas assez dépensière à son goût. De plus, à l’entrée je peux admirer les vitrines très lumineuses et colorées, j’y observe des couleurs chaudes, gaies, des tenues attrayantes…

Pauline Coutard, Le Quotidien

6. Le 30 mars 2017, 13:36 par Théo Joly

Le magasin vue de Haut

 

Je me trouve, en ce matin de vente d'hiver, en haut du hall, au côté d'Octave Mouret. Le magasin était presque vide, très silencieux, quelques clients ce baladaient. J'aperçus une cliente, Mme Desforges, entrée dans le magasin. Denise, une vendeuse, allait pour la servir quand tout à coup une autre vendeuse l'intercepta en disant que Denise était une débutante donc elle allait s'en charger. Cela donne une impression de vrai lute entre les vendeurs. Le midi, le magasin ferme ses portes pour que les salariés puissent manger. Puis le magasin rouvre et là la guerre des vendeurs commencent. Les clients nombreux, tous fasciner par la splendeur du magasin entre et attendent leurs tour pour être servit. Les vendeurs on donc beaucoup de travail et veulent tous avoir un acheteur qui achète beaucoup. Car plus il rapporte au magasin plus leur salaire est élever. Les vendeurs doivent donc être très malin. Le magasin est remplit, brouillant, sale car les acheteur lance les vêtements qui ne leur plaît pas et très dynamique car les vendeurs doivent tout replier et suivre leur acheteur.

JOLY Théo

7. Le 30 mars 2017, 13:39 par Taël Baucher

Au Bon Paris

 

 

 

Je me trouvais, en cette journée de vente d'hiver, à l'entrée du grand magasin. J'étais situé à côté de la grande porte. Je voyais le visage de chaque cliente changé et se remplir d’étonnement et d'émerveillement à la simple vue de la magnifique décoration. Le plafond était orné de tapis de smyrne. Les vendeurs, qui accueillaient les futures clientes, exprimaient des sourires mesquins quand ils voyaient les visages des acheteuses se changer : le plan avait marché ! Je vu monsieur Hutin qui s'affolait quand il aperçu madame Desforges entrer et se ravir.

L'entrée du grand magasin était bouchée et les vendeurs s’éparpillaient. Un brouhaha déchirait mes oreilles, les dames se bousculaient violemment mais Octave Mouret se réjouissait de cette guerre des clientes pour acheter ses produits.

 

 

 

 

Taël Baucher

8. Le 31 mars 2017, 13:43 par Clara Yangui

la chaleur de l'orient arrive en hiver

         Je me trouve, en ce jour de vente d'hiver à l'entrée du grand magasin, qui a été complétement transformé en un salon oriental. Dès l'entrée ce magasin émerveillait, surprenait et ravissait toute la clientèle. Il y avait toute une collection de tapis anciens et de tapis neufs, c'était des rares que seul les vendeurs dont la boutique était un véritable capharnaüm vendaient, jusque-là. Octave Mouret avait fait un décors spendide, il voulait attirer la riche clientèle de l' art. Ce décors oriental était fait de tapis et de portières. Au plafond étaient tendus des tapis de smyrne, dont les complexes dessins ressortaient sur des fonds rouges. Sur les murs étaient  suspendus des portières qui venaient de Karamanie et de Syrie, elles étaient zébrées de vert, de jaune et de vermillon. Il y avait aussi de longs tapis d' Ispahan, de Tehèran et de Kermanche, même le sol était recouvert de ces merveilleux tapis. On pouvait voir à travers ce hall d'entrée à la fois la Turquie, l'Arabie, la Perse et les Indes. Même les vendeuses, comme Denise en restaient sans mot. Mme Marty elle-même était émerveillée. Chaque client, chaque vendeur, chaque passant étaient éblouis devant ces merveilles de l' Orient. Cette machine était devenue un véritable palais oriental qui ne cessait d'attirer clients et touristes.

YANGUI Clara.

9. Le 21 avril 2017, 15:00 par GERALDO Sara

La machine en fonctionnement

    Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, avec Mme Marguerite qui m’a expliqué que tous les matins les vendeurs et les vendeuses s’inscrivent sur une ardoise dans leur ordre d’arrivée et que à chaque fois qu’une d’entre elles avaient eu une cliente elle remettait son nom à la queue. Je me trouve maintenant avec mademoiselle Denise qui elle fait le déplié car pour contenter quelques clientes, les vendeurs ont dû bouleverser les armoires. Dehors la foule apparaît, je vois les vendeurs courrir partout pour essayer de trouver la cliente qui achetera le plus. En ce moment je suis avec M. Hutain qui est en train de servir Mme Desforges. Cette cliente connue n’a pas trouvé le bonheur aujourd’hui et demande donc, à M. Hutin de la conduire jusqu’aux confections. J’essaye de les suivre mais  nous sommes coincé en bas de l’escalier. Le brouhaha augmente de plus en plus, nous ne distanguons plus les rayons, même le rayon de l’ameublement qui d’habitude est le plus calme est envahie par le brouhaha. Aprés avoir traversé cette foule nous rejoignîme M. Favier pour calculer leur tant de pour cent. M. Favier a vendu un peu plus que M. Hutin.

10. Le 10 mai 2017, 11:48 par LOSTANLEN Justin

Je me trouve en ce jour de vente d'hiver, à l'entrée du grand magasin. Un vendeur m' a expliqué que ils faisaient la queue pour récupérer leur clientes mais aussi qu'ils se battaient pour avoir une cliente riche et aisés et ainsi avoir une prime car il aurait fait beaucoup de ventes. C'est un vrai combat qui oppose les vendeurs pour avoir de riches clientes. Nous avons suivis Denise et une cliente Mme Aurélie. Denise attendait son tour quand Mme Aurélie arriva, elle avança vers elle quand Clara une autre vendeuse se précipita. Denise étant révolté car c'était son tour mais j'ai entendu Mme Aurélie dire a Denise: il n'y a pas de tour ici, je suis la seul maîtresse ici. Quand nous suivions la vendeuse c'était très difficile de circuler car il y a beaucoup de monde dans certains rayons et que en plus les clientes jette les habits par terre quand cela ne leur plaît pas.

 

 

 

LOSTANLEN Justin

11. Le 10 mai 2017, 11:59 par Maïa Delabarre

Aux livraisons

 

Je me trouvais, en ce jour de vente d’hiver, en train de suivre les articles de Mme Bourdelais. Cette dernière venait de finir ses achats et se trouvait à la caisse où ses articles ont été regroupés. Elle paya puis, pour éviter de s’encombrer, elle donna son adresse afin d’être livrée. Ses achats ont été soigneusement emballés à son nom par Joseph, un membre du personnel. Puis, les paquets ont été jetés dans un panier roulant. Ensuite, tous les colis arrivèrent au sous-sol. Le contraste était colossal entre l’étage qui était doté de matériaux et de couleurs resplendissants et ce sous-sol si terne, maussade. En effet, ici, tout était sinistre et au-dessus, tout relevait du raffinement. Par la suite, le paquet de Mme Bourdelais a été mis dans une caisse pour être livrer plus tard.

DELABARRE Maïa

12. Le 10 mai 2017, 12:00 par Clément Baguenard

La Vente

 

 

 

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, à l’entrée du grand magasin. Les vendeurs et vendeuses doivent faire la queue pour récupérer un client. Un vendeur ma expliqué qu’ils étaient obligés de prendre le client qu’on leur propose, ils n’ont pas le droit de refuser le ou la cliente. Je remarque que les clients vont tellement vite que les vendeurs n’ont pas le temps de replier et de ranger les vêtements, du coup il reste au sol et c’est à la fin de la journée que les vendeurs ramassent les vêtements piétiné. Dans le magasin il y a tellement de circulation qu’on ne se retrouve plus dans le magasin. J’ai remarqué que les clientes se rentrent dedans tellement qu’il y a du monde et elle court. La lumière du soleil rentre partout dans le magasin, la soie brille avec la lumière. On ne peut même pas parler vu le bruit qu’il y a dans le magasin. J’observe toute les couleurs des tissus, des matériaux, il y a énormément de couleurs. A la fin de la journée les vendeurs et vendeuses doivent rangés toutes les affaires qui sont au sol.

 

 

 

 

 

BAGUENARD Clément

13. Le 10 mai 2017, 12:02 par Huberdeau Anatole

L’âge d’or des altesse Je me trouve, en ce matin de vente d’hiver, en haut du hall, au coté d’Octave MOURET. Ce matin était bien calme, les clientes n’étaient pas plus de dix dans tous le Bonheur. Je vit une cliente entrée dans le hall c’était Mme BOURATEL. Denise , une vendeuse, se dirigea vers cet femme, mais Clara, une de ces collègue, fut plus rapide et lui prit la cliente même si ce n’était pas son tour de vente. Mais elle savait que Mme BOURATEL achetait beaucoup et cher ce qui pour Clara était bénéfique surtout pour son salaire.Je me tourna pour regardé le directeur et je compris grâce a son sourire en voyant cet demoiselle qu’il connaissait bien son pouvoir d’achat. Et je me remit a suivre cet vente du regard et je les vit se dirigée vers les rayons des tissus. Ces derniers étaient magnifiques, colorés et variés. Sur certains ont reconnaissait des motif orientale tandis que d’autres était simplement unis et les matières allait de la plus fine des soie au plus simple des tissus. HUBERDEAU Anatole

14. Le 10 mai 2017, 12:03 par Elisa Demange

Discussion et impressions au rayon des confections


 

Je me trouve en ce jour de vente d'hiver, au rayon des confections.Lieu dédié au prêt-à-porter où les clientes se battent pour des manteaux de soie, de fourrure et coton, sous les regards insistants des vendeurs. Les vêtements, si bien pliés et rangés ce matin ,sont à présent éparpillés dans un capharnaüm impossible après la tornade de femmes passée par là! Une forêt de couleurs,de fourrures ,brunes, en hermine ou même en cuir s'étale sur le rayon. Comment fonctionne cet endroit, me demanderiez-vous? Et bien voici une vente à laquelle j'ai eu le plaisir d'assister. Après une vive interview des quelques vendeuses présentes ici, j'aperçois des clientes pénètrées dans l'endroit. Ce sont les fameuses mesdames Desforges et Marty , désirant un manteau! Une petite vendeuse chétive s'avance pour les aider, mais d'après moi, elle ne semble pas très au courant des produits ni très dégourdie. D'ailleurs,une autre vendeuse prend rapidement la place de la jeune fille auprès des Dames, visiblement impatientes.La vendeuse précédente sert à présent de mannequin à la nouvelle pour la présentation des manteaux ,tandis que les clientes débattent sur son allure.Triste spectacle, difficile même, mais sûrement nécéssaire pour faire le "bonheur de ces Dames"...


 

DEMANGE Elisa

15. Le 10 mai 2017, 12:04 par Douchet Noémie

En ce jour de vente d’hiver, je me trouve avec Clara, vendeuse, qui va nous montrer tout le fonctionnement de la machine. Tous les matins, elle ainsi que les autres vendeurs et vendeuses s’inscrivent sur un tableau pour régler les tours de vente. La journée commence par l’arrivée de Madame Desforges, première cliente de Clara. Pas de temps à perdre, nous suivons Clara qui part avec Madame Desforges dans les rayons de la machine. Malgré les bruits agaçants, Madame Desforges trouve un splendide manteau de soie qui se situe à notre droite. Sans attendre une minute, Clara complimente sa cliente pour lui donner envie de l’acheter. En sortant du rayon des manteaux, une énorme foule nous bloque dans notre élan. Arrivée dans le secteur vestimentaire, Clara sort tous les vêtements que Madame Desforges veut voir. Clara est très épuisée par la chaleur, le bruit, les déplacements et par la présentation de tous les articles pour sa cliente.

DOUCHET Noémie

16. Le 10 mai 2017, 12:05 par Leroy Elsa

Je me trouve,en ce jour de vente d’hiver,dans l’entrée du grand magasin,où j’aperçoit dans ce salon oriental, qu’il n’est fait uniquement de tapis et de portières, au plafond nous pouvons observer des tapis de Smyrne accrochés à celui-ci avec plein de dessins qui se détachent sur des fonds rouges. Sur les quatre cotés, pendent les portières de Karamanie et de Syrie,elles sont zébrées de vert, de jaune et de vermillon ses couleurs sont exaltantes de beauté ,elles sont resplendissantes. Il y a aussi les portières de Diarbékir ou encore des tapis pouvant servir de tentures, puis les longs tapis d’Ispahan de Téhéran et de Kermancha , mais on y trouves également les tapis larges de Shoumaka et de Madras, représenté de pivoines et de palmes. Le directeur Mouret nous observent.

Je vois tous les clients courir partout dans le magasin. J’observe encore Mmes Desforge entrée dans le magasin pour ensuite, se dirigée vers le rayon de la soie, là où sont exposé les plus beaux tissues.

 

 

 

article- LEROY Elsa

17. Le 17 mai 2017, 11:55 par VALLUET Louisianne

Rédaction : Au Bonheur des Dames

 

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, dans l’entrée du magasin, où je pouvais apercevoir, dans ce salon oriental, qu’il n’était fait uniquement de tapis et de tentures qui cachait des portes. Au plafond, étaient accrochés des tapis orientaux. Au centre de la pièce, il y eu un tapis d’Agra, une pièce dont les murs étaient blancs avec de larges bordures bleu tendre. Maintenant, je vois que quelques dames viennent de rentées dans le salon oriental. Toutes les femmes qui entrèrent, on l’air époustouflées, émerveillées, surprises de voir une aussi belle pièce. Moi aussi, d’ailleurs, je pense, et même, je sais que c’est l’une des plus belles salles dans le magasin. D’après ce que j’ai vu et ce que j’aperçois maintenant, cela attire beaucoup de client, même si, avant, cela attirait déjà énormément de clientèle.

VALLUET Louisianne

18. Le 17 mai 2017, 11:56 par Mathilde WINDAL
  • Témoignez des conditions de travail (fatigue, primes, repas, tenue vestimentaire)

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, avec Denise une jeune employée au Bonheur Des Dames qui porte l’uniforme de son rayon : une robe de soie noire. La robe est beaucoup trop grande pour ses fines épaules et n’est pas adaptée à sa taille. De plus les vendeurs sont fatigués de suivre les clientes à travers la foule dans le brouhaha continuel du magasin, de monter et descendre à longueur de journée les longs escaliers pour aller chercher un vêtement ou un produit qui ne convient pas toujours. Essayer de vendre sans-cesse aux clientes exigeantes comme Mme Desforges. Puis s’acharnent pour avoir la meilleure des clientes possible. Un vendeur me dit être épuisé en fin de journée et Denise m’avoue avoir parfois mal aux pieds. Ils ont enfin une courte pause pour déjeuner à midi. C’est scandaleux que leur servent les cuisiniers. De la raie trop froide et du bœuf très dur. En plus le patron Octave Mouret prêtant que cette nourriture est délicieuse. C’est inhumain !

 

19. Le 17 mai 2017, 11:56 par TOUBAL Margaux.

MACHINE A BONHEUR ?

 

 

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, au rayon des confections. Nous pouvons observés une immense salle ornée de lumière de toute les couleurs. Les manteaux de fourrures, de cuirs, de cotons, de soies, étaient la principale vente. Je me sentais au-presser dans cette foule de femmes déchainées qui voulaient être la première à trouver la " perle " rare.

Mme MARTY et Mme DESFORGES, deux grandes bourgeoises avec beaucoup d’argent sont en admiration devant cette énorme " machine " à bonheur. Denise l’une de vendeuses du Bonheur des Dames épuisée de courir de salle en salle, de ranger en ranger, pour satisfaire ces clientes très exigeantes. Elle accueillie Mme MARTY et Mme DESFORGES avec un sourire forcé. Mais tout à coup je vois une vendeuse déterminée arriver devant Denise. Elle était venue piquer ces clientes, de plus Denise à bout de souffle ne ce débat pas, ne réagit même pas. Cette vendeuse avait bien vu que les riches clientes étaient venues dépenser de l’argents.

Je trouve que les conditions de travail sont très rudes pour ces jeunes femmes. Elle coure partout du matin au soir sans s’arrêter. Elles sont à bout de souffle. Je trouve sa inamissible que M MOURET le propriétaire du magasin ne fasse rien pour arranger les choses. Je le trouve perfide, sournois et calculateur ! Il pense qu’a l’argent et agrandir sa " machine ". Je n’aime pas du tout sa mentalité. Il charme les femmes pour qu’elles achètent et pour qu’elles en parlent à leurs amies puis il s’en débarrasse.

Pour conclure je ne conseille pas du tout le magasin Au Bonheur des Dames.

 

 

Article écrit par TOUBAL Margaux.

20. Le 17 mai 2017, 11:58 par Elenor Cabral

 

 

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, avec le charmant vendeur, monsieur Favier. Il m’explique le fonctionnement du magasin et de la vente. Tout d’abord, à l’entrée, il y a un vendeur qui accueille les clients. Les vendeurs tournent à tour de rôles pour accueillir les acheteurs. A chaque fois, ils doivent essayer d’être les premiers sur le tableau. A l’ouverture du magasin, je peux voir les clientes qui arrivent affolées et enthousiastes. Elles se précipitent sur tous les articles pour les prendre. Les vendeurs essayent de les suivre tant bien que mal entre les rayons. Il y a de la foule partout, du bruit, des articles par terre, c’est insupportable. On a même du mal à circuler entre tous les rayonnages. C’est à la fois dynamique mais aussi épuisants pour les vendeurs. Ensuite, après une longue et dure journée entre eux, les vendeurs, qui doivent avoir encaissé le plus de clients pour gagner de l’argent, ils partent se coucher pour recommencer la même journée le lendemain.

 

CABRAL Eléonor

21. Le 17 mai 2017, 12:00 par Antonin MARSEGAN 4°5

Le Bonheur des Dames

 

Une journée de vente depuis le rayon de la soie

Au rayon de la soie à 8H, je voie tout les vendeurs et vendeuse qui s’active pour installer les marchandises, les soies qui brille de mille et une couleurs. Quand le magasin eu ouvert ses porte, toute les femmes étaient excité rentré dans le magasin. Quand elle fut tout rentré dans le magasin, les vendeurs et les vendeuses étaient là pour chacune des femmes. Dans le rayon de la soie j’entendis des <<magnifique>> par ci par là. Je vis des couleurs de partout tellement que les couleurs m’éblouissaient dans le rayon. Le bruit, la foule, le manque de passage dans le rayon c’est incroyable. Hutin qui était dans le rayon de la soie, je vis qu’il cachait sont impatient d’aller rejoindre une autre cliente, parce que c’elle qu’il suit est longue et c’est qu’elle n’achètera rien et je vis qu’il est épuisé, entre montrer un article, le prendre, et le pauser, c’est très fatigant.

 

Antonin MARSEGAN 4°5

22. Le 06 juin 2017, 12:44 par hugo bordier

         Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver avec les employés du magasin. Il est 6 heures du matin, et les vendeuses sont déjà à leur rayon. Elles sont habillées d’une robe de soie, un peu serrée d’après moi. Même à cette heure là, certaines vendeuses ont l’air fatigué. Elles font les préparatifs pour les clients qui ne vont pas tarder à arriver. La journée commence, le magasin ouvre, les premières clientes entrent. J’ai eu la chance de pouvoir poser des questions à Denise une employée du Bonheur, elle m’a dit que c’était la guerre entre les employés, tout le monde veut un client qui peux acheter. Vers 13 heures, la foule a envahi le magasin. Je vis Mouret, le patron, il avait l’air confiant : je pense qu’il ne sait pas que ses employés ne s’apprécient pas forcément. Le magasin est cependant très  beau, il brille énormément. C’est incroyable tout le monde qu’il y a, ça court de partout, c’est épuisant ! Mme Guilad, une cliente, me fit savoir qu’il y avait de tout dans ce magasin, qu’il était super surtout le rayon oriental ! J’ai aussi eu le temps d’aller voir la cantine, j’ai eu l’impression que c’était une machine, car ça avançait en boucle, comme les engrenages d’une machine finalement.

Hugo BORDIER

23. Le 06 juin 2017, 12:47 par elisa demange

 

                                              Lettre ouverte adressée à Octave Mouret:

 

                M.Mouret, l'estime que j'ai pour vous est celle que l'on porte aux hommes puissants, à qui on ne peut se mesurer. C'est pourquoi j'essaierai cependant de rester polie avec vous. Mais, sauf votre respect Monsieur, je ne peix rester silencieuse devant votre dédain envers les autres, que ce soit vos employés ou les commerçants! Car, oui, je vous accuse d'être un menteur, un prétentieux et un manipulateur sans faille! Trop de mots me viennent à l'esprit pour que je puisse les écrire tous, mais en revanche une émotion domine en moi: le dégoût! Vous, Monsieur, vous vous prétendez invincible, écrasant sans pitié tout ce qui se trouve sur votre passage sans vous souciez des représailles, c'est facile venant d'un homme baignant dans l'or et le luxe! Vous vous cachez derrière votre machine infernale, construite pour votre simple cupidité! Mais sachez, Monsieur Mouret, qu'un jour, un très beau jour, à vouloir trop dévorer, vous serez dévoré à votre tour. Et ce jout, j'espère être présente pour vous regarder avec autant de dédain que j'en vois dans vos yeux...

24. Le 06 juin 2017, 12:50 par Thomas Lesieur

Je me trouve, en ce jour de vente d’hiver, à l’entrée du Bonheur. Une fois à l’intérieur, je voyais une immense fil d’attente traversant tout l’accueil. Je pouvais y voir des personnes riches, bien habillées. Leurs parfums ce mélangeaient et dégageaient une forte odeur dans tout le magasin. Une fois l’attente terminée j’alla vers le rayon des manteaux en passant entre les nombreux clients qui venaient achetés. Les manteaux étaient chaud, avec une magnifique fourrure. Puis une vendeuse se précipita vers moi et me fis essayer d’autres sublimes manteaux. Elle me fit des compliments et me proposa encore d’autres manteaux tous décorés de magnifiques fourrures. Tout les vendeurs fonçaient sur les clients pour les conseiller. De loin, je vis Octave Mouret, le directeur qui regardaient le travail dur de ses employés.

 

Thomas Lesieur