Décrivez le Paris que vous avez vu et lu

A vos claviers : décrivez Paris !

Commentaires

1. Le 31 mars 2017, 13:32 par Eleonor Cabral

Selon moi, les halles étaient des marchés couverts. C’étaient des marchés où il y avait toutes sortes de clients : des ouvriers, des populaires, des bourgeois. Il y avait beaucoup de marchands qui vendaient pleins de choses différentes comme des fleurs, de la viande, du poisson. Les halles étaient très sales et les maladies se transmettaient facilement car il y avait beaucoup de foule et de bruit. Les odeurs de fleurs, de viande et de poissons se mélangeaient ce qui donner un très mauvais parfum dans les marchés.


 

Au début, l’auteur décrit le marché de poissons. Il dit qu’il y a toutes sortes de poissons et qu’il y en a partout. Il y a des saumons, des maquereaux, des harengs, des merlans, des crevettes et pleins d’autres sortes encore. Ensuite, pour montrer qu’il y en a beaucoup, il les montre sous la forme d’objets de la vie courante. Par exemple, Zola dit « la robe lamée des harengs » ou « un entassement de colliers, de bracelets monstrueux ». D’après moi, il a dit ces mots pour montrer qu’il y a vraiment plein de poissons, qui sont tous entassés les uns sur les autres. C’est aussi pour montrer que les poissons avaient des délicatesses fines comme ces bijoux dont il parle.


 

Je pense que Zola a décrit les halles de cette manière pour montrer que c’était vraiment grand et gigantesque mais que cela paraissait à la fois comme une légèreté de Crystal. Il dit aussi qu’i y avait beaucoup de lumière ce qui leurs donnaient un effet encore plus spacieux.


 

Eleonor Cabral

2. Le 10 mai 2017, 11:49 par Audran Letellier

Composez une description

d’une vingtaine de lignes

pour témoigner de vos

émotions dans Paris

 

Je me trouve dans la rue du Petit-lion quand soudain une façade singulière non loin de moi m’attire l’œil. Elle est vielle et historique mais surtout dans un endroit improbable. Je me dis qu’elle a dû être épargnée par la rénovation de Haussmann ce qui est étonnant car il n’y en a presque plus. C’est donc une maison précieuse. Ces maisons de l’ancien Paris sont devenues frêles à cause du temps chaotique mais tiennent toujours debout grâce à ces pièces de bois qui solidifient ces vénérables édifices. De plus c’était l’une des seules rues atypiques car il y avait peu de passants et de voitures attelées ce qui rendait cette rue sombre un peu comme un jour douteux. A ses cotés, deux immeubles Haussmanniens, très ressemblants au devant de l’immeuble et très impersonnel car ils ont tous la même façade.

LETELLIER Audran

3. Le 10 mai 2017, 11:59 par Maïa Delabarre

Je me trouvais au milieu du boulevard Haussmann. Ce jour là, il pleuvait, j’entendais marcher, dicuter les passants qui se faisaient rares. Le temps commençait à devenir glacial et la nuit tombait, ce qui donnait un sombre aspect au boulevard. Cela peut parraître étrange, mais en ce jour douteux, je n’étais pas effrayée, au contraire j’étais bien, heureuse. Venant des boutiques, des lumières éclatantes attirant l’oeil me réchauffaient. Entendre tout autour de moi des personnes rire et s’amuser dans les bars me plaisait. Au loin, à gauche, je distinguais l’Opéra Garnier, ce vénerable édifice que j’aimais tant et qui était selon moi, le plus beau de tout Paris. Je m’y suis rendue et en chemin, je sentais l’odeur du tabac et de l’alcool qui s’échappaient des bars, mélangés aux parfums des femmes apprêtées.

 

 

 

 

4. Le 10 mai 2017, 12:01 par Huberdeau Anatole

Le nouveaux Lutèces

Je suis actuellement dans le Marais rue des Rosiers.

Il est bientôt dix heures du matin. Je fais face à un de

ces rares et vénérable édifices qui ont survécu au

passage d’Haussman . Je crois d’ailleurs, être dans

l’un des derniers quartiers restés indemnes après la

création de toutes ces percées monotones. Ce lieu

était tellement paisible que l’on pourrait croire que la

vie était rythmé par le claquement des sabots des

chevaux sur ces pavés. La façade de ces maisons

précieuses de l’ancien Paris était construite de

poutres apparentes et de terre ce qui les rendait

originales et atypiques. Tout en haut un arche de bois

attires l’oeil, il casse la linéarité de cette architecture.

Ce qui augmente le charme et la beauté de ce

magnifique logis. Les reflets sur les carreaux des

vitres donnait à cette demeure un aspect de diamant.

HUBERDEAU Anatole

5. Le 17 mai 2017, 11:58 par Elenor Cabral

DESCRIPTION_DE_PARIS

 

Ce matin, lorsque je promenais sous un ciel mitigé, j’ai été visité la rue Montmartre. Il y avait toutes sortes de passants : des ouvriers, des gens aisés et même des bourgeois. Il y avait aussi beaucoup de chevaux qui tiraient des charrettes. On pouvait entendre le bruit de leurs sabots claquer sur les pavés délabrés ainsi que le bruit de la foule. Mais, une petite maison m’interpella. C’était une de ces maisons précieuses qui n’avaient pas été détruites par les travaux haussmanniens. Les murs de cette frêle maison paraissaient étroits et rapprochés. Le toit était triangulaire et un peu tordu ce qui pouvait laisser tomber l’eau contrairement aux bâtiments haussmanniens. Cette petite demeure avait du charme et était singulière alors que toutes les autres se ressemblaient, ce qui faisait d’elle une maison atypique. De plus, sur sa façade de planches clouées, il y avait de petits dessins étranges qui ressemblaient à des hiéroglyphes. La maison était faite de bois et d’argile ce qui lui donnait un côté ancien et différent. Les longues fenêtres à carreaux laissaient passer un jour douteux. A droite de cette demeure, il y avait un appartement haussmannien. Je pouvais voir l’originalité de l’ancien Paris et le débris de la bourgeoisie. Selon moi, les anciennes demeures ont bien plus de charme et représente beaucoup plus l’histoire de Paris que ces misérables bâtiments haussmanniens.

CABRAL Eléonor 405

6. Le 17 mai 2017, 12:00 par Yangui Clara 4°5

Composer une description d’une vingtaine de lignes pour témoigner de vos émotions dans Paris.

 

Il est quatorze heures, le soleil brille et derrière le bruit des passants qui parlent, des sabots de chevaux qui cognent contre les pavés et les voix des commerçants, on peut entendre les oiseaux chanter. Je me situe actuellement en plein milieu du Boulevard Haussmann. Je me baladais en observant les façades Haussmanniennes quand tout à coup je me souvins du « vieux » Paris, avec ces rues étroites, ces maisons qui montaient toujours plus haut et qui pourtant alors qu’elles étaient étroites, ne tombaient jamais. Chacune de ces maisons avait une personnalité et c’est peut-être ça que je reproche au Paris Haussmannien, chaque bâtiment est pareil tout est uniforme. Mais tout n’est pas négatif, quand je vois en face de moi les larges rues toutes parallèles les unes aux autres, je suis émerveillée par tout cet air et cette lumière qui parviennent jusqu’à nous !

Il y a à ma droite un grand magasin et dès que la porte s’ouvre, une odeur douce et agréable arrive jusqu’à moi.

Yangui Clara 4°5

7. Le 17 mai 2017, 12:06 par Coutard Pauline

Actuellement, je me trouve dans la rue Rivoli ; devant moi il se trouve une maison singulière. Je peux observer une bâtisse qui attire l’œil car elle est très colorée. Cette dernière est caractérisée par une façade historique, recherchée et originale. Elle est située dans l’ancien Paris, ce qui explique ses bruits de travaux ainsi que cette odeur quelque peu poussiéreuse.

Cette façade a un certain charme grâce à sa singularité par exemple le fait qu’elle soit bariolée de sorte de signes comme des hiéroglyphes. De plus, on peut entendre du bruit à cause des travaux mais également car aux extrémités de cette charmante rue il y a la place de la Bastille et l’Elysée. Cette rue est beaucoup fréquentée par les voitures ainsi que les engins de travaux. Mais c’est sans oublier les voitures qui vont au Louvre ou à Notre-Dame de Paris. Donc, les odeurs ne sont pas vraiment idéales pour la santé à cause de la pollution et de la poussière.

8. Le 17 mai 2017, 12:19 par Taël Baucher

Je me trouvais dans l'une des rues que Haussmann n'avait pas détruites. Mais les travaux avançaient. L'une des maisons de la rue Rivoli, dans le Marais, m'attira l’œil, je m'en rapprochai. La lumière du soleil levant reflétait la haute demeure aux poutres de bois apparentes. J'étais seul et le bruit se faisait rare, tout comme les passants qui couraient au loin, par ces petites ruelles sinueuses, pour se rendre à je ne sais qu'elle grande place haussmannienne se trouvant à quelques pâtés de maison, dans le quartier voisin. J'entendais au fond les bruits de chantiers qui, de ma gauche sonnaient comme un concert désorganisé. Heureusement qu'il restait ce vénérable édifice atypique qui me faisait respirer la bonne humeur. A côté de la maison se trouvait une vielle boutique, vide d'acheteurs, c'était un véritable bric-à-brac inutile et sans importance ce qui mettait le logement encore plus en valeur .

9. Le 17 mai 2017, 17:10 par Adeline Boilot

Je me trouve dans l’avenue de Suffren, et j’observe devant moi une grande façade d’une maison différente des autres. Cette façade attire mon attention par son originalité et ses lumières colorées. Ce soir là, je suis heureuse de visiter Paris, qui est pour moi une très belle ville. Cette façade a quatre fenêtres longues, un toit triangulaire. En face de la maison il y’avait une autre façade plus simple, elle était historique donc ces couleurs ont perdu en clarté. C’est alors que j’entends un bruit de fond qui était le bruit d’un marché où nous devinons que des marchands essayent de vendre leurs produits à la criée c'est-à-dire en criant pour attirer les clients. Je trouve que cela donne à la fois un aspect étrange mais aussi commercial et vivant. Puis je m’approche de la maison, j’ouvre la porte et je vois une magnifique décoration dont nous remarquons le charme dès le premier regard. Ce qui m’étonne c’est la douce odeur  qui s’échappe de la cuisine comme si le dîner était prêt et qu’il n’attendait que ses convives.

10. Le 17 mai 2017, 17:13 par Elisa Demange

                         Décrire l'ancien Paris en montrant notre point de vue

 

                Je me trouve devant un des édifices les plus prisés du boulevard Haussmann, je parle bien sûr du grand magasien "La Parisienne" qui s'étend sur deux étages à ma gauche et à ma droite tant il est rempli de merveilles! La nuit est tombée depuis longtemps déjà, pourtant, cela n'empêche pas le puissant magasin de faire de l'effet sur les passants dont les pas retentissent sur le pavé froid! Même dans l'obscurité, ce titan de pierre et de métal rayonne à travers la rue, éclairé par ses vitrines resplendissantes au loin et son immense enseigne au-dessus qui brille comme mille soleils! Les vitrines, parlons-en! Situées sur les deux cotés entourant la singulière porte, elles s'étalaient à perte de vue! Regorgeant de bijoux, de merveilles de haut en bas, dans tous les coins et illuminées de façon à ce que même les passants en voiture puissent les admirer. Tiens, voilà d'ailleurs une calèche à ma gauche! Une femme en sort et observe quelques instants la façade harmonieuse, les yeux brillant, avant d'y pénètrer. Lorsqu'elle ouvre la porte devant moi, un brouhaha infernal de femmes s'échappe du vénérable bâtiment ainsi qu'une douce chaleur et une odeur de produits neufs...

 

DEMANGE Elisa  

11. Le 06 juin 2017, 12:45 par hugo bordier

Je me trouvais devant la rue du Petit–Lion quand soudain, je vis une singulière façade. Une façade qui se démarquait de toutes les autres façades haussmanniennes. Et, je l’aperçus mieux, car c’était la tombée de la nuit, cette façade était la seule a ne pas être éclairée. C’était une maison précieuse, historique, elle fut épargnée par Haussmann. Ce genre de façade dégage une odeur de bois mouillé à cause des intempéries. Elle était très haute, de 5 étages mais assez étroite : sur chaque étage, 2 fenêtres étaient l’une à côté de l’autre. Elle était fondée avec des poutres transversales et diagonales. En haut, je vis qu’elle avait un toit original, très pentu, ce qui la rendait encore plus différente. A gauche de cet édifice, il y avait une sombre ruelle où étaient toutes les poubelles du quartier. Au rez-de-chaussée de cet immeuble, se trouvait une boulangerie. Le va-et-vient des clients faisait sonner la clochette de la porte d’entrée d’où se dégageait une délicieuse odeur de pain chaud.

 

 

 

12. Le 06 juin 2017, 12:48 par elisa demange

                                    Confession d'une enfant des "Intouchables"

                                                       (nom que je donne aux riches)

 

                Il n'est que neuf heure trente lorsque Molly, notre camériste, me sort du sommeil. Ouvrant les grands rideaux en velours de ma chambre, elle attend patiemment que je me sois levée et installée à ma coiffeuse pour m'aider à me préparer, me coiffant, m'habillant en silence. Elle n'est pas très loquace, mais d'après ma mère, elle doit rester le plus discrète possible. Cependant, après quelques minutes de préparations, Molly ouvre enfin sa petite bouche rose pour m'annoncer que mes parents m'attendent dans le grand salon. Je me presse donc de les rejoindre, soulevant mes jupons pour ne pas les déchirer.

Je passe par le petit corridor pour aller vers le grand salon, faisant glisser mes doigts sur les murs pour profiter de leur contact soyeux. J'ai toujours aimé cet endroit. Pourtant assez étroit comparé au reste de la demeure, mais de loin le plus chaleureux, avec les candélabres dorés alignés tout du long et les murs  aux couleurs rosées. Mais assez de rêverie, mère n'aimerait pas ça!            En parlant d'elle, je la retrouve comme à son habitude allongée sur le sofa près de la cheminée ( elle se plaint fréquemment d'avoir froid ces derniers temps, père se demande si elle ne couve pas une mauvaise grippe! ) Elle leva les yeux de son livre, Jules Verne me semble-t-il, en m'entendant approcher et me fit un de ses sourires dont elle seule à le secret.

Mon père, quant à lui, est levé depuis longtemps déjà. Après s'être préparé, habillé de vêtements sombres et soignés, il partit rejoindre son travail où ses ouvriers l'attendent. C'est un grand homme, mon père, reconnu de tous comme un des meilleurs patrons d'une grande usine de textile, qui passe toute sa matinée à donner des ordres. Pour ma part, je le vois comme toutes les filles de mon âge voient leur père. Une figure distante, quoique imposante et impassible. Dont les compliments ne me parviennent qu'à travers ma mère. A vrai dire, il ne s'intérresse pas vraiment à moi! Bien que, depuis quelques temps, il semble me porter plus d'attention qu'auparavant, sutout depuis qu'il a fait la connaissance de ce jeune homme,  Simon Dugard, fils d'un riche banquier et à peine plus vieux que moi...Allez savoir quelle idée mon père a derrière la tête!

Suite a un petit-déjeuner rapide, je m'assois sur le fauteuil face à ma mère, toujours plongée dans sa lecture du "Journal des Demoiselles". Mes yeux vacillent d'un coin à l'autre de la pièce, sur les moulures du plafond, passant du lustre en cristal surplombant nos têtes (la dernière folie de ma mère) aux vases remplis de fleurs que les domestiques viennent de ramener du marché. Mais ce qui attire surtout l'attention, ce sont les nombreux portraits aux cadres brillants qui vous déviseagent d'un air dédaigneux. J'en compte au moins cinq rien que dans la pièce. Sans compter le nouveau que père a fait faire de lui par le jeune artiste habitant en haut de l'immeuble, servant de décoration à l'appartement.

Par réflexe, je tourne la tête vers le grand miroir au-dessus de la cheminée de marbre et contemple mon reflet : peut-être que moi aussi, un jour, j'aurai mon portrait affiché au mur! Ma mère guette du coin de l'oeil l'horloge. Inutile de se demander pourquoi : nous sommes jeudi, et le jeudi est le jour de ma mère. Autrement dit, je dois m'attendre à voir débarquer d'une minute à l'autre toute la bonne société Parisienne. C'est pour cela que mère a passé toute son après-midi, hier, à revoir la décoration de l'appartement: napperons sur les meubles, vases, coussins brodés et plus de fleurs que dans les jardins du Luxembourg! Sans oublier bien sûr, le repas spécialement préparé pour épater les invités, avec viandes arrosées en sauce et riche de graisse! Ce n'est pas un repas, c'est une "représentation théâtrale" comme dit ma mère. Moi, je n'aime pas ces réceptions, et encore moins les gens qui y participent. Ils vous déviseagent tous comme des charognards sur un morceau de viande, derrière leurs faux sourires polis. Et quels menteurs! J'ai même appris dernièrement que M. Polichon avait trouvé maîtresse en la personne de Mme. Mondaigne, tous deux présents lors de nos réceptions. Il faut voir les regards qu'ils se lancent, et tout ça sous le nez de sa femme! Bien sûr, tout le monde est au courant, mère et moi y compris, mais elle m'a fait jurer de ne rien dire. Je me contente donc de jouer du piano comme mère me l'a enseigné, pendant qu'elle et ses invités discutent, des nouveaux grands magasins qui viennent d'ouvrir par exemple. Mère leur montre également notre grande bibliothèque, se pavane en éxubhant nos vieux exemplaires du siècle passé, tandis que je m'entraîne à mes travaux d'aiguilles ,essayant de broder en prenant modèle sur les revues ( qui aurait cru que c'était si compliqué.)

Enfin, lorsque la journée se termine et une fois le tourbillon de jupons caquetant parti ( je sais que mère n'aime pas que je les surnomme ainsi, mais c'est la seule image qui me vient en tête) un silence étrange et presque pesant règne dans l'appartement. J'en profite pour jouer aux dominos et ma mère regarde avec une couturière pour lui confectionner une nouvelle toilette en s'inspirant des patrons dans les revues de mode.La soirée passe vite, et la nuit étend déjà ses longs bras sombres. Sur notre balcon, je peux voir la rue déjà toute illuminée! Nous ne sommes qu'au premier étage, ce qui nous évite de nous épuiser à la lourde tâche de l'ascension de l'escalier! De plus, la vue est d'autant plus belle, en tout cas selon moi.Et je tombe de fatigue! Après le dîner, je retrouve enfin et avec enthousiasme mon lit adoré!

Et encore une journée qui s'achève! Une de plus. Une journée "banale", comme on dit...