Décrivez le Paris que vous avez lu et vu

Pour les élèves volontaires, postez vos descriptions ! 

Soyez créatifs, précis et exprimez votre avis. 

Commentaires

1. Le 27 mars 2017, 21:28 par Elisa MOLINA

Alors que j’étais en train de marcher sur l’avenue de l’Opéra à midi, je m’arrêtai devant l’Opéra Garnier. Il était impressionnant, baigné par la lumière du Soleil, il était magnifique. De là où je me situais, il me paraissait gigantesque. D’un coup, j’entendis un roucoulement qui venait d’une des statues du toit de l’Opéra. Mon regard se porta sur la statue de gauche, d’où me semblait venir le cri. La statue de couleur or me paraissait très grande. Le toit, qui me semblait être de couleur vert d’eau était soutenu par des grands piliers en pierre. J’étais pétrifiée par la beauté de l’édifice mais les passants ne prêtaient pas attention au bâtiment et vaquaient à leurs occupations. En regardant plus attentivement le bas de l’Opéra, je vis que des statues étaient sculptées dans la pierre des piliers. En observant l’étage du dessus, je vis qu’il y avait des rambardes pour éviter aux personnes de tomber. Je remarquai aussi la taille minime des rambardes comparées à celle des piliers, qui eux, étaient immenses. Cet édifice qui retenait toute mon attention était situé dans le centre de Paris, entouré d’avenues commerçantes, tels que l’Avenue de l’Opéra et le Boulevard Haussmann. Dans ce quartier où grouillaient les passants, l’un d’entre eux me bouscula et me ramena à la réalité. J’entendis alors le bruit d’un marchand ambulant qui me rappela que mon estomac criait famine.

Elisa MOLINA

4ème 2

 

2. Le 09 mai 2017, 21:04 par Valentine Farin

Paris, ville Lumière, ne cessera jamais de nous éblouir de sa beauté rayonnante…

 

En cette matinée d’avril 1893, envoyée spéciale pour un journal renommé, Le journal des 4ème2, je me trouve dans l’imposante avenue de l’Opéra, ce dernier me faisant face au loin à quelques dizaines de mètres. A cet endroit du cœur de Paris, il règne une atmosphère inlassablement mouvementée : la circulation, très bruyante et chargée dans cette grande artère, me semblerait presque être le sang qui coule dans les veines de la capitale. Les passants, toujours plus nombreux sur les larges trottoirs, offrent un défilé parfait de la population parisienne actuelle : haute bourgeoisie vêtue de tissus raffinés, mais aussi ouvriers couvert de poussière qui vont et viennent dans les bistrots voisins, dont l’odeur accueillante du café brûlant me parvient, mêlée aux douces effluves des pains et viennoiseries qui proviennent sans doute de quelque grande pâtisserie. Quant aux bâtiments qui m’entourent, je ne peux passer à côté de ces grands et élégants immeubles, œuvres du baron Haussmann, tous alignés et identiques, en harmonie. En pierre couleur crème, hauts de cinq étages d’appartements, certains arborant, pour les plus coûteux, d’étroits et long balcons aux barrières en fer forgé. C’est un style nouveau dont se pare Paris, plus attirant, et bien plus beau et raffiné qu’auparavant. Ces deux rangées d’immeubles créent une splendide perspective qui attire immédiatement l’œil vers les sublime Opéra Garnier, au fond de ce grand boulevard. Cette explosion de couleurs vives, ces sculptures parfaites, cette architecture si particulière mais qui n’en demeure pas moins raffinée et soignée, tout cela fait de cet édifice une véritable œuvre d’art. Je ne peux que vous invitez à aller admirer ce véritable spectacle que nous offre l’avenue de l’Opéra, qui ne saurait que vous éblouir…

Paris, ville Lumière, ne cessera jamais de nous éblouir de sa beauté rayonnante…

 

3. Le 09 mai 2017, 21:05 par Thomas Gless

Décrivez pour monter la beauté ou la laideur

 

Je me trouve au boulevard Haussmann, un soir d’été. La rue est pleine de monde, car la plupart rentre du travail. L’atmosphère est lourde et sèche. Les chevaux soulèvent la poussière déposée par les récents travaux du baron Haussmann. Le bruit constant est très désagréable à cause des sabots des chevaux, des toussotements, des marchands criant pour vendre leurs produits et des piétinements des passants. Il est impossible de marcher correctement et droit. Les façades monotones des immeubles rendent la foule mélancolique. Les rares bâtiments qui n’ont pas été rénovés dérangent cette monotonie et paraissent extrêmement fragiles par rapport à ceux qui ont été rebâtis. Ces gothiques façades aux murs menaçants semblent rendre les passants nerveux. L’odeur de la viande venant des boutiques se mélangeant à celle du crottin est insupportable.

4. Le 09 mai 2017, 21:11 par Alison Vogel

décrivez pour montrer la beauté ou la laideur:

 

Je suis dans une grande avenue urbaine nommée les Champs-Elysée située dans le VIIIème arrondissement du Paris Haussmannien.

Cette avenue est large et très grande, elle n'est pas étroite ce qui pourrait nous intriguer. Toute la foule de personnes sur les trottoirs et les voitures claxonnant donnent la vie à cette lumineuse avenue. Les arbres parallèlement alignés ainsi que les lampadaires rendent un côté plutôt droit et "minimaliste" à l'avenue. L'odeur des cafétarias envahit l'artère tôt le matin ce qui rend surement la population de de bon humeur. On entend les moteurs et claxons des voitures. Aujourd'hui le soleil est au rendez-vous, celui-ci traverse les magnifiques vitrines en y laissent entrer la clarté. La route de la grande avenue est tracée et lissée. De plus quand les rayons du soleil y parviennent, la surface devient plutôt brillante. Au bout de l'avenue, on peut apercevoir le célèbre Arc de Triomphe.

5. Le 09 mai 2017, 21:11 par Charlotte Bourny

Description de l’opéra Garnier

 

Je me trouve au croisement de la rue du faubourg Poissonnière et du boulevard Haussmann, une vaste avenue allant jusqu’à l’horizon. Face à moi se dresse l’Opéra d’une grandeur phénoménale dominant de toute sa hauteur l’ensemble de la ville. Il est encerclé d’immeubles tel un écrin mettant en valeur ce précieux joyaux. En haut du toit, l’Apollon de bronze brandit sa lyre resplendissante comme le soleil guidant même un aveugle vers ce paradis terrestre. Des allégories recouvertes d’or brillant de mille feux comme les étoiles ornent les quatre extrémités de ce somptueux monument. A l’étage inférieur se déploie fièrement une enfilade de colonnes d’ordre Corinthien. Elles sont doublées de colonnes plus petites tel un rideau habillant le portique lui donnant un air habité. La colonnade est d’une imposante légèreté comme les pas des danseuses qui hantent ces lieux. Sur leurs balcons contemplant la scène se dresse une multitude de bustes sculptés attendant impatiemment le démarrage du spectacle. Deux frontons s’arrondissant sur l’entablement des avant-corps rompent habilement l’horizontalité bien qu’harmonieuse de la ligne. L’ordre Corinthien supporte un attique. Là au-dessus de chaque colonne accouplée s’élève un groupe de deux femmes et d’un enfant supportant un médaillon couronné des initiales E et N. L’opéra construit en pierre de Bavière agrémenté de colonnes de marbre fleur de pécher ainsi que d’un chapiteau doré pose le cadre joyeux de ce lieux de fête. Le cliquetis de la pluie sur le toit tel un métronome rythme le ballet incessant des passants. Le parfum raffiné de ces dames en chapeaux habitant le quartier m’enchante. La lumière du soleil comme un projecteur illumine d’une obscure clarté un lieu d’une féérique beauté où la brièveté d’un son, d’un pas reste gravée dans la pierre.

 

BOURNY Charlotte

6. Le 09 mai 2017, 21:13 par Marine Mattern

Décrire :

Montrer Paris en choisissant un point de vue.

 

 

Je me baladais dans la rue François Miron et il faisait presque nuit en cette année 1872. Le ciel était blanc, et une brise légère passait dans mes cheveux. Je m’arrêtai devant une façade médiévale, une des seules que Haussmann n’ait pas modifiée. En bas et à droite de cette façade subsistait une petite ruelle étroite. Je ne sais pourquoi, cette ruelle m’intriguait et rongeait ma curiosité. Elle n’était pourtant pas rassurante et même effrayante. Peut-être cette douce obscurité me rappelait mes ancêtres. Cette triste ruelle boueuse me remplit d’émotions, sans crier gare. Derrière moi, j’entendais surtout les sabots des chevaux sur le pavage, mais aussi les bavardages des personnes qui allaient et venaient. Certes, l’odeur marécageuse aurait pu me dégoûter, mais ce fut un moment si instance ! Il en était presque magique. Le rêve m’emportait vers les souvenirs du monde et de l’Histoire. Je touchai le mur en pierre de la façade quand il commença à pleuvoir. La pierre mouillée délivrait une odeur humide, charmante et sans pareille. Cette ruelle et cette façade épurées mêlées à ce jour douteux me donnaient des frissons de bonheur.

7. Le 09 mai 2017, 21:14 par Manon Vissault

Le soleil tombait, je marche dans la morbide rue des Rosiers. Je m’arrêtai devant un de ces petites boutiques bariolées maladroitement de décorations. J’observe deux clientes sortir, je les entends dire n’avoir pas étés satisfaites. La porte qui s’était ouverte laissait apparaître le sombre intérieur de cette boutique écrasée et petite. Je peux également sentir une odeur de poussière. Cette boutique n’est clairement peu entretenue, certainement dû au manque d’élégance et d’argent des propriétaires. Mon regard se tourne vers la vitrine, je lisais une écriture non-centrée et asymétrique, il y avait marqué : « Le Vieil Entraille », un bien drôle de nom. Sur la vitrine j’apercevais quelques babioles, qui se noyaient dans la poussière. La sombre lumière due à la nuit tombante ne mettait pas valeur cette boutique, qui ne faisait pas scintiller la lumière

8. Le 09 mai 2017, 21:16 par Carla Baudouin

La description

La rue des Rosiers s’étend sur quelques kilomètres, avec ses lignes d’arbres dont les feuilles viennent perturber l’harmonie de cette rue. Ce corridor exterieur sombre et étroit, est mal entretenu du sol aux vitrages. Les trottoirs sont grisâtres et cabossés, tachés de l’ombre des branches. Les dalles suintent d’une humidité âcre et gluante, elles sont usées, décelées par les intempéries. Quant aux vitrages vieillis par le temps, salis et noircis par les fumées, même la nuit est profanée par cette atmosphère oppressante. Le manque de luminosité permet au froid de s’épandre comme-ci le soleil avait hâte à se cacher. Alignées les unes aux autres les boutiques aux gothiques façades, où certaines marchandises semblent pourrir sur leur étalages ,sont grises de poussières. D’autres y sont oubliées depuis des années. Il arrive que parfois entre deux boutiques se trouve une maison singulière et frêle. Dans cet endroit désert, le silence et les ténèbres règnent ainsi que les odeurs des effluves de détritus, imprégnant cette rue des Rosiers.

9. Le 16 mai 2017, 17:05 par Margaux Vigouroux

Composez une description d'une vingtaine de lignes pour témoigner de vos émotions dans Paris .

 

 

Je me baladais mélancolique dans une vielle rue humide et poussiéreuse. C'était le soir, le son des sabots des chevaux retentissaient encore. J'étais dans l'étroite rue des Rosiers, sombre à cette heure-ci de la journée. Je m'étais posée devant une de ces bicoques aux murs menaçants et bariolés de hiéroglyphes. Soudain, je découvris une frêle bâtisse dont la couverture tordue semblait me tomber dessus.

Une effluve désagréable venue de la gauche me dérangea. Des étrons de chevaux étaient dispersés dans la rue. Ils embaumaient l'air jusque dans les boutiques. Justement, je me trouvais à présent devant une échoppe qui ne m'inspire pas confiance. Elle se nommait :"Le chat aux mille et un draps". Par ce jour douteux, je ne voyais à l'intérieur et les fenêtres pleines de barreaux me donnait l'impression d'une prison. Un frisson me traversa à la vue de l'enseigne du chat qui a les crocs apparentent ainsi que ses griffes repoussantes. Je décida donc de retourner chez moi avant que la pluie ne tombe .

10. Le 17 mai 2017, 12:33 par Anyssa Resende

 

J’étais dans une de ces petites ruelles par un jour magnifique. Je suis Rue des Rosiers et je me tiens debout, le visage rayonnant de plaisir devant cette petite boutique médiévale avec dans la vitrine des pâtisseries qui me font gargouiller le ventre, et je sens une odeur. Cette odeur me fait penser à mon enfance et aux gâteaux que me faisait ma mère petite. Sur la façade je vois écrit en gros ceci: «Aux Bonnes Pâtisseries». Les lettres sont écrites en gros en un beige doré avec tout autour de petites pâtisseries de toutes les formes et les couleurs. Je me retourne car derrière moi j’entends des jeunes hommes qui ricanent. Je me dis que c’est à cause de mon air ébahi, la bouche grande ouverte devant de telle chose. Je les oublis et me remets à la contemplation de cette vitrine avec ces pâtisseries de formes et de couleurs différentes. Parmi toutes j’en reconnais une. Un makroud. C’est une pâtisserie marron foncé avec de la date à l’intérieure et recouverte de miel. Je vois à un autre endroit un cigare avec des éclats verts: de la pistache. Lui aussi est recouvert de miel. Les passants que j’entends derrière sont comme moi et parlent tous hauts puis reprennent leur chemin. Je me dis que je ne devrais pas rester là car je vais succombé mais je me dis que ce n’est pas grave et je reste là encore quelques heures dans la contemplation de cette merveilleuse vitrine avec ces odeures.

11. Le 06 juin 2017, 12:52 par   RUBIO-GAFSI, Clara

                Paris se maquille !  

                 

Paris est la capitale de la France. Mais… Est-ce qu’elle mérite ce titre ?

Le mur des fermiers généraux autour de la ville transforme celle-ci en prison. Les rues, étroites et immondes, métamorphosent Paris en un complexe labyrinthe du quel on ne peut s’échapper. Le centre est délabré et on ne peut distinguer les monuments les plus prestigieux entre tout cet anéantissement. Peut-être cela pourra changer ?

Notre bien aimé Empereur Louis-Napoléon Bonaparte a chargé le Baron Georges Eugène Haussmann, qui a nommé préfet de la Seine, de réaliser des changements radicaux à notre capitale. Après avoir vécue une grande période de sa vie à Londres, une ville modernisé par la Révolution Industrielle, il aurait décidé «  d'aérer, unifier et embellir la ville », comme il nous affirme dans une de nos interviews. Selon nos sources, un 60% du Paris que l’on connaît à présent succombera aux nouvelles transformations. Ils seront peu les quartiers qui seront épargnés, comme par exemple le Marais.

Le Baron Haussmann a pour but créer un Paris moderne, fait de grands boulevards, de places en étoile et de vastes espaces verts. Mais aussi il songe à créer des  larges voies d’Est en Ouest, ainsi que détruire complétement des quartiers dans le but d’ouvrir des axes de circulation afin d’embellir la capitale et de faciliter la circulation. La création de nouveaux bâtiments, surnommés bâtiments « haussmanniens », contribuera à améliorer la ville. Ils seront créés avec notre précieuse pierre calcaire et sa structure sera solide, ainsi qu’élégante et harmonieuse. Le préfet espère aussi pouvoir détruire le mur des fermiers généraux afin d’agrandir la capitale.

 Ces travaux débuteront en Mars, mais on ignore quand ils s’achèveront. Selon des informations récentes, ils pourraient durer une décennie.

Pour conclure, je crois que ces travaux pourraient élever Paris à un autre niveau, même arrivant à la transformer en ville mondiale. Mais surtout ils apporteront la modernité dans les rues de la capitale et on se sentira fiers d’avoir Paris comme capitale, on se sentira fiers d’être français.

                                                                                                       RUBIO-GAFSI, Clara

                                                                                                          4ème 2

 

12. Le 06 juin 2017, 12:53 par Rubio-Gafsi Clara

                          Description

A la tombée de la nuit je me décidai enfin à marcher dans les ruelles de Paris, puisque toutes ces années passées à l’étranger me permettraient de constater, lors de mon retour, le changement colossal que la ville avait subi pendant mon absence.

Pendant que la pluie submergeait Paris, je me glissai entre les gens comme chat dans la nuit. Le son des roues des chariots et les cris des vendeurs purent parvenir à mes oreilles pendant que j’apercevais les nouveaux bâtiments que présentait l’Avenue Montmartre. Les anciens édifices, dont la vétusté des façades évoquait la misère des ouvriers, avaient été détruits et à leur place se tenaient d’imposants bâtiments harmonieusement bâtis. Je m’arrêtai devant l’une des façades de ces vénérables édifices et je commençai à les observer minutieusement. A travers la pluie je pus distinguer les différentes lumières que les fenêtres de cette habitation émettaient. Toutes chaleureuses, elles m’invitaient à entrer. Mais je pus me retenir. Je décidai donc d’observer la composition de ce palais. On pouvait remarquer sans problème les cinq étages qui composaient l’édifice. Et à chaque étage une nouvelle singularité ; ils étaient tous ornés d’un balcon en fer, travaillé comme si s’était de la dentelle. Cette précieuse maison en haut était surmontée par un toit plutôt curieux ; il formait un triangle sans pointe, coupé par la moitié. Je ne pus malheureusement pas voir la couleur beige de la pierre calcaire, puisque j’avais lu à propos des matériaux que le préfet Haussmann avait utilisé pour construire ces remarquables monuments : les bâtiments haussmaniens.

 

 

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