VERSION 1  

      Après avoir assisté à la représentation du Misanthrope (s'agit-il du personnage de la pièce ?) de Molière réinterprétée par Chantal Melior (est-elle assez connue pour que vous n'en disiez rien de plus ? où la représentions a-t-elle eu lieu ?), nous avons constaté des points négatifs comme positifs dans la mise en scène et le jeu des acteurs.

     D’une part, nous avons apprécié la mise en espace, la totalité de la scène est utilisée par les comédiens (en quoi est-ce appréciable ? Ce n'est pas clair). La pièce de théâtre ne commence pas In medias res, c’est par une scène d’opéra qu’elle débute. Cette scène (redondance) nous intrigue et nous introduit directement dans l’histoire. C’est une mise en abyme car nous, spectateurs, sommes assis au théâtre pendant que nous regardons une pièce d’opéra dans un théâtre, on nomme ceci le « Théâtre dans le théâtre ». Nous nous trouvons dans la loge de Célimène, le 4e (en toutes lettres) mur n’existe pas, c’est comme si nous faisions partie de leur intimité, nous devenons de véritables personnages de la scène et rentrons plus facilement dans l’histoire. (Quel est le lien avec ce qui précède ?) Vers la fin de la pièce, Philinte et Eliante s’introduisent dans le public ce qui nous introduit (redondance) davantage dans la représentation (en quoi cette remarque relève-t-elle du jugement critique ? Que voulez-vous signifier à travers cette remarque ?). Nous avons également approuvé la volonté d’actualiser la pièce en intégrant des objets modernes comme l’interphone, c’est un anachronisme, cela interpelle le spectateur (est-ce que la fonction d'actualisation n'a pour seul enjeu que d'interpeller le spectateur ?). D’autres part, nous avons trouvé la pièce un peu trop rapide (la pièce ou la représentation ?), de nombreuses scènes ont été coupées (lesquelles par exemple ?). Il est ainsi plus compliqué de comprendre l’histoire car tout (terme vague) ce (remplacez "ce" par "cela" : que constatez-vous ?) fait (terme vague) très vite comme le couple Philinte et Eliante auquel on ne s’attend pas (faites-vous ici une critique de la pièce ou de la représentation ?). (Quel est le lien avec ce qui précède ?) Le jeu de lumière nous indique où regarder, il change en fonction des scènes, met en valeur certains comédiens à certains moments (redondance + terme imprécis) et créé (créer est un verbe du 1er groupe dont les terminaisons sont : e, es, e, ons, ez, est) une réelle ambiance. Le décor est également très intéressant, très simple mais (quelle opposition souhaitez-vous suggérer par l'emploi de ce terme ?) incorporé de pièces maitresses comme le miroir ou la chaise placée coté jardin qui se transforme en lieu de refuge pour Alceste : on appelle ça (emploi familier) le 3e  (en toutes lettres) lieu. (N'avez-vous pas déjà évoqué le décor antérieurement ?)

        Dans l’ensemble nous remarquons un bon choix des personnages. Alceste est au cœur de la pièce, il est présent la majeure partie du temps mais ne s’impose pas assez à notre gout (ce terme vient du latin gustus et conserve dans sa graphie une trace de cette étymologie). La metteuse en scène a transformé Alceste en chanteur d’opéra qui, à l’époque (terme vague) était considéré comme fou (à préciser), cela se rapproche de son personnage atypique de misanthrope. A notre avis, son personnage manque de dynamisme, il est courbé, avachi, cynique (cette énumération renvoie-t-elle à une posture de même nature ?), très renfermé face à Célimène et manque de prestance. Il ne montre pas assez son coté misanthrope et reste trop dans la retenue. Nous avons par contre, beaucoup apprécié le personnage de Célimène (évoquez-vous le personnage ou la comédienne ?) qui apporte énormément de fraicheur à cette pièce (de quelle manière ?) dont les textes datent du XVIIe siècle (pourquoi cette précision ?), (nouvelle idée > nouvelle phrase) également, le personnage de Philinte qui représente à la perfection l’idéal de l’époque, droit et juste (évoquez-vous le personnage ou le comédien ?). Les deux marquis nous ont également beaucoup amusé (accord du participe passé et de l'auxiliaire avoir quand le COD est placé avant) avec leur extravagance et leur fougue (évoquez-vous les personnages ou les comédiens ?) .

       La metteuse en scène a réussi à modifier des éléments sans dénaturer la pièce, tout en gardant la magie de l’histoire. Elle a choisi de bons comédiens qui remplissent avec brio leur rôle. Nous avons globalement aimé cette pièce qui retranscrit (terme impropre : une pièce n'est pas une transcription) plutôt bien l’œuvre de Molière. 

VERSION 2

Après avoir assisté à la représentation du Misanthrope (s'agit-il du personnage de la pièce ?) de Molière interprétée par Chantal Mélior, directrice artistique du théâtre du voyageur (Une proposition subordonnée doit dépendre d'une proposition principale). Nous avons constaté des points négatifs comme positifs dans la mise en scène et le jeu des acteurs.

     D’une part, nous avons apprécié la mise en espace. La totalité de la scène est utilisée par les comédiens, les acteurs se déplacent et utilisent l'espace a (remplacez "a" par "avait" : que constatez-vous ?") bon escient, la pièce parait plus vivante. Elle ne débute pas In médias res (formule latine à écrire en italique), mais par une scène d’opéra qui nous intrigue et nous introduit directement dans l’histoire. C’est une mise en abyme car étant les spectateurs, nous sommes assis dans un théâtre, durant la représentation d’une pièce d’opéra se déroulant dans ce même lieu, ceci se nomme le « Théâtre dans le théâtre ». De plus, nous avons remarqué que dans la loge de Célimène, le quatrième mur n’existait pas, c’est comme si nous faisions partie de leur intimité, nous devenons de véritables personnages de la scène et nous arrivons à nous insérer plus facilement dans l’histoire. De même vers la fin de la pièce, Philinte et Éliante se retrouvent dans le public ce qui permet à tout spectateur de se sentir comme un personnage de la pièce et de s’y investir davantage.

     D’autres parts, nous avons remarqué de nombreuses coupures dans cette pièce. En effet des scènes du livre on (remplacez "on" par "il" ou "avait": que constatez-vous ?") été couper (remplacez ce verbe par un verbe du troisième groupe comme "vendre" : que constatez-vous ?) durant cette représentation, ce qui peut déstabilisé (remplacez ce verbe par un verbe du troisième groupe comme "vendre" : que constatez-vous ?) le spectateur (lesquelles ?) Il est ainsi plus compliqué de comprendre l’histoire car l'intrigue évolue très vite, nous sommes donc surpris du couple de Philinte et Éliante auquel on ne s'attendait point et qui se révéla très tardivement.

     De même, le jeu de lumière nous permet de nous repérer sur l’élément central de chaque scène, il change en fonction des scènes, mettant en valeur chaque comédien pour ainsi créer une réelle ambiance. Nous avons apprécié le décor original de la pièce, intégrant des objets modernes comme l’interphone, ceci est un anachronisme ayant pour but d'interpeller le spectateur et d'attirer son attention. Nous avons trouvé le décor extérieur assez simple, cependant il est incorporé de pièces maîtresses comme le miroir ou la chaise se situant côté Jardin, celle-ci servant de lieu de refuge à Alceste : cela se nomme le Troisième lieu. La simplicité du décor n'est donc, ici, pas un défaut mais un point positif que Chantal Mélior a su mettre en valeur.

     Dans l’ensemble nous remarquons un bon choix des personnages (évoquez-vous les personnages ou les comédiens ?). Alceste est au cœur de la pièce, il est présent la majeure partie du temps mais ne s’impose pas assez à notre goût. La metteuse en scène a transformé Alceste en chanteur d’opéra, qui à l’époque était considéré comme incompris et persécuté par sa société, étant vu comme fou. Chantal Mélior a tout de suite voulu nous montrés (remplacez ce verbe par un verbe du troisième groupe comme "vendre" : que constatez-vous ?) qu'Alceste pouvait se différencier des autres personnages et se rapprocher de son personnage atypique de misanthrope. A notre avis, son personnage manque de dynamisme, il est courbé, avachi, cynique, ce qui nous montre une nature triste et malheureuse. Même face à Célimène, Alceste est très renfermé et manque de prestance. Il ne montre pas assez son côté misanthrope et reste trop dans la retenue. Nous avons par contre beaucoup apprécié l’interprétation du personnage de Célimène qui apporte énormément de fraîcheur à cette pièce, par sa jeunesse ainsi que sa façon élégante et gracieuse de se comporter. Nous avons également été charmées par l’interprétation du personnage de Philinte, qui a représenté à la perfection l’idéal de l’époque, droit et juste. L’interprétation originale des deux marquis nous a également beaucoup amusés, par leur extravagance et leur fougue.

     Pour conclure, la metteuse en scène a réussi à modifier des éléments sans dénaturer la pièce, tout en gardant la magie de l’histoire. Elle a choisi de bons comédiens qui remplissent avec brio leur rôle. Nous avons globalement aimé cette représentation pour sa vision unique de l’œuvre de Molière. 

VERSION DÉFINITIVE

Après avoir assisté à la représentation du Misanthrope de Molière interprétée par Chantal Mélior, directrice artistique du théâtre du voyageur, nous avons constaté des points négatifs comme positifs dans la mise en scène et le jeu des acteurs.

D’une part, nous avons apprécié la mise en espace. La totalité de la scène est utilisée par les comédiens, les acteurs se déplacent et utilisent l'espace à bon escient, la pièce parait plus vivante. Elle ne débute pas In médias res , mais par une scène d’opéra qui nous intrigue et nous introduit directement dans l’histoire. C’est une mise en abyme car étant les spectateurs, nous sommes assis dans un théâtre, durant la représentation d’une pièce d’opéra se déroulant dans ce même lieu, ceci se nomme le « Théâtre dans le théâtre ». De plus, nous avons remarqué que dans la loge de Célimène, le quatrième mur n’existait pas, c’est comme si nous faisions partie de leur intimité, nous devenons de véritables personnages de la scène et nous arrivons à nous insérer plus facilement dans l’histoire. De même vers la fin de la pièce, Philinte et Éliante se retrouvent dans le public ce qui permet à tout spectateur de se sentir comme un personnage de la pièce et de s’y investir davantage.       

D’autre part, nous avons remarqué de nombreuses coupures dans cette pièce. En effet des scènes du livre ont été coupées durant cette représentation, ce qui peut déstabiliser le spectateur. Il est ainsi plus compliqué de comprendre l’histoire car l'intrigue évolue très vite, nous sommes donc surpris du couple de Philinte et Éliante auquel on ne s'attendait point et qui se révéla très tardivement. (Il n'y en a pourtant eu aucune...)

De même, le jeu de lumière nous permet de nous repérer sur l’élément central de chaque scène, il change en fonction des scènes, mettant en valeur chaque comédien pour ainsi créer une réelle ambiance. Nous avons apprécié le décor original de la pièce, intégrant des objets modernes comme l’interphone, ceci est un anachronisme ayant pour but d'interpeller le spectateur et d'attirer son attention. Nous avons trouvé le décor extérieur assez simple, cependant il est incorporé de pièces maîtresses comme le miroir ou la chaise se situant côté Jardin, celle-ci servant de lieu de refuge à Alceste : cela se nomme le Troisième lieu. La simplicité du décor n'est donc, ici, pas un défaut mais un point positif que Chantal Mélior a su mettre en valeur.

Dans l’ensemble nous remarquons un bon choix des personnages comédiens. Alceste est au cœur de la pièce, il est présent la majeure partie du temps mais ne s’impose pas assez à notre goût. La metteuse en scène a transformé Alceste en chanteur d’opéra, qui à l’époque était considéré comme incompris et persécuté par sa société, étant vu comme fou. Chantal Mélior a tout de suite voulu nous montrer qu'Alceste pouvait se différencier des autres personnages et se rapprocher de son personnage atypique de misanthrope. A notre avis, son personnage manque de dynamisme, il est courbé, avachi, cynique, ce qui nous montre une nature triste et malheureuse. Même face à Célimène, Alceste est très renfermé et manque de prestance. Il ne montre pas assez son côté misanthrope et reste trop dans la retenue. Nous avons par contre beaucoup apprécié l’interprétation du personnage de Célimène qui apporte énormément de fraîcheur à cette pièce, par sa jeunesse ainsi que sa façon élégante et gracieuse de se comporter. Nous avons également été charmées par l’interprétation du personnage de Philinte, qui a représenté à la perfection l’idéal de l’époque, droit et juste. L’interprétation originale des deux marquis nous a également beaucoup amusés, par leur extravagance et leur fougue.

Pour conclure, la metteuse en scène a réussi à modifier des éléments sans dénaturer la pièce, tout en gardant la magie de l’histoire. Elle a choisi de bons comédiens qui remplissent avec brio leur rôle. Nous avons globalement aimé cette représentation pour sa vision unique de l’œuvre de Molière.