VERSION 1

Le Misanthrope, pièce classique, écrite en 1666, est actuellement représentée au théâtre du Voyageur à Asnières. Elle est mise en scène et actualisée par Chantal Melior. La metteuse en scène, Chantal Melior, a choisit (pensez à mettre le participe passé au féminin pour connaître sa terminaison au masculin) de transposer la pièce à l’époque contemporaine grâce à différents moyens, elle a notamment créée (le participe passé s'accorde-t-il avec l'auxiliaire avoir ?) un prologue qui constitue une entrée progressive vers  (est-ce la bonne préposition, construite avec le verbe "entrer" ?) la pièce par le moyen d’un orchestre formé des principaux personnages (formulation lourde). Les costumes sont modernes tout comme le décor : au-lieu de (il s'agit ici d'une locution prépositionnelle (préposition à + article le = au) suivi d'un nom + préposition de comme dans l'expression à l'aide de, par rapport à) se retrouver dans le salon de Célimène, tout se passe dans sa loge. L’élocution devient elle aussi moderne, on note (lien avec la proposition précédente ?) la façon particulière et réussite qu’a Célimène à casser ("une manière ou une façon à faire ou de faire ?") les alexandrins écrits par Molière. On remarque aussi une gestion de l’espace scénographique bien particulière (la redondance de ce terme est-elle voulue ?) : il n’y a en effet pas de quatrième mur séparant les comédiens du public, on peut avoir l’impression (pourquoi l'emploi de ce moralisateur ?) que les comédiens interagissent avec ce dernier et s’y mêle par moments (le lecteur peut-il se faire ici une idée précise de ce que vous signifiez ?). La mise en espace est très importante : elle nous renseigne beaucoup sur l’état des relations entre les différents personnages (même question que la précédente). En plus de tous ces projets ambitieux permettant la modernisation de la pièce, l’ambiance (celle de la salle, du public ?) est très bien maîtrisée notamment grâce à de bons jeux de lumière (qu'est-ce qu'un bon jeu de lumière ?).

                  Suite à cela vient l’idée du comique (le comique est-il une idée ?). Le comique (cette redondance est-elle voulue ou peut-on relier les deux phrases entre elles pour éviter la répétition ?) de cette pièce est très subtil, l’actualisation de la pièce est aussi une façon d’appuyer sur ce comique grâce à des postures ou décors plus modernes (Le lecteur a-t-il ici une idée précise de la dimension comique de la scène ?) De ce fait (ce lien logique établit un rapport de conséquence avec la phrase précédente : est-il cohérent ici ?) on pense à certains passages qu’on pourrait qualifier d’absurdes : quand les acteurs se trouvaient derrière le miroir et regardaient le public à travers (Le lecteur peut-il comprendre ce que vous voulez signifier, sans avoir vu la pièce ?). Certains passages pouvaient même être qualifiés de burlesques, on pense au moment où l’un des marquis cherche indéfiniment dans son sac, la tête enfouit dedans (situation dramaturgique qui ne peut être comprise par celui qui n'a pas vu la pièce : vous êtes trop allusif). On assiste donc à un comique de caractère, on pense (formule redondante) à Alceste refusant toute discussion, à un comique de gestes et de situation. Pour autant cette mise en scène confirme que la pièce reste une comédie assez sérieuse (En quoi la mise en scène va-t-elle dans ce sens ?). Le Misanthrope correspond plus à une comédie de mœurs qu’à une comédie de caractère (Est-ce là un argument propre à la mise en scène de Chantal Melior ou à la pièce en général ? Or votre billet critique s'attache à évoquer la mise en scène).

                  On peut donc en conclure que cette mise en scène à (remplacez "a" par avait : que constatez-vous ?) été dans l’ensemble bien (ce terme est vague : sur quels plans jugez-vous que la mise en scène est bonne ?) réalisée ("réaliser" et "mettre en scène" correspondent à deux actions spécifiques qui ne peuvent être simultanées : on ne peut donc "réaliser une mise en scène"). On trouve tout de même certains détails déplaisant (terme impropre traduisant un sentiment et non un jugement qui est le propre d'une critique), gâchant la puissance de la pièce : par exemple Alceste et Philinte (ce sont les personnages de la pièce !) ne s’appropriaient pas le personnage (qu'est-ce que cela signifie ? Cet argument n'est pas étayé), de ce fait le comique avait comme disparu et Alceste était devenu trop philosophe pour être crédible (comment le comédien jouait-il le "philosophe" ? Le cas échéant, en quoi son jeu manquait de crédibilité ?) ou même amusant dans son rôle d’atrabilaire. Au contraire Célimène et Arsinoé étaient jouées à la perfection (là encore, l'argument manque de précisions), des personnages maîtrisés et compris maîtrisant leurs répliques et déplacements (la redondance et l'absence de ponctuation rendent votre propos confus). C’est aussi une pièce qui se doit d’être un minimum étudiée par le spectateur pour une compréhension optimale et pour être appréciée à sa juste valeur malgré (ce terme crée une opposition confuse entre les deux propositions : votre intention est saisie, mais la phrase rend votre propos obscur)  la langue d’époque.

VERSION 2 

Le Misanthrope (S'agit-il du personnage ?), pièce classique, écrite en 1666, est actuellement représentée au théâtre du Voyageur à Asnières. Elle est mise en scène et actualisée par Chantal Melior. La metteuse en scène, Chantal Melior (redondance), a choisi de transposer la pièce à l’époque contemporaine grâce à différents moyens. Elle a notamment créé un prologue qui constitue une entrée progressive dans la pièce, par le moyen d’un orchestre formé des principaux personnages. Les costumes sont modernes tout comme le décor : au-lieu de (il s'agit ici d'une locution prépositionnelle (préposition à +
article le = au) suivi d'un nom + préposition de comme dans l'expression à l'aide de, par rapport à)
(on ne comprend pas votre demande car la formulation correspond à ce que vous avez écrit dans la parenthèse ci-dessus) (cherchez cette expression dans le dictionnaire) se retrouver dans le salon de Célimène, tout se passe dans sa loge. De plus, l’élocution devient elle aussi moderne : on note la manière particulière et réussite qu’a Célimène à casser ("une manière ou une façon à faire ou de faire ?") les alexandrins écrits par Molière. On remarque aussi une gestion de l’espace scénographique bien particulière (la redondance de ce terme est-elle voulue ? oui) : il n’y a en effet pas de quatrième mur séparant les comédiens du public, on peut avoir l’impression (pourquoi l'emploi de ce moralisateur ? Chacun a son interprétation de la pièce ce pourquoi nous voulions laisser le lecteur avoir son propre avis sur le chose.) que les comédiens s'y adressent et s’y mêlent en s'asseyant avec. (Lien avec ce qui précède ?) La mise en espace est très importante : elle nous renseigne beaucoup sur l’état des relations entre les différents personnages, Célimène et Alceste s'éloignent au fur et à mesure que leur relation se détériore. En plus de tous ces projets ambitieux permettant la modernisation de la pièce, l’atmosphère de la salle est très bien maîtrisée, notamment grâce à de bons jeux de lumière attirant l'attention sur certains personnages. On pense à Alceste sur son tabouret éclairé par la lumière d'une ampoule comme dans son cocon. (Nouvelle idée > nouveau paragraphe) Suite à cela nous voulons aborder le comique très subtil de cette pièce. L'actualisation de la pièce est aussi une façon d’appuyer sur le comique de gestes et de situation. Certains passages pourrait être qualifiés d’absurdes : quand les acteurs se trouvaient derrière le miroir et regardaient le public à travers (Le lecteur peut-il comprendre ce que vous voulez signifier, sans avoir vu la pièce ? Il faut bien donner des exemples pour avancer ses propos, voici un exemple absurde). Certains passages pouvaient même être qualifiés de burlesques, le comique de gestes est mis en avant (le lien entre burlesque et comique de geste n'est pas clair ici ; à étayer). On assiste donc (pourquoi ce lien logique ici ?) à un comique de caractère, on pense  (formule redondante) à Alceste refusant toute discussion, à un comique de gestes et de situation (à étayer : on ne voit pas à quoi vous faîtes allusion en évoquant ces types comiques). Pour autant cette mise en scène confirme que la pièce reste une comédie assez sérieuse car le comique reste propre aux personnages et non pas à l'histoire. Le Misanthrope (S'agit-il du personnage ?) correspond plus à une comédie de mœurs qu’à une comédie de caractère autant pour Molière que pour Chantal Melior.
On peut donc en conclure que cette mise en scène à (remplacez "à" par avait : que constatez-vous ?) rendu la pièce poignante. On trouve tout de même certains détails gâchant la puissance de la pièce : par exemple les acteurs d'Alceste et Philinte ne s’appropriaient pas le personnage, on a l'impression que réciter leur texte sans le jouer, de ce fait le comique avait comme disparu et l'acteur d'Alceste n'était plus crédible ou même amusant dans son rôle d’atrabilaire (cette phrase n'est syntaxiquement pas correcte). Au contraire Célimène et Arsinoé étaient jouées à la perfection, toutes deux rendaient la pièce moderne grâce à leurs maîtrise des répliques et de déplacements. 
C’est aussi une pièce qui se doit d’être un minimum étudiée par le spectateur pour mieux apprécier la pièce et s'immiscer dans l'époque de Molière.

Une phrase de synthèse ou de conclusion est attendue à ce stade de l'article.

VERSION DÉFINITIVE

Le Misanthrope, pièce classique, écrite en 1666, est actuellement représentée au théâtre du Voyageur à Asnières. La metteuse en scène, Chantal Melior, a choisi de transposer la pièce à l’époque contemporaine grâce à différents moyens. Elle a notamment créé un prologue qui constitue une entrée progressive dans la pièce, par le moyen d’un orchestre formé des principaux personnages. Les costumes sont modernes tout comme le décor : à la place (au lieu de) de se retrouver dans le salon de Célimène, tout se passe dans sa loge. De plus, l’élocution devient elle aussi moderne : on note la façon particulière  et réussie qu’a Célimène à de casser les alexandrins écrits par Molière. On remarque aussi une gestion de l’espace scénographique bien particulière : il n’y a en effet pas de quatrième mur séparant les comédiens du public, on peut avoir l’impression que les comédiens s'y adressent et s’y mêlent en s'asseyant avec. Ceci nous confirme que la mise en espace est très importante : elle nous renseigne beaucoup sur l’état des relations entre les différents personnages, Célimène et Alceste s'éloignent au fur et à mesure que leur relation se détériore. En plus de tous ces projets ambitieux permettant la modernisation de la pièce, l’atmosphère de la salle est très bien maîtrisée, notamment grâce à de bons jeux de lumière attirant l'attention sur certains personnages. Par exemple, Alceste sur son tabouret éclairé par la lumière d'une ampoule comme dans son cocon.

Suite à cela nous voulons aborder le comique très subtil de cette pièce. L'actualisation de la pièce est aussi une façon d’appuyer sur le comique de gestes et de caractère. Certains passages pourrait être qualifiés d’absurdes : quand les acteurs passaient derrière une coiffeuse et regardaient le public à travers un miroir imaginaire. Le comique de gestes est mis en avant par exemple, quand un des marquis cherche une lettre en enfouissant sa tête dans son sac. On assiste aussi à un comique de caractère, comme Alceste refusant toute discussion et exagérant tous propos. Pour autant cette mise en scène confirme que la pièce reste une comédie assez sérieuse car le comique reste propre aux personnages et non pas à l'histoire. Le Misanthrope correspond plus à une comédie de mœurs qu’à une comédie de caractère autant pour Molière que pour Chantal Melior.

On peut donc en conclure que cette mise en scène a rendu la pièce poignante. On trouve tout de même certains détails gâchant la puissance de la pièce : par exemple les acteurs d'Alceste et Philinte ne s’appropriaient pas le personnage, on a l'impression qu'ils récitaient leur texte sans le jouer, de ce fait le comique avait comme disparu et l'acteur d'Alceste n'était plus crédible ou même amusant dans son rôle d’atrabilaire. Au contraire Célimène et Arsinoé étaient jouées à la perfection, toutes deux rendaient la pièce moderne grâce à leurs maîtrise des répliques et de leurs déplacements. 

C’est aussi une pièce qui se doit d’être un minimum étudiée par le spectateur pour mieux apprécier la pièce et s'immiscer dans l'époque de Molière. Enfin la mise en scène de Chantal Melior est dans l'ensemble réussite, on apprécie sa modernité et sa vision comique de la pièce.