les 501 de marie curie

Travail français sur Man et la version confinée de Théo quand le chat n'est pas là les souris dansent.

Je suis totalement d’accord avec la vidéo de la version confinée. Le monde s’est arrêté pendant quelques jours, des animaux sont
réapparus. La vidéo montre un humain qui reste chez lui, qui regarde la télévision et qui mange. Puis dehors, plus le temps passe plus les
animaux sortent et font la fête. Mais la fête ne dure pas une éternité, car l’humain a besoin de sortir, donc tous les animaux repartent vite
se cacher. Cette vidéo veut dire que quand les humains ne sont pas là les animaux dansent, même les plus menacés.

Loan, une artiste, qui rend la vie poétique

Pour ce devoir, vous nous demandez de parler à propos d’un
reportage qui fait réfléchir sur les différents enfants dans le monde et
leurs jouets, et de notre objet/jouet préféré durant le confinement.

1/
En voyant ce reportage j’ai pu remarquer que les conditions de vie dans le monde ne sont pas les mêmes (ce que j’avais déjà remarqué au
paravent).
D’une corde à une dinette, passant par un bidon vide à une peluche, sur chaque photo, chaque enfant possède son jouet, qui le diverti.
J’ai pu remarquer également que dans tous les pays du monde, quelles que soient leurs conditions de vie, leurs classes sociales, les enfants savent s’amuser d’un rien…comme des bâtons et des pneus, jouets universels.
Qui ne jouait pas avec des bâtons dans la forêt et des pneus en maternelle ? Mêmes les enfants des pays riches qui ont en plus des
dinettes et Lego neufs s’en amusaient. Que ce soit de simples bâtons ou ficelles, les enfants donnent un sens à
leurs jouets et certains les créent eux-mêmes.

J’ai bien conscience de la chance que nous ayons en France d’être gâtés ; Cela me rend triste pour les enfants des pays pauvres.
Je ressens comme un arrière-gout de culpabilité en pensant que je jouais avec plein de figurines et Lego et que je pleurais si il me
manquait une pièce que ma mère ne m’avait pas acheté pendant que d’autres jouaient avec une bouteille en plastique et une ficelle et en
étaient très satisfaits.
Maintenant je me dis que d’être née dans un pays riche, je ne l’ai pas choisi ; mais quand je voyage dans un pays étranger plus pauvre que le
nôtre, je prends toujours dans ma valise des vêtements trop petits pour moi que je vais donner aux enfants pauvres, et repars satisfaite d’avoir donné des vêtements qui servirons d’avantage à d’autres qu’a moi.

2/
Pour mon jouet ou plutôt ce que j’appelle mon objet fétiche, ce serait un fameux papillon rouge en plastique aux bordures et aux grandes ailes ornées de doré, et à sa base une pastille collante qui puisse s’accrocher sur toutes surfaces. C’est censé être un objet pour de petites décorations…Or je l’accroche un peu partout dans ma chambre, je lui change sa place toutes les semaines environ, si bien que la pastille a parfois du mal à coller. Mais pendant le confinement je le change de place 3x plus, alors à force la pastille ne colle quasiment plus !
Mais peu importe, je le fais tenir en équilibre sur mon bureau, ou sur ma table de nuit, et me casse encore la tête à lui trouver une place
correcte qui puisse le mettre en valeur. Comme moi, il virevolte dans les airs confinés de notre appartement !

Personnellement je trouve que la danse baroque est assez amusante. Ça nous parait peut-être étrange comme danse, mais après on n’écoute pas non plus ce genre de musique habituellement. Certains se sont ridiculisés, je peux le comprendre, mais c’est justement ça qui est amusant.

Théo HANNA 501

L’atelier de danse Baroque était plaisant, mais je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai adoré danser. Je préfère les danses plus modernes. C’était une expérience à faire et les personnes qui animaient l’atelier étaient gentilles. Pour nous tous, c’était une première de danser avec un(e) camarade. La classe comprenant un nombre impair d’élèves, j’étais la cavalière de la dame qui nous faisait danser.
Mais si on avait eu des tenues, j’aurais eu l’impression d’être retournée auXVIIe siècle. Pour conclure, je pense que je pourrais recommencer, mais il faudrait que j’y sois contrainte, car je suis assez gênée et me sens un peu ridicule de danser devant mes camarade (je suis timide).
Louise LAGRAN

"Mon impression sur l'atelier de danse baroque :

Cet atelier baroque était pour moi une drôle d'expérience, qui a un peu bousculé nos habitudes, mais aussi intéressante, car nous avons eu l'occasion de danser comme les gens dansaient au 17e siècle. Leurs manières de danser tout comme de parler m'ont surprises. Danser comme la cour royale mais avec une classe de 5eme en salle de visio-conférence n'était pas dans mes habitudes, cependant cela m'a quand même fait rire de devoir "faire la révérence et montrer mon mécontentement de battre de linge" en tapant dans les mains de droite à gauche tel un manège."

L.N.

D 501

Je trouve que la danse baroque est une danse très spéciale. Elle est à la fois magnifique et « bizarre » à
mon gout.
Elle ressemble beaucoup à la danse classique. Elle se danse cependant le plus souvent à deux alors que je
préfère les danses où l’on est seule.
Les tenues ont l’air assez gênantes pour danser et ont l’air parfois lourdes à porter.
Je trouve que les danseurs(euses) y font de très beaux gestes même si quelques fois ils sont particuliers.
Je trouve cependant que la musique sur laquelle ils dansent est horrible et laide voir insupportable !
Pour conclure je n’aime pas beaucoup regarder la danse baroque car la musique ne me plaît pas du tout, et
je ne pense pas que j’aimerai la danser car les costumes ont l’air lourds et embarrassants, les gestes sont
parfois « bizarres » et la musique m’agace.

Emilie V.

J'ai trouvé ça amusant mais un peu dérangeant surtout quand on a dansé avec des filles mais j'ai trouvé ça très éducatif et amusant ça nous a appris comment dansaient les gens à l'époque baroque et les difficultés de la danse. J'ai aussi pu voir les gestuels de la danse dans la vraie vie car avant c'était des vidéos.

J'ai trouvé l'atelier assez intéressant même si en principe je ne suis pas une grande fan de la danse. J'ai préférer par contre le moment ou ce n'était pas nous qui dansions car quand c'était nous c'était un peu n'importe quoi, même si à la fin on a tous fini plus ou moins à y arriver. Je pense tout de même que c'était bien de l'avoir fait pour le projet baroque et que ça nous a appris encore plus de chose sur cette époque.              

                                                                                                                                                                                                                                                                                                       Madeleine Bellier

L'atelier danse baroque a été assez amusant car on a appris une danse de l'ancienne époque tous ensemble (ce qui était assez drôle d'ailleurs), mais nous avons aussi vu leur démonstration de professionnel. Sinon j'ai bien aimé même en tant qu'amatrice de danse moderne !  Célia Cherichi

L'atelier danse baroque ne m'a pas particulièrement plus, mais je vais plutôt parler
des points positifs : la fable que les intervenants ont jouée était très intéressante. Le
passage sur les livres d’enseignement de la danse et surtout le nouvel alphabet pour
pouvoir lire la danse, m'a époustouflé.
Je tiens à rajouter que nous avoir fait jouer nous aussi n'était peut être pas la
meilleure solution, mais bon chacun son point de vue. Une chose m'a également
particulièrement intéressée : les masques des acteurs, sont magnifiques. Ils me
rappellent les masques vénitiens.

Joseph

L'atelier danse baroque m'a intéressé :  j'ai surtout bien aimé quand nous dansions, c'était amusant. Nous avons aussi appris quel était leur style de danse, leurs mouvements, qu'ils écrivaient leurs mouvements sur des papiers. Peut-être à refaire.
Annabelle Cukier

Emilie préfère les êtres vivants, même un peu prédateurs

Quelle image ai-je choisi ?
J’ai choisi l’image d’une petite fille en Colombie. C’est une photo. On y voit une jeune fille.
Elle a l’air heureuse et tient un chat dans ses bras. Autour d’eux se trouvent des bâches, des
déchets et un chien étalé sur le sol. On pourrait se dire qu’elle n’aime pas vivre dans ce lieu
délabré, mais cette petite fille n’a pas l’air malheureuse, au contraire. Elle a l’air heureuse
de tenir ce chat dans ses bras, son ami, son jouet et un de ses plus gros soutien dans cette
misère.
Mon « jouet » :
Moi aussi comme « jouet » j’aurais choisi mon chat. C’est un chartreux assez bien en chair
avec de longs poils gris. C’est un soutien dans les moments difficiles, un animal qui me fait
rire quand je pleure, un « doudou » quand je fais des cauchemars. J’ai toujours aimé les
animaux de compagnie dans ma vie. Alors quand mon premier chat est mort, j’était si triste
qu’à mon anniversaire en 2012, mes parents m’ont présenté Hendrix, une petite boule de
poils grise de 6 mois. Nous nous sommes tout de suite appréciés. Je suis devenu sa maman
et lui mon bébé.
Mon « jouet » et le confinement :
Même si le confinement ne change pas grand-chose pour lui, il est encore plus chouchouté
comme un véritable petit prince. Aujourd’hui un oiseau s’est cogné contre une vitre de
notre salon et est resté longtemps sur notre balcon. On a été obligé de fermer les fenêtres
pour que le chat ne se jette pas sur lui ! Même si ce n’est absolument pas un chasseur, un
oiseau immobile et sonné ne pouvait pas lui résister. Il y a environ une heure l’oiseau est
reparti et depuis Hendrix patrouille devant toutes les fenêtres et sur les balcons ce qui est
très drôle à voir.

J'ai choisi cette famille car elle le cout de leur alimentation est très bas et que 1,23€ pour 3 adulte et 3 enfant c'est peu et que ils achètent le nécessaire riz et légume sec  .Je trouve cette famille très courageuse de vivre malgré le peux d'argent pour la nourriture et le peux de vivre utilise pour une semaine.

Contrairement a d'autre famille qui utilise des centaine d'euros pour une semaine seulement en nourriture alors que la plupart des produit frais qu'ils achètent viennent de pays du tiers monde ou la plupart des habitant vivent largement en dessous du seuil de pauvreté .