Anouk

Elvire passe la porte de la chambre où se trouve Chimène, assise sur son lit, cette dernière tourne la tête vers elle, et voyant son air perturbé, elle l’interroge du regard :
Elvire -J’ai une triste nouvelle a t’annoncer, Chimène…
Chimène -Dites moi donc, ce suspens est insoutenable !
Elvire-Il s’agirait donc, que ton malheureux père, est été provoquer par Rodrigue…
Chimène -Rodrigues?!!!?? Mon Rodrigue ?!!?!?!?
Elivire-Oui… Je le crains
Chimène  -C’est impossible voyons, il n’aurais jamais oser une telle chose !
Elvire-Attendez la suite, Madame… Vous n’êtes pas au bout de vos surprise…
Chimène  -Je vous écoute, Elvire… Dépêcher vous, voyons… Je ne puis supporter une telle outrance…
Elvire -J’y arrive… Il y a des choses, Madame, qui ne sont pas facile a dire…
Chimène - Mais dites- moi donc ! Que peut t’il y avoir d’aussi grave ?! Cela ne peut pas être aussi difficile…
Elvire- Détrompez vous, Madame… Il se trouve, que Rodrigue, votre amant, a tuer votre père cette nuit, durant le duel qu’il a provoquer.
Chimène - Quoi ? Que me dites vous la ? C’est une nouvelle effectivement fâcheuse, et vous me voyer la, bien désemparer…
Elvire -Je vous comprends madame, votre chagrins m’attriste beaucoup, et si je peux faire quoique ce soit pour apaiser votre douleur, je serai on ne peu plus ravie, de m’exécuter.
Chimène -Je ne sais que penser, je suis dépourvue de tout sentiment, tellement ma surprise est grande. Je ne sais que faire, ni que dire, et encore moins comment agir, fasse à un drame de la sorte. J’admirais beaucoup Rodrigues, surtout pour son courage, mais jamais au grand jamais, je n’aurais pensé qu’il puisse être l’auteur d’un acte pareil.
Elvire -Il est vrai que Rodrigues était courageux, mais bien idiot, d’avoir assassiné votre malheureux père.
Chimène -Vous avez raison… Je ne comprends pas comment il a pu me faire ça, sans même penser à ma douleur, ni a ma peine, de le voir se transformer en monstre.
Elvire -Ne vous tracassez pas de la sorte madame, il vaut mieux que vous parliez en face à face avec Rodrigues.
Chimène -Non. Il m’est impossible d’affronter son regard, je m’effondrerais bien avant ses première paroles…
Elvire -Comme vous le voudrez madame, je respecte votre choix, mais il faudra bien un jour que vous surmontiez votre douleur.
Chimène -Oui, vous avez raison, il le faudra, mais pour l’instant, je ne puis le voir ni l’entendre.
Elvire -Bien.
Chimène -Comment a t-il pu me faire ça ?
Elvire-Je ne sais pas madame, par vengeance peut être…
Chimène -Quel orchidoclaste ! Quel genre de nodocéphale est t-il pour me faire ça ? Je ne pensais pas avoir aimer un tel forban ! Ha si je l’avais devant moi, ce fripon, je l’aurait châtier, ce gougniafier… Que dire ! Je l’aurais estropié, voir même claquer, cet houlier ne mérite même plus de vivre !
Elvire-Calmer vous madame, je comprends votre colère et votre rage, mais l’insulter de la sorte, ne résoudra en rien.
Chimène -Vous avez raison, ma chère Elvire, je ne pourrait plus l’aimer, tant que je n’aurais pas son sang sur mes mains.