Salut les loulous ! Aujourd’hui on se retrouve pour nouveau tutoriel pour fabriquer son propre rouge à lèvre…
Ok, je rigole ! Reprenons !
Salut les gens !
J’espère que tout ce passe bien pour vous et vos proches.
Comment s’est passée votre rentrée ? Mais surtout, qu’en pensez-vous ?
Eh oui, je ne suis pas morte ! Incroyable, n’est-ce pas ?! Me voilà enfin !
Avant d’entamer le sujet du jour, je vous prie de ne pas juger mes introductions, s’il vous plait. Je sais qu’elles sont clichées, c’est d’ailleurs pour ça que je les apprécie. ;)
3 mois après la rentrée, je vous fais mon article sur la rentrée. La logique ? Absente apparemment.
Je vais vous raconter ma rentrée en toute honnêté, puisque de toute façon, cela reste entre vous et moi. Par contre, conseil d’amis en amis, assumez toujours vos actes et vos paroles. Réfléchissez plusieurs fois avant d’agir s’il le faut, mais assumez toujours. Un mensonge en entraîne souvent un autre.
Peu importe !
Alors, rentrons dans le vif du sujet. Je pense vous avoir fait assez patienter.
Alors, je suis certaine que vous vous dites « mais on s’en fiche de sa rentrée, c’est toujours la même chose de toute façon ».
Effectivement, vous n’avez pas tort.
Sauf, que tout change, à seulement un petit détail près.
Je suis rentré en seconde les gars !
Eh oui, moi Aimy, jeune petite humaine aux cheveux rouges, a mis les pieds dans une seconde générale et technologique.
Il me semble être rentrée le trois septembre, si je ne dis pas de bêtises. Et vu que j’en dis assez souvent, il y a de forte chance pour que je me trompe.
Continuons, le jour importe peu.
Il faut savoir que les classes et les horaires de rentrée sont données à l’avance.
Donc, nous étions cinq classes de seconde accueillies dans l’amphithéâtre. Salle d’ailleurs, impressionnante.
Le proviseur nous avait fait un discours, puis nous avons été appelés, un par un, pour rejoindre notre professeur. Vous comprendrez que je ne vais citer aucun nom par respect et pour confidentialité. (C’est surtout parce qu’elle ne veut pas les insulter de trop… Chut conscience ! )
Ce qui à premier bord, peut étonner, c’est le fait d’être trente élèves dans une salle. Je l’avoue, c’est particulièrement stressant quand on ne les connait pas. J’ai eu, on va dire entre gros guillemets, la chance de connaître au moins cinq personnes de mon collège.
Beaucoup de chose changent également. Tes cours par exemple, au dépend de tes choix d’enseignements d’explorations, et de tes options si tu en choisis, tes matières varient.
Par exemple, penchons-nous sur mes matières. J’ai été acceptée en Littérature et Société ainsi qu’en SES (sciences économiques et sociales), et je fais partie de la seule classe possédant ces enseignements.
Ensuite, j’ai des mathématiques, de la physique-chimie, de la svt (sciences et vie de la terre), de l’anglais, de l’espagnol, du sport, de l’histoire-géographique et emc,et je crois que ça s’arrête ici.
(Tu ne survis déjà pas à cela, alors s’il y en avait plus, je n’ose même pas imaginer le désastre le plus total ! Qu’est-ce que je t’avais dit ? De la boucler ! Et ça tient toujours !)
J’avoue, suite aux dires de ma tendre conscience que le rythme est assez dur à la longue.
Pour être honnête, la seconde ne donne pas l’effet d’une gifle comme tout le monde le laisse croire.
Tu as carrément l’impression de tomber du grand canyon !
Je n’ai pas envie d’effrayer les prochains arrivants, mais c’est réel.
Malgré le fait que pendant toutes mes années de collège, j’espérais de tout cœur m’enfuir très loin, j’avoue qu’il me manque un peu. Surtout au niveau enseignant.
Pour être franche, ma rentrée était rapide et assez courte le premier jour. Mais à aucun moment on s’attend se faire emporter par le courant dès le lendemain. Sachez que je m’y suis noyée en tout cas.
Le lycée, du moins, celui où je me trouve, vend du rêve et mon dieu, j’ai vraiment envie de partir.
C’est pour ça que j’aimerais vous donner deux trois conseils.
Premier conseil : Profitez du collège à fond, même si ce n’est pas forcément agréable.
Deuxième conseil : Travaillez à fond. Je ne rigole pas.
Troisième conseil : Je sais que c’est un peu stupide, ou compliqué mais, soyez certain de votre orientation. Je dis ça parce que je vais peut-être changer et que je vais vraiment, mais vraiment avoir du mal pour effectuer ce changement.
C’est certain, je n’aime pas mon lycée, ni ma classe (du moins, quelques personnes hein, j'ai mes copines/copains quand même ! Bisous à Léa, Ebru, Dan,Cassie,Daryl et Cedrick *-*) Pour être honnête, tout m’ennuie. Je pensais étudier des choses avec plaisir, sauf que la façon des professeurs laisse penser que c’est une corvée pour eux, donc ça l’est pour moi aussi.
Malgré le fait que je me répète sans cesse, que j’ai une chance extrême d’aller à l’école, je n’y prends aucun plaisir. Et ça, ça gâche toutes les belles valeurs de l’école.
Je sais que je me suis pas mal égarée, mais je voulais plus laisser exprimer mes sentiments plutôt que de réciter bêtement les changements du lycée.
Ce n’est, et j’insiste énormément sur ce point, que ma perspective de mon quotidien au lycée. Je ne m’y plais pas, mais c’est seulement mon cas sur je ne sais combien d’élève. De toute façon, comme me disait mon ancien professeur d’histoire-géographie, je suis trop pessimiste. J’avoue qu’il n’a pas tort. (petit bonjour à vous, Monsieur, si vous passez par là !)
Donc ne vous fier pas seulement sur mon point de vue, la perspective change tout. ;)
Comme disait un grand sage, « Apprenez de vos erreurs, de vos malheurs, de vos heures de gloire, et de vos moments de désespoir. »
(Wow, impressionnant ! C’est de qui ? Bah de moi évidemment ! Mais…)
Pour conclure, mon article en soi, ne vous aidera rien. Peut-être à rigoler un peu, mais sinon, il ne vous servira strictement à rien. Soyez juste heureux et emmerdez les gens. (Oups, que suis-je vulgaire.)
Pour faire une conclusion à peu près correcte, le lycée, du moins, la seconde ne me correspond pas. C'est mon cas, mais ça peut être le vôtre comme ça peut ne pas l'être. Je vous tiendrai au courant de ce que je vais devenir avant la fin de l'année !
À très vite,
Aimy.