L'atelier d'écriture

Voici le finale des situation finale et élément perturbateur:

Nous décidâmes alors d’aller à la cave. Nous courûmes, descendîmes les escaliers et découvrîmes Mike allongé, inconscient sur une table en bois. Il avait les jambes et les bras écarter comme si quelqu'un voulait expérimenter de la chirurgie sur lui. Effrayé, pensant qu’il «était décédé nous accourûmes vers lui pour vérifier son pouls et sa respirations. Ouf ! Il respirait quoi que nous fassions il ne se réveillait pas. Tout à coup nous entendîmes du bruit, un grincement de porte suivi de lourd bruit de pas. Notre sang ne fit qu’un tour ! Nous nous précipitèrent dans les escaliers et remontèrent à toute vitesse. Dans la chambre nous étions tout essouffler, nous n’arrivions même pas à parler. Ensuite un bon nombre de questions traversèrent les esprits de chacun. Nous étions extrêmes inquiet pour Mike. Comment allait-il s’en sortir ? Trop angoissé pour Mike, nous prîmes notre courage à deux mains et redescendirent équiper de couteaux de cuisines. Quelque uns d’entre nous restait surveiller si personnes n’arrivait pendant que le reste du groupe avançait en éclaireur. Arriver en bas Mike n’était plus sur la table en bois, étonnés nous restions quelque temps contempler cette table en se demandant ou Mike pouvait bien être. D’un seul coup une voie venant de derrière dis retenti : « qu’est ce qui ne va pas les amis ? ». Mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Nous nous retournèrent et trouvèrent Mike, un petit sourire au coin des lèvres. C’était lui ! C’était bien lui nous lui sautèrent dans les bras tout t’en l’assommant de questions. D’après lui jamais il ne s’est retrouver dans cette cave et encore moins allongé comme Frankenstein sur cette table en bois. Nous quittons cette endroit lugubre et pendant que nous montions dans une de nos chambre pour parler de ce qui venais de ce passer Flynn me glissa a l’oreille : «  Tu as vue comment il est Mike ? J’ai l’impression que ce n’est pas lui. ». « Qui veux-tu que ce soit ? » Lui répondis-je, c’est vrai quoi elle est bizarre Flynn c’était bien Mike en chair et en os pourtant. Puis je me retournais pour regarder Mike et son petit sourire perturbant qui ne s’effaçait pas de ses lèvres me fit douter. Etait-ce un imposteur ? Arriver dans la chambre nous découvrîmes un nouveau petit mot avec écrit « Si vous voulez ramener Mike à la vie, rendez-vous… »

 

Flynn rentra brusquement dans la chambre avec une montre a gousset on se précipita tous vers lui mais celle-ci n'était pas à l'heure en la remettant à l'heure , la sonnerie du déjeuner sonna. Quand nous descendîmes nous vîmes des personne étranges quand un homme surgit et nous dit " Vous n'avez pas d'uniforme ? Allez les mettre immédiatement ! " nous nous exécutâmes , une fois dans notre chambre dans l'armoire se trouvait belle et bien les uniformes. Une fois les uniformes enfilés la sonnerie sonna une nouvelle fois , nous devions aller en français , mais dans les couloirs les élèves, qu'ils soit plus âgés ou moins âgés, nous regardaient d'un air menaçant. On se sentait faibles et gênés par tout ces regards. Une fois dans la salle , au moment de s'asseoir, je remarqua que nos affaires de n'étaient pas dans le casier de la table , ce qui déplu au professeur qui nous envoya chez le proviseur toute l'après-midi. Mais le proviseur ne pu nous recevoir , heureusement pour nous et ce qui nous a permis d'élaborer un plan pour s'échapper cette nuit ou au plus vite possible. Au réfectoire , pour le dîner , il y avait toujours quelques regards sur nous , tout ce passait bien , jusqu'au moment où Flynn dit avoir perdu la montre à gousset. Nous partîmes à sa recherche mais nous n'y somme pas parvenues , nous avions déjà préparés toutes nos affaires pour nous échapper de l'internat. Il était trois heures du matin, nous étions dans le hall , quand tout à coup des bruits de pas parvenaient de derrière nous , pris de peur nous éclairions le couloir à l'aide de nos lampes torches , celui-ci demeurait vide. Une voix résonna et disait " Vous ne retrouverez jamais votre montre à gousset " . Pris de terreur nous courûmes chacun dans un sens différent dans ce hall qui pour nous semblait être un vrai labyrinthe. Une fois dehors , tout le monde était la sauf Mike , on criait tous son nom mais aucun signe mais quelques secondes plus tard Mike sorti de l'internat à son tour avec un sourire, nous étions tous soulagés. Nous avions remarqués que Kenny restait fixe à regarder par dessus son épaules droite , et murmurait consciemment " vous ne voyez pas là bas , cette silhouette ? " . Nous ne voyions rien juste cette verdure sombre et sinistre bercée par le vent, quand soudain Kenny se mit à courir dans cette direction . Ne voulant pas le laisser nous l'avions rejoins , quand il nous dit " il a quelque chose dans cette cave , allons voir !" , nous répliquâmes " allons-y ! " .

13 janvier 1971:

J' ai des sensations bizarres : je suis allé chez le psychologue comme ma mère m'as conseillé et on dirait qu'il ressemble à Gérard ; il as la même barbe gris tirant sur le noir, le regard ténébreux, un physique maigre et grand, une allure étrange comme Gérard quand il était venu à la maison.

En parlant de maison, nous allons déménagé dans une veille demeure qui met familière : je l'ai vue quelque part mais où ?  

14 janvier 1971 :

Ma copine Maeva est venu me tenir compagnie en m'aidant à porté les cartons pour les mettre dans la nouvelle maison. En même temps, je lui est parlé de Gérard et de la maison que j'ai l'impression de connaitre. Elle m'as dit que peut-être pendant le coma, j'ai eu comme une sorte de "vision"ou de "super-pouvoir" comme les héros de film ! Nous avons bien rigolé là-dessus !!! 

15 janvier 1971: 

Ça y est ! Je viens d’emménagé dans une ancienne maison isolée dans un petit village. Je l'avoue, cette maison me fait un peu peur mais j’espère mis habitué rapidement. je sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression de me répéter !

17 janvier 1971: 

Maeva est encore venu chez moi pour dormir pour voir si j'ai encore des visions ! Alors que nous nous apprêtions à dormir, je commence à voir que dans les 15 minutes, j'entendrai des grincements et évidemment dans les 15 minutes j’entendis des grincements. Pendant toute la nuit nous nous amusons à vérifier si mes visions était vrai !

18 février 1971 :

Désolé cher journal si ça fait longtemps que je ne t'ai pas écrit mais j’étais trop choqué pour te raconté la nouvelle.
Je te raconte :
je me rendais chez le psychologue comme tous les mardis et j'ai parlé de mes visions. Il  me prenais pas au sérieux quand je lui racontait que le 17 ,dans la nuits, mes visions était vraiment vrai ! Alors je lui est montré mes talents en voyant que le stylo allait tombé et que quelqu'un  allait toqué ! Toutes mes visions se sont bien passé et le psychologue était choqué ! Au finale, je me retrouve à l’hôpital pour que les médecin étudient mon cerveau ! Ma mère était catastrophée !!  Au bout d'une semaine, les résultats arriva et les médecins m'ont tous expliquer : pendant mon coma, j'ai eu la visons que nous allons déménager dans la maison et que Gérard allait venir dormir comme ça c'est passé ! Alors c'est pour ça que la maison m'est familière !

20 février 1971 :

Une chose toujours pas résolu, c'est pourquoi Gérard ressemble autant au psychologue et pourquoi quand nous l'invitons est-il toujours aussi bizarre ??



                                                                              FIN !!!

Péripéties 

Arrivés en plein milieu d'une grotte, grotte où se trouvaient des dessins sur les murs , il y'a un gros feu, des peaux d'animaux accrochés devant l'entrée.Dehors on pouvait observer un troupeau de mammouths et une foret enneigée. 

Ses amis se firent attaqués par des hommes préhistoriques. Ils réussirent à s'enfuir et percutant un rocher, ils furent transportés au moyen-Age débarquant en pleine cour du roi, cette cérémonie royale était décorée de tapisserie murale et de grandes tables avec divers plats et de grands chandeliers.

Ils étonnèrent tous les invités et firent emprisonner.Lors de leur incarcération ils se demandent ce qu'ils leur arrivaient.

Ted le nounours se cogna la tête et ses amis et lui se transportèrent dans le futur.En l'an 3026,étrangement, les habitants ne firent étonné,non pas par leur apparition, mais par leurs vêtements. Traversant sans le savoir une route,ils furent percuter par un bus.cette terrible image réveilla en sursaut julien qui était en sueur.

Péripéties

22 décembre 1970

Que se passe-t-il ? Autour de moi , toutes sortes de machines clignotent et sonnent. Je ne sais pas ce qu'il m'arrive. Ma mère se trouve au fond de la salle. En me voyant, elle me saute dans les bras. Je lui demande ce qui se passe. Elle me raconta que je venais de me réveiller d'un coma de 6 mois après un accident de voiture. En sortant de l’hôpital j’étais bouleversée, je suis rentrée chez moi, et le soir je suis allée a un repas de famille pour fêter mon retour.