Flynn rentra brusquement dans la chambre avec une montre a gousset on se précipita tous vers lui mais celle-ci n'était pas à l'heure en la remettant à l'heure , la sonnerie du déjeuner sonna. Quand nous descendîmes nous vîmes des personne étranges quand un homme surgit et nous dit " Vous n'avez pas d'uniforme ? Allez les mettre immédiatement ! " nous nous exécutâmes , une fois dans notre chambre dans l'armoire se trouvait belle et bien les uniformes. Une fois les uniformes enfilés la sonnerie sonna une nouvelle fois , nous devions aller en français , mais dans les couloirs les élèves, qu'ils soit plus âgés ou moins âgés, nous regardaient d'un air menaçant. On se sentait faibles et gênés par tout ces regards. Une fois dans la salle , au moment de s'asseoir, je remarqua que nos affaires de n'étaient pas dans le casier de la table , ce qui déplu au professeur qui nous envoya chez le proviseur toute l'après-midi. Mais le proviseur ne pu nous recevoir , heureusement pour nous et ce qui nous a permis d'élaborer un plan pour s'échapper cette nuit ou au plus vite possible. Au réfectoire , pour le dîner , il y avait toujours quelques regards sur nous , tout ce passait bien , jusqu'au moment où Flynn dit avoir perdu la montre à gousset. Nous partîmes à sa recherche mais nous n'y somme pas parvenues , nous avions déjà préparés toutes nos affaires pour nous échapper de l'internat. Il était trois heures du matin, nous étions dans le hall , quand tout à coup des bruits de pas parvenaient de derrière nous , pris de peur nous éclairions le couloir à l'aide de nos lampes torches , celui-ci demeurait vide. Une voix résonna et disait " Vous ne retrouverez jamais votre montre à gousset " . Pris de terreur nous courûmes chacun dans un sens différent dans ce hall qui pour nous semblait être un vrai labyrinthe. Une fois dehors , tout le monde était la sauf Mike , on criait tous son nom mais aucun signe mais quelques secondes plus tard Mike sorti de l'internat à son tour avec un sourire, nous étions tous soulagés. Nous avions remarqués que Kenny restait fixe à regarder par dessus son épaules droite , et murmurait consciemment " vous ne voyez pas là bas , cette silhouette ? " . Nous ne voyions rien juste cette verdure sombre et sinistre bercée par le vent, quand soudain Kenny se mit à courir dans cette direction . Ne voulant pas le laisser nous l'avions rejoins , quand il nous dit " il a quelque chose dans cette cave , allons voir !" , nous répliquâmes " allons-y ! " .