Cette fois-ci, toujours pour illustrer la règle des deux "f" après voyelle, voici ce que les élèves ont imaginé:
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Texte de Mathilde:

Je marchais tranquillement, quand soudain, une jeune fille affolée s’approcha de moi. Elle affirmait que son mari avait été poignardé. En s’efforçant d’articuler, elle me convainquit de venir avec elle. Nous marchions avec efficacité, quand, arrivant devant une porte entrouverte, j’aperçus un cadavre affalé sur un canapé. Effrayé par cette scène je m’effondrai sur le parquet mal ciré. Tandis qu’un oiseau inoffensif piaillait, je repris mes esprits.

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Texte de Jessica:

Le présentateur de télévision était affalé sur son fauteuil et son expression était livide. Des cris affolés s’entendaient derrière la caméra, toutes les personnes présentes dans la salle essayaient de comprendre la situationen restant le plus calme possible. Le journaliste, messager de cette affreuse nouvelle, affirma que la scène se déroulait bien endirect. On vit alors une femme ensanglantée s’effondrer derrière lui. Effrayé par ce spectacle, il paniquait un peu. Des soldats français s’efforçaient de protéger des passants en lançant des grenades vers le camp adverse. Elles étaient très efficaces car les mitraillettes offensives cessèrent brusquement. Soudain, le caméraman se réfugia dans un café, les images devinrent floues et irrégulières. Tout à coup la télévision se brouilla … Et s’éteignit.

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Texte de Camille:

Sur la route de retour de l’école, je vis un chien grand et noir qui aboyait sur un petit chien blanc affolé qui tenait dans sa gueule un os. Je pris alors une chaîne de saucisses pour attirer l’attention du grand chien qui effrayait le petit chien afin que celui-ci s’échappe. Cela marcha très bien. Les chaînes de saucisses, c’est vraiment efficace ! Quand je rentrai à la maison, je m’effondrai sur le canapé, épuisée. Alors après avoir pris mon goûter, je fis mes devoirs et m’efforçai de ne pas bailler. Quand j’eus terminé de faire mon travail, je me mis à lire mon livre, tout, affalée sur le fauteuil. Lorsque ma mère rentra du travail, elle me demanda si j’avais fait mes devoirs. J’affirmai que oui. Alors je pus aller au poney club pour mon cours d'équitation. J’eus un cheval très offensif qui fonçait sur les obstacles comme une flèche.

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Texte de Corentin (inspiré du poème de Paul Verlaine: "Bon chevalier masqué chevauchant en silence"

Le chevalier Malheur s’était affalé de fatigue sur son cheval. Soudain Le chevalier au vieux cœur accourut et affirma avoir été ressuscité. Il crut que c’était Malheur qui l’avait tué. Donc Malheur devait payer pour ce péché. Malheur ayant laissé son arme sur le lieu de son dernier combat avec Le Chevalier au vieux cœur, se retrouvait inoffensif et inefficace .

Mais comme c’était Malheur qui avait ressuscité Le chevalier au vieux cœur il niait l’avoir tué. Mais l'autre s’efforça de ne pas le croire. Il jeta alors son javelot qui s’enfonça dans la tête de Malheur qui s’effondra. Il est mort et cette fois personne ne sera là pour le ressusciter. Le chevalier au vieux cœur, affolé par son geste, s’enfuit très loin dans une province lointaine.

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Texte de Sébastien:

Le joueur numéro dix, effrayé par le score, s'effondra sur le sol. L'équipe adverse menait de douze points. Il était affolé mais ils'efforçait de regarder le match. Il était affalé sur le banc et affirmait que son équipe allait perdre. Mais ses coéquipiers ne perdaient pas espoir.Petit à petit, le score remontait.

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Texte de Margot:

Sarah s’efforçait de réviser alors que son frère Tom était affalé dans le canapé. Sa mère demanda au garçon s’il avait fait ses devoirs. Sarah répondit que non mais son frère affirma le contraire. Le lendemain, Sarah était affolée à l’idée du contrôle qu’il y avait le jour même. Trois jours après, on lui rendit son évaluation. Elle eut une mauvaise note alors qu’elle pensait que son travail était efficace.

Sarah s’effondra en pleurs dans les bras de sa copine. Quand elle rentra, elle était dans ses pensées quand un chien l’effraya alors qu’il était inoffensif.

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