Ce sont des textes de l'ancien blog 2008-2009, rédigés à l'occasion d'une séquence sur Perceval ou Le Conte du Graal...


Si j'étais un chevalier

 
     Si j'étais un chevalier j'irais prier tous les matins au clergé, cela me donnerait une très grande influence politique et philosophique. Je m'entraînerais d'arrache-pied tous les jours avec mes compagnons dans la cour du château. Comme cela je serais puissant et je ferais donc plaisir à mon suzerain. Je répondrais à tous les appels à l'aide, surtout venant d'une demoiselle qui aurait peur d'un dragon. Je le combattrais avec courage et le tuerais. Si j'étais chevalier je prendrais soin de mon armure, de mes chausses, de mon épée, de mon écu, de mes éperons et surtout de mon fidèle compagnon, mon destrier. Je l'appellerais "Vaillant" et lui donnerais toute l'affection possible. J'essaierais d'être un chevalier modèle: courtois, fidèle, loyal, pieux. Ainsi je serais un modèle pour les plus jeunes. Finalement, j'assurerais ma descendance pour être sûr que mon nom ne soit pas oublier.

Antoine C.


      Si j'étais un chevalier, je m'entraînerais à l'épée chaque jour, quand j'aurais du temps libre. Quand j'aurais assez d'expérience, je pourrais aller combattre les ennemis. J'espère que je serai courtois et surtout très courageux ! En dehors des heures libres, j'essayerais d'aider les futurs chevaliers, en leurs faisant quelques équipements les plus brefs, comme par exemple, l'écu, le bouclier, l'armure, les chausses... Peut – être en faisant cela, je séduirais une belle femme noble, et que nous ferons, j'espère, le reste de notre vie ensemble... Mais pour le moment, je préfèrerais me préoccuper de mon temps libre pour m'entraîner, et le hors temps libre pour me faire un peu d'argent en faisant les équipements. Le Roi sera fier de moi et me dira que je me suis assez bien entraîné pour combattre les adversaires...


Cynthia A


Si j’étais un chevalier, je serais plein de beauté, de prouesse et de noblesse. Je porterais une cotte de maille, des chausses en soie très ajustées. Je monterais un destrier et je serais vêtu d’un manteau d’hermine. Je brandirais ma lance et mon gonfanon et soufflerais dans mon olifant à pleins poumons. J’irais combattre avec mes compagnons d’armes pour la justice. Je porterais des éperons en or et je mettrais mon épée au service du Roi, de l’ Eglise et de ma dame.

S. H