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Raconter un voyage, réel ou imaginaire, sous la forme d'un journal de bord, en employant le présent de l'indicatif et en s'aidant des fiches de vocabulaire suivantes : "les mots de la terre et de l'eau", "les cinq sens", "les couleurs", "le mouvement".

 J'arrive en Ecosse où il pleut déjà. Je me rends sur l'île de Skye avec mes compagnons de voyage.

15 août 1978

  Il m'est impossible de ne pas regarder le magnifique paysage qui se présente à mes yeux. Il se compose de verts, rendu éblouissants par des éclats de pluie tombée peu de temps avant, et de blanc cassé qui n'est autre que de la laine laissée par le passage des moutons entre les chardons et la bruyère pourpre. Après avoir contemplé cette splendide vue, je me retrouve la gorge nouée à Fort-William : le capitaine nous a annoncé l'ascension du mont Ben Nevis de demain.

16 août

  Aujourd'hui, j'avance vers le mont, qui se dresse à plus de 1 300 mètres au-dessus de nous. Ce matin il fait beau et chaud, la montée commence doucement, je tiens le coup. Une brise de vent vient m'effleurer le visage comme une caresse. J'ai la bouche asséchée, je ferais mieux de boire, mais le capitaine m'a dit: "Si tu t'arrêtes, tu n'arriveras pas à redémarrer." Alors, j'essaye de boire en marchant, c'est compliqué.

11h30- La montée est maintenant rude, plusieurs cailloux se dressent devant moi et d'autres roulent sous mes pieds, je suis le dernier du groupe, il faut que j'accélère ou je vais finir par me perdre.

12h30- J'arrive à rejoindre le groupe juste à temps pour le déjeuner. Je profite de l'arrêt pour regarder le paysage, c'est fascinant. Malheureusement,je constate les nuages au-dessus de ma tête. Il va sûrement faire plus froid.

14h30- J'arrive à distinguer le sommet du mont, à ce stade le sentier est rocailleux, j'ai failli me rompre la cheville. Il fait plus froid que tout à l'heure et le paysage n'est que brouillard. Mais nous sommes presque arrivés.

15h00- Nous y sommes ! Heureusement car je suis fatigué. Nous prenons un petit casse-croute et un joueur de cornemuse arrive. Du haut de l'estrade qui trône près de nous, il se met à jouer. Une fois le chant terminé, je vais me réchauffer dans le petit refuge en face de l'estrade, où m'accueillent des écossais chaleureux, pendant que le reste du groupe attend que le ciel se dégage.

15h30- Nous repartons vers le bas. Cette fois je suis le premier, car je n'arrive pas à me freiner.

18h00- Nous croisons des gens qui montent. Plusieurs font un pèlerinage, moi, je suis content de redescendre.

19h30- Nous sommes arrivés et nous nous réfugions directement dans l'auberge du mont Ben Nevis où je retrouve avec plaisir mes compagnons du refuge. Je suis affamé, je prends deux assiettes de "haggis", et un "banoffee pie"en dessert.

                                                                            

Agathe

                                                                             

Myriam Ranzovic, exploratrice française, est la première Européenne a avoir fait le trajet France - Nouvelle-Zélande.

22 juin 1979 au soir:

19 heures 30: Je sors de ma cabine qui se situe à l'arrière du bateau et me dirige vers la petite pièce où l'on mange. En passant sur la passerelle, je lève la tête et observe le ciel : il est magnifique, d'un bleu éteint et parsemé d'étoiles resplendissantes.
Quelques instants plus tard, je m'assied devant une table où s'entreposent plusieurs mets : des tomates et de la mozzarella; des cuisses de poulet accompagnées de légumes cuits : des carottes, des petits pois vert perroquet et des pommes de terre couleur d'or; toutes sortes de fruits : des framboises, des pêches, des abricots, des pommes,... et des gâteaux au chocolat, à la crème, à l'ananas,... bref, ce repas est un vrai délice.

20 heures 15 :  Après m'être rassasiée, je sors et m'accoude à la barre de la passerelle. Je baisse la tête et contemple la mer sombre. Je la regarde longtemps puis je repars vers ma cabine où je me douche, m'habille et me couche. Dans mon lit, le calcule qu'il nous reste à faire. Je trouve 5 000 kilomètres, c'est-à-dire encore trois semaines de voyage. A l'instant même, on se trouve en plein Océan Pacifique, à environ 2 500 kilomètres de la Tasmanie.
Après ce travail terminé, je le pose et prends mon roman intitulé " Le Voyage De Magellan ".

3 heures plus tard :  Je finis mon chapitre et pose mon livre sur ma table de nuit. Je regarde ma montre et sursaute : elle indique 23 heures 30. Il est tard ! J'éteins ma bougie et m'endors tranquillement.

02 heures du matin :  La nuit est horrible : la pluie et les vagues ne cessent pas, le tonnerre fend le ciel depuis que je me suis couchée, bref, c'est impossible de dormir.

Le lendemain, 23 juin 1979 :

5 heures 30 :  Je me réveille à cause du bruit incessant que font les matelots.
Je m'extirpe avec peine de mon lit si douillet, je fais ma toilette et m'habille.

Une quinzaine de minutes pus tard :  Je suis dehors. Il fait jour : le ciel est déjà bleu turquoise et l'eau d'un bleu vert et calme. Il fait assez chaud malgé le vent.
Je me dirige vers la passerelle où je salue les jeunes et résistants matelots. Puis, je continue mon chemin et entre dans la salle à manger.
Je prends mon assiette et marche vers le centre de la pièce où se trouve un buffet. Là-bas, je me sers : je prends une salade de fruits composée de fraises rouge coquelicot, de citrons jaune canari, de melons et de pastèques qui ont la couleur du corail.

Marina

Lundi 10 septembre 2001

   Aujourd'hui, je pars pour New York ! Mon voyage rêvé et tant attendu. Il y a bien longtemps que je pense à ce voyage pour rejoindre mon ami d'enfance. Je m'installe près du hublot pour voir les lumières de Paris s'éloigner petit à petit. Après 1 heure de vol, l'hôtesse de l'air me propose un plateau repas, ce n'est pas bon mais comme j'ai faim, je mange. Je regarde le film et m'endors en rêvant à demain.

Mardi 11 septembre 2001

   Aujourd'hui, mon ami vient me chercher à l'aéroport pour profiter de cette belle journée avec un ciel bleu azur.                                       Nous prenons le métro où le vacarme est étourdissant car c'est l'heure où les gens vont travailler. Le métro parisien est déjà important, mais ici à New York, c'est démesuré, gigantesque ! Nous descendons à la station Manhattan pour voir les gratte-ciel et le musée d'art moderne. Quand nous sortons de la station de métro, mes yeux sont attirés vers le ciel, plus exactement sur le sommet des immeubles. Il y en a des gris, des bleutés, des verts qui se reflètent les uns dans les autres, c'est magnifique !                                    Nous marchons dans les rues une partie de la matinée jusqu'à ce que nous entendions et voyions un énorme avion au-dessus de Manhattan qui vole très bas et se dirige sur les deux tours jumelles du World Trad Center. Et là, c'est le drame, l'affolement, la panique. Nous ne savons pas où aller ni quoi faire. Nous sommes paralysés par la peur. Et puis, un deuxième avion arrive, il percute la seconde tour jumelle. De la poussière, des morceaux de verre, des flammes sortent par les fenêtres explosées. Les gens crient et courent dans tous les sens. Maintenant nous entendons les sirènes des pompiers et des ambulances, le bruit est aigu et une odeur de plâtre, de poussière nous empêche de respirer. Mon ami et moi, repartons dans la direction du métro pour fuir ce quartier de New York qui est pour le moment un lieu de terreur !

Mathilde.

Introduction : Aido est prêt à tout pour retrouver l'assassin de Kyôko, sa fiancée. Un jour, bien décidé, il part le traquer.

23 décembre : Noël arrive bientôt. Chaque année, pendant cette douce période, je laisse de côté mon humeur chagrine et je prends un air joyeux : je deviens particulièrement doux et affectueux envers mes proches. Enfin, quand je dis "mes proches", n'ayant plus de famille, je parle plutôt de Kyôko, ma tendre compagne. Aaah... quand je pense à elle, je sombre dans les ténèbres. Sous mes yeux, je l'ai vue se faire poignarder par un homme qui ne m'est pas inconnu : c'est son ex petit ami. Il était venu lui rendre ses comptes... La jeune femme n'a pas survécu. Pas étonnant, le sang, bien rouge, mais d'un rouge éblouissant, giclait de toutes parts. Il en recouvrait

tout le sol.

Je me jure de tout mettre en œuvre pour venger ma bien-aimée.


24 décembre : Les boutiques sont bombées en ce grand jour. Il faut dire que les gens achètent sans compter, si cela peut faire plaisir à leurs amis. La ville où j'habite est à quelques kilomètres d'un port. Je m'y rends sans tarder et j'embarque à bord d'un bateau incommensurable appelé Le Vénérant. C'est un bateau de luxe et il peut accueillir des milliers de personnes. Sa destination finale est la ville où demeure le meurtrier de Kyôko. Il y a beaucoup de monde à bord, qui font un vacarme assourdissant. Les bateaux me donnent la nausée et j'ai le mal de mer. Je n'ai pas le cœur à écrire. Je pense que je vais me reposer pour me changer les idées. Doucement et lentement, je m'assoupis.


Quelques heures plus tard : En me réveillant, je pense être le lendemain, mais en réalité, il n'est que midi passé. Je n'ai pas encore mangé. Les cuisines sont tout simplement gigantesques ! Ils ont embauché 10 cuisiniers, 3 goûteurs et une vingtaine de serveurs. On me tend un menu avec au moins 200 plats différents et j'opte pour le plus simple : steak-frites. Et à peine ai-je attendu deux minutes que devant moi se dressent une tonne de plats succulents, que je n'ai même pas commandés.  Je les dévore en un rien de temps. Le repas terminé, j'admire le sublime paysage. Je n'ai jamais rien vu d'aussi beau : au loin on peut apercevoir des paysages enneigés : tout est recouvert de neige. Le soleil, rare en cette saison, met en valeur les belles vagues bleu marine. Soudain j'aperçois une tour énorme de plus de trois mille mètres. Et d'un coup je pâlis : nous arrivons à destination. Mon voyage féerique prend bientôt fin.

- "Que tout le monde descende. Nous sommes arrivés."

Et une centaine de personnes se bousculent, impatients et nerveux. Une fois que je mets pied à terre, je sanglote. J'ai vécu tant de choses ici ! C'est ma ville natale... mais c'est aussi là que je vais commettre un crime odieux. J'ai bien conscience de ce que je vais faire, et bien déterminé, je fais un pas. Puis un autre. Et encore un autre. Chaque fois que j'avance, j'approche de mon but.


Nelly

Lundi 4 mars 1772

Je décide enfin de sortir de ma couchette, malgré le froid glacial qui m’entoure. Je monte sur le pont, pour pouvoir admirer cette mer bleu turquoise. Je suis partie de Norvège, ce pays si splendide, si extraordinaire, pour aller examiner, et étudier cette terre si inconnue à nos yeux : Le Pôle Nord. Mes braves compagnons et moi, pensons nous être perdus, car il y a déjà trois mois, que nous voguons sur ces eaux si froides sans pouvoir apercevoir une seule île à l’horizon. Nous ne mangeons que du poisson. Sur cette pensée, je m’endors dans ma couchette bleu azur.

 

Mardi 5 mars 1772

Une lumière aveuglante me réveille. Il est cinq heures du matin. L’un de mes compagnons accourt, il arrive si  vite, qu’il manque de me renverser. Il a découvert une île ! Ce n’était malheureusement pas le Pôle Nord, mais une toute petite île. Elle ressemble à un nuage posé sur l’eau, c’est magnifique ! Nous accostons, et nous descendons du bateau. Sur l’île, je trouve un ours polaire, dont le pelage brille, avec le soleil. J’ai mal au cœur de devoir tuer cette pauvre bête, mais je n’ai pas le choix. Je suis tout de même content, de remplir le ventre de tous mes compagnons. En fin de journée, nous décidons de reprendre la route. Sur le pont, je regarde à travers ma longue vue, et à ma grande surprise, je vois une autre île, beaucoup plus étendue, mes cette fois-ci, c’était bien le Pôle Nord.

Pauline.

Le voyage en Alaska

Lundi 1er octobre 1980

Je rêve de voyager, de pays en pays, de villes en villes.Comme Christophe Colomb, un voyage de découverte humanitaire, pleine d'actions. Je vais au marché, et je remarque une publicité :
-"Voyage en Alaska pour une personne, mais attention, un aller mais peut-être pas de retour!..."

Lundi 21 octobre 1980

Je suis dans un avion, en attente de l'atterrissage.
C'est le plus beau voyage de ma vie car je n'avais jamais pris l'avion auparavant.De mon siège, la vue est remarquable. J'essaye de dormir mais le brouhaha des hélices de l'avion m'en empêche.Le ciel clair et pur me fait imaginer l'Alaska.

Hugodb

Tiara, polynésienne âgée de quinze ans, après avoir lu Robinson Crusoé, sur un pur coup de folie décide d'aller elle aussi à la recherche d'une île déserte.

mercredi 4 août

Je commence à désespérer, pas la moindre île déserte en vue: soit des îles déjà habitées soit rien du tout. Et j'ai bien peur que mon radeau ne s'effondre: comme je l'ai construit moi

même avec, des écorces rugueuses, des feuilles de palmier séchées, je sais qu'il risque à tout moment de s'écrouler en plein océan à cause du remous incessant ! Bon, il faut que j'arrête

d'être négative, il me reste après tout suffisamment de provisions pour tenir une semaine alors j'ai bien le temps de la trouver mon île déserte!! Il se fait tard et je fatigue, je vais jeter mon

ancre de fortune : une grosse pierre attachée au bout d'un fil, j'espère qu'elle tiendra. En attendant, je dois dormir car il fait déjà nuit.

jeudi 5 août

Le jour se lève, la lumière réfléchie sur l'océan m'éblouit et là, mauvaise surprise, mon ancre a dû céder durant la nuit et je suis au milieu de nulle part sur l'Océan Pacifique, entourée de requins!

Je décide que coûte que coûte je m'en sortirai alors je rame péniblement et lentement mais j'avance...

2 heures de l'après-midi

Ca y est !! J'y suis! Je viens d'apercevoir un bout de terre dans ce bleu azur !! Plus je m'approche plus il me semble immense!! Et désert!! Peut être que dans mon malheur j'ai de la chance ?!

Je ne suis maintenant plus qu'à dix mètres et là, j'ai la confirmation de mes espoirs; il n'y a pas la moindre trace de civilisation urbaine ! Je respire enfin le parfum de la terre et de la végétation,

cela faisait si longtemps ! Malgré tout , ma solitude me dérange...Mais bon, si mon destin ressemble à celui de Robinson, je ne devrais pas rester seule longtemps, car après tout, demain

c'est Vendredi!

Alexia

15 janvier 3 600

8h00 : Je monte à bord du vol 346 à destination de la miraculeuse grotte flottante dans l'air, que l'on appelle aussi Lapiuta. Pour accéder à cette antre, il faut dans les alentours de quinze heures de vol. Nous sommes donc partis vers cette direction.


23h00 : Après toutes ces heures passées, nous sommes enfin arrivés sur Lapiuta. Ce voyage m'a épuisée maintenant je vais dormir.

16 janvier 3 600

7h00 : Ça y est, c'est le grand jour. Nous pouvons enfin découvrir ce qui se trouve dans la grotte. Je sors de ma chambre pour aller découvrir ce que nous pouvons visiter. Ils nous proposent d'admirer un zoo, tout à fait différent des autres parcs animaliers que nous pouvons voir dans la vie de tous les jours. Je me demande ce que nous trouverons.


8h00 : Et on y va pour la visite du zoo. Dès que j'ai reçu mon ticket, j'ai couru, en hâte de connaître les bestioles qui s'y trouvent. Alors, par quoi commence-t-on ? Tiens, par les oiseaux ! Ils sont d'une splendeur inimaginable, des phénix volent, ils sont de couleur framboise et jaune flamboyant. Puis à côté se tiennent des griffons brun fauve et blanc cassé, (créatures mi-aigle, mi-lion). Il y avait des rocks, on dirait des aigles géants. Puis à côté se trouvent les chimères, elles ont une couleur bleu lavande. Maintenant nous allons découvrir les chevaux : ils ont tous une tête de chevaux; les licornes sont des destriers à corne, les pégases à ailes et les sleipnirs ont huit pattes au lieu de quatre.


16h00 : Ça y est, je vais terminer la visite du parc avec les dragons : il y a toutes sortes de dragons comme ceux qui volent, ce sont des monstres de taille gigantesque avec des dents jaunes et aiguisées comme des couteaux. Mais les plus belles créatures de tout le zoo, ce sont les dragons chinois, de superbes serpents avec des pattes et une magnifique tête. Ils sont de couleurs bleu azur, bleu turquoise, blanc lumineux et jaune éclatant. J'en reste bouche bée.


Eloïse

Le journal de bord à la manière de C.Blain

13 Mars

Les jours et les nuits se confondent. Je dors deux heures chaque fois et je dors cinq à six fois par jour, comme un animal l'aurait fait. Et les autres ne me comprennent pas, ils viennent me réveiller dès que je commence à m'endormir. Quand cela se produit, une boule me monte jusqu'en haut de la tête, et je peine à la rattraper, car en tant que bon président, je dois absolument retenir ma colère. Et vice-versa, quand les autres présidents se couchent, je commence à me réveiller je vais prendre le café, puis m'asseoir tranquillement à regarder l'espace noir, à l'admirer tout en silence.

14-15 Mars

Cela fait une semaine que nous sommes dans l'espace. J'ai hâte de découvrir la planète Mars. Je pense que le fait que nous soyons au mois de Mars nous portera chance. Beaucoup de personnes sont malades à cause de cette température insupportable. Mais moi je suis pleine forme ce qui me rend un peu nerveux.  Ce que je ne comprends pas, c'est "comment les Martiens mangent des chips", car moi, si par erreur je lâche ma chips que je suis censé dévorer, elle vole. Je n'arrive jamais à la rattraper. C'est comme pour les cacahuètes, les pop-corn... Il fait très froid, on se serait cru dans un réfrigérateur. Mais c'est alors très pratique pour conserver les aliments. D'après le capitaine, on arrivera dans environ quatre semaines. Je suis vraiment très impatient. Et ce matin, par miracle, j'ai vu une belle cannette de Coca-Cola voler dans l'espace, juste devant notre vaisseau, dans l'obscurité. Alors je me suis tout de suite posé la question(c'était presque une conclusion): Les Martiens boivent-ils aussi du Coca-Cola?

Meixi

Jour 1. 10heure. 

J'ai encore mal à la tête à cause du nombre d'heure d'avion qui s'étaient écoulées. En arrivant à Rio De Janeiro, il était très tôt et je ne m'étais pas rendue compte de l'heure à cause du décalage horaire.

Maintenant il est 11h et je suis dans le taxi. Je n'ai pas encore chaud. L'air conditionné est presque trop froid. Je pense à la France, au froid. En observant tous ces bidonvilles à côté des maisons de luxe je me rends compte que la vie est injuste. J'aperçois au loin la mer. Elle est calme est transparente... Mais comme le taxi va vite je ne la vois bientôt plus. Je suis si fatiguée que je m'endors.

13h.

On me réveille, nous sommes encore en voiture. Mais sans qu'on m'en avertisse, je vois quelque chose de différent. Nous sommes arrivés ! La voiture se gare, j'ouvre la porte et la chaleur la plus forte que j'aie éprouvée de ma vie envahit tout mon être. Je visite une très belle maison sur la plage dans laquelle nous resterons deux semaines, je suis tellement fatiguée que je m'endors d'un sommeil profond 

jour 2. 10h

En me réveillant, j'entends des personnes parler, en guise de petit déjeuner, je prends une mangue que je déguste en regardant la mer. Nous nous promenons dans les rochers pendant que la mer est basse.

16h. 

Ici, on déjeune très tard, Il est bientôt 17h quand nous nous mettons à table. Ensuite je vais en ville à la recherche de quelqu'un que je connais. Je rencontre une française, quelle surprise ! Je me couche quand le soleil se lève, je fais un rêve, je rêve de Paris, De Paris qui me manque plus que jamais.

Esther

le 8 août :

        Nous sommes à Luc-sur-Mer. (en Normandie).

        Je suis allée me promener avec mes parents. On a fêté un anniversaire et nous sommes allés à la mer.

        A la baleine de Luc, (squelette), juste à côté de la mer, j'ai pris des photos de fleurs.

       Quelques bouquets montaient très haut. Il y avait aussi de très jolis paons et parmi tous ces paons, une femelle : elle était toute blanche et n'avait pas de queue. Dans le parc de la baleine se trouvait un petit magasin appelé " la maison de la baleine ou sont exposées des petites figurines de baleines ou encore de dauphins. Il y a aussi un endroit ou l'on peut écouter le chant de la baleine et regarder un petit film sur son naufrage ( le long de la plage de Luc). C'est beau et j'ai du plaisir à écouter le chant de la baleine.

       

             Le 9 août :

        Comme il faisait beau, je me suis baignée, l'eau était tiède, mais il n'y avait pas beaucoup de degrés d'écart entre la température de l'eau et la température de l'air. J'ai aussi ramassé des coquillages, certains étaient brillants grâce à la mer et d'autre étaient rêches et enfouis dans le sable.

        J'ai aussi trouvé quelques galets tout plats, ou parfois tout ronds. A Luc, la mer est bleu marine avec des bateaux blanc pâle qui voguent sur les vagues. Les planches des enfants glissent sur le sable poli par la mer.

       Quand le drapeau est orange éclatant, la mer est à moitié déchaînée, mais les vagues sont énormes. Si je vais dans la mer contre ces énormes vagues, je ne tiens pas debout et je tombe dans les cailloux enfouis sous l'eau. ça fait mal! mais la vue du coucher de soleil est magnifique.

Thiffany

24 novembre

Ca y est, l'avion décolle ! Lentement, il s'élève dans le ciel, aujourd'hui d'un bleu azur, et s'éloigne de l'aéroport. Quelques heures plus tard, je foule enfin la terre ocre de la Grèce. Le guide de la visite nous demande, le groupe et moi, de le suivre dans le bus qui nous attendait. Et c'est quelques minutes plus tard que nous voyons Athènes, rayonnante d'une lumière orangée créée par le soleil couchant.

25-26 novembre

Nous avons dormi dans un hôtel en plein coeur d' Athènes Le guide nous a réveillés très tôt. En ce moment, nous visitons un théatre à Epidaure. Cet après-midi, nous irons voir Mycènes où nous avons pu admirer la porte des Lionnes et le tombeau d' Agamemnon qui, selon la légende, aurait pris part à la guerre de Troie. Le lendemain, nous irons à Mysthra visiter ses fabuleuses églises de l'époque byzantine. Tout cela a l'air exceptionnel, mais j'attendais surtout Olympie et l'Olympe, montagne arrondie d'un vert émeraude...

Sebastien

 

1.En Visite au Caire.

13 juin

8h00 J'ai du mal à rester debout. La mer n'est pas tranquille aujourd'hui. Elle est d'une couleur bleu roi et son écume, blanc cassé. Cela fait trois jours que je navigue en direction de l'Egypte. Je vois enfin le phare d'Alexandrie. Je dois y faire escale pour me rendre au Caire. Je dois y être présente pour l'ouverture du musée. Je suis archéologue à Marseille, mais je suis aussi danseuse étoile de Ballet !

12h00 Je n'ai pas le temps de manger. Nous venons d'accoster à Alexandrie. C'est le jour du marché et il y a plein de petits stands avec des statuettes que je dévore des yeux. Pour me rendre au Caire, je loue une caravane de chameaux à un égyptien nommé Ramsès. C'est la première fois que je monte sur un chameau.Et me voici partie !

19h00 Je suis morte de faim. J'ai mal au dos à force de me tortiller sur mon chameau. Les dunes de sable jaune sont raides. Heureusement, nous nous arrêtons dans un petit village aux huttes en bois. Les personnes sont très accueillantes et elles nous offrent un énorme couscous. Je le dévore en un rien de temps !

21h00 Allez, il est tard, le ciel est obscur mai parsemé d'étoiles. Il faut que j'aille me coucher.

14 juin

7h00 On me réveille de bonne heure en me disant que nous avons encore pas mal de route à faire. Je mange du pain qui est tout juste cuit. Je n'ai plus faim et je remonte sur mon chameau. Et me voilà repartie pour quatre heures de tortillements ! Sur mon chameau, je regarde le ciel d'une couleur rose nacré.

11h00

La promenade à chameau est géniale, mais j'ai le dos mal en point. J'ai une heure d'avance avant l'ouverture du musée. J'en profite pour regarder le Nil. Il est d'un bleu turquoise. J'aperçois des barques de pêcheur. Elles sont très jolies. D'un coup,j'entends de la musique classique mélodieuse venant d'un bateau. Je m'approche et vois une affiche :

                                                                                  " RECRUTEMENT DE DANSEUSES "

           Je me dis que je vais tenter le coup et je rentre dans le bateau. Je m'inscris et passe mon examen. Je réussis bien mon arabesque. D'habitude j'ai très mal aux pieds sur pointes et je n'en peu plus. Là je n'ai pas si mal... Je passe prendre les résultats à 14h00.

12h00 Je me rends au musée. On dirait un grand temple de pierre beige clair. Il est magnifique ! Le propriétaire du musée fait un long discours sur les expositions, c'est passionnant !

14h00 Je viens d'avoir les résultats de l'examen de Ballet. Je suis une danseuse étoile du Ballet d'Egypte ! Pour fêter cela, je vais faire bombance : je passe à l'épicerie pour m'acheter des légumes, des fruits, du pain, plein de succlentes choses. Je me promène à travers les pyramides de Gizeh tout en prenant des photos. C'est splendide !

18h00 Je passe une superbe journée ! J'appelle mes parents pour leurs dire que je suis, maintenant, une danseuse de Ballet d'Egypte! Ils sont fous de joie. Je suis très contente. Je vais rester encore quelques semaines en Egypte pour fouiller les pyramides de Gizeh et pour prendre quelques cours de danse. 

    Isciane

En 1898 le capitaine Jack Rowling, des chercheurs anglais et son équipage sont en route vers l’île Maurice à bord de son fidèle navire le phénix. Cap sur l’Océan Indien pour découvrir un oiseaux rare qui n’existe qu’à l’île Maurice, le dodo.

6 Décembre 1898 :
Les jours n’en finissent plus. Il n’y a de place que pour le froid. L’île semble tellement loin, que je me demande parfois si nous arriverons vraiment. Je m’ennuie, je passe mes journées sur le pont à penser à ma famille , mais aujourd’hui ma journée n’est pas comme les autres. Lorsque je m’apprête à aller prendre de quoi me nourrir j’entends « Terre en vue ! ». Mais c’est alors que le ciel devient noir , sombre et effrayant. C’était ce que je redoute le plus, une éclipse et en pleine mer. Tout le monde est pris de panique et d’angoisse , tout le monde sauf moi, je savais que ce jour arriverait , c’est pourquoi j’avais prévenue mon équipage de toujours avoir dans leurs poches des allumettes . Et c’est alors que je cris « Stop, que personne ne bouge, allumez une torche et mettez-vous à votre poste , l’éclipse est bientôt finie. » Et tout à coup l’éclipse s’en aller puis je dis « Nous voilà débarrassés , nous attendrons l’aube pour visite la terre inconnue. »

7 Décembre 1898 :
Nous partons de bonne heure, le froid n’est plus là. Mon pied touche enfin la terre ferme. Un vent doux me caresse l’oreille, il fait bon, la température est agréable. L’île me semble déserte, elle est remplie de palmiers , d’arbres… Cette île est calme et rassurante. Tout à coup je vois un bananier, je me précipite vers les bananes pour n’en faire qu’une bouchée. Lorsque la banane est dans ma bouche son goût si sucré, si bon me change des habituels repas pain et soupe. C’est alors que j'ai une idée  pourquoi ne pas s’installer quelque jour sur cette île, ceci pour nous permettre de nous reposer et de découvrir cette terre qui m’est inconnue ? Alors je donne l’ordre d’installer le camp . Un soupçon d’espoir revit en moi.

Chelsea

Lundi 8 septembre

Cela fait déjà dix jours que j’ai quitté Panama (et son prestigieux canal rappelons-le) pour rallier l’île de Pâques.

En temps normal, j’aurais dû passer tout mon voyage par-dessus les petits filets blancs de mon first 24, tous mes sens en éveil, à sentir le vent fouetter mon visage. Mais là, seul sur mon bateau, j’étais trop occupé à barrer, régler mes voiles et calculer ma route. Donc trop occupé à penser aux choses importantes (bien que si on a le mal de mer on s’en préoccupe énormément).

Ça y est presque : selon ma carte et ma boussole, je suis tout près de toucher au but et pouvoir m’y installer définitivement. Je pourrais admirer chaque jour les Moaïs.

A mon avis, il me reste un jour de navigation. Il fait nuit quand je vais me coucher entouré d’un magnifique noir d’encre.

Mardi 9 septembre

C’est bon, il me reste cinquante miles marins avant d’arriver à destination. L’avantage de mon bateau est le fait qu’il est « hybride », mi-quillard, mi-dériveur. Donc je peux approcher facilement de la rive.

Mon rêve d’enfant se réalise enfin : je vais vivre sur une île presque déserte, 3100 habitants seulement, environ. J’avais lu cela dans un livre intitulé : «Atlas des îles abandonnées ».

Je sens le climat se réchauffer. Je sais que je dois arriver aujourd’hui. Il est déjà dix heures du matin quand je pars sous un soleil de plomb et une belle brise.

Je sens tout à coup une force m’attirer et je me souviens des paroles que mon père m’avait dites lorsque j’étais enfant : « Tous mes copains qui sont allés sur l’île de Pâques ont senti une force bizarre». Il avait raison.

Quand je sors de mes rêveries, mon premier réflexe est de regarder ma montre. Il est dix heures du soir. Je suis tout excité : l’île est à cent mètres, seulement.

Martin

lundi 4 septembre 2009

A 15 h Je suis allé à la plage,la mer est bleu turquoise et le sable jaune pâle. A 17h je suis allé pêcher dans le bateau de mon oncle vers le large.Du haut du bateau j'ai pu apercevoir des poissons remarquables. J'ai été émerveillé par ces couleurs multiples de poissons. J'ai attrapé 10 kg de poissons. Cette journée fut fascinante.

lundi 11 septembre 2009

Une semaine plus tard je suis parti en montagne dans le massif central.La neige était blanc cassé le ciel dégagé cette station était très jolie. Je suis monté au sommet pour skier la neige fut splendide,très agréable. J'ai loué un chalet juste en dessous des pistes de la station. Le chalet était magnifique aussi bien à l'intérieur qu'a l'extérieur avec un parfum délicieux.

Jérémie

18 août

Corse: je pars à pied dans le massif des Agriates en direction de Saint Florent , pour deux jours . Il fait chaud , il fait 35° à l' ombre . Je monte le premier col, il y a peu de végétaux , le maquis est brûlé par endroit. Je bois beaucoup d' eau de peur de ne pas faire la distance. Je croise des sangliers. J'ai  donc l' idée d'en chasser un pour ce soir. Je prépare une lance avec un long bâton de bois et une pierre tranchante comme un rasoir. Un morceau de ficelle fixe les deux matériaux. Arrivé au sommet je monte ma tente puis je vais chasser. Je mets une heure avant de trouver mon premier sanglier. J' utilise toutes mes forces pour le tuer. Affamé je retourne à mon camp , fais le feu et fais cuire un cuissot de sanglier avant d'aller me coucher, le ventre plein.

19 août

Au petit matin , le soleil chauffe sur ma tente je décide de ranger mon campement et de continuer mon voyage vers Saint Florent . Je replie mon couchage et continue donc ma route . Il ne me reste plus  qu'une dizaine de kilomètres avant Saint-Florent, mais je n'ai presque plus d'eau. Il me faut aller au plus vite avant que la température ne soit trop élevée. Je croise une route que je décide de suivre. Quand une voiture arrive, trop fatigué, je décide alors d'y monter pour rejoindre Saint-Florent plus rapidement.

Maxym




Avec la classe nous faisons une sortie en forêt et nous regardons une fourmilière. Je regarde tellement longtemps, que la classe partit sans moi.

jour 1

Je suis perdu dans les bois. Rien qu'un petit craquement de feuille me fait sursauter. Je commence à construire ma " base" dans un arbre. Ce n'était pas facile. Je réussis à finir le sol et l'échelle pour grimper. Je monte puis dors.

jour 2

Je n'ai pas bien dormi de peur de tomber,que des animaux grimpent ou que l'arbre ne casse. Pendant que je me levais doucement,un bruit sourd comme le son du tonnerre. Mon échelle s'est fait détruire par la charge d'un sanglier. Je ne peux plus descendre. J'ai eu l'idée de couper les branches au dessus de ma tête et de me fabriquer une échelle.

Alexandre
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5 août 1924

Je m'apprête à traverser l'Atlantique. Mon avion sera prêt demain et mon frère prépare ses bagages. On a déplacé l'avion dans la grande plaine, puis je me couche dans l'herbe. Il est 20h30 quand mon frère m'apporte le dîner. Dans le panier il y a du pain, une tomate et une pomme. Après avoir mangé, je m'endors dans la plaine verdoyante avec un vieux poste de radio sous le ciel bleu foncé.

 16 août 1924, 10h00

Ca y est! il est temps de partir. Ma famille est venue me dire au revoir. Après avoir décollé, j'ai regardé ma famille jusqu'à ne plus les voir. Après 9h00 d'avion, j'aperçois une côte au loin. L'Amérique. 

pierre

lundi 4 septembre 2009

C ' était un voyage dans le sud de la France.
A 15 h Je suis allé à la plage,la mer était bleu turquoise et le sable jaune pâle.
A 17h je suis allé pêcher dans le bateau de mon oncle vers le large.Du haut du bateau j'ai pu apercevoir des poissons remarquables.
J'ai été émerveillé par ces couleurs multiple de poissons. J'ai attrapé 10 kg de poissons. Cette journée fut fascinante.

lundi 11 septembre 2009

Une semaine plus tard je suis parti en montagne dans le massif central.
La neige était blanc cassé, le ciel dégagé, cette station était très jolie.
Je suis monté au sommet pour skier la neige fut splendide,très agréable.
J'ai loué un chalet juste en dessous des pistes de la station.
Le chalet était magnifique aussi bien à l'intérieur qu'a l'extérieur avec un parfum délicieux. Ce séjour au ski était très bien.

Jérémie




UN MERVEILLEUX VOYAGE

5 Juillet :

10h40 : Je pars de ma ville préférée pour découvrir le pays de mes rêves. Les premières heures d’avion sont si belles que l’on se croirait au paradis.

11h50 : Là c’est moins le paradis mais ça va encore. Quelques secousses par ci et par là.

13h20 : Enfin… Plus de tremblement. Je peux profiter de ce splendide paysage du haut de mes 1500 m sans avoir mal au cœur. Les maisons, les habitants et les voitures sont si petits.

20h30 : Je me suis un peu un peu reposée mais j’ai beaucoup rêvé à propos de ce magnifique pays que j’allais découvrir.

6 Juillet :

09h00 : Et voilà ! On commence à voir l’Italie. C’est encore plus beau que je le pensais.

12h30 : On atterrit un peu brusquement mais on atterrit. Je descends de cet énorme appareil. Voici tous mes amis qui m’attendent et je vais enfin découvrir ce paradis et fêter mon anniversaire.

Lucie

3 Mai 1992
10h50
Je prend le bateau de Serrès ( une ville en Grèce ) pour aller en Égypte. Je suis avec mes collègues amarinés. Il fait chaud et le vent est lourd.
11h01
Sur le bateau on nous prépare à manger, je sent déjà l'odeur (bien, mais une exhalaison sent mauvais. Un autre mot est possible) du repas de midi. En attendant le déjeuner, je vais sur le pont puis je regarde l'étendue magnifique de la mer. On m'appelle pour manger.
12h02
Je mange, je ricane (familier) et j'imagine le paysage du lieu où je me dirige. Quand vient l'heure du dessert je me dis que ce serait délicieux. Le goût de l'entremet sur mes papilles est d'une sécheresse pas possible.
14h05
Je sors de table, je range mon assiette après l'avoir lavée. Je sors alors de la cuisine et je me dirige dans ma couchette. Le bateau tangue dans tous les sens que j'en suis malade.
16h05
J'ai enfin réussi à m'endormir pendant deux heures avec cet état là. On m'appelle pour aller sur le pont d'envol car il a une éclipse aveuglante. C'est beau.
18h07
Nous arrivons  sur le port prêt à accoster. Nous descendons, mes collègues et moi-même du bateau. Nous partons ensuite en train direction Memphis.
4 Mai 1992
Nous sommes enfin arrivés a Memphis. Après les transports, le réconfort. Je mange des pâtisseries arabes. ponctuation Un vent chaleureux et torride  nous frappes en pleine tête.
11h00
Mes amis et moi-même partons pour une visite archéologique dans le Sahara. On est sur dos de chameaux. L'eau est rare comme de l'or.
12h50
Nous partons de la visite pour manger et jouer à un jeux d'origine Égyptienne ( le senet ).
13h50
Nous sommes rentrés pour manger du pigeon grillé avec des légumes du genre lentilles, fèves, oignons et concombre...Au dessert nous avons des dates et des figues...
14h30
Nous jouons au senet, j'ai perdu mais un des mes collègues a gagné.
15h00
Nous disons au revoir aux habitants qui nous ont accueillis chaleureusement.
17h36
On a failli louper (familier)le bateau de justesse. Nous sommes sur le pont d'envol du bateau pour verser notre dernière larme au fond de nous.
19h00
On est arrivés en Grèce avec pleins de cadeaux de Memphis pour nos amis et notre famille. Ce que je retiens de ce voyage c'est le magnifique paysage du Sahara.

Marie B.

 

WEEK-END EN NORMANDIE

11 Septembre

13 h :

Nous sommes dans la voiture, les bagages sont rangés, nous partons en famille en Normandie. En sortant de la ville les immeubles et les maisons laissent place à l’autoroute entourée de champs s’étendant à perte de vue avec des couleurs chaudes et tendres. J’aime la Beauce avec ses grands champs de blé.En sortant de l’autoroute, arrivée dans le Perche, les routes sont étroites et sinueuses. A la place des vastes champs, je me réjouis de voir les collines et leurs bocages, et la forêt qui domine la colline.

15h :

Nous franchissons la rivière grâce à un petit pont ; nous sommes enfin arrivés. En rentrant dans la maison, je pose mes affaires et sors chercher du bois pour faire un feu. Ce feu qui crépite, réchauffe l’atmosphère humide de la pièce principale et que l’on ne se lasse pas de regarder.

12 Septembre :

En me levant, je me dépêche de mettre mes bottes et de descendre pour aller dans le jardin.Le matin, la nature est à moi, tout le monde dort encore. L’air est pur, le soleil vient de se lever au-dessus de la colline, et les oiseaux chantent à tue- tête. La rosée reflète les rayons du soleil, les lapins à mon arrivée s’enfuient en bondissant.

C’est un bonheur !!!


Jean




Lundi 2 août

  Midi

J'arrive à Las Vegas aux Etats Unis après un long voyage en avion assourdissant. Puis je prends un taxi pour me rendre au Bellagio. Je pose mes valises et pars déjeuner.

  21 heures

Après cette journée fabuleuse, je me dirige vers les casinos. Ils sont fascinants et flamboyants, en entrant dans chacun je visite un pays différent, l'Egypte dans le Luxor, Venise dans le Venetian... mais dans chaque la même chose reste, c'est la mélodie des pièces qui tombent des machines à sous. Tout ce brouhaha m'épuisent. Je ferais mieux d'aller me coucher.

     

  Mardi 3 août

Je me réveille avec un mal de tête à cause du vacarme d'hier soir. Il est temps pour moi d'aller prendre l'air. Me voilà arrivé au Venetian.

J'évite la salle des machines. Je me promène à l'intérieur en contemplant un bassin sur lequel des gondoles naviguent. J'arrive sur une place où je suis hypnotisée par un chanteur dont on se laisse volontiers bercer par sa voie charmeuse.

  Minuit

Mon séjour se termine ici. Je trouve qu'il était trop court. Mais je suis bien obligée de repartir pour New York où m'attend du travail.

Lise




1er jour , 20 janvier , 3h du matin :

Ce matin , l'avion décolle à 3h30 du matin pour aller du nord-ouest de l'Alaska au sud -est de l'océan glacial Arctique . Nous serons quatre dans l'avion, un petit avion qui est conçu pour traverser des zones de chocs.

3h30 du matin : l'avion décolle dans ce terrible froid. Normalement, il  devrait atterrir dans quatre jours même si ce n'est pas très loin. Comme l'avion est glacé, il vole lentement.

5h30 du matin : Après deux heures de vol , il neige et l'avion est à moitié gelé , je suis malade car il y a des grosses turbulences , je n'arrive pas à tenir sur mon siège . 12h : la neige s'est arrêter de tomber et il n'y a plus de turbulences donc je mange mon repas chauffé par le micro-onde ça m'a réchauffé . 22h : il y a une aurore boréale et c'est magnifique toutes ces couleurs , mais pour nous permettre à chacun de dormir , nous avons mis la fonction d'auto pilotage de l'avion qui ne dure que quatre heures .

2ème jour : 21 janvier 4h du matin :

Je me réveille à l'aube et c'est magnifique le lever du soleil , il neige un petit peu et le soleil orange reflète sur les bouts de glace qu'il y a sur la mer et aussi sur les plus gros Icebergs. 12h : il fait plus froid qu'hier à bord de l'avion et comme il n' y a plus d'électricité , notre repas est congelé , mais ce soir le courant devrait revenir , j'ai faim.

21h : le courant  est revenu et il y a à nouveau du chauffage et un micro-onde , c'est la joie à bord et nous mangeons bien  , cette nuit va être perturbée à cause des turbulences , mais je suis fatigué et je vais aller me coucher.

Guillaume P.



Introduction:un jeune homme nommé Peter Smith s'engage à protéger sa patrie a dix-sept ans contre les allemands,il est américain.

14juin1914:

On apprend à mon régiment que la guerre a éclaté entre la France et l'Allemagne et que nous devons nous y rendre pour prêter mains forte à nos alliés les Français.Nous embarquons dans le premier convoi maritime. Il fait froid,sombre nous sommes secoués par ces vagues aussi déchaînés qu'un lion sur sa proie. Nous sommes environs trente par convoi. Nous voyons ce ciel gris et morose. Il tombe une pluie torrentielle,diluvienne. Nous commençons a avoir peur. A la radio on apprend à notre équipage qu'un bombardier ennemi arrive sur nous. Le sergent-chef nous ordonne de nous arrêter. Une heure plus tard, nous apprenons soulagé que le bombardier a rebroussé chemin.

15juin1914:

Nous allons bientôt arriver, nous avons tous la peur au ventre mais nous avons également tous un grand courage pour ne pas craquer. Soudain,les vagues se déchainent encore plus à tel point que nous avons peur que le bateau ne tienne pas. Une vague d'éclair surgît,se spectacle est désolant nous avons reçu un coups au moral. Nous arrivons,le paysage est sombre : la terre désolée meurtrie par les bombardements, les tirs partent de tous les côtés nous devons nous rendre dans la première tranchée, j'ai peur mais je garde mon sang froid.

Christian

1er Février

Plus personne ne tient en place. Ma petite sœur Capucine court partout en criant : « Mar… Mar… Martinique ! ». C’est assourdissant mais je ris de bonheur. Assise sur une chaise, je regarde le jardin. Il a gelé et mes fleurs n’ont pas résisté. Soudain quelque chose heurte mon dos. C’est encore Capucine, surexcitée, qui jette son doudou à travers toute la pièce. Je relis une dernière fois mon inventaire mais je suis distraite par un mouvement de l’autre côté de la vitre. Je suis le trajet d’un rouge-gorge à la recherche de baies figées dans le givre.

2 Février

Montée sur le bateau, je n’ai qu’une envie, m’enfermer dans ma cabine et imaginer ma cousine Claudia. Elle doit avoir changé, depuis deux ans qu’elle est partie habiter à Fort-de France ! Je somnole presque quand ma sœur Leslie vient me voir et me dire que c’est l’heure de déjeuner. A contrecœur,  je me lève et je vais m’asseoir sur un banc peu confortable. Au menu, paella. Capucine pousse un « BEURK ». Je n’ai pas le temps d’avaler ma première bouchée que le Capitaine nous informe qu’à tribord, nous pouvons observer un banc de poissons fameux. Ce sont des colins. Nous revenons à table, je mange rapidement mon plat et demande le dessert : glace au chocolat. Je la fais fondre sur ma langue. C’est bon…

Je sors de table, mais je ne retourne à ma cabine car Leslie cherche quelqu’un pour jouer aux dames. Je n’aime pas ce jeu, mais j’aime bien Leslie. Je cours vers elle quand un bruit me fait sursauter. La mer se réveille visiblement et le Capitaine a crié : « A ce rythme-là, on arrive dans trois jours et demi. »

                                                                                                                                                                                                                                    Clara T.

3 Décembre 2011

13h30 :

Ma valise est enfin terminée, c’est étonnant, elle ne contient que des affaires d’été alors que nous sommes en plein hiver. Le ciel est tellement gris, et il fait si froid que j’ai du mal à imaginer ce qu’il m’attend dans quelques heures.
18h : À partir de là, tout c’est précipité, je me rappelle encore la neige qui crisse sous mes pieds, l’attente interminable du taxi, les embouteillages dus au mauvais temps, la bousculade pendant l’enregistrement, le retard de l’avion, mais nous avons fini par décoller, il est déjà vingt-deux heures. 8h de vol m’attendent, un mélange d’excitation, et de fatigue m’empêche de dormir.

4 Décembre 2011

6h du matin :

La majorité des voyageurs empoigne leurs bagages à main tout en baillant, et titube jusqu’à la sortie. Pour ma part, je suis bien réveillée, bien que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit. J’ai hâte de passé la porte de l’avion. J’y suis ! Une odeur que je ne connais pas m’assaillit, l’humidité, la chaleur, la faune de ce pays situé en dessous de l’équateur, le Gabon. Mes yeux ont du mal à s’accommoder à la luminosité ambiante. J’aperçois un ciel magnifique, mais revenons sur terre et descendons la passerelle. Je cherche dans la foule mon cousin, que je distingue parmi les centaines de voyageurs. Nous arrivons à nous rejoindre, et nous sommes si contents. Je sais à partir de là, que l’aventure commence, je vais pouvoir découvrir grâce à lui, un pays et une culture qui me sont inconnus.

Andréa


50ème jour

Mon beau bateau vogue vers l’Antarctique. Tout devient blanc autour de moi, d’un blanc avec des reflets argentés. Le ciel bleu azur dans la lumière orangée du lever du soleil est magnifique. Je mange peu, je vomis presque tout, je vomis beaucoup. Comme passe-temps, je pêche. Ce matin, j’ai attrapé un camarade avec mon hameçon doré, je lui ai arraché l’oreille, ça arrive. Et à midi, un matelot a mangé un poisson avec un hameçon argenté dedans. Je m’ennuie, on a confisqué et jeté par-dessus bord ma canne à pêche…

Heureusement, j’ai un nouveau passe-temps, je tire sur les oiseaux aux magnifiques couleurs ! Mais ce soir, je tire sur un marin, il est blessé et ma carabine à mille euros rejoint ma canne à pêche.

60ème jour

Nous approchons des côtes de l’Antarctique. Ce matin, un énorme ours blanc avec une fourrure digne d’un dieu qui passait par là, embarque et fait des ravages. Peu après, la barrière gelée se casse et un marin tombe, brise la glace et se noie dans l’eau glaciale. Ensuite, un iceberg énorme mais tellement charmant avec ses reflets argentés nous rentre dedans et nous coulons à moitié. Puis, des pirates malodorants et très mal éduqués arrivent et finissent le travail.

Nous arrivons enfin à notre destination sous forme d’épave. Au début, nous étions 30, et maintenant, nous sommes 6. Ah, j’allais oublier, mon bateau s’appelle Le Titanic 2.

Guillaume H

2Mai,le soir

Je m’ennuie dans l’avion. Je bois de temps en temps. J’ai hâte d’arriver à Chicago, et je vais me coucher.

3Mai,le matin
La journée va être longue, je vais manger des confiseries. J’ouvre la fenêtre
et aperçois comme un océan de nuages en dessous de l’avion avec de grosses vagues blanches montantes et descendantes au fil du temps.

3Mai,le midi
Nous arrivons dans une heure. Ce midi nous mangeons des sandwichs mais j’ai encore faim. Il est l’heure, j’attache ma ceinture. Nous entendons d’ici le train d’atterrissage de l’avion et en sortons peu après.

3Mai,le soir
Les grands immeubles de Chicago ressemblent à de gros glaciers reflétant le soleil couchant et menaçant de s’effondrer. Nous prenons un taxi et allons à notre hôtel. J’ai encore faim.

          Guillaume


.....Alors que je n'avais que six ans et demi, je suis parti avec ma mère, mon père ainsi que ma grande soeur en Amazonie.

Voici alors contés dans ce récit deux jours de mon aventure dans ce pays qui, j'espère, vous donnera envie.

18 mars 2004

.....Alors que le soleil est déjà levé depuis deux heures, nous arrivons en Amazonie près d'un village appelé Biza. Les habitants de celui-ci portent le nom de bizassiens et de bizassiennes. Biza est située entre une immense cascade bleu azur et une incroyable forêt sauvage, remplie d'une végétation verdoyante et luxuriante. Les villageois sont très chaleureux et le chef de leur tribu décide de nous accueillir chez lui pour la nuit. La femme, dans le but de nous faire plaisir, nous prépare des spécialités du village. Elles sont pleines de saveurs et de parfums qui nous donnent, rien qu'à l'odeur, l'eau à la bouche. Après ce festival pour nos pailles gustatives, nous avons enfin pu trouver du repos dans nos rêves d'une prochaine aventure.

19 mars 2004

.....Au matin, je me réveille épuisé par la nuit passée, les matelas n'étaient pas confortables, de plus je me suis fait dévorer par des moustiques gros comme des pigeons. Néanmoins, le souvenir impérissable de celle-ci efface largement les désagrément rencontrés. Aujourd'hui, c'est une pure, folie, nous sommes aller pêcher, chasser, cueillir comme le font les Bizassiens, mais aussi goûter et cuisiner les poissons et les fruits que nous avons pris. Je me suis alors aperçu que la nourriture est bien meilleure quand c'est nous-mêmes qui la recherchons. Après ce moment riche en action et en émotion, nous sommes partis vers un autre village nommé Ehonon. Sur notre chemin en direction de celui-ci, plein d'insectes et d'animaux plus étonnants les uns que les autres. Cela nous prouve que ce n'est que le début d'une aventure extraordinaire.

Gaël


Juillet 1984

.....Je m'appelle Christophe Lafon. Je vis en Australie avec mes parents. J'ai vingt-six ans et j'écris ce passage de ma vie car je suis coincé dans une mine d'opales avec deux collègues. le mur s'est écroulé et cela fait maintenant quatre heures que Nicolas, Louis et moi sommes bloqués dans une grotte sombre et humide comme la nuit.

.....Nous avons tout essayé : taper dans les murs, crier, téléphoner... Mais rien à faire, personne ne répond et nous voyons au travers des éboulis le soleil se coucher. Une nuit s'est déjà écoulée et le lendemain matin toujours personne. Nous revoyons défiler le temps en ayant très faim.

Arthur.