Gauthier s’approchait du château à pas lents et réguliers. Il avait peur et n’osait pas aller plus loin. Devant lui se dressait un immense château, couvert de vignes mortes, des fenêtres brisées et le pont-levis pourri par les années passées. De loin on entendait l’écroulement des pierres. Par contre aucun signe de vie : pas de cris d’enfants, pas de chansons des cloches, non, rien.

      Il n’aurait jamais le courage de mettre les pieds dans cette enceinte hantée. Même les murs montraient qu’il ne fallait pas y pénétrer. Gauthier tourna son cheval et repartit.


Diane V.

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     La mer est agitée , il y a plein de remous . Le brouillard m'empêche de voir au loin . Le ciel est bas , je ne pense pas arriver à temps sur l'île . Tout à coup j'aperçois un bateau de pêche , je suis peut-être à l'arrivée, non , toujours rien . Mais le ciel se dégage . Soudain une lumière . Ce doit être un phare , je m'approche encore . Les bateaux commencent à être moins rares, ainsi que les mouettes . Je pense alors que je m'approche d'un port . Tout à coup je tombe en panne . Je demande alors à un autre bateau s'il peut me rendre service . Le ciel est bleu , mais la mer est toujours agitée ; au loin j'aperçois une montagne qui s'étend sur toute ma vue . C'est alors que je vois le port. Je me rends donc sur l'île .

Camille

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      Au petit matin, ce jardin était couvert d'une rosée arrivée tôt, quand le soleil se leva lentement. Le bruit harmonieux des oiseaux pouvait se faire entendre, à travers le feuillage des arbres. Le sol était tapissé de fougères et des pétales de roses jonchaient le sol. Une odeur délicate pouvait se faire sentir. Etait-ce un sapin? Non, cette odeur était inconnue. Ce parfum envoutant provenait d'un saule pleureur. Une odeur d'amande fraîche pouvait alors venir vous chatouiller les narines, car au pied de cet arbre se trouvaient trois petits amandiers. Tout au fond de ce paradis sur terre se trouvait une roche qui pointait la lune, qui commençait à partir, se dissimulant derrière de nombreux nuages qui venaient de s'élever...

Clarisse B.

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      Je vois défiler une chaîne de collines. Des oiseaux prenaient leur envol. Quand nous remontons une côte, un lac a pris place sous le pont qui le traverse. Avant d'atteindre le tunnel, un feu tricolore se déplace verticalement car il y a des voitures qui traversent les rails de notre train. Soudain, des vaches et autres animaux apparaissent. Ils se dressaient dans les champs de blés. En fuyant, le champ, le berger... Je ne peux pas voir ce qu'il fait, car immédiatement, le paysage de transforme. On plonge directement dans un petit village. Mais ce changement ne dure qu'un clin d'oeil ! Ainsi, le paysage de la campagne se referme sur lui...  

 Cynthia A.

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      Depuis la fenêtre du train,je vois défiler une forêt où les fleurs poussent sur chacun de ses arbres. Je longe une rivière, dans laquelle plonge un cygne fuyant le train. Près du cygne, je vois un canard qui remonte à la surface de l'eau , avec dans son bec un pétale de rose. Dans un nid,en haut d'un arbre, se trouvent deux oiseaux qui referment leur yeux paisiblement pour s'endormir . 


M.D.L.B

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     Par la fenêtre du train, je vois défiler le paysage de la campagne, les chevaux qui remontent les collines, le ciel bleu sans un nuage. Une petite chaumière était située en haut d’une des ses collines. Soudain un essaim d’oies se déplace verticalement comme pour attaquer une éventuelle proie. Un lièvre fuyant dans les bois effrayé par tous ces oiseaux. L'un d'eux se pose sur l’eau et y plonge sa tête pour pêcher un poisson. L’oiseau l'a attrapé et se cache pour éviter de se faire piquer son dîner. Quel beau paysage !

Chloé L.

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Cependant, les vastes plaines s'éloignent de plus en plus.

mais on peut encore percevoir des petits étangs grouillant de

petites bestioles et de pêcheurs assis sur des souches. En un

battement de paupières tout disparut, les étangs, les bestioles

et les pêcheurs.

Aymeric G.

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