Le cinéma sonore prend de l’ampleur avec des professionnels du cinéma muet qui s’y adapte très vite. Comme Charlie Chaplin avec son premier film sonore : Modern Times puis parlant : The Dictator. D’autres ont plus de mal à s’y adapter comme Buster Keaton.

Avec le cinéma sonore, deux catégories de registres sonore font leur arrivée :

 

Diégétique : ce sont les sons qui sont présents dans l'histoire et peuvent être entendus par les personnages. 

 

Extra Diégétique : Ce sont tous les sons qui sont rajoutés à l'histoire et donc pas perceptible par le personnage lui-même.

 

 

Faisons le point sur ces notions à l'aide de cette vidéo :

 

Plus les années avancent et plus le son s'améliore et devient essentiel dans le monde du cinéma, que ce soit pour les dialogues mais aussi pour l'ambiance. Il est plus facile de se projeter dans un film qui a du son. Dans cet extrait du film Le Grand Bleu de Luc Besson, la musique fait toute la différence, on comprend ce qui se passe rien qu'en écoutant.

La musique de film :

 

Dans ce documentaire, ces sons nous donnent l'impression d'être sous l'eau et la musique douce permet au spectateur de se sentir bien "dans l'eau".

 

On peut dire que le son fait partie du décor car beaucoup de décor sont mis en place par une musique puis l'image, on peut fermer les yeux et comprendre le film.