Les haïkus des 6e3
Par Aurélie de Mattéis (Collège Pablo Picasso, Montesson) le 20 avril 2018, 13:43 - La poésie et nous - Lien permanent
Les vagues,
s’écrasent contre le sable
comme un orage tropical
La bruit de la mer c’est comme
ma mère qui me
sert fort dans ses bras
les noix de coco qui se jettent
sur le sable
comme des oiseux mort qui tombent du ciel
L’ océan est comme
le vent sur les arbres
L’ océan est la liberté
La poudre dorée
glisse entre mes doigts
dans l’océan transparent
Romain A
Le soleil couché
ronfle tendrement
sur un grand nuage bleu
Les grands palmiers dansants
Sous le ciel jaune
A moitié rouge
Piscine toute bleue
Couleur de mes yeux
Toboggan de bonne humeur
Le vent fait tousser la mer
La vague me claque
Et puis elle m’emporte.
Juliette
Le bruit d’orage
S’écrase sur le
Sable chaud qui chatouille
(Margot)
Le miroir bleu dans
Laquelle reflète
Le soleil étincelant
(Killian)
Le vent que je ressens est la liberté
Cette vérité m’a rencontré
Et j’ai respiré cet air.
Le Jura c’est des
mers déchaînées à
Mes yeux des montagnes sacrées.
(Lucas)
La forêt, un grand
Tapis de mousse est
Comme un grand lit douillet
Le bruit de la mer
Comme l’orage lointain
frappe à ma porte et revient.
Le chant des oiseaux
Est une symphonie
qui me fait rêver.
Je flotte sur la neige comme un nuage
L’océan s’est déchaîné
Comme un enragé
(Inès).