Cm1-mb Le vieux fou de dessin

Avis de lecteurs, par Victoria, Aliénor, Vincent, Naïa, Pétronille, Nadilam, Irène, Amaury, Louise, Adèle

Le titre du livre est « le vieux fou de dessin ». L'auteur s'appelle François Place et de nombreux dessins d'Hokusaï y sont présentés. Je trouve ce livre original et artistique. Je l'aime beaucoup parce que quand on lit le début, on a envie de connaître la fin. 

Il n'y a pas vraiment d'aventure dans l'histoire, qui se passe au XIXe siècle et commence dans le petit village d'Edo. Un petit garçon, vif et gentil, s'appelant Tojiro vend ses gâteaux de riz. Il les vend aux passants, au marchand de chapeau de paille, aux belles dames de la maison de thé, au menuisier, au fabricant de tonneaux, au potier, au forgeron, au barbier, au teinturier, à l'écrivain public et parfois même, il a la chance d'en vendre à un samouraï.

Le moment le plus marquant pour moi est le passage dans lequel sont expliquées les méthodes d'imprimerie de l'époque. Je ne pensais pas qu'il fallait faire tout cela avant ! C'est un livre qui m'a beaucoup appris sur le dessinateur japonais Hokusaï.  

Au début je ne me suis pas intéressée à lui mais après, j'ai remarqué qu'il était patient et maniaque et qu'il avait beaucoup de talent.

Victoria

 

 « Le vieux de dessin » est un album de François Place édité par Gallimard Jeunesse.

Un petit garçon surnommé Tojiro, vend des petits gâteaux de riz et tous les matins il se rend chez le vieux maitre, le vieux fou de dessin.

Mon moment marquant est quand le vieux maitre, dans sa jeunesse, dessine Daruma avec d’immenses pinceaux.

J’aime bien ce livre parce que les personnages sont drôles et Tojiro vit toujours beaucoup d’aventures.

Aliénor

 

"Le vieux fou de dessin" est un livre écrit par l'auteur François Place. Il parle d'un peintre japonais, Katsushika Hokusai, et d'un enfant imaginaire, Tojiro. L’œuvre la plus célèbre de cet artiste est "La Grande Vague de Kanagawa".

Chaque jour Tojiro prend son petit panier rempli de gâteaux de riz. Il en vend aux passants, aux marchands, aux belles dames, au menuisier, au fabricant de tonneaux. Mais aussi au potier, au forgeron, au barbier, à l'écrivain public, et même parfois à un samouraï.

J'ai bien aimé ce livre surtout quand Tojiro entre dans l'atelier de gravure. Hokusai, qui l'a emmené dans cette pièce lui dit de bien écouter les personnes qui les entourent parce que ce sera sa première leçon de "dessin".

 Vincent

 

« Le vieux fou de dessin » de l’auteur François Place, est un album qui raconte l’histoire de Tojiro un jeune vendeur des rues d’Edo, et d’Hokusai un vieux peintre et inventeur de méthodes de dessins.

Au début de l’histoire, Tojiro rencontre le vieux fou de dessins nommé Hokusai. Ce vieux peintre attribue à Tojiro le surnom de « moineau » un nom qui ne plaît pas vraiment au jeune garçon.

Le moment qui m’a marqué c’est lorsque Tojiro prononce ces simples mots : j’apprendrai !

Ces mots qui finalement nous laissent imaginer l’avenir et la carrière de ce jeune homme, fasciné par l’art du dessin.

J’ai beaucoup aimé ce livre tout d’abord parce que j’aime et je suis passionnée par le dessin et également parce qu’il m’a appris beaucoup de culture et de vocabulaire du Japon.

Naïa

 

Le vieux fou de dessin est un album de François Place.

Tout d'abord, il y a un long texte bien formulé, puis des illustrations, colorées ou bien plus sombres. Parfois même en noir et blanc, toutes très jolies. 

Un petit garçon, nommé Tojiro, habite à Edo, une grande ville du Japon. Il vend des gâteaux de riz aux passants mais aussi aux marchands, aux artisans, aux forgerons, aux barbiers, aux teinturiers et aux belles dames.
Mais qui est ce vieillard grognon que Tojiro voit souvent passer dans la rue ?

Il y a un moment qui m'a beaucoup marqué dans ce livre. C'est lorsque le vieux peintre, Hokusaï, dessine le portrait de Daruma. Il prouve son talent à toute la ville. C'est incroyable non ?

Je pense que ce livre est différent des autres car on peut éprouver plusieurs émotions en le lisant. Par exemple, de la tristesse, quand Tojiro part pour Nagasaki. Ou bien de l'amusement, quand Tojiro et Hokusaï se mettent à danser. J'ai éprouvé beaucoup de joie en le lisant.

Pétronille

 

Cet album raconte une histoire inventée et décrit une partie de la vie d’un grand maitre peintre, Hokusai. L’auteur crée le personnage de Tojiro, petit garçon orphelin vivant chez son oncle et sa tante, et marchand de gâteaux de riz. Ce dernier a une passion pour les samouraïs et voudrait en devenir un. Il rencontre un étrange vieillard, pauvrement vêtu, qui le traite de moineau. Tojiro est vexé, lui qui vend des gâteaux à des samouraïs !

Il finit par connaître le métier de ce drôle de personnage, c’est un artiste et il s’appelle Hokusai « C’est un métier comme les autres, se dit l’enfant, et ça ne rend même pas riche. » Il réalise petit à petit que c’est un très beau métier et le vieil homme lui propose d’apprendre à lire et à écrire dans son atelier. Tojiro accepte et un lien amical de maître à élève se forme entre ces deux personnages.

La « leçon de danse » m’a beaucoup amusé car j’imaginais Tojiro mimant Hokusai puis leur duel au pinceau. Ils enchainent entrechats, grimaces et rugissements, comme deux bouffons de cinéma muet ou deux clowns de théâtre. Cette scène comique se termine par un fou rire incontrôlable.

C’est une leçon de vie : « Il faut toujours rire en travaillant » tel est la devise des bons artistes.

     Chaque chapitre offre une nouvelle expérience à Tojiro et au lecteur : par exemple ce livre nous apprend à écouter la nature, à la comprendre. Hokusai dit à Tojiro d’arrêter de parler et de regarder un petit papillon se poser sur un piment pour plus tard le dessiner. Il est toujours bien d’ouvrir ses yeux et ses oreilles.

     Les personnages et les situations sont humoristiques. Comme une expression comique qu’apprend Tojiro : à la première coupe, l’homme boit le saké, à la deuxième coupe, le saké boit le saké et à la troisième coupe, le saké boit l’homme. C’est une façon de dire qu’en buvant trop, on devient ivre.

     Le livre nous fait entendre une partie de la vie d’Hokusai, grand artiste japonais du XIXème siècle. Cet habile dessinateur nous parle de ce qu’il était dans sa  jeunesse et de ce qu’il sera dans plusieurs dizaines d’années : « Dès l’âge de six ans, j’ai commencé à dessiner toutes sortes de choses. A cinquante ans, j’avais déjà beaucoup dessiné, mais rien de ce que j’ai fait avant ma soixante-dixième année ne mérite vraiment qu’on en parle. C’est à soixante-treize ans que j’ai commencé à comprendre la véritable forme des animaux, des insectes et des poissons et la nature des plantes et des arbres. En conséquence, à quatre-vingt-six ans, j’aurais fait de plus en plus de progrès et, à quatre-vingt-dix ans, j’aurai pénétré plus avant dans l’essence de l’art. A cent ans, j’aurai définitivement atteint un niveau merveilleux et, à cent-dix ans, chaque point et chaque ligne de mes dessins aura sa vie propre. » Cela me rappelle l’artiste Léonard de Vinci dont je viens de lire la biographie par Sylvie Dodeller.

     Les dessins sont à la fois de l’auteur et d’Hokusai : le changement de dessin est bien pensé et les dessins d’Hokusai sont vraiment magnifiques. Je trouve que son manuel pour apprendre à dessiner peut vraiment nous être utile pour dessiner.

Nadilam

 

Cet album de François Place se déroule au cœur du Japon au XIXe siècle. C'est l'histoire d'un jeune vendeur des rues turbulent : Tojiro, qui se retrouve nez à nez avec le grand Katsushika Hokusai, le maître des dessins ! Tojiro va se lier d'amitié avec ce vieil expert de l'art. En sa compagnie, il va découvrir l'écriture, la littérature et le dessin ainsi que l'art d'imprimer.

L'auteur a concentré son attention et ses recherches sur Hokusai dans le but de révéler ses habitudes et ses secrets. Le manque d'aventures m'a légèrement perturbée mais j'ai tout de même lu ce livre avec intérêt et j'ai appris bien des choses grâce lui.

Irène

 

« Le vieux fou de dessin » est écrit par François Place. C’est l’histoire d’un petit garçon qui porte le nom « Tojiro ». Il vend des gâteaux et habite avec son oncle et sa tante. L’enfant passe avec ses gâteaux chez un peintre Hokusai et celui-ci demande à son oncle : « Est-ce-que votre neveu veut me rendre des services ? En échange, je lui apprendrai à écrire et à lire. » 

L’oncle accepte. Tojiro a beaucoup de plaisir à aider le peintre qui l’invite à contempler le monde, à manger dans des restaurants et regarder des combats de sumos.

Cette album parle de la liberté du peintre, de la vie et de la culture au Japon.

Le peintre Hokusai fait découvrir à Tojiro la ville et la vie, ça me donne moi- même envie de manger japonais et de connaître ce pays.

Amaury

 

Ce livre s’intitule « Le vieux fou de dessin ». Il a été écrit par François Place. Ce livre est un roman illustré.

Les deux personnages principaux sont Hokusai et Tojiro.

Tous les jours, Tojiro vend des gâteaux de riz. Il vit chez son oncle et sa tante. Le jeune garçon a un client très étrange. Celui-ci est pauvre, possède un mauvais caractère. Le client très étrange, l'artiste Hokusai, devient son maître.

Le moment que j’ai trouvé le plus marquant est celui où les amis d’Hokusai lui demandent quand Hokusai va apprendre à dessiner à Tojiro et Hokusai dit qu’il est trop petit.

J’ai beaucoup aimé ce livre car les dessins sont magnifiques (ceux de l’auteur autant que ceux d’Hokusai) et il y a beaucoup d’humour.

Louise

 

Le Vieux Fou de Dessin, écrit par François Place est un album avec des illustrations faites parfois par Hokusai.

Un petit garçon Tojiro vend des gâteaux de riz à des marchands de chapeau de pailles, aux belles dames de la maison de thé, au forgeron, au barbier, au teinturier public et parfois même aux samouraïs. Un jour, il en vend à un curieux vieil homme. Il habite à Edo (la capitale du Japon à l’époque).

Apparemment le curieux vieil homme est peintre et il s’appelle Katsushika Hokusai.

Tojiro vient dans la maison du vieux fou. Il y voit tous ses mangas. Au début il les feuillète puis petit à petit il commence à en dessiner.

J’ai bien aimé le dernier chapitre, il était un peu émouvant parce que Tojiro s’en va et il ne reverra plus jamais le vieux peintre et très intéressant (comme le reste du livre).

Adèle