lettres bezons

Pourquoi moi Malick Ambar, j'ai le droit d'être libre. Libre comme un être humain blanc. Libre comme eux. Après tout on était pareil, on avait des sentiments, une famille, de l'amour à donner. Avec notre liberté, ils nous avait tout pris, notre argent, notre famille... notre vie. Notre existence se résumait à un amer travail dans un champ de riche blanc ayant les armes, l'argent et donc le pouvoir. On nous tuaient à petit feux, le trop peu de nourriture, le beaucoup trop de travail, le manque d'eau et de sommeil, tout sa cumulé nous faisait tombé les uns après les autres et le refus de se redresser nous coutaient d'horrible coup de fouet. On n'étais rien d'autre que de la marchandise facilement remplaçable, rien d'autre que des esclaves. J'ai été vendu et acheté tellement de fois qu'il m'arrive oublier mes origines, ma ville natale, cette belle ville Alhura. Une si belle ville, qui m'a été voler sans pitié, voler par ces mêmes habitants qui arpentent encore ces terres.

il y a très longtemps, un roi et une reine après des années d'attente , eurent un enfant.

malheureusement, cet enfant n'était pas normal.En effet, cet enfant avait des oreilles de loup, et une queue de loup.

Le roi et la reine furent tellement choqués, qu'il décidèrent d'abandonner l'enfant a des fermiers dans une grange très loin de leur château royal.A leur départ ils laissèrent au fermiers, une clef en or a remettre a l'enfant lors de ses 18 ans.

L'enfant fût ensuite élevé par les fermiers.Lors de son 18ème anniversaire, les fermiers donnèrent la clé en or a l'enfant,

celui ci était très troublé par cette clef, en effet que pouvais t'elle bien ouvrir? se demander l'enfant.

Ensuite, vins a cela s'ajouter les questions perturbantes, de l'enfant commençait a se poser des questions sur ses parents, il se demandait comment cela se fait t'il que ses parent n'ont pas de queue et d'oreille de loup comme lui.

il était une fois dans une contrée très lointaine un dragon qui terrorisait tout le village et volait toutes les ressources et tous les biens des villageois .

C’est un texte lourd de sens avec des mots intenses employés par un soldat lors de la Seconde Guerre Mondial.

Ce dernier nous décrit l’effroi, l’horreur ainsi que la barbarie qu’il a côtoyé durant plusieurs mois. Son témoignage est très émouvant, il semble être perdu face à ce déferlement de violence et de haine. Il fait face à la déshumanisation de l’humanité. Les humains sont devenus des monstres plus cruels les uns qu’avec les autres oubliant toutes valeurs et principes.

Par rapport au texte de Montherlant, Le Songe, qui évoque le départ héroïque, courageux et plein de joie des soldats et a celui d’Henri Barbusse, Le Feu, qui évoque les sensations des soldats au front. Celui de Céline, Voyage au bout de la nuit, nous entraine dans les pensés d’un soldat choqué et éprouvé par les scènes apocalyptiques aux qu’elles il assiste.