A vos centons!
Par Crochart MR (college Agiot, Elancourt) le 15 mars 2016, 15:02 - Lien permanent
Exemple concocté par Maxence PRZYBOROWSKI :
UN DÉLICIEUX MENSONGE
Promenant sur le ciel des yeux appesantis,
Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire,
Car le vent, élevé bien au-dessus des terres,
Porte le soleil noir de la mélancolie.
Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière
Suspend une immobile ombelle de rosée ;
A travers le chaos des vivantes cités
L'air est parfois si doux qu'on ferme la paupière.
Le silence y somnole entre les quais de songe
Sans rien voir au-dehors, sans entendre aucun bruit,
Ou comme Don Quichotte en sa morne folie,
Laissez, laissez mon cœur s'enivrer d'un mensonge.
1. Charles BAUDELAIRE, Bohémiens en voyage.
2. Alphonse de LAMARTINE, L'automne.
3. Alfred de VIGNY, La mort du loup.
4. Gérard de NERVAL, El Deldichado.
1. Alphonse de LAMARTINE, L'automne.
2. Catulle MENDÈS, Paysage de neige.
3. Charles BAUDELAIRE, Les petites vieille.
4. Arthur RIMBAUD, Roman.
1. Henri de Régnier, Il est un port ...
2. Victor Hugo, Demain, dés l'aube
3. Saint-Amant, Le paresseux.
4. Charles Baudelaire, Semper aedem