Littérature et Société - Cahier de lecteur (épisode des moulins à vent)

Écrire votre cahier de lecteur sur le modèle des exemples donnés en cours sur l'un des épisodes les plus célèbres de Don Quichotte, celui des moulins à vent.

Commentaires

1. Le 14 janvier 2015, 09:19 par Victoria.S

Cet extrait est long ,Don Quichotte est enfermer dans sa propre folie, il est détacher de toute réalité par exemple il prend les moulins a vents pour des géants, il veut absolument mener une bataille contre eux : "je leur livrerais une inégale et terrible bataille." Sancho Panza en admiration devant son maitre, le met en garde vis a vis de ses actes. Puis l'action passer il le ramène a la raison. Cet extrait n'est pas intéressant tout comme le reste du livre .

2. Le 14 janvier 2015, 09:35 par Magali

Quel est l'intérêt de lire ce livre, ennuyeux avec un personnage fou... ? Dans cet extrait, on ne peut pas passer à côté de la folie de Don Quichotte ... Comment peut on confondre des moulins avec des géants ? Il a prit de la drogue ou quoi ?
Bref cet extrait est pour moi une perte de temps, le héros est inutile et pas attachant.

3. Le 14 janvier 2015, 09:39 par Manon.K

Je trouve cet extrait bizarre. L’auteur nous montre la folie de Don Quichotte qui confond des moulins à vents avec des géants. Il a l’air naïf et étrange. Il veut absolument faire preuve d’héroïsme mais fait en fait preuve de folie : ne trouvant pas d’adversaires ou voulant se dépêcher d’en trouver un, il va à transformer des objets dans sa tête. Il perd la bataille de façon plutôt lamentable et s’humilie. De plus, il ne veut pas écouter Sancho Panza alors qu’il apparaît comme la raison à côté de Don Quichotte (même s’il a abandonné sa famille pour suivre un fou). Je ne comprends pas Sancho Panza, il continue de suivre Don Quichotte bien qu’il lui ait montré qu’il est mentalement instable. J’aurais peur d’entreprendre un tel voyage accompagné d'un fou, j’aurais peur qu’il me tue en pleine nuit. Sancho Panza doit être un peu naïf aussi car il accompagne Don Quichotte car il lui a promis une île à gouverner et s’il l'a suivi c’est qu’il espère que Don Quichotte puisse conquérir une île, il croit donc à la force de ce dernier même s’il lui a clairement montré le contraire (du moins face à des moulins). Je n’aurais pas compté sur cette promesse si j’avais été à la place de Sancho Panza, j’aurais fait demi-tour.

4. Le 14 janvier 2015, 09:40 par Robert Marjolaine

Ce passage est juste idiot,comme tout le livre d'ailleurs en plus d'être ennuyeux.Comme si quelqu'un pouvait prendre des moulins pour des géants.Même si Sancho a prévenu Don Quichotte ce dernier reste sûre de ce qu'il avance et court à sa perte en envoyant balader son seul ami.Cela me dépasse !
Il est dans son monde et pense donc que l'enchanteur qui lui a volé ses livres a aussi changé les géants en moulins à vent.

5. Le 14 janvier 2015, 09:42 par Soussou

Ce passage est marrant et bizarre grâce a la stupidité des personnages :Sancho est convaincu par les mensonges de don Quichotte alors qu’ils sont invraisemblables et don Quichotte ne fait pas la différence entre un moulin a vent et un géant alors qu’il n y a aucune ressemblance entre les deux.Sancho fait aussi pitié car il se fait manipuler par don Quichotte .Ce texte me rappelle aussi une punchline de Lunatic qui dit « il ne savent pas si j’aurais du naitre mais jvais devenir se que j’aurais du etre »car don Quichotte est determiné a devenir un vrai chevalier.

6. Le 14 janvier 2015, 09:43 par Aurelien.wiercioch

Que dire...Dans cet extrait Don Quichotte est très positif et croit en ses idées et ses rêves, il en devient fou alors que Sancho Panza est naïf et ne fait que lui dire la réalité, tous les deux sont enfermés dans leur propre folie et leurs ambitions ce qui rend ce passage long et pas très intéressant. Les personnages ne me font ressentir aucune émotion. En plus, ce passage est plutôt mou sans grandes actions, étrange car Don Quichotte compare des moulins à vents a de grands géants contre lesquels il devrait livrer une bataille et sans aucun intérêt.

7. Le 14 janvier 2015, 09:44 par Marie

Je trouve Don Quichotte amusant mais mon dieu qu'il est bête ! Je le constate encore plus dans cet extrait. En plus de ça il est borné et n'écoute pas les conseils de son "écuyer" Sancho Panza qui lui est très réaliste. Pourquoi fait-il ça ? Cet homme ne vit pas dans la réalité, on dirait vraiment qu'il ne l'accepte pas. On dirait aussi qu'il est bourré. Il est prêt à tout pour ses rêves sans penser à ses enfants et sa femme, il est très égoïste. C'est irréaliste. Ce livre en plus d'être ennuyeux est ridicule.

8. Le 14 janvier 2015, 09:44 par Loriane.CARSIQUE

Je me sens mal à l’aise. J’ai toujours eu horreur de ce genre d’humour. Je n’arrive pas à apprécier que l’on puisse se moquer des personnes naïves et têtus, je me sens mal pour elles.

Dans cet extrait, je suis peiné de voir Don Quichotte ridicule. Le pire c’est qu’il pense faire preuve de courage et de bravoure alors qu’en réalité il nous montre uniquement son idiotie et sa folie ! Je sens ma fierté blessée à la place de celle de Don Quichotte qui ne se rend pas même compte combien sa défaite est lamentable et pathétique.

Mais d’un autre côté, je ne comprends pas Sancho Panza. Pourquoi a-t-il décidé de tout quitter pour suivre Don Quichotte ? Comment peut-il laisser son futur dans les mains d'un fou qui pense se battre contre des géants ? La défaite écrasante de Don Quichotte contre un moulin à vent ne lui a-t-il pas montré qu’il n’est pas si puissant ? Comment peut-il encore espérer acquérir une île à gouverner ?

9. Le 14 janvier 2015, 09:45 par Marie-Lys

Dans cet extrait, Don Quichotte me plait. Il a comme un voile imaginaire devant ses yeux. Il n’accepte pas seulement la réalité mais ne la voit pas du tout. J’ai l’impression, en lisant ce passage que j’assiste à une pièce de théâtre comique. Les personnages et leur caractère sont très marqués et cette aventure est assez burlesque et futile. J’imagine le public éclater de rire en voyant le comique de geste et de situation de Don Quichotte qui se prend une aile de moulin dans la tête. De plus, j’ai pitié de Sancho. Il tente tant bien que mal de résonner son maître en vain. La folie de Don Quichotte est trop grande et même la personne la plus censée de la terre se laisserait emporter dans son univers farfelu. Dans la vie de tous les jours, j’essaie vraiment de regarder la vérité en face et malgré moi, je me créée quand même un univers imaginaire. Don Quichotte me fait donc penser à l’extrême que je ne voudrais pas être. Il ne m’aide pas à assumer cette partie de moi qui veut sans arrêt vivre des choses extraordinaires comme dans un roman ou dans une comédie musicale où le personnage principal transforme les moments les plus simples de sa vie en spectacle vivant.

10. Le 14 janvier 2015, 09:45 par Nolwenn.

JE DETESTE ce passage. Il est tellement ennuyant, tellement bizarre. Don Quichotte abuse, croire qu’un moulin à vent est un géant c’est complètement débile. Il faut être vraiment atteint pour confondre les deux, ou alors être myope. Peut-être qu’il aurait besoin de lunettes, ou alors il a juste besoin de soigner sa folie. Heureusement Sancho Panza est là pour lui faire comprendre que ce n’est pas réel. Le pire dans ce passage c’est que Don Quichotte croit en plus être capable de les « combattre ». Ce pauvre homme là est bien trop détaché de toute réalité. Comme si ça ne suffisait pas, quand il a attaqué son soit disant géant, qui n’était qu’un simple moulin à vent, il trébucha comme un incompétent, j’aurais aimé voir ça, j’aurais bien rigolé, mais en même tant, bien fait pour lui, il aurait dû écouter Sancho. En tout cas, moi à sa place, j’aurai perdu toute ma fierté. Et le petit Sancho Panza, qui arrive à son secours, mais quel soumis celui là !

11. Le 14 janvier 2015, 09:45 par justine

Pour moi, la scène des Moulins à vent dans Don Quichotte me fais pitié car il est enfermés dans son monde et il ne vit que pour les aventures qu'il a lu et Sancho est lui tellement fidèle qu'il ne fait rien pour le faire revenir à la réalité. Don Quichotte me fait aussi de la peine car je le trouve très naïfs de croire qu’il pourrait revivre des aventures de chevalerie avec de la magie alors que cela n’existe pas.

En ce qui concerne Sancho, il paraît gentil et loyale envers Don Quichotte ces qui est respectable. Malgré la pitié que j’éprouve pour lui, je lui donne un point positif sur le fait qu’il affirme le droit au rêve.

Je DÉTESTE aussi la façon dont Don Quichotte se trouve des excuse quand il se rend compte que les géants son des moulins à vent et qu’il fait passer Sancho pour un ignorant.

12. Le 14 janvier 2015, 09:49 par Léa

Je trouve que c’est original mais ridicule. Don Quichotte est détaché de toute réalité, il est fou. Malgré que Sancho Panza l’incite à ne pas y aller Don Quichotte y va, il est déterminé. Il affirme le droit au rêve. Il est à fond dans ce qu’il entreprend. J'aime bien parce que Don Quichotte n'a pas froid aux yeux . Il s'en fiche de ce que pense les autres.

13. Le 14 janvier 2015, 09:52 par Lynn

Je n'aime pas ce passage, car je trouve que c'est le plus ennuyant, le plus illogique, le plus débile !! Un père, même le plus bête possible n'abandonnerait jamais sa femme et encore moins ses enfants pour suivre bêtement son voisin comme un petit toutou. Don Quichotte, lui a juste raconter sa soit disant histoire de faux chevalier pour qu'il le croit et devienne son écuyer. En plus de se croire chevalier, en voyant des moulins à vents cru stupidement que c'était des géants il y a quand même une grosse différences entre les géants et les moulins à vents. Mais comment peut-être aussi crédule et autant enfermer dans son monde. Il font un beau duo de choc c'est deux là ! !-(

14. Le 14 janvier 2015, 09:52 par Yannick

Et voila , en lisant l'épisode du moulin à vent , on repart encore sur un cours d'histoire, encore un chevalier qui se sert encore d'un horrible paysan. Mais en lisant ce texte ,
encore plus bizarre , toujours pas de déclic ..... ce texte est pesant, affreux , bête et soporifique.... ce texte est interminable, ce texte est lent , aucune action a par
où Don Quichotte veut se battre avec des géants qui ne sont que des moulins à vents. Je pense que Cervantès aurait du économiser le papier que de le prodiguer dans un texte où l'on manipule des paysans en inventant des histoires , en lui promettant beaucoup de choses que ce paysan accepte l'offre de Don Quichotte. Ce stupide paysan va servir Don Quichotte comme écuyer . Ce chevalier est vrai taré mentalement de faire la guerre contre une trentaine de moulin ….. Ce varlet à vraiment un soucis dans son bourrichon !! !-(

15. Le 14 janvier 2015, 09:52 par Anaïs Villanueva.

Je n’aime pas du tout ce passage car je le trouve très ennuyant. Don Quichotte, enfermé dans son monde imaginaire, ne se rend pas compte qu’il confond des géants avec des moulins à vents. Et Sancho Panza ! Quel incapable ! Il n’a même pas pensé à sa femme et ses enfants avant d’accepter de partir à la conquête de nouvelles terres avec son voisin qu’il ne connaît même pas ! Qu’est ce qu’il est naïf celui là !

16. Le 14 janvier 2015, 09:52 par Grégoire

Dans cet extrait, pour la première fois du livre, Don Quichotte part à l'aventure avec Sancho Panza, qu'il a pris pour écuyer. Il n'est plus seul, et apparaît moins comme un vieil homme un peu fou, désirant vivre à tout prix l'aventure, quitte à s'y blesser, pour briser la monotonie de son quotidien. Ou peut-être Sancho n'a fait que le rejoindre dans ses délires de chevalerie ; n'y aurait-il donc pas d'âge pour rêver ? Pourtant ce dernier voit juste des moulins, là où Don Quichotte aperçoit bel et bien des géants menaçant aux longs bras. Malgré le fait qu'il soit accompagné, le chevalier errant est toujours seul dans son imaginaire, Sancho étant, je pense, principalement motivé par les promesses de richesses et de gouvernement de son maître.
On voit dans cet épisode la nature persévérante de Don Quichotte, dont certains diront qu'il ne s'agit que de la preuve de son enfermement dans sa folie. Avec du recul par rapport à la première lecture, je considère finalement Don Quichotte comme une sorte d'adolescent rêveur, pleins d'espoirs, pas forcément heureux dans ce qu'il vit au quotidien, et qui s'en échappe comme il peut, ici par ses songes de chevalerie, là où d'autres feront du sport, de la musique, de la peinture, de la photographie… La seule différence est que ce personnage n'a, selon les normes communes, plus l'âge pour ces choses là. En ce sens, Sancho ne l'a pas non plus, mais y-a-t'il réellement un âge pour cela ? L'hidalgo s’échapperait donc d'une lente vieillesse dégradante, ennuyeuse, morne, terne, par des aventures éclatantes, brillantes, hautes de couleurs. L'espoir fait vivre, et malgré ce que le monde peut en penser, Don Quichotte est, selon moi, bien plus heureux à se battre contre des moulins, qu'à dépérir doucement dans un fauteuil.

17. Le 14 janvier 2015, 09:53 par Dorian Reus

Ce passage apparaît amusant grâce à la folie et l’ignorance de Don Quichotte. Effectivement, le passage apparaît bizarre et je pense que l’auteur a fait exprès de rendre le personnage de Don Quichotte aussi stupide et fou. Je trouve donc que malgré les avertissements de Sancho, Don Quichotte semble ancré dans sa folle réalité. Je trouve aussi que la folie de Don Quichotte tranche avec le réalisme de Sancho. Je pense également que la folie de Don Quichotte permet d’affirmer le droit au rêve.

18. Le 14 janvier 2015, 09:54 par Meagan

La scène des Moulins à vent est inintéressante. Je trouve absurde de la part de Don Quichotte d'abandonner sa gouvernante et sa nièce pour partir dans une aventure irréelle. Sancho quitte sa femme et ses enfants pour se lancer dans les aventures d'un vieux fou je trouve que son comportement n'est pas cohérent, il ne gagne rien à la quitter à part peut-être un long voyage dans l'absurdité. Je trouve que Don Quichotte est perdu dans son incohérence entre croire que les moulins sont vivants et dire à Sancho qu'il est un ignorant d'aventure pour en revenir par la suite sur le fait qu'il s'est trompé sur ces « géants » et détournant la vérité vers un aspect magique

19. Le 14 janvier 2015, 09:55 par Sarah T

J’aime bien cet extrait. Don Quichotte se bat avec des moulins à vent malgré qu’il sache que ça n’en est pas ce qui rend ce texte comique. Je trouve que Don Quichotte apparaît de manière amusante. Il est très positif et croit en ses idées ce qui est embêtant pour ce pauvre Sancho Panza qui essaye en vain de lui faire entendre raison. Il lui reste néanmoins fidèle ce qui est admirable de sa part car à sa place je serais partie en courant. Il est aussi très courageux car c’est compliqué de supporter un fou. Je ne comprends pas pourquoi il a accepté de le suivre mais c’est son choix…
Je trouve aussi que cet extrait est étonnant car il n’a pas de mots compliqués comme dans d’autres extraits donc on dirait que c’est un texte qui n’a pas été écrit il a y très longtemps, Don Quichotte et Sancho Panza parlent comme n’importe qui parlerait dans la rue ce qui rend le texte agréable à lire car quand on doit chercher chaque mot dans le dico c’est un peu énervant.

20. Le 14 janvier 2015, 09:56 par Jules.Francon

Cet extrait est pour moi d'une inutilité sans faille. Je me demande comment l'auteur a pu écrire ce livre une telle horreur, il est aussi fou que son héros qui confond des moulins avec des géants.

21. Le 14 janvier 2015, 09:56 par Justine Pommereau

Je me souviens d’un jour où j’ai entendu dire : « La bulle, le meilleur ami de l’homme ». Je savais que je n’étais pas tout à fait d’accord avec ça mais pas non plus contre. Don Quichotte lui aussi est dans sa bulle, dans son monde, dans son rêve. Il ne se pose pas de question par rapport au monde extérieur, à tel point que cela paraît être une forme d’égoïsme presque insupportable. Pourtant, j’admire ses incroyables rêveries inoffensives. Je ne sais alors plus quoi penser de ces deux personnages, Sancho nous est présenté pour la première fois comme « homme de peu de plomb dans la cervelle », et c’est pourtant lui qui tente de raisonner Don Quichotte ; qui est naïf, qui le fait exprès ou qui est simplement rêveur, je n’en sais rien, de se battre contre ce qu’il dit être des géants mais sont en réalité des moulins à vent. J’en viens à penser que peut être Don Quichotte s’est perdu dans ses rêves, ses croyances et ses passions au point d’en avoir perdu toute lucidité. Et à ses côtés, Sancho, simplement fidèle, ne se pose pas de questions, ne réfléchit pas, il parait naïf mais l’est-t-il vraiment ? Peut être qu’il ne veut juste pas briser les rêves de son maître et qu’il ne veut que son bien. Je me suis retrouvée perdue, après réflexion, je n’avais plus d’avis.
J’admire l’imagination et la subtilité, pas très subtile au final, de Cervantes. Des moulins pour de géants ? Qu’avait-t-il en tête lors de l’écriture de ce roman ? Je n’en sais rien mais quelque part je ne veux pas le savoir. À la première lecture tout m’a parut stupide et naïf mais quand on y pense c’est d’une belle richesse et ça apporte de la réflexion! L’auteur m’a offert le choix, de me faire mon propre avis, de le voir comme bon nous semble. Et c’est presque magique parce que grâce à ça on s’ouvre à d’autres visions et cela nous apporte énormément. Les sujets traités au final sont plutôt délicats mais abordés avec aisance et arrivent à leurs buts dans tout les cas, ils touchent là où il faut.

22. Le 14 janvier 2015, 09:59 par Antos

Don Quichotte est une œuvre drôle sur le coup mais qui peut vite devenir monotone.
En effet, je trouve que le héro a un air stupide, ce qui rend pour moi l'histoire trop fantastique. Le fait que Don Quichotte va chez son voisin, et lui demande de le suivre en lui promettant diverse récompense et que celui-ci accepte sur le champ, est un peu gros.
Pour ce que j'ai pu lire de ce roman, il a un effet soporifique, malgré le fait que les personnages me paraissent sympathiques comme l'écuyer Sancho qui prend tout le temps soin de Don Quichotte, ou encore ce dernier qui refuse de voir la réalité en face lors de son combat contre les moulins.
Le point positif dans cette histoire est que le héro est déterminé à atteindre son objectif et persévère pour atteindre son but.
Malgré ça, l’œuvre ne permet pas d'être interprétée de façon sérieuse mais c'est bien ainsi. 8-)

23. Le 14 janvier 2015, 10:00 par Laura ;3

Je trouve que ce que font Sancho Panza et don Quichotte avec leur famille, de les laisser comme ça sans rien dire, pour des aventures c'est égoïste car ils ne pensent pas a leur famille, ils ne pensent pas ce qu'ils vont devenir après sans eux. Surtout Sancho Panza qui laisse ses propres enfants pour accompagner son voisin à ses aventures. Mais aussi c'est leur choix, s'ils veulent faire ça, qui suis-je pour les juger ?
Et aussi je pense que don Quichotte est un peu fou et qu'il a beaucoup d'imagination pour croire que des Moulins sont des géants. 8-)

24. Le 14 janvier 2015, 10:02 par camilo

Il était très naïf de penser qu’il pouvait vaincre des tels machines rien qu’à la force de sa lance. Sa folie le rendait aveugle, ridicule et pitoyable, mais son envie de vaincre et de se battre lui donne un côté héroïque qui me plaît et me donne envie de le suivre pour savoir de quelle manière il s’en sortira. Sancho toujours aussi fidèle n’hésita pas a lui venir en aide pour le secourir le plus vite possible, nous montre sa loyauté en vers Don Quichotte, même s’il était plus ou moins aveuglé par les histoires qu’il lui racontait. D’un autre côté je trouve son acte totalement stupide, car il détruit sa lance, blesse son cheval et se blesse par la même occasion.

25. Le 21 janvier 2015, 08:19 par mme baudry

Les commentaires les plus intéressants sont les n° 3, 8, 9, 14, 16, 21, 24.
Lisez-les, copiez-collez les éléments que vous retiendriez pour votre propre compte.
Choisissez un texte parmi ces passages de Don Quichotte:
- le chapitre 1
- le chapitre sur la bibliothèque (sur photocopies)
- chapitre 11: la belle chasseresse
- chapitres 13 et 14 sur le gouvernement de Sancho

- dernier chapitre: la mort de DQ.
Rédigez la suite de votre cahier de lecteur (qui a commencé par le passage des moulins) et envoyez-le sur cette page de blog.

26. Le 21 janvier 2015, 09:25 par Victoria.S

Le chapitre 1 est long, il n’est pas très intéressant, il y a beaucoup trop de descriptions, je commençait a me perdre dans tous ces mots :( . Pour le coup cet incipit ne donne vraiment pas envie de lire le reste du livre, il n’y a pas assez d’action pour ce début de livre. L’incipit est censé « révéler » une petite partie de se qui va venir par la suite tandis que là, il ne se passe pas grand chose. Le personnage est niais je me demande même s’il ne serait pas un peu trop presser d’atteindre son but, je pense même que dans sa tête il se croit déjà chevalier , ce qui n’est pas du tout le cas ;(' , car il oublie qu’il n’est pas « armé chevalier ». Je me demande si l’auteur a relue son incipit avant de faire imprimer le livre ou même s’il connaissait la définition d’incipit enfin bon pour moi se n’est pas un vrai incipit qui me donne l’envie de continué a lire se livre après le chapitre 1. :-/

27. Le 21 janvier 2015, 09:26 par Robert Marjolaine

Le premier chapitre comme dans tous les livres parait très très long. Il y a beaucoup de description j’ai vite trouver ça lassant. Un incipit doit normalement donner au lecteur l’envie de lire la suite là je n’ai eu qu’une envie : Fermer le livre. Malgré tout ce chapitre m’a permit de comprendre comment la folie s’est ancrer en Don Quichotte. Cette partie ressasse sans arrêt le rêve du personnage ça m’ennuie. Il se voit déjà chevalier et est pris d’hallucination j’ai pitié pour lui.

28. Le 21 janvier 2015, 09:36 par Antos

Dans cet extrait, don Quichotte me fait de la peine. Il est malade sur son lit et veut préparer son décès au mieux.
Il va donc appeler le curé pour se confesser, et je trouve cela triste étant donné que la mort est toujours un sujet douloureux. D'un côté c'est comme si tout ses rêves se volatilisaient et de l'autre c'est un départ après avoir accomplis sa quête. Ce passage me fait penser à la fin d'un film, où le héro part dans la mort, au calme, une fois son temps passé. Je trouve cette fin bien dans le roman ; on passe d'un personnage heureux, rêveur, fantaisiste, à un personnage assoupit dans la maladie, qui n'attend juste que la mort lui tende la main pour clôturer son histoire.
Finalement, je pense que je ne peux pas juger cette œuvre sur simplement deux extraits, car le premier m'a ennuyé mais celui-ci je le trouve attrayant.

29. Le 21 janvier 2015, 09:36 par Manon.K

La mort de Don Quichotte :
:-/ Je trouve que cet extrait est étrange bien que Don Quichotte soit débarrassé de sa folie et qu’il apparaisse comme quelqu’un de sain. C’est justement ça qui fait que je le trouve bizarre : Don Quichotte était jusqu’à lors fou et voilà que maintenant il est normal. J’ai l’impression que l’auteur a voulu nous troubler et jouer avec nous : on ne comprend pas le brusque changement de comportement de Don Quichotte. Je m’attendais à ce qu’il meurt, toujours fou, et de manière pathétique. Je pense que l’auteur aimerait nous voir déstabilisés face à cette fin inattendue et irréaliste. Le héros est du début à la fin un original, ne faisant rien comme personne revenant à la raison à sa mort alors que certaines deviendraient séniles.
Don Quichotte se rend compte de la folie dont il était atteint lors des voyages qu’il entreprenait. Mais en est-il au courant seulement maintenant ou l’a-t-il toujours été ? Cela me fait penser au livre "Qui es-tu Alaska ?" de John Green, où le personnage est guidé par une citation de Rabelais « Je pars en quête d’un grand peut-être ». Peut-être que Don Quichotte, se rendant compte de la vie banale qu’il vivait avant, s’en va en quête de son « grand peut-être » en jouant le chevalier errant et interprétant ceci comme de la folie. Je ne sais donc que penser de Don Quichotte à la fin de ce roman : Etait-il fou ? Je reste perplexe devant cette question : peut-être s’est il perdu dans sa quête, peut-être l’auteur voulait nous montrer que chacun a une part de folie en lui. Dans ce cas peut-être l’auteur veut il nous rendre plus tolérant face aux personnes comme Don Quichotte.

Cet extrait me fait donc douter sur quoi penser de Don Quichotte en général. Je ne pourrais pas dire s’il me plait ou non : le comportement de Don Quichotte nous est en partie expliqué mais j’ai l’impression que l’auteur se moque de nous. :-/

30. Le 21 janvier 2015, 09:37 par Yannick

Et voilà que maintenant Sancho devient Gouverneur après d’être devenu écuyer pour Don Quichotte. Je trouve que ce que Sancho est vraiment loufoque car on lui a donné comme tâche la pénitence qui a été donné par Dulcinée, Monsieur ce donne pendant la nuit, des coups de fouets à la main …. Et puis je conçois cette lettre qu’il a écrit est vraiment absurde, nul, inutile, la seul chose qu’il sait lui répéter, c’est qu’elle est femme d’un gouverneur ….. Comme l’ai-je dis, Cervantès aurait vraiment du conserver son papier. Ces deux chapitres sur le Gouvernement de Sancho Panza sont laborieux, pourquoi déjà avoir mis Sancho Panza comme Gouverneur, mais quelle erreur, mais quelle erreur, déjà que je percevais le passage des moulins à vents comme ennuyeux, pesant, bête et soporifique, mais la, le passage du Gouvernement de Sancho, mais que dire, mais que dire, a par que ce texte est encore plus stupide que le combat des moulins à vents. Ces deux passages lus confirment bien mon idée sur ce livre …. Il est vraiment aberrant, nul, et idiot. !-( :siffle: ;(' 8-O 8-O ;(' !-( :-/ :( :-C :-o Affreux ce livre !!! ...

31. Le 21 janvier 2015, 09:39 par Soufiane

Je trouve ce passage ennuyeux et inintéressant : il n’y a aucune action et ce premier chapitre ne me donne pas du tout envie de lire la suite alors que c’est son but .Don Quichotte n’est pas attachant et n’a rien d’un héros, malgré qu’il soit déterminé il a l’air débile et fou .En plus, le livre est encore plus ennuyeux et incompréhensif dès le matin quand on est pas bien réveillé. Ce livre a autant d’intérêt qu’un grec sans viande.

;('
32. Le 21 janvier 2015, 09:40 par Greg

Cervantes ferait-il des critiques cachées, comme Goya précédemment ? Cette scène d’autodafé, qui me met plus en colère contre les soi-disant « amis » de Don Quichotte qu’autre chose, parle peut-être indirectement des autodafés et des censures des livres et de l’art en général à l’époque ? Même si il peuvent paraître aimant envers l’hidalgo, en voulant le soigner de sa folie, selon moi le curé et le barbier sont juste idiots, égoïstes, et ne sont pas du tout compréhensif : pour « aider » leur ami, ils passent par la destruction des livres de ce dernier, sans même essayer de le comprendre.. ;(' Ils sont détestables en ce sens. :-C
Je me demande si l’autodafé de la culture est une façon de soigner les gens. Ainsi, maintenir un peuple ou une personne dans l’ignorance l’aiderait à mieux se porter ? Et les plus bêtes seraient les plus sains d’esprit ? Les extrémistes de toutes sortes seraient ainsi de vrais médecins ? :-/

33. Le 21 janvier 2015, 09:41 par justineb

:-) Je préfère se passage de Don Quichotte, dans ce passage je ressent plus d’émotion, je me sens triste pour lui car malgré le fait que les livre de chevalerie l’ai rendu fou il retrouve la raison quelque heure avant de mourir et se rend compte de se qu’il a fait. Je me sens aussi fière de lui car il a le courage de faire un testament pour se racheter des espoirs qu’il a fait naître en Sancho Panza, en parlant de lui je ressent de la compassion à son sujet.
Après un moment de réflexion, j’en suis venue à me demander pourquoi Cervantes a-t-il tué Don Quichotte ? Je me suis retrouvé dans l’incompréhension totale, normalement les auteurs ne tue pas le personnage principal cela me fais penser à « Nos étoiles contraires ».
Et dans se passage on se rend compte que malgré cette histoire de folie Don Quichotte est apprécié et aimer par sa nièce et ces amis ce qui me touche beaucoup.

34. Le 21 janvier 2015, 09:43 par Webcam

C’est dommage de finir une histoire avec la mort du héros :( , en sachant qu’il s’est rendu compte de ses actes de folie. Il s’excuse, honteux d’avoir embarqué Sancho dans sa folie de chevalerie, il se repentie de ses actes, chose que j’admire chez une personne. Il a vécu sa vie comme il le voulait, il a vécu ses folies aux cotés de Sancho, et pour moi il n’y a pas plus grand ami que celui qui est à vos cotés jusqu’à la mort. Pour moi il est mort honorablement, tel un grand chevalier. 8-)

35. Le 21 janvier 2015, 09:43 par Aurelien.wiercioch

;(' Ce passage est long. Dans cet extrait du livre Sancho Panza part gouverner. Je ne comprends pas comment un écuyer peut devenir gouverneur ! Je suis perplexe, je n’ai pas l’impression qu’il dirige. Il n’a pas le droit de manger ce qu’il veut, c’est son médecin qui choisit. Je n’ai pas apprécié le moment où Sancho Panza décide de mettre au cachot son médecin et croit même qu’il va le tuer. Je trouve cela absurde !! Sancho Panza met en place des réformes que je trouve inutile comme celle contre ceux qui chanteraient des chansons obscènes que ce soit de jour ou de nuit. Il est tellement rigoureux qu’il va décider de nommer un magistrat pour les pauvres afin de savoir s’ils le sont réellement. Je suis partagé sur sa réforme mais il décide d’abaisser le prix des chaussures. Pour moi elle n’a aucun intérêt.

36. Le 21 janvier 2015, 09:44 par Meagan

:-/ :-| Pour un premier chapitre je trouve qu'il manque cruellement d'énergie et d'action. Les premières descriptions de Don Quichotte semble assez normale puis j'observe son manque des priorités en vendant des terres dans le but d'acheter de simples livres de chevalerie. Son armure de chevalier est aussi peu convaincante que lui.

37. Le 21 janvier 2015, 09:44 par Marie-Lys ;)

Ce passage est d’une horreur absolue. Rien ne m’effraie plus que de voir la « satisfaction » de détruire le bonheur d’autrui. Comment peut-on se faire sa propre justice sur ce qui nous semble bien ou mal ? Encore plus si notre justice est défaillante et qu’elle ne repose que sur nos propres goûts. Ce passage m’a énormément déplu et les ‘‘soi-disant’’ amis de Don Quichotte ne font que donner exemple aux lignes du dessus. Leur raison de leur décimation est tout simplement ridicule. C’est très choquant. Ils gardent les œuvres de leurs amis ou les œuvres qui leur plaisent et ne font guère attention aux autres qu’ils jettent lâchement par la fenêtre. :-C
Cet acte, au fil de ma lecture, me fait de plus en plus penser aux génocides de populations, sauf qu’ici c’est un génocide de livres. Ils éliminent ce qui pour eux est mauvais et dangereux alors que pour d’autres ce n’est juste qu’un simple moyen de rêver, de croire à l’imaginaire, et d’échapper aux choses déplaisantes de la réalité O-) . Pour moi, Don Quichotte lit pour sortir de la réalité de son entourage qui après ce passage m’énerve fortement. !-(
De plus, cette réalité du livre, « auteur du dommage », me laisse perplexe. On nous dit tout le temps que lire est bien. Que lire est une chose plaisante à exploiter. Là c’est l’inverse. Cela me fait penser à ‘’Mathilda’’, de Roald Dahl. Les parents de la petite fille lui interdisent de lire car ils ont peur qu’elle devienne plus intelligente qu’eux. Du coup ils tentent de la punir comme les amis de Don Quichotte qui privent ce dernier de son unique extase. !-(

D’autres passages plus futiles m’ont déplus, comme les femmes qui prennent énormément de plaisir à brûler les romans et sont les plus demandeuses en actes horribles ou le curé qui décide avec son ami de brûler tous les livres d’une autre langue, c’est-à-dire tous les livres qu’ils ne comprennent pas, tous les livres étrangers.
Un livre mérite-t-il autant d’affronts ? Après tout ce n’est juste qu’un moyen de s’évader… :-/

38. Le 21 janvier 2015, 09:44 par Marie

:-/ Je reste perplexe face à cet extrait, le début est lent comme le reste du livre. Il est néanmoins vrai que j'ai non pas aimé, ce serait exagérer, mais apprécier cet extrait. C'est de toute l'histoire celui que j'ai le plus retenu car l'inattendu se produit ! En effet, on apprend que la duchesse connait déjà l'histoire de Don Quichotte car elle a lu le livre. Et la... c'est la surprise ! Je ne m'y attendais pas du tout ! Et sur ce coup la Cervantes a eu une idée de génie ! Après avoir lu ce passage j'ai donc remis en question toute l'histoire que je trouvais déjà peu crédible, mais alors maintenant... Et je me mets à la place de cette femme, savait-elle donc qu'elle allait rencontrer les deux voyageurs ? Ce passage me pousse vraiment à la réflexion. Enfin la non crédibilité de ce passage n'as pas empêché que cet effet de surprise me plaise beaucoup! Et bien sur Cervantes n'a pas oublié de faire paraitre le côté ridicule des personnages grâce à la chute des deux hommes. Mon avis est donc mitigé, je ne sais pas réellement quoi penser de cet extrait.

39. Le 21 janvier 2015, 09:45 par Laura

Je n'aime pas trop ce premier chapitre car il est très ennuyeux par rapport aux autres, il n'y a presque rien d'intéressant par rapport aux autres chapitres. Il manque d'action et ne me donne pas très envie de continuer a lire et en savoir plus. :-/ :-| :siffle:

40. Le 21 janvier 2015, 09:45 par Nolwenn.

:mdr: Enfin, je suis choquée, je ne pensais pas qu’un jour il allait s’en rendre compte, mais je vois que si. Celui qui disait ne pas être fou, va enfin le reconnaître, depuis le temps que j’attends ce moment. C’est dommage pour lui que ce soit seulement au moment de sa mort qu’il s’aperçoit de sa folie. Je dois dire que sa mort ne me fait pas grand-chose. Ah et puis ce pauvre Sancho Panza, fidèle à lui-même reste au près de Don Quichotte jusqu’à la fin, ce qui est plutôt gentil et très attentionné, moi à sa place je lui aurais dis au revoir et je serais vite parti. :siffle:
Il a comme même de la chance, lors de ses dernières heures, il reçoit la visite de pas mal de monde, moi qui croyais qu’il n’avait pas d’amis et que tout le monde le prenait pour un fou. Comme quoi, à la fin je suis plutôt satisfaite, je n’irai pas jusqu’à dire que sa mort m’attriste, loin de là, mais au moins, il a perdu sa folie, qui m’énervait tellement ! Je suis soulagée que ce soit la fin du livre, parce que c’était comme même très ennuyeux, mais ce dernier passage, c’est celui que je préfère, déjà parce que c’est la fin de l’histoire et que j’attendais ce moment avec impatiente, et ensuite parce que Don Quichotte ne nous ennuie plus avec ses géants ou avec d’autres choses stupides. Heureusement pour Don Quichotte, il a eu le privilège de mourir calme, comme aucun autre « chevalier » même si pour moi, même après sa mort, ce n’est pas un chevalier, et ça m’énerve, ça me choque, qu’à la fin ils l’appellent « chevalier » alors que ce n’était rien d’autre que sa folie, il n’a rien d’exemplaire ! !-(

41. Le 21 janvier 2015, 09:45 par Sarah T

:-/ Que c’est long… et inutile aussi… Je ne me rappelais même pas de ce passage et j’aurais préféré ne pas m’en rappeler. Je ne comprends pas pourquoi Cervantès a gâché autant de pages rien que pour parler de deux hommes qui jettent des livres. Ils prennent les livres de Don Quichotte et les brûlent dans son dos. C’est si cruel ! En plus ils les sélectionnent sans même connaître leur contenu. Ils ne se fient qu’aux titres. Ca me fait penser aux gens dans la société qui mettent des gens à l’écart rien qu’en les regardant sans essayer de les connaître et c’est très dommage car ils sont sûrement plus intéressant qu’eux.
Je suis aussi déçue de cet extrait, je m’attendais à une chute à la fin mais non…Rien n’est drôle dans ce passage et c’est dommage car j’avais bien aimer le livre mais ce passage me rappelle qu’il y avait d’autres passages comme celui-là : pas drôle, long et inutile.

42. Le 21 janvier 2015, 09:46 par Dorian

Je trouve que dans ce chapitre, Don Quichotte apparait moins fou que dans le reste du livre. Effectivement, dans ce passage, on se rend compte que Don Quichotte est conscient de sa folie, ce qui le rend assez pathétique. Pour moi, le fait que Don Quichotte révèle enfin son vrai nom le rend moins héroïque et plus censé que dans le reste du livre. En effet, c'est vrai que dans ce chapitre là Don Quichotte ne semble plus être le chevalier errant courageux et vaillant qui voulait se battre contre n'importe quel adversaire que ce soit des moulins ou des forçats.

43. Le 21 janvier 2015, 09:47 par Magali L

Ce chapitre est plutôt long. Je n’es pas réussi à rentrer dans le récit. Sa longueur, pour moi est due à l’absence d’action. Je reste perplexe. :-| Don Quichotte, habituellement loufoque, parait calme dans ce chapitre. En effet, on remarque qu'il ne provoque personne. Une question me taraude, comment la duchesse et le duc peuvent t' ils avoir lus les récit des aventures de Don Quichotte ? L'auteur veut t' il faire passer un mot ? En effet, Don Quichotte est fictif. L'auteur veut le rendre plus réel ?
Ce chapitre m'a donc paru inintéressant, il n'y a aucune information importante. :-/

44. Le 21 janvier 2015, 09:47 par Loriane CARSIQUE

La mort de don Quichotte :
Je retrouve enfin le sourire LOL ! Ce passage –d’entre tous- est le seul que j’apprécie véritablement. Don Quichotte retrouve sa lucidité. Je ne ressens plus aucun des sentiments de malaise que j’éprouvais lorsque don quichotte était tourné en ridicule. Il retrouve son véritable nom Alonzo Quijano et qu'a a fait du bien de l'entendre :-o !!!

Pour autant, ce passage n’est pas plus compréhensible, plausible et lucide que les autres (un sacré paradoxe il faut l’avouer : don Quichotte est plus lucide que jamais mais le texte n’en est pas moins plus lucide !) Comment diable a-t-il pu retrouver la sagesse ? Est –ce parce qu’il côtoie la mort, qu’il vit ses derniers instants ? Qu’a voulu nous faire comprendre Cervantes ? Mieux vaut vivre fou et mourir sage ? N’est ce pas illogique ? N’est ce pas une fois encore paradoxale ? Généralement nous devons fou avec l’age pas l’inverse !

45. Le 21 janvier 2015, 09:50 par Léa

Ce premier chapitre de Don quichotte me plaît :-) . Il laisse tout tomber pour passer son temps à lire des romans de chevalerie. Il me fait beaucoup penser à un enfant quand il joue et qu'il s'invente des histoires avec une grande imagination.Je le sens déterminé dans ce qu'il entreprend mais d'un autre côté assez inconscient...Ce que je trouve ridicule ;(' . Il est aveuglé par la réalité. Mais cependant, il fait preuve de folie et d'ambitions,ça me donne envie de le suivre dans ses propres aventures!

46. Le 03 février 2015, 20:11 par Mme Baudry

Chapitre 1 : « De la condition et des occupations du fameux gentilhomme don Quichotte de la Manche »
Don Quichotte, un hobereau de village qui frise la cinquantaine, se passionne pour les romans de chevalerie et finit par en perdre le jugement. Un beau jour, il décide de partir à l’aventure et d’imiter les héros dont il a lu les aventures. Comme eux, il adopte un surnom « Don Quichotte de la Manche », nettoie de vieilles armes poussiéreuses qui ont appartenu à ses ancêtres, et sort de son village sur le dos de sa monture, Rossinante, une rosse maigre et efflanquée, qui lui semble le plus beau des coursiers.

Chapitre 6 : « De l’exacte et plaisante enquête que le curé et le barbier firent en la librairie de notre ingénieux gentilhomme »
Craignant une nouvelle rechute de don Quichotte, due à ses mauvaises lectures, les deux femmes appellent à la rescousse le curé et le barbier, qui se proposent d’expurger la riche bibliothèque du gentilhomme pendant que celui-ci, plongé dans un profond sommeil, se remet de ses blessures. Ce chapitre donne lieu à des commentaires à la fois esthétiques et éthiques sur les œuvres de divertissement en vogue en Espagne dans la seconde moitié du xvie siècle, en particulier les romans de chevalerie (Amadis, Bélianis, Palmerins, etc.). L’examen de la bibliothèque de l’hidalgo se termine par l’adoption d’une solution radicale : la plupart de ses livres sont brûlés et la porte d’entrée de sa bibliothèque murée, ce que don Quichotte attribue, à son réveil, à la malice l’enchanteur Friston, son ennemi.

Chapitre 8 : « Du beau succès que don Quichotte eut en l’épouvantable et jamais imaginée aventure des moulins à vent, avec d’autres événements d’heureuse ressouvenance »
Alors que les deux compagnons devisent paisiblement, don Quichotte aperçoit soudain « trente ou quarante » moulins à vent qu’il prend immédiatement pour des géants. L’hidalgo, impressionné par ces monstrueuses créatures, met sa lance en arrêt et se jette contre elles, sous les yeux ébahis de son écuyer. Le rôle de Sancho, lors de cette première aventure commune, se limite à avertir son maître de sa méprise, puis à panser ses plaies et à ramasser les morceaux de sa lance brisée.

Chapitre 30 : « De ce qui advint à don Quichotte avec une belle chasseresse »
Le jour suivant, don Quichotte aperçoivent dans un pré une dame vêtue de vert, en habit de chasse, montée sur un palefroi. À leur grande surprise, celle-ci a lu la première partie de leur aventure. Cette duchesse et le duc, son mari, proposent alors à don Quichotte et à Sancho de les accueillir dans leur château.
 
Chapitre 31 : « Qui traite de beaucoup de grandes choses »
Pour se divertir, le duc ordonne en cachette à tous ses serviteurs de traiter don Quichotte comme s’il était un chevalier errant véritable. Comme dans les livres qu’il a lus, celui-ci est donc désarmé par des demoiselles qui lui servent de page et qui l’apprêtent pour le dîner, sous les yeux amusés du duc et de la duchesse. Quant à Sancho, don Quichotte lui recommande de peser ses mots avant d’ouvrir la bouche, car il craint que celui-ci ne prononce quelque balourdise qui risquerait de le discréditer. Après mille compliments, les convives et leurs hôtes se mettent à table, et le maître et l’écuyer racontent leurs aventures passées. Mais bientôt, don Quichotte est interrompu par un sombre ecclésiastique qui lui enjoint de rentrer de son village et de s’occuper de ses biens au lieu de parcourir le monde comme un fou.
 
Chapitre 32 : « De la réponse que fit don Quichotte à celui qui le reprenait, avec d’autres événements graves et plaisants »
Don Quichotte répond alors, tout tremblant, à son contempteur. Il n’est ni fou ni sot, mais exerce le digne et noble métier de chevalier errant. Il méprise les biens mondains, mais pas l’honneur. Il est amoureux, mais son amour est platonique. Alors que l’ecclésiastique commence à s’en prendre à Sancho, le duc propose à l’écuyer de le faire gouverneur d’une île qu’il dit être vacante. Indigné, le religieux quitte le palais du duc et de la duchesse, qu’il ne juge pas moins fous que leurs hôtes. Don Quichotte se lance alors dans un long discours sur la différence entre offense et affront, et assure que les offenses des gens d’Église, comme celles des femmes, sont sans portée. La duchesse prend plaisir à entendre parler Sancho, qu’elle trouve même plus plaisant et plus fou que son maître. Des domestiques lavent ensuite la barbe de don Quichotte selon un rituel burlesque. La duchesse questionne enfin le chevalier et son écuyer à propos de Dulcinée apprenant de leur bouche même l’histoire de son enchantement.

Chapitre 45 : « Comment le grand Sancho Pança prit possession de son île et de la manière dont il commença de la gouverner »
Sancho est conduit dans un bourg appartenant au duc, et on lui donne à entendre que ce lieu, dont on lui remet les clés, se nomme l’île Barataria. En vertu d’une vielle coutume visant à tester la sagacité des nouveaux gouverneurs de l’île, Sancho est dès l’abord amené à arbitrer une série de litiges, ce dont il s’acquitte avec un bon sens exemplaire. D’abord concernant un homme endetté qui cache malicieusement ses écus d’or dans sa canne, puis une prostituée qui feint d’avoir été violée par un laboureur, afin lui soutirer de l’argent.

Chapitre 47 : « Où l’on continue d’exposer la conduite de Sancho Pança en son gouvernement »
Après l’audience qu’il a présidée, Sancho est conduit dans un palais somptueux où un dîner a été apprêté. Mais, pour son plus grand déplaisir, dès qu’il veut goûter d’un plat, son médecin personnel – Pedro Recio de mal Aguero – le lui interdit en se plaçant sous le patronage d’Hippocrate (tel plat est trop gras, tel autre trop sec, celui-là trop humide…). En réalité, il n’énumère que de fallacieux prétextes pour frustrer Sancho et se divertir à ses dépens. Au moment même où Sancho s’apprête enfin à manger, un messager envoyé par le duc annonce à Sancho l’attaque prochaine de son île par des ennemis. Par précaution, il est décidé que le gouverneur ne doit rien manger sous peine de risquer d’être empoisonné.

Chapitre 49 : « De ce qui arriva à Sancho Pança en faisant la ronde dans son île »
La nuit tombe à Barataria, et Sancho accompagné de ses hommes fait une ronde autour de l’île. Lors de ce déplacement nocturne, le nouveau gouverneur est amené à arbitrer de nouveaux litiges, ce dont il s’acquitte avec beaucoup de discernement.

Chapitre 51 : « De la suite du gouvernement de Sancho Pança, avec d’autres événements assez bons »
On soumet à Sancho de nouveaux cas pour qu’il exerce sa justice. Il s’agit en réalité de nouveaux casse-têtes imaginés pour le plaisir de le mettre en difficulté. Mais Sancho se montre d’une extrême sagesse, fidèle aux préceptes que lui a enseignés son maître, dont une lettre lui parvient. Celui-ci le félicite pour le bon gouvernement de son île, qui est parvenu jusqu’à ses oreilles, lui fait de nouvelles recommandations, et l’informe de ses dernières mésaventures. Dans sa réponse, l’ancien écuyer lui raconte son quotidien, et évoque les nombreux tracas qui accompagnent sa charge ; il se plaint des pesantes contraintes – notamment alimentaires – qui pèsent sur les gouverneurs. Sancho s’attèle ensuite à réformer et à moderniser son île en rédigeant des Constitutions, tandis que ses mystificateurs réfléchissent dans l’ombre à la façon dont ils vont pouvoir mettre fin à son gouvernement, et l’expulser de Barataria.

Chapitre 53 : « De la pénible fin qu’eut le gouvernement de Sancho Pança »
La septième nuit de son gouvernement, Sancho est réveillé en pleine nuit par un grand bruit de cloches et de cris. Le gouverneur est informé que son île est attaquée par une infinité d’ennemis. Sancho est immédiatement affublé d’une armure ridicule, tellement lourde qu’il peine à se mouvoir. Dans cet accoutrement, il essaie tant bien que mal de commander son armée tandis qu’une kyrielle de coups s’abat sur lui : il est rossé, moulu, piétiné… Au moment où il s’y attend le moins, on lui annonce la victoire de ses troupes, mais Sancho est las. Il ne veut plus de cette charge de gouverneur, décidément trop pesante. Dix jour après le début de son gouvernement, il quitte donc Barataria et reprend sa route. Monté sur son grison, comme autrefois, il s’en va rendre compte au duc de sa décision.

Chapitre 74 : « Comme quoi don Quichotte tomba malade, du testament qu’il fit, et de sa mort »
Peu de temps après son retour, don Quichotte est saisi d’une étrange fièvre qui le retient six jours au lit, durant lesquels il reçoit régulièrement la visite de ses amis. Ceux-ci imaginent que ce mal lui vient de la peine d’avoir été vaincu sur la plage de Barcelone et de ne pas voir l’accomplissement de son désir touchant le désenchantement de Dulcinée. Ils essaient alors de le réconforter en évoquant son projet de se faire berger errant, mais en vain. À leur grande surprise, don Quichotte semble définitivement guéri de ses folies, et leur prouve qu’il possède désormais un jugement libre et clair. Don Quichotte, qui sent sa mort prochaine, demande à sa nièce de faire venir ses amis, auxquels il déclare qu’il est redevenu Alonso Quijano le Bon et qu’il abhorre désormais les livres de chevalerie. Puis, l’ex-chevalier se confesse, dicte à un notaire son testament, et meurt. L’œuvre s’achève par une déclaration de Cid Hamet Benengeli, qui laisse ensuite la parole à sa plume, laquelle met en garde d’hypothétiques continuateurs : « Pour moi seul, naquit don Quichotte, et moi pour lui. Il a su agir, et moi écrire. Enfin, lui et moi ne sommes qu’une seule et même chose, en dépit du menteur écrivain tordesillesque qui a osé témérairement écrire d’une plume d’Autruche mal taillée les prouesses de mon valeureux chevalier  ».
 

47. Le 04 février 2015, 08:14 par mme baudry

Séance du 4 février.
- à partir de l'entretien de Romain Gary sur Don Quichotte, notez trois idées développées par cet auteur sur l’œuvre de Cervantès.
- lisez le résumé du texte de Don Quichotte attribué à votre groupe.
- lisez les commentaires des camarades qui ont traité ce texte de Don Quichotte puis, sur Internet, cherchez des pistes d'interprétations supplémentaires sur ce texte.
- envoyez ensuite votre "fiche" sur le texte à la suite de cette page de blog.

48. Le 04 février 2015, 09:43 par Magali et Aurélien

Pas très artistique
Assez difficile à lire
Humour (de l’époque et espagnol) très différent
On trouve les personnages partout
Indispensable et fétiche
On peut lire au hasard donc chef d’œuvre
Le livre est schizophrène
Mêle réalisme et idéalisme
Autocritique et ouverture d’esprit de don quichotte, fait un parallèle avec le régime autoritaire chinois
Les personnages sont meilleurs que le livre ( personnages + intéressants que les passages descriptifs).

Même si il peuvent paraître aimant envers l’hidalgo, en voulant le soigner de sa folie, le curé et le barbier sont juste idiots, égoïstes, et ne sont pas du tout compréhensif : pour « aider » leur ami, ils passent par la destruction des livres de ce dernier, sans même essayer de le comprendre. Ils sont détestables en ce sens.

Encore plus si notre justice est défaillante et qu’elle ne repose que sur nos propres goûts. Ce passage m’a énormément déplu.

Fait penser aux génocides de populations, sauf qu’ici c’est un génocide de livres. Ils éliminent ce qui pour eux est mauvais et dangereux alors que pour d’autres ce n’est juste qu’un simple moyen de rêver, de croire à l’imaginaire, et d’échapper aux choses déplaisantes de la réalité

Ca me fait penser aux gens dans la société qui mettent des gens à l’écart rien qu’en les regardant sans essayer de les connaître et c’est très dommage car ils sont sûrement plus intéressant qu’eux.

pas drôle, long et inutile.

49. Le 04 février 2015, 09:46 par Loriane - Manon

Le gouvernement de Sancho Panza :
- Sancho Panza ne sait pas gouverner : c’est un incapable
- Quitte ce pour quoi il a suivi Don Quichotte au bout de 10 jours : versatile
- A cru que gouverner serait facile : naïf
- Son médecin lui dicte ce qu’il doit faire : influençable
- Réformes inutiles : incapable bis
- N’arrive pas à se battre : pas l’âme d’un chef

50. Le 04 février 2015, 09:47 par Victoria.S et Marjolaine.R

Cet incipit ne donne vraiment pas envie de lire le reste du livre, il n’y a pas assez d’action. Il se croit déjà chevalier , ce qui n’est pas du tout le cas .Il y a beaucoup de description j’ai vite trouver ça lassant. Il manque cruellement d'énergie et d'action. Don Quichotte apparaît plus comme un antihéros que comme un héros. Il ne donne pas l'impression d'un héros qui va accomplir des exploits.Il fou en perpétuel décalage.

51. Le 04 février 2015, 09:47 par Sousou et Fouiny

Long, il n’est pas très intéressant, il y a beaucoup trop de descriptions,
Ne donne vraiment pas envie de lire le reste du livre
Parait très très long. Il y a beaucoup de description j’ai vite trouver ça lassant
Ce passage ennuyeux et inintéressant
Autant d’intérêt qu’un grec sans viande.
Manque cruellement d’énergie et d'action
Le personnage est niais
Son armure de chevalier est aussi peu convaincante que lui
Chevalier ridicule
Fait penser a un enfant quand il joue
Rend familier la folie du personnage

52. Le 04 février 2015, 09:51 par Jules

D'un côté c'est comme si tout ses rêves se volatilisaient et de l'autre c'est un départ après avoir accomplis sa quête.

On n'a l’impression que l’auteur a voulu nous troubler et jouer avec nous : on ne comprend pas le brusque changement de comportement de Don Quichotte.

peut-être l’auteur voulait nous montrer que chacun a une part de folie en lui.

l’auteur veut il nous rendre plus tolérant face aux personnes comme Don Quichotte.

je pense que l’auteur aimerait nous voir déstabilisés face à cette fin inattendue et irréaliste.

Van Doren décrit très justement Don Quichotte comme un livre d’une «mystérieuse simplicité» : «La preuve de sa simplicité, c’est qu’on peut le résumer en quelques phrases. La preuve de son mystère, c’est qu’on peut en discuter à l’infini

53. Le 04 février 2015, 09:52 par WebGreg

On a ici mise en abyme, avec le duc et la duchesse qui ont déjà lu le premier livre. On a une relation totalement différente au personnage. Au début on nous racontait l'histoire d'un personnage, ici c'est quasiment la biographie d'une célébrité. Il y a une certaine dimension comique , pas apportée par les folies de Don Quichotte mais justement par le fait qu'il soit sérieux alors que ses hôtes ne font que se moquer de lui et son écuyer. Dans ce passage apparaît aussi un ecclésiastique, que Don Quichotte contredit, ce qui est drôle quand on pense aux confessions qu'il a du faire pour aller dans le sens de l'Inquisition. Sancho paraît pour une fois aussi fou que son maître, lui qui tiens pour personnage terre-à-terre.

54. Le 04 février 2015, 09:52 par Yannick

Passe son temps a lire des romans de chevaleries en laissant tout tomber. Don quichotte a la 50 aines et vit avec sa gouvernante. Il part a l'aventure
Il est surnommé " Don quichotte de la manche "
Don Quichotte aveuglé par la réalité
Il a un manque de priorité en vendant des terres et en rachetant des livres de chevaleries. Il se fabrique un casque en carton.
Prépare un discours pour la dulciné de tobosco
Don Quichotte se trouve entre deux mondes , celui du réalisme et celui de la folie

55. Le 04 février 2015, 09:52 par Meagan et Laura

Schizophrénie représentée dans le personnage de Don Quichotte
Don Quichotte = Idéaliste : Sancho Panza = Réalisme
Difficile à lire : humour espagnol, livre comique à l’époque après traduction disparition de l’humour, humour seulement perçut par un espagnol du XVII
Livre étrange, personnages meilleurs que le livre, personnages plus intéressant on abandonne les cotés descriptif de l’histoire
Lire au hasard puis lire du début à la fin
Autocritique reprise de la raison du personnage
Actualité de l’époque, confession d’un chinois scientifique ; excuse d’avoir écouter la symphonie de Beethoven, Censure communisme extrême
A l’époque de l’inquisition l’autocritique à la fin dans le but d’être publié
Lecture de livre intégrale difficile

naïf de penser qu’il pouvait vaincre des tels machines

56. Le 04 février 2015, 09:52 par Marie-Lys et Sarah

Je ne comprends pas comment un écuyer peut devenir gouverneur ! Je suis perplexe, je n’ai pas l’impression qu’il dirige. Il n’a pas le droit de manger ce qu’il veut, c’est son médecin qui choisit.
Comique du 17e siècle espagnol qui se perd un peu
Comportement des personnages est plus intéressant que l’histoire en elle-même.
La promesse du gouvernement tient-elle du réel ou de l’imaginaire ? La pensée de Sancho va devoir évoluer au gré des événements.
, Sancho Pança, l'écuyer qui lui manquait, qu’il attire par l’appât d’un gain important et le mirage d’une île dont, en guise de récompense pour ses services futurs, il deviendrait le gouverneur. .
Sancho se voit embarqué dans ce qu’il pensait quasiment impossible, mais conquiert enfin l’admiration de tous parce qu’il s’efforce de faire honneur aux conseils éclairés de son maître, met en oeuvre dans ses nouvelles fonctions ce sens réaliste et pratique qui est sa caractéristique essentielle.
Comme Sancho base son mode de vie sur la tradition orale, usant et abusant de proverbes pleins de ce bons sens populaire qu'il représente, on peut le considérer comme atteint d'une folie proche de celle du chevalier : lui aussi veut réaliser ses rêves quoi qu'il lui en coûte, et sa volonté de gouverner une île est telle qu'il accepte et prend pour sienne la vision du monde de son maître. Quand il en est devenu gouverneur, il se livre avec une fantaisie toute donquichottesque, se juge avec complaisance apte à la vie politique (mais se trompe-t-il tout à fait?), parle du pouvoir de la relation entre un dirigeant et son peuple

57. Le 04 février 2015, 09:52 par Giton

Dans cet extrait, qui est le premier chapitre dit "L'incipit", Don Quichotte débute son délire en prenant au sérieux les histoires et aventures des héros de ses livres et souhaite faire de même et partir à l'aventure.
Il est aveuglé par la réalité. Mais cependant, il fait preuve de folie et d'ambitions, ça me donne envie de le suivre dans ses propres aventures !
Il a la cinquantaine, mais se voit comme un héro, tel le gamin de 9 ans. On pourrait croire à des problèmes mentaux, je pense que c'est plutôt une imagination un peu trop fantaisiste !

58. Le 04 février 2015, 09:53 par Nolwenn.

Romain Gary: -Schizophrénie
- humour espagnol

Don Quichotte: dernier chapitre
- « Don Quichotte retrouve sa lucidité. »
- « Je m’attendais à ce qu’il meurt, toujours fou, et de manière pathétique. »
- « Mais en est-il au courant seulement maintenant ou l’a-t-il toujours été ? »
- « Généralement nous devons fou avec l’age pas l’inverse »
- « Mieux vaut vivre fou et mourir sage ? »
- A la mort de don Quichotte est l'occasion exubérante de venger le Chevalier à la Triste Figure de la bêtise et de la méchanceté de ceux qui ont profité de sa folie.

59. Le 04 février 2015, 09:54 par Justine &Justine

Chapitre 6 :
-Passage cruel, horrible
-détruire le bonheur d’autrui en voulant leur bien
-censure similaire à celle de l’époque sur ceux qui ne plaisait pas et parallèle a la dictature Chinoise dont parle Romain Gary
- comparaison possible avec la société d’aujourd’hui avec le fait de juger un livre a sa couverture
- Pour le curé et le barbier les critères sont clairs, du moins ce sont les critères qu'ils se donnent pour justifier ce qui n'est peut-être au fond que l'expression de leurs goûts personnels : les bons livres – et donc, pourrions-nous dire, les « bonnes lectures » – sont les livres singuliers, uniques, frappants, ou dans lesquels entre beaucoup d'art, tandis que les mauvais livres sont ceux qui n'apportent rien de neuf, ni au style ni à l'invention.
- me fait penser à ‘’Mathilda’’, de Roald Dahl. Les parents de la petite fille lui interdisent de lire car ils ont peur qu’elle devienne plus intelligente qu’eux
- Cet acte, au fil de ma lecture, me fait de plus en plus penser aux génocides de populations, sauf qu’ici c’est un génocide de livres
- maintenir un peuple ou une personne dans l’ignorance l’aiderait à mieux se porter ? Et les plus bêtes seraient les plus sains d’esprit ? Les extrémistes de toutes sortes seraient ainsi de vrais médecins ?

Romain Gary :
Schizophrénie représentée : (livre schizophrène)
L’idéaliste, le rêveur pour DQ et réaliste SP
Difficile à lire : la drôlerie espagnole contextualisée : perte dans la traduction
Auto critique sur son lit de mort qui se rend compte qu’il a commis des erreurs, parallèle avec un scientifique chinois qui s’excuse d’écouter la 9eme symphonie de Beethoven, il s’autocritique d’écouter de la musique classique. Cervantès écrit cette autocritique finale pour l’Inquisition, pour être publié.
Sancho prit de terreur devant les objets réels contrairement à Don Quichotte
Comparaison physique avec comique danois Double Pat et Patachon.
Personnages meilleurs que le livre, personnages plus intéressant que l’histoire elle-même. Descriptions qui peuvent ennuyer.
Livre qu’il faut lire au hasard (livre de chevet), on les ouvre n’importe où, ce qu’il faut faire avec Don Quichotte pour le donner la chance de re vivre.
Difficile de se procurer l’œuvre intégrale, originale.