Scène d'exposition du Misanthrope. Sujet d'écriture sur la mise en scène de S. Braunschweig au TNS en 2004.

Vous allez assister à la représentation d'une pièce que vous connaissez. Les lumières s'éteignent progressivement. Vous découvrez alors l'espace scénique. Faites part de vos réactions, de cette expérience des premiers instants du spectacle. Attention, il ne s'agit ni de raconter, ni de résumer la pièce.

Commentaires

1. Le 17 février 2014, 12:42 par Clélia L 2nde5

Je prends place pour assister à cette pièce que j'avais déjà lue et qui m'avait vraiment plu, le Misanthrope. Alors que les spectateurs discutent entre eux, je préfère regarder la scène. Je suis surprise et même légèrement déçue de constater que seules deux chaises font office de décor. Et pourquoi deux chaises? Dans mes souvenirs, il n'y en avait qu'une seule sur laquelle était assis Alceste, c'est absurde. Mais je suis soudain sortie de mes pensées lorsqu'un personnage fait son apparition sur la scène. Le public se tait et on n'entend progressivement plus un bruit. La scène et même ces deux chaises simples semblent soudainement prendre de l'importance et prendre vie. Mais j'ai comme le sentiment que ce personnage présent sur la scène n'est pas réel ou tout du moins n'est pas de cette époque, comme si je venais de remonter le temps pour assister à un moment passé.

2. Le 18 février 2014, 11:24 par Marion 2nd4

Le rideau se lève et je vois enfin la scène, le décor. Je suis très surprise par le choix du metteur en scène : un miroir et deux chaises. C’est tout. Dans mes souvenirs, la scène a lieu dans le salon d’une noble, ce qui suppose une riche décoration. Ce choix épuré me semble bizarre, car on ne voit aucune référence au XVIIème siècle. On pourrait croire que la pièce se passe à notre époque ; peut-être est-ce d’ailleurs ce que souhaite le metteur en scène.
Le misanthrope entre sur scène, suivi peu après par son ami Philinte. Mes réserves à propos de la pièce, dont je n’avais pas compris le sens comique en la lisant, se dissipent : les mimiques des comédiens, leur ton, leurs regards, leur air de jumeaux pourtant si disparates, voilà ce qui fait rire, et qui est pourtant totalement absent du livre. Voir la scène me permet de mieux comprendre, d’avoir un nouveau regard sur une pièce que je trouvais sincèrement ennuyeuse : elle remonte dans mon estime. J’arrive à suivre l’histoire facilement, malgré le discours rimé, malgré le langage d’une autre époque, grâce aux expressions au jeu des comédiens. Ils pourraient presque se passer de mots ! Cela témoigne de ce que j’ai toujours pensé : le théâtre est fait pour être vu, et non pour être lu.
Finalement, j’apprécie le chois du metteur en scène d’avoir transposé cette pièce autant que possible dans notre époque. Elle semble plus vivante, plus réelle. Elle ressemble finalement à une comédie que nous, spectateurs du XXIème siècle, pouvons comprendre.

3. Le 18 février 2014, 12:40 par Mme Tostivint

Merci pour ces premiers commentaires.
Je pense qu'il faut être plus précis sur les éléments de mise en scène: décor, costumes, accessoires, atmosphère de la salle pour répondre mieux au sujet. C'est la dimension émotionnelle qui manque un peu ici.
Je pense qu'il existe une vidéo de cette mise en scène sur le net, si vous n'avez plus de souvenirs de la projection faite en classe.

4. Le 18 février 2014, 15:02 par THO Gaonha-Ly 2nd5

Dans quelques instants, les lumières s’éteindront et la pièce lue quelques semaines avant prendra place sur cette scène composée seulement d'un miroir et de deux simples chaises en bois. Je dirai que c'est bien moins qu'un modeste de décors. Mais pourquoi pas après tout. C'est vrai que je m'attendais à autre chose, à un lieu plus riches en meubles, en textures, à quelque chose qui collait mieux à l'époque et au thème du " Misanthrope " finalement. Mais le metteur en scène devait avoir ses idées, il connaît son travail. Je suis donc assise au milieu de ma classe, au milieu des personnes qui parlent, chahutent en attendant l'ouverture du premier acte. Je ne suis pas impatiente, ce n'est qu'un simple décors et une simple pièce de théâtre, rien de plus rien de moins. J'attends seulement. Enfin, les lumières perdent de leur luminosité et voici les deux comédiens qui montent sur scène. Alceste suivit de son ami Philinte. Seconde surprise, ils ne sont pas habillés comme moi je l'avais si bien imaginé. Ou sont donc passés les beaux vêtements nobles ? Ils ont été remplacés par des costumes noirs et des cravates. Ce que je trouve ni absurde, ni si mauvais. Faire un saut dans le temps alors qu'ils étaient censés se retrouver au XVIIème siècle, pourquoi pas. Même si personnellement, je préférerai rester carrée et respecter l'époque de la pièce. Je pense qu'il faut garder le "style" qu'impose cette pièce.

5. Le 19 février 2014, 14:59 par Mme Tostivint

Attention aux connaissances que vous apportez
- les lumières s'éteignent-elles justement dans ce spectacle?
- les costumes: s'agit-il de cravates?
- quels rapports pouvez-vous faire entre cette mise en scène et le texte?
Pour l'expression de l'émotion, intéressant d'utiliser la ponctuation expressive comme le fait le commentaire 4.
Pour le respect des codes de l'écrit d'invention: apportez plus de style à vos textes en privilégiant les images poétiques.

6. Le 19 février 2014, 17:01 par Martin 2nd5

Alors que je venais de m’asseoir pour regarder la pièce de théâtre "Le Misanthrope" ,les lumières sont toutes allumées. Tout le monde parle. Je me concentre sur la scène. Une scène de taille moyenne avec dessus, deux chaises. Pourquoi que deux chaises ? Dans mon souvenir de ma lecture le décor était plutôt riche. Une personne arrive sur scène alors que les spectateurs présents dans la salle sont encore en train de discuter ! Cette personne est habillé en costume noir alors que dans la pièce écrite, les personnes sont richement vêtues. Une autre personne arrive et je me laisse porter par la pièce qui commence à devenir importante même si le décor n'est pas riches, les deux chaises suffisent aux deux personnages. Entendre des personnes du XXI ème siècle parler comme des personnes du XVII ème siècle à quelque chose d'assez comique. Même si le metteur en scène a décidé d' habiller les personnages de cette façon, j'ai été déçu de voir ces habits. Déçu car je pense que ce genre de pièce doit garder son aspect véritable et garder la même noblesse qu'à l'époque. Malgré cela, les dialogues sont respectés et gardent la même importance.

7. Le 20 février 2014, 09:17 par Mme Tostivint

Trois remarques:
1) cela manque encore d'investissement et d'engagement personnel: le pronom "je" doit être davantage présent, ainsi que vos émotions
2) les connaissances apportées manquent encore de précision: les lumières s'allument-elle vraiment? costumes? décor? accessoires? jeu des comédiens? physique des comédiens?
Ce que vous dites de cette représentation est trop superficiel.
3) sur le plan des codes de l'écrit d'invention: vos textes manquent de "style", c'est-à-dire que votre texte n'est pas forcément agréable à lire alors que c'est un des enjeux primordiaux de cet exercice de bac.
Pour conclure, on retrouve les trois "plans" proposés pour la réussite du commentaire:
- l'expression d'émotions personnelles, une implication particulière à chaque élève
- l'apport de connaissances
- le respect des codes de l'exercice de bac (ici l'écrit d'invention bien sûr).
Est-ce que vous me comprenez?

8. Le 20 février 2014, 16:22 par Aurélien

Je suis confortablement assis. Je regarde autour de moi, les gens parlent, rient, d'autres toussent ... un véritable brouhaha secoue la salle. Le velours qui tapisse les fauteuils et les murs donnent une ambiance feutrée, très agréable. Des gens se penchent du balcon par curiosité. J'ai l'impression d'être transporté à l'époque de Molière où le paraître et être vu était primordial.
Mon regard se met à fixer la scène. Et là, surprise !!! Point de décor, point de meuble comme je l'aurai imaginé pour une pièce du XVIIème siècle. Seuls deux chaises et un miroir meublent la petite scène. Je comprends que le miroir est là pour donner de la profondeur à la scène (telle la Galerie des Glaces de Versailles).
Tout à coup, un homme apparaît, il tient un bouquet de fleurs dans la main et va s'asseoir sur une des chaises. Qu'elle n'est pas ma surprise en voyant sa tenue vestimentaire !!! Il ne porte pas de collants, pas de perruques poudrées, pas de maquillage extravagant. Où sont passées les tenues d'époque ? Il est vêtu comme tout un chacun, d'un simple pantalon, d'un veste, de chaussures noires et surtout d'un tee shirt vert.
Mais qu'ont-ils faits ? Ils ont transposé le Misanthrope à notre époque.
Vais-je apprécier ? Je me le demande et je décide d'attendre la suite.
Sur scène, un autre homme arrive en courant. Il regarde le public. Il est vêtu de la même manière que le premier homme, seule la couleur de son tee-shirt change, le sien est rouge.
Je comprends qu'il s'agit d'Alceste et de Philinte.
L'attitude, les joutes verbales, la gestuelle, le comique des répliques, le jeu des acteurs me permettent de mieux comprendre la pièce que la lecture du livre. Je plonge avec délice dans la Société du XVIIème siècle. Je ris beaucoup et me dis que Molière pourrait très bien vivre à notre époque.
Je sors de la salle en me disant qu'une pièce de théâtre permet de faire passer un message quelque soit le siècle.
J'ai toutefois préféré voir la pièce que lire le livre ...

9. Le 20 février 2014, 18:13 par Mme Tostivint

C'est mieux au niveau des connaissances:
Attention, cependant, la salle est-elle tendue de velours? de même, y a-t-il un balcon?
Attention aussi aux codes de l'écrit d'invention, notamment au respect du sujet: on vous demande de faire "part de vos réactions, de cette expérience des premiers instants du spectacle".

10. Le 21 février 2014, 11:23 par Ophélia Asiter

En attendant les acteurs je regarde le décor simple qui s’offre à mes yeux. C’est un décor froid, seul deux chaises sont installées sur une scène nullement décorée. Aucun rideau ne s’ouvre pour laisser paraître un décor élaboré. Peut-être que donner aux spectateurs l’effet de se retrouver dans une pièce chaleureuse aurait plus attiré mon regard mais ici tout est vide, même les jeux de lumière sont absents. De plus, lorsque les acteurs arrivent le bruit ne désempli pas. Alceste et Philinte sont vêtus d’un costume semblable comme dans la pièce de Molière mais ce sont des costumes de nos jours. Je trouve qu’il y a trop de décalage entre le texte et la mise en scène trop moderne ! Je pense que je vais vite me lasser d’écouter parler ses deux personnages. J'ai l'impression qui récite leur texte sans ce mettre dans la peau de leur personnage à cause de cette mise en scène déplorable !

11. Le 21 février 2014, 15:20 par Manon G 2nde 5

À mon arrivée devant le lieu pour la représentation, je suis tout excitée de découvrir la scène et le décor. Après quelques minutes interminables et qui m’ont paru très longues, les portes s’ouvrent et j’entre enfin dans la salle. Je suis surprise se découvre la scène à mon arrivée. Je m'attendais à ce qu’un rideau nous sépare de la scène. La pièce est petite et la scène est vide. Je prends place dans un fauteuil dans le public, admire la scène de plus près lorsque plusieurs détails m’interpellent. Cette scène n’a aucun décor, seules deux chaises en bois y sont installées. Un grand miroir se présente sur le mur au fond de la scène. Ce miroir est immense il recouvre la totalité de ce mur et toutes les personnes du public se voient dedans. La salle me paraît très petite et peu animée mais ce miroir l’agrandit et la fais vivre ainsi que le bruit assez sourd créé par le public impatient que la pièce commence.
Après avoir admiré le miroir pendant quelques minutes, je m’arrête sur les chaises. Ce sont de simples chaises en bois du XXIème siècle que je peux trouver chez n’importe qui. C’est alors que je me demande, pourquoi le décor est-il si moderne alors que la pièce est ancienne. Mais aucune réponse ne me vint à l’esprit.

Puis mon regard est attiré vers un homme, vêtu d’un costume noir et d’une chemise coloré, qui monte l’escalier un bas du public, un bouquet de fleurs à la main. À ce moment je me dis que c’est un homme qui vient rejoindre sa femme dans le public pour assister à la pièce. Mais lorsqu’il monte sur la scène je suis surprise et je comprends alors que c’est un acteur et que la pièce va débuter. Le public aussi surpris que moi, se tait petit à petit et la pièce commence.
12. Le 21 février 2014, 16:54 par Mme Tostivint

Le commentaire 11 est le plus abouti.
- sur le plan des connaissances: attention, il ne s'agit pas d'une chemise. De plus, il faudrait parler de Philinte.
- sur le plan des codes de l'écrit d'invention: accentuez les effets poétiques de vos textes, en utilisant davantage de métaphores ou de comparaisons par exemple.

13. Le 22 février 2014, 12:25 par Yannaël

Il y a beaucoup de monde dans la salle, la quasi-totalité des places sont prises. Tout le monde parle, rit et je commence à m'impatienter. Quand la pièce va-t-elle commencer ? Devant moi, la scène est éclairée, laissant voir le décor composé uniquement de miroirs et de deux chaises. Est-ce cela un décor de nos jours ? Je me souviens des pièces classiques que j'étais allé voir à Paris avec tous ces beaux décors et là, dans ce théatre, une scène carrée avec deux misérables chaises ?! POur ma part, ce décor ne me plaît pas, trop simple...
Un comédien fait irruption sur la scène, muni d'un bouquet de fleurs, il doit s'agir d'Alceste. Il n'y a plus un bruit parmi les spectateurs, tout le monde attend que le comédien fasse quelque chose. Il s'asseoit sur une chaise et regarde sa montre régulièrement. Où est son costume ?! Il n'est habillé que d'un pull bleu et d'une veste noire alors que dans la version de Molière et dans la gravure du livre, le personnage est un noble avec des habits d'aristocrate ! Où sont les riches parures, les chapeaux à plumes et tous les habits de l'époques ? Cette pièce commence à me décevoir. Arrive ensuite un autre personnage habillé de la même façon que le premier avec une couleur e pull différente: rouge. Il doit s'agir de Philinte. Non mais franchement, c'est quoi ces costumes ! Ce metteur en scène a trop modernisé cette pièce de Molière. Néanmoins, c'est moins ennuyeux que lire la pièce dans le livre même si on nous impose une vision des personnages.
Personnellement, ce début de ièce me déçoit, mais ça peut peut être s'améliorer au fil de la représentation.
Je l'espère.

14. Le 27 février 2014, 12:54 par Salma Sn4

Assise sur mon siège, j'attendais fébrilement que le spectacle commence. Il s'agissait de me pièce favorite; le Misanthrope de Molière, cependant chaque représentation étant unique, je ne savais à quoi m'attendre. D'autant plus qu'il s'agissait ici d'une troupe qui m’était inconnue. La scène était sombre, je n'y distinguait rien. Le brouhaha environnant commençait à s'estomper au fur et à mesure que les lumières s'éteignaient. Soudain quand la salle fut plongée dans le noir, toutes les lumières éclairant la scène s'allumèrent d'un seul coup..
Ça alors, un miroir! Je vis mon reflet ébahi me contempler. Mais pourquoi un miroir? Au théâtre le décor avait souvent plusieurs raisons d'être. Peut-être que celui-ci est purement symbolique? Il y avait aussi deux chaises en bois. Cela me parut étrange... Nous étions censés être dans le salon de Célimène, lieu de bourgeoisie et mondanité, et au lieu des meubles luxueux et fastueux auxquels je m'attendais, je me retrouvais face un décore épuré et un scène très simple. Cette pièce promettait d'être intéressante. Je me calais confortablement dans mon siège tandis qu'un homme quelconque montait sur scène.
Je le trouvais vraiment banal; brun au physique moyen il portait un veston noir et un simple t-shirt. Il devait s'agir d'Alceste, il tenait un bouquet de fleurs dans sa main. Cette pièce était donc résolument moderne. Alceste pris place sur une des chaises en face de nous et l'attente s'installa. Le public retenait son souffle tandis que cet homme nous contemplait, indifférent et froid. Soudain à grand bruit apparut un autre homme; Philinte. Il me fut tout de suite sympathique avec son visage rond et son petit sourire jovial. Mais il y avait une nette ressemblance , volontaire je pense, entre les deux hommes. Tous le deux bruns, habillés de la même manière seule la couleur de leur t-shirt différait: bleu et froid pour le premier et rouge et chaleureux pour le second. Décidément le metteur en scène semblait avoir un avis très tranché sur la pièce. C'est alors que la pièce commença.

15. Le 27 février 2014, 13:57 par Mme Tostivint

Les deux derniers commentaires sont dignes d'intérêt. Attention cependant:
- je pense qu'il est préférable d'écrire au présent comme le fait le commentaire 13
- de plus, ne pas hésiter à exprimer vos attentes en tant que lecteur qui sont confrontées ici à votre expérience de spectateur
- au niveau des connaissances: relever le bouquet de fleurs oui, mais l’interpréter! en quoi est-il incongru? De même, les lumières ne s'éteignent pas, ce qui fait l'originalité de cette mise en scène; Célimène appartient enfin à l'aristocratie et non à la bourgeoisie (sinon, la présence des petits marquis serait impossible).

16. Le 27 février 2014, 20:14 par kenza 2nd4

Devant les portes de la salle de théâtre, l'impatience et l'excitation s'empare de moi. Je m'assois rapidement et attend que le pièce commence. Le temps paraît interminable et j'espère que la pièce sera digne de mes attentes.

Après quelques minutes d'attentes, quelques lumières s'éteignent mais pas toute ce qui provoque un certaine étonnement de ma part. La scène est enfin visible et m'a fortement impressionné. Un grand miroir, réflecteur de nos apparences, il y a t-il une signification ? . Et deux simple chaise côte côte. Me suis-je trompé de salle ou bien est-ce bien la pièce de Molière, le Misanthrope. Je commence a me poser sérieusement la question.

Sorti de nul part, un homme fait son apparition sur scène. Mais qui-est-ce, il est habillé tout a fait normalement ce qui me paraît étrange. Je pense que je n'ai pas finit d'être étonner. L'homme a dans ses mains un bouquets de fleurs, et un simple tee-shirt sous une veste noire. Nous sommes loin du genre de l'époque je dois dire !!!
Il n'y a pas un bruit dans la salle je ne dois pas être la seule a penser cela. Un homme apparaît, le dialogue commence et c'est a ce moment que je comprend qu'il s'agit en fait d'Alceste et Philinthe lorsqu'ils étaient dans le salon de Célimène.

Est-ce une modernisation de la ou bien une simplification ? Je me pose peut être beaucoup trop de question mais les belles tenus d'aristocrates et les beaus décors etant absent j'ai beaucoup de mal à me concentrer dans l'histoire.
Je ressens autant d'ennuis que lorsque j'ai lu la pièce, le temps passe longuement j'espère que cela va s'améliorer.

17. Le 28 février 2014, 14:20 par leo 2°5

J'arrive enfin dans cette salle, premières impressions, il fait très chaud, la salle est petite et je peine a atteindre mon siège avec tous se monde. Bizarrement il n'y a aucun obstacle qui nous sépare de la scène, comme un rideau par exemple! Nous somme quand même au théâtre et le rideau est de vigueur ...
De plus la scène est "vide" seulement deux chaises et un miroir immense et mal collé qui recouvre tous le mur de bout de scène . Je re-regarde mon ticket pour vérifier que je suis bien à la représentation du Misanthrope, car ce manque de décors et de "richesse" me fait douter. Bon je décide alors a m’intéresser à ce miroir géant je me dit qu'il doit surement y avoir une raison à sa présence. enfaite je me dit que c'est un élément symbolique! Les deux personnages sont identiques à l’extérieur mais cependant leur chemise est enfaite différente! Ils ne sont donc pas exactement pareil si l'on creuse un peu leur personnalité .

18. Le 28 février 2014, 17:51 par Mme Tostivint

Bonne réflexion de la part des deux derniers commentaires.
Vous pouvez encore vous améliorer dans l'écriture, c'est-à-dire dans le respect des codes de l'écrit d'invention: écrire un texte "bien écrit", poétique, agréable à lire et original. C'est le travail du style (comparaison,métaphores, répétitions, etc.)
Également, il y a des fautes (= non respect des codes de l'exercice bac).

19. Le 01 mars 2014, 00:11 par Xénia M. 2nde 5

J'entre dans la pièce. Je prend un siège et m'installe confortablement. La pièce ne commençant pas, je décide de regarder autour de moi. Il y a beaucoup de monde et énormément de bruit. Je tourne délicatement la tête et aperçois la scène. Mon visage passe subitement de la joie à la surprise. En effet, la scène n'est pas en hauteur, les décors sont misérable, seulement deux chaises toutes simple l'une à côté de l'autre devant un miroir faisant la taille du mur ce qui prolongeait la pièce. Je suis terriblement déçue, moi qui ai lu la pièce je m'attendais à des décors sublimes, majestueux, à des tapis, des chaises sculptées dans le bois recouvertes de feuille d'or, un piano imitation marbre et tout ce qui s'en suit! Plus je regarde la scène, plus je m'interroge sur la mise en scène de la pièce. Le peut de décor est-il du au manque d'effort de la part du décorateur de théâtre ou est-il fait intentionnellement? J'ose espérer que le jeu des acteurs est excellent sans quoi j'aurait du mal à rester éveillée.

20. Le 01 mars 2014, 09:19 par Mme Tostivint

Attention ici aux connaissances que vous apportez: c'est le vocabulaire du théâtre qui manque. On parle plutôt de salle (côté spectateur) et de scène (côté acteurs). La pièce désigne l’œuvre écrite par le dramaturge et jouée par les comédiens.
D'autre part, les spectateurs sont-ils confortablement assis dans ce cas présent?
Mettre davantage l'accent sur l'atmosphère qui règne dans le théâtre aux premiers instants du spectacle (ici, vous pouvez développer un réseau d'images poétiques = respect des codes de l'écrit d'invention).

21. Le 01 mars 2014, 10:58 par emeline

La salle est bondée. Les spectateurs essayent de s’asseoir, ils parlent, rient, discutent de la scène, de la pièce, de leur vie, ils attendent, comme moi. Je me suis assise à la deuxième ligne, quatrième rangée, au centre pour voir parfaitement la scène et ainsi personne ne me dérange. En attendant les acteurs, je regarde cette petite scène carré, simple, sans aucun grand décor à part deux chaises côte à côte. Ce sont des chaises banales, en bois, j’ai presque les mêmes chez moi. Mais ce qui attire le plus mon attention, ce sont les miroirs : de gigantesques miroirs collés au mur d’en face. Ils reflètent tous les spectateurs, du coup on se regarde. On dirait que nous sommes dans la pièce de théâtre, sur la scène. D’ailleurs, celle-ci semble vide, sans âme … Il n’y a personne, mais où sont les acteurs ? Cela fait plus de trente minutes que l’on attend. Je m’ennuie ! Je commence à m’impatienter ! Alors j’observe les personnes qui sont assises, certaines ont l’air d’être des grands connaisseurs de théâtre, d’autres non. Il y a autant d’hommes que de femmes je pense, par contre il y a très peu d’enfants et de jeunes. En fait la majorité du public se situe entre 40 et 70 ans. Quelques retardataires arrivent et s’installent aux dernières places restantes. Ils gênent toute la rangée, me bouscule… Ah vraiment il n’y a pas de place ici ! Tout d’un coup plus un bruit. Le spectacle va commencer...

22. Le 01 mars 2014, 11:03 par Aurélie

Le théâtre n’est définitivement plus ce qu’il était ! Au lieu d’une salle majestueuse, avec des sièges rouges, des lustres brillants et d’une immense scène avec un décor splendide, je me retrouve dans une salle étroite semblable à une cage, assise ou plutôt coincée entre deux personnes inconnues sur des bancs en bois formant une sorte de tribune aménagée. Quelle déception ! Encore plus grande lorsque j’aperçois le seul miroir et deux chaises qui composent le décor choisi par la troupe ! Sans pouvoir trouver les réponses à mes questions sur ce choix, un personnage monte sur scène, un bouquet de fleurs à la main. Connaissant la pièce, je sais que cet acteur joue le rôle d’Alceste pourtant sa tenue ne le démontre pas du tout : il est habillé comme tout homme que je pourrais croiser dans la rue en sortant de la salle. A ce moment- là, je me demande si je ne me suis pas trompée de salle pour assister à la représentation du Misanthrope ! Je remarque aussi que le silence ne règne pas lors de l’entrée du second personnage, vêtu de la même manière que le premier. La cause de ce bruit : l’absence des trois coups annonçant le début du spectacle. Le théâtre n’est vraiment plus ce qu’il était ! Je ne sais pas si ce début me désespère ou plutôt m’intrigue … J’aime retrouver les éléments du théâtre traditionnel mais après tout un théâtre plus moderne pourrait peut-être ne pas me déplaire !

23. Le 01 mars 2014, 15:00 par Marlboro.

La dernière représentation de Misanthrope se jouait au théâtre de la ville, comme toujours je m’y suis rendue. Je m’assis au premier rang pour être sûre de ne rien manquer.
Les rideaux rouges de velours étaient épais et ne laissaient pas entrevoir les artistes.
Tout à coup, les trois coups retentirent dans la salle, et le rideau se leva.
Les lumières étaient tamisés, presque éteintes. J’avais comme une impression de déjà vu, pas étonnant vu le nombre de fois que j’avais assisté à ces représentations.
A chaque fois que je me trouvais dans théâtre, je ne pouvais m’empêcher d’analyser les personnes qui m’entouraient. Mes voisins étaient souvent très captivés par la pièce, assez normal vu la place qu’ils occupaient, ils étaient assis au premier rang.
Quand je regardais les acteurs jouer, j’avais l’impression d’être dans un autre monde et que j’étais transplantée dans le leur.
Soudain, les lumières se rallumèrent, sans que je n’aie vu le temps passer. Tout le monde se leva et applaudit les acteurs de la pièce. Et en sortant comme d’habitudes les critiques fusèrent, en bien ou en mal.
Voilà pourquoi j’adore le théâtre.

24. Le 01 mars 2014, 19:36 par Marie-Am4

Assise sur le fauteuil j'attends, j'attends impatiemment le début du spectacle. Autour de moi toutes les places ou presque sont occupées, ce qui entraîne un brouhaha. Soudain les lumières s'éteignent, puis éclaires seulement la scène, les rideaux ouverts laissant apparaître pour seul décor deux chaises et un immense miroir en fond. Ce miroir a t-il un rôle important? Telle est la question.
Un homme tout à fait banal fit son apparition sur scène, vêtu d'une petite veste noir et ayant un bouquet à la main. Je remarque qu'il n'y avait plus un bruit dans la salle. Puis la venue d'un autre fit démarrer un dialogue, cet homme était vêtu de la même façon mis à part la couleur du t-shirt. Surprise par ce simple décor mais aussi sur le costume des personnages au moment où je compris que les deux homme étaient Alceste et Philinthe et qu'il se trouvaient chez Célimène. Par l'absence de décors je me suis dis que cette scène était simplifiée ou que ce miroir était un symbole que je comprendrais surement plus tard. L'attention se fait sentir dans la salle.

25. Le 01 mars 2014, 21:54 par Heath Ledger

Exténué de ma journée pleine d'aventure, je rentrais dans la salleoù se jouait ce soir Le Misanthrope de Molière. en entrant dans la salle, j'ai trouvé les gens plutôt peu bavards, ce qui est rare dans une salle de théàtre avant le commencement de la pièce. j'ai remarqué que beaucoup des spectateurs s'étaient placés dans les premières rangées. Intrigué, je propose à ma mère d'aller se placer également à l'avant, les places n'étant pas réservées. En m'asseyant, je me sentis bien, le fauteuil était confortable et je voyais le début d'un décor sur la scène : un grand mirroir qui prenait la totalité de la scène au fond, et je pus y voir mon reflet. J'étais à la fois pressé et intrigué de ce qui allait se dérouler sous mes yeux. ayant déjà lu le livre, je me demandais la forme qu"allais prendre cette mise en scène. les lumières commençait a s'éteindre, et dans la salle se perdirent les derniers murmures des gens...

26. Le 02 mars 2014, 11:24 par Clément

Les lumière s'éteignent, je ne suis pas pressé que cela commence. Je me concentre plutôt sur l'histoire et de la première représentation de cette pièce que j'ai déjà vu. Les acteurs et les moments forts de la pièce défilent subitement devant mes yeux. J'entrevois le décor qui est totalement différent de celui de la dernière fois. Cela me trouble car je me demandais comment ce décors nous plongeraient dans l'histoire. Au fond de moi je me demandais si j'allais autant aimé que la dernière fois. Soudain le siège me fait mal. Deux heures assis dans ces conditions je ne pourrais pas être concentré. La forme célèbre de la pièce me vient à l'esprit " mais que diable vais-je faire dans cette galère " ce qui me faisais sourire. Je me concentre et ouvre grand mes yeux ; les acteurs entre en scène.Ils ont l'air plus dynamique que la dernière fois, c'est pourtant les même acteurs.

27. Le 02 mars 2014, 12:29 par 2nd4 Charlotte

Le rideau se lève, et le décors m'apparaît enfin. A travers les silhouettes de quelques spectateurs qui finissent de s’installer, j'arrive à distinguer la scène. Deux modestes chaises et un gigantesque miroir qui couvre tout le mur sont installés. Ce décors ne m'évoque pas du tout la pièce de théâtre que j'ai lu. Dans le Misanthrope, la scène démarre dans le somptueux salon de Célimène et seul Alceste est assis. Et pourquoi ce miroir ? Dedans j'y perçois mon reflet et celui de toutes les personnes de la salle.
Tout d'un coup, les lumières de la salle s'éteignent et la scène s'illumine. Un personnage rentre, s'assoie, puis un autre. Les derniers murmurent des spectateurs disparaissent lorsqu'un des personnage prend la parole.

28. Le 02 mars 2014, 15:36 par Camille Nain 2nde4

Assise bien confortablement dans mon fauteuil, j’attends avec impatience que le spectacle commence, j’attends l’arrivée des acteurs tout comme j’attends de découvrir leurs costumes. Les rires, les paroles, les toux des spectateurs résonnent dans la salle et rendent l’atmosphère désagréable. J’ai l’impression d’être dans un hall de gare.
De nombreuses lumières éclairent le public et d’autres illuminent la scène. Ces lumières ne s’éteignent pas, même lorsque les acteurs arrivent sur la scène. Cela m’étonne, mais je n’y fais presque pas attention. D’autres choses attirent mon attention. À ma grande surprise, il n’y a pas de rideau qui sépare la scène du public. Généralement, lorsque je me rends au théâtre il y en a toujours un et pour moi, un théâtre sans rideau c’est comme un livre sans couverture. Le réalisateur a peut-être voulu surprendre le spectateur ? Je pense que oui et il n’a peut-être pas fini de nous surprendre ou du moins de me surprendre. Avant que la pièce commence, j’observe le décor de la scène et je me retrouve une fois de plus étonnée. Seulement deux chaises, placées l’une à côté de l’autre, font partie du décor. Ce dernier m’interpelle davantage lorsque je remarque le grand miroir au fond de la scène. Ce miroir est très perturbant pour les spectateurs. Il reflète la salle entière dans laquelle je suis assise. Je me vois et je vois également tous les autres spectateurs. J’ai l’impression de faire partie du décor de la scène sans le vouloir. De plus, le décor qui est en face de mes yeux devrait ressembler au salon de Célimène et ce n’est pas le cas. Dans mon esprit, j’avais imaginé qu’il y aurait de nombreux meubles luxueux et une décoration bourgeoise. Cependant comme je viens de le dire, le décor ne ressemble absolument pas à cela.
Après ces quelques minutes d’attente, un premier acteur monte sur scène. Plus que quelques chuchotements résonnent dans la salle. C’est Alceste. Un homme simple, vêtu d’un pantalon noir, d’une veste noire, d’un t-shirt bleu et tenant dans sa main droite un bouquet de fleurs. Est-ce un acteur ? Voilà la question que je me pose. Petit à petit, je n’entends plus aucun bruit dans la salle. Les spectateurs sont surement surpris tout comme moi. Habillé de cette façon, je ne pensais pas que cet homme pouvait représenter un personnage de la pièce. L’arrivée du deuxième acteur me confirme que la pièce est modernisée. Il est lui aussi habillé très simplement.
Le début de cette pièce me plaît. J’espère être encore surpris par les choix du metteur en scène qui m’étonnent et renforcent mon l’intérêt pour cette pièce.

29. Le 02 mars 2014, 20:24 par Camelia

J'arrive dans la salle hyper grande une sorte de salle d'opéra, je m'installe aux cotés de ma mère, je jette un coup d'oeil rapide sur les personnes présentes dans la salle.. Que des personnes âgés... Sa va être super! Les sièges sont rouges, les murs sont rouges tout est rouge dans la salle, comme si pouvait nous réjouir la couleur rouge, il y a tellement de rouge que je vois rouge maintenant dans le sens propre du terme une horreur, ma tète me fait mal je commence déjà a en avoir marre! Je regarde en l'air je vois un lustre géant qui pend a même pas 5 mètres au dessus de ma tète j'ai l'impression qu'il va me tomber dessus pendant le spectacle J'aime pas du tout ce genre de décor vieillot on a l'impression d’être au Xe s. Tout le monde parle, ils ne veulent pas s’arrêter de parler, ils augmentent mon mal de tète! Je fais tout sa pour ma mère si sa ne tenait qu'a moi, jamais je n'aurais mis les pieds dans cette salle de torture. Les lumières commencent à s'éteindre ils commencent à s’arrêter et a chuchoter, elles s’éteignent complètement tout le monde s’arrête de parler plus un bruit une sorte de minute de silence c'est comme cette impression qu'on s’apprête à leurs annoncer une nouvelle des plus graves, Personnellement j'en peux plus c'est nul je n'aime pas du tout les pièces de théâtre avec ces gens qui applaudissent et rigolent inutilement. Les rideaux s'ouvrent d'une de ces lenteurs, je me suis préparée moralement a subir cette thérapie C'est bon ils sont ouverts, et comme je l'ai dis ils se mettent a applaudir alors que la scène est comment dirais-je ... Vide! ;-(

30. Le 03 mars 2014, 13:30 par Carla B

J'arrive dans ce petit théâtre, et m’installe sur mon fauteuil, mes yeux se posent directement sur la scène qui à ma stupéfaction n'est pas cachée par un rideau, les lumières sont même déjà allumées ! Je suis déçu, j'aime le moment de la découverte du décor.
En attendant que la pièce commence, j'observe l'espace scénique qui est très simple, seulement deux chaise et un miroir sur tout le mur du fond. Je ne m'attendais pas du tout à cela ! Moi qui ai lu la pièce quelques semaines auparavant j'étais persuadée de voir un décor majestueux du XIXe siècle. Je ne voie pas vraiment le lien avec la pièce.
Soudain le silence se fit dans la salle, les comédiens arrivent. La scène débute. Je suis une fois de plus étonnée, cette fois-ci par leurs tenues ! Ils sont habillés comme de nos jours, en costumes. Je trouve la mise en scène très originale, cela me donne d'autant plus envie de regarder la pièce.

31. Le 03 mars 2014, 14:04 par Mme Tostivint

Des points qui en vont pas:
- au niveau des connaissances: beaucoup d'inexactitudes (velours rouge, lumières qui s'éteignent, rideau...a-t-on vu la même pièce). De même, on ne parle pas de réalisateur mais de metteur en scène. ;('
- sur le plan du respect des codes de l'écrit d'invention: le niveau de langue est bien trop familier! Un des enjeux de ce type d'exercice de bac est justement l'écriture POETIQUE!! ;-(

32. Le 03 mars 2014, 17:03 par Léa 2nd3

Il y a foule dans le théâtre, le brouhaha est insupportable. Il n'y a aucun rideau cachant la scène et les lumières ne s'éteignent pas, décidément, ce théâtre n'est vraiment pas comme les autres. Dans la salle il règne de l’excitation. Au fond de la scène il y a un miroir, d'un coup un homme monte sur la scène par un escalier, je ne comprend pas trop, sur le coup je suis un peu déstabilisée, puis enfin je comprend que c'est le comédien. Le publique parle toujours. Il va s’asseoir sur une des chaises collée au miroir puis un autre comédiens arrive. Ils sont tous les deux habiller normalement, comme monsieur tout-le-monde. Les comédiens commencent a jouer la pièce, le publique se tait. Je suis vraiment déçus, le décors est simple et les comédiens n'ont pas de costumes d'époques.
En temps que lectrice de la pièce je suis déçu voir choquée car je m'attendais vraiment à voyager dans le temps. La pièce me semble également un peu improvisée. Je n'aime pas du tout.

33. Le 03 mars 2014, 18:02 par AlexianeD 2nd3

Avant que les comédiens entrent sur scène, je peux voir que le public est bavard. Je peux aussi apercevoir qu'il n'y a pas de rideaux qui se ferment, ni de lumières qui s'éteignent ce qui montre qu'il n'y a pas de frontière entre les spectateurs et les acteurs. Au moment où Alceste entre sur scène, il y a toujours un petit brouhaha ce qui prouve que le public ne remarque pas la présence du personnage. Grâce au grand miroir situé au fond de la scène, je constate que les spectateurs peuvent devenir acteurs.
Lorsque Philinte arrive et tente de s'asseoir à côter d'Alceste, je peux remarquer un Alceste énervé contre son ami jusqu'au point de déplacer sa chaise pour s'éloigner de lui. Quand j'ai lu le livre, je m'attendais à des personnages habillés de la même manière qu'à l'époque où Molière a écrit cette pièce, mais quand je la vois, je suis très surprise car ils sont habillés comme des gens de nos jours. Donc je trouve que le dialogue n'est pas en coordination avec les personnages.

34. Le 03 mars 2014, 19:06 par Cynthia A 2nde3

Je me suis installer dans un des fauteuils au centre car on voyait mieux la scène. Et là j'attendais que les lumières s'éteigne pour le début de la pièce mais elles sont restés allumer. En faite on n'a pas su vraiment quand a commencer la pièce. Il n'y avait aucune limite entre nous et les comédiens c'est comme si le metteur en scène nous intégrer dans la pièce. J'ai observé la scène, le décor m'a paru vide composé juste de deux chaises et d'un immense miroir qui nous faisait face. Je l'avoue mettre regarder pendant un long moment comme devenu Narcissique et je n'étais pas la seul à être captivé par mon reflet. Le décor n'avait aucun rapport avec le XVIIe siècle. Puis le 1er personnage est entré en scène et là j'ai était surprise de le voir habillé de façon moderne. Et le plus étonnant c'étais le décalage entre le dialogue du texte et leur apparence. C'était troublant. J'ai aussi bien aimer l'exagération des mimiques d'Alceste qui était presque enfantine, en lisant le texte c'est comme sa que je l'imaginait comme étant puérile et capricieux. La mise en scène était assez risquer de nous faire oublier l'époque choisit par Molière pour nous focaliser sur l'aspect morale et émotionnelle des personnages.

35. Le 03 mars 2014, 19:16 par Océane.T Snde 3

Je suis assise sur mon siège , et je parle a mon voisin , à un moment une personne monte sur la scène , les lumières sont toujours allumées , mais rien ne s'est passé pour nous prévenir que la pièce a commencée. Je regarde cette scène vide , il faut le dira a part 2 chaises et un miroir géant , rien de ce que je m'étais imaginée , je voyais plus une ambiance de château. Je regarde cette homme arriver , avec une attitude "bizarre" , ses habits ne me choque pas malgré le fait que ce dans ma tête je pensais plus a des habits de leur siècle car la seule chose que je remarque c'est sa façon d'être , il commence a parler et toute suite sa manière de prononcer ses mots et de les accentuer fait très exagéré , rien ne parait naturel , C'est Alceste. Un autre homme arrive , lui semble tout a fait normal , tout est très naturel comparer a Alceste , c'est Philinte. C'est très déstabilisant de ce voir dans ce miroir quand il jouent , je me sens observée , comme si les acteurs scrutaient toutes mes réactions.

36. Le 03 mars 2014, 19:16 par Clémentine LOUP 2nd5

Me voici installée dans cette sobre salle de spectacle au milieu d'un brouhaha pesant duquel se dégage une chaleur accablante. Tout le monde s'installe, s'agite, s'impatiente, tandis que j'observe. Je sens l'excitation monter en moi à l'approche du début de la représentation. L'excitation de découvrir comment une pièce que j'ai lu et relu va être interprétée sur scène. Vais-je être déçue ? Ou bien agréablement surprise ? Je me demande de quelle façon une pièce des plus classique va être mise en scène de nos jours... Et à première vue, le classicisme qui fait pour moi le charme des pièces de Molière ne va pas être conservé ! En effet, l'espace scénique se résume à un immense miroir qui se dresse face à nous en arrière plan et à deux chaises en bois, de ce qu'il y a de plus simple, posées contre celui-ci. Je me dis alors que ce banal théâtre aux fauteuils bancals n'a rien à voir avec le somptueux théâtre du Palais-Royal, si noble et si magnifique dans sa robe de velours rouge, surplombé de balcons et habillé de dorures étincelantes et d'où tombe ce gigantesque rideau vif qui cache les planches ayant accueilli les plus grands comédiens de l'Histoire. D'ailleurs, aucun signe de rideau dans cette salle ! Je commence à m'impatienter, la salle est encore agitée, les lumières ne s'éteignent pas mais cela n'empêche pas le premier comédien de s'avancer sur scène ! Etonnant ! Pourquoi n'ai-je pas entendu les trois coups significatifs du début d'une pièce de théâtre ? Je trouve que le début de cette pièce est à l'image du décor : médiocre ! Le comédien est en blazer et t-shirt coloré et tient un bouquet de fleur à la main de telle façon que l'ont dirai un spectateur égaré... Petit à petit, l'assemblée se tait sous l'effet de la surprise et la pièce "commence".

37. Le 03 mars 2014, 19:19 par Corentine 2nde3

J'ai été surprise, en rentrant je voyais directement la scène je m'attendais à un rideau. Les gens parlaient et le pire c'est que sur scène je m'attendais à un décor du XVII ème siècle mais seulement 2 chaises et un grand miroir ornaient la scène... La pièce de théâtre a commencé d'un coup, sans prévenir, sans aucun jeu de lumière comme une scène quotidienne entre 2 hommes. J'ai vraiment trouvé la pièce de théâtre en désaccord avec le décor voir ennuyante. Même la tenue des personnages avaient un décalage, les personnages étaient habillés comme des gens d'aujourd'hui et parlait avec un langage du XVII ème siècle, c'est dommage.

38. Le 03 mars 2014, 20:13 par Bakemono Tsuyoi (JBB)

J'étais enfin entré dans le théâtre, et la chaleur humaine ainsi que celle du chauffage de la salle me réchauffait les mains qui étaient glacées après avoir attendu dehors. Un bruit de fond nous laissait entendre une certaine agitation côté Jardin de la scène...les acteurs se motivaient avant de monter sur les planches, tel des rockstars avant de monter sur scène.

Je pris le temps d'apprécier la salle, avec ses murs recouverts de toiles tendues comme les belles maisons des années 60. Un merveilleux lustre décorait le plafond de ses milles étoiles scintillantes en diamant. Le rideau d'un rouge...dirais-je...normal des rideaux de théâtre, tombait lourdement sur les planches de la scène. Et côté cours, je pouvais apercevoir des mouvements marqués par la manière de bouger du rideau...cette barrière, cette porte qui allait se lever et nous transporter dans un autre monde...celui de l'art et de la passion du théâtre.

Un silence se fit d'un coup, je me tournai vers l'endroit où convergèrent tous les regards, et qui vis-je ? Le grand metteur en scène lui même qui venait se placer au balcon, ce qui, n'est pas courant..

Les lumières du théâtre devinrent soudain plus rares et la régie s'activa, le rideau se leva et la pièce commença...et de leurs voix, parfois douce et parfois violentes, parfois rauques et d'outre tombe ou bien mielleuses et fluides, les comédiens jouèrent et se donnèrent la réplique...la pièce commençait...

39. Le 03 mars 2014, 20:39 par alexia k

je prend place, je papote avec mon voisin lorsque la pièce commence. Le public se tait et cesse cette agitation. Je m'attend a une ouverture de rideaux et une extinction des lumière. Mais malheureusement non!! Sur la scène un personnage arrive puis un deuxième . Je remarque un grand miroir placé sur le mur qui sans doute reflète le narcisse d'Alcestre . La ressemblance des deux personnage est frappante. Ils semblent adopter un langage très soutenu ce qui donne un aspect décalé avec leur tenu qui est assez basic. J'ai l'impression d'être face a des aristocrate de part leur façon de parler mais aussi face a des personne quelquonque de part leur tenu. Cela est assez décevant car ces 2 personnage ne sont pas vraiment représentatif d'Alcestre et Philinthe .

40. Le 03 mars 2014, 20:48 par Goncalo Ines 2nde3

En attendant que la pièce commence, la salle était bruyante. La scène était quasi-vide, il y avait seulement deux chaises en bois toute simple et un grand miroir ce qui m'avais surpris car je pensais que sur la scène il y allais avoir plus de décorer. Quand le premier personnage rentrait sur scène, les spectateurs se taisent. Ce qui ma surpris c'est que leurs tenues vestimentaire était moderne. En lisant le texte Alceste était montre comme quelqu'un de supérieur alors que dans la pièce pas du tout , Alceste et Philinte étaient a égalité ce qui ma déçus.

41. Le 03 mars 2014, 21:01 par Julie.A2nde2

J'étais bien assise au fond de mon siège, les sièges étaient trop haut et je ne touchais pas le sol. Autour de moi le public chuchotait, il y avait du bruit. La première chose que je vois c'est cet énorme miroir, où j’aperçois le reflet de toutes les personnes qui comme moi sont assise en face. Je contemplais nos reflets, comme Narcisse qui s'admirait dans l'eau. Sur la scène il n'y avait que deux chaises côte à côte. Il n'y avait pas de rideau ni de lumière qui s'était éteinte. J'avais l'impression, d'être une sorte de fraudeuse qui ne respectais pas les codes du théâtre. Il n'y avait pas de frontière entre la scène et moi spectatrice. A l'entrée des personnages j'étais assez choquée de voir les vêtements très moderne qu'ils portaient. Je ne peux pas dire que le décor m'a plu, il n'y en avait point. Lorsqu'ils on commencé à parler, j'ai songé, que le temps va être long à passer! Leur dialogue ne collé pas avec leurs vêtements. Je n'est pas aimée ce désaccord. Je suis opposition avec cette façon d'interpréter les choses. Si le dialogue n'est pas moderne pourquoi faut-ils habiller les personnages de cette façon? Il faut représenter les personnages comme à l'époque pour moi cela me parait logique. C'est tout simplement de l'anachronisme.

42. Le 03 mars 2014, 21:16 par Stécy M. 2nde3

Dans cette représentation, nous voyons que le public est très proche de la scène, comme s'il en faisait parti ; le miroir comme fond est plutôt intrigant car ce n'est pas courant.
Les entrées des deux personnages sont différentes comme pour montrer, dès le début de la scène, qu'il y aura deux personnages au caractère opposé.
Les costumes et le dialogue font comme une sorte d'oxymore, une opposition totale entre deux époques : les costumes nous paraissent modernes et nous ne pouvons pas savoir de quelle classe sociale sont les personnages alors que le dialogue est plutôt de l'ancienne époque ce qui montre bien une contradiction.
Le miroir, je pense, permet de refléter la génération contemporaine avec l'hypocrisie qui l'entoure, évoque un narcissisme profond et montre une mise en scène, bien élaborée, du public. Il y a un flou total entre la limite de la scène jouée, et du public, la réalité, cela peut être déstabilisant ou, au contraire, rassurant comme si c'était une scène tirée du quotidien, presque improvisée. Le décors me paraît comme oublié, seules deux chaises, côte à côte nous font face au début de la scène. Elles font défaut à l'aristocratie car elles ne sont ni ornées d'or ou de velours, ni de forme majestueuse avec des semblants de reliefs.
Je pense que le metteur en scène voulait que l'on se focalise plus sur les personnages et leur discourt que sur le décors peu détaillé.

43. Le 03 mars 2014, 21:18 par Mikaëlb

En regardant cette scène j’y découvre aucun rideau aucun décor. Un miroir nous fait face avec deux chaises. Je trouve le début assez long car le premier personnage met énormément de temps à parler.
Je ne peux pas vraiment savoir quand est-ce que le spectacle va commencer.
J’ai été interpellé par ce style vestimentaire qui était le même que celui du public. Par contre des que le personnage commence à parler le public se tait et l’écoute attentivement.
Le sentiment de l’apaisement m’envahit aussitôt. J’ai l’impression que les personnages s’adressent à nous car on se sent proche de la scène.

44. Le 03 mars 2014, 21:36 par Marilyn L. 2nde5

J’étais assise sur une chaise quelque peu confortable située à quelques centimètres de la scène. Je ne pouvais pas être mieux assise mis à part le fait qu’il y avait un jeune garçon qui passait et repassait devant moi. J’ai d’abord cru qu’il le faisait exprès mais je me suis rendu compte qu’il y avait un problème avec sa chaise. En effet, nous étions assis sur des chaises vulgairement alignés devant une scène sans rideau ! Quel surprise lorsque je suis rentrée dans cette pièce. J’étais loin, mais vraiment très loin, de ce que je m’imaginais ! Avant d’assister à cette représentation, je m’imaginais déjà, assise bien confortablement dans un fauteuil en velours rouge, en face d’une scène somptueuse : Des longs rideaux rouges de velours avec un peu de dentelles en or sur les côtés … Et puis, également, des murs noirs décorés de simples petit lampes qui feraient offices d’ambiance ! Quel rêve ! Au lieu de ça, je me retrouvais ici à attendre que la pièce commence … Quel longue attente, même le public commençait à se lasser et à se distraire … L’attente paraissait tellement interminable que je me mis à faire la même chose que le public … J’essayais d’abord de trouver la raison de ce misérable décor …. Peut-être que c’était dû à un manque de financement …. Je me posais de multiples questions lorsque tout d’un coup, les trois coups -servant à prévenir le début de la pièce- raisonnait dans la salle ! La brisance sonore se déclinait jusqu’à ce qu’elle disparaisse … La pièce commença et je fus surprise que les lumières ne s’éteignent pas ! Je regardai la scène et je vis d’abord ces deux chaises positionnés devant un immense miroir, puis je vis l’apparition d’un comédien ! Encore une fois, je fus choquée ! L’homme était vêtu d’un costard et d’un bouquet de fleurs à la main …. C’est alors que je me demandais si je ne m’étais pas trompée de salle ! Tout était tellement différent d’une pièce de théâtre normal. En plus, il me semblait que les coups de théâtre n’avaient pas la même forme que d’habitude ! Je m’étais forcément trompée de salle … Le comédien ne pouvait pas être habillé de telle façon, cela continua de me choquer ! Ce n’est pas du tout comme dans le livre que j’ai lu … Rien ne correspondait ! Il n’y a que quand j’entendis l’autre comédien prononçait le nom « Alceste » que je réalisai que j’étais bien en train d’assister à la pièce de théâtre de Molière : Le Misanthrope !

45. Le 03 mars 2014, 21:56 par Ophélie

Je me suis installer sur un de ces fauteuils en attendant que la pièce commence...
J'ai pu observer le décor qui n'est pas très recherché je trouve un miroir et deux chaises qui je trouve rendent la pièce pas très gaie. Ce pendant je pense que le metteur en scène a mis un miroir peut-être pour favoriser l'identification, pour faire ressortir le côté narcissique ou encore pour les spectateurs deviennent personnages.
Il n' y a ni levé de rideaux et les lumières ne s'éteignent pas je me suis demandée si c'était vraiment une pièce de théâtre?
Le bruit de fond est fort présent mais s'atténue avec l'entrée du premier personnage.
Un homme vêtue de manière anodin qui se démarque pas. Puis un deuxième homme entre aussi sur scène qui ressemble fortement au premier personnage seul leur t-shirt les différencient. Seraient-ce des jumeaux ?
Seulement le style vestimentaire n'est pas en concordance avec le dialogue des personnages puis qu'il s'agit d'une pièce datant du 17ème siècle ce qui m'a beaucoup étonnée et perturbée en même temps.
Je trouve ça dommage que le metteur en scène est "détruit" cette frontière entre les spectateurs et les acteurs.
Revenons à un des personnages en l'occurrence Alceste avec ses mimiques je trouve qu'il est dans l'exagération mais cela en devient comique au final.
Ce qui est dommage c'est que je trouve que le dialogue n'est pas fluide j'aurais pu penser qu'il s'agissait d'improvisation.
Pour le moment plus de points négatifs que positifs en espérant ne pas être déçue par la suite ...

46. Le 03 mars 2014, 21:56 par Adrien G.

Après avoir marché cinq kilomètres pour assister à cette représentation du Misanthrope, je finis enfin par m'assoir sur un siège de la salle. Je n'ai donc qu'une seule envie à cet instant, c'est bel et bien que la pièce commence. Mais la salle me met le doute sur la crédibilité de la représentation. J'ai l'étrange sensation de m'être trompé de théâtre. Et bien tout de même j'ai le droit de me poser des questions lorsque je vois seulement un miroir et deux chaises en guisent de décor. Comme si le metteur en scène avait totalement délaissé le côté noble de la pièce. Peut-être est-ce symbolique. C'est donc empli de questions que la représentation commence.
Les lumières s'éteignent et les acteurs apparaissent. Et bien une fois de plus je suis surpris, les acteurs portent le même costume a l'exception de la chemise. Là est donc la subtilité, deux personnalités différentes dans les mêmes habits.

47. Le 03 mars 2014, 22:38 par Florentin 2nd3

Le grand miroir de fond m'a surpris, je ne comprend pas son rapport avec l'histoire déjà que les lumières sont restées allumé. Quand Alceste, si je ne me trompe pas car sa tenue ne ressemble en rien à ce que je m'attendais, arrive avec son costume noir et son tee-shirt vert, moi qui croyais voir un costume d'époque, c'est fort dommage. Il en va bien sur de même pour Philinte, mais lui a un tee-shirt rouge et non vert. Je ne suis pas sur que cette pièce va me plaire.

48. Le 03 mars 2014, 22:48 par Nabil B 2nd 3

Avant tout ce qui ma le plus perturber dés le début c'est ce miroir au fond de la scène ! J'avais l'impression que nous spectateur fessaient partie du spectacle.
A l'arriver d'Alceste j'ai été surpris que le metteur en scène n'éteigne pas les lumière sur le publique comme on le voir lors de tout les spectacle. Dans cette scène la représentation d'Alceste et Philinte ne les caracterise pas assez . Il semblerait qu'ils appartiennent a la noblesse cependant seul leur vocabulaire"ex: Morbleu" les distingues de nous, leur tenu vestimentaire est basique pour quelqu'un du XXIe siècle alors qu'elles n'existaient pas au 17e siècle. On remarque donc un décalage de l'époque entre son vocabulaire et leurs habille.

49. Le 04 mars 2014, 07:50 par Lydia_A 2nd3

Avant que la pièce commence, je m'installe tranquillement sur le siège en attendant que la pièce démarre seulement il y a un bruit de fond pas possible celui des spectateurs qui s'installent et discute...pendant que moi je commence a m'impatienté. Alors pendant ce temps je m'attarde sur le décor qui assez inattendu. La pièce est quasi-vide et possède comme fond un miroir tellement grand qu'on peut voir tous les spectateurs présents. C'est un peu troublant c'est comme si tout le public fais partie intégrante de la pièce! Et je peux distinguer également deux chaise c'est tout pour la décoration!
Après j'attend un " signe" pour comprendre a quel moment va commencer la pièce comme l'extinction des lumières habituellement mais qui n'arrive pas. Et c'est alors que le personnage d'Alceste apparait brusquement sur la scène.Et là pour mon plus grand ébahissement il est habillé avec une tenue vestimentaire moderne! Pas du tout en phase avec le 17ème siècle. Et du coup grosse déception pour moi qui m'attendais a des costumes en accord avec la période.

50. Le 05 mars 2014, 19:22 par Mme Tostivint

:-D Bravo pour ces derniers envois qui montrent un niveau de réflexion plus intéressant. Quand vous parlez de Narcisse pour commenter le décor ou que vous qualifiez le geste d'Alceste d'enfantin, tout cela est à garder! voir à ce propos les commentaires 32, 33, 34, 41.
- les deux défauts essentiels que je vois maintenant:
1) le manque d'implication personnelle de certains commentaires: il faut le "je" et de la ponctuation expressive comme le demande le sujet!
2) le manque de travail du style: je le signale depuis longtemps sur cette page. Le commentaire 36 est le plus abouti à ce niveau-là. Cela est un des objectifs pour nous à présent: comment "mieux écrire"? c'est-à-dire écrire un texte agréable à lire?