Peu avant l’aube, aux alentours de 5h30 du matin, le régiment français s’active plus que la normale. En effet, les attaques des casques à pointe ont été particulièrement destructrices pour nos camps. La tranchée nord à été atteinte par une série d’obus allemands atteignant violemment nos régiments et enlevant encore de pauvres âmes courageuses à notre France. Seul une dizaine de soldats ont survécus à ce massacre et quelques bourrins ont été blessés. Un de ces survivants à accepté de nous décrire cette horrible expérience, lui-même ayant été atteint par des éclats d’obus. C’est le poilu Bernard Lenglen qui a répondu à l’appel :