Journal de bord : jeunes artistes en Essonne

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09 mai 2017

Présentation de mon masque

J'ai voulu représenter un masque qu'un diable mettait pour cacher sa laideur. J'ai imaginé que le diable n'aimait pas montrer son visage, qu'il avait peur du regard des autres .

J'ai utilisé du cuir rouge pour l'ensemble du masque, des morceaux de sac poubelle coupés en fines bandes pour faire des cheveux, et du scotch pour attacher les cheveux sur le cuir rouge. Sur le cuir rouge, j'ai pris des ciseaux pour faire des scarifications .

Ce travail m'a apporté de la fierté car mon masque va être exposé dans un musée. Ca m'a aussi apporté de la patience car j'ai mis du temps à réfléchir à ce que j'allais faire, comment j'allais le faire. Il a fallu reprendre mon travail, le modifier et l'améliorer pour que je puisse faire comprendre ce que je voulais représenter.

 

E.G

24 avril 2017

Mon masque.

Pour créer mon masque, je me suis inspiré des photos que nous avait montré Lise, et de mes croquis : pour la forme de ma tête, j'ai tout d'abord pris un morceau de cuir dur que j'ai ajusté à la taille de mon visage, avec un ou deux centimètres de plus. J'ai ensuite suivi la forme que j'avais créée sur mon croquis.Pour les yeux, j'ai fait une forme d’œil plutôt bridé, puis j'ai ajouté des plumes en-dessous et au-dessus de chaque œil. J'ai aligné quatre boutons pour créer des sourcils. La bouche est argentée.

Sur ce masque, j'ai voulu représenter ma personnalité diabolique, d'où la forme des sourcils et du visage, mon masque recouvre la totalité du visage.

Ce travail m'a apporté de l'inspiration pour créer d'autres œuvres et il m'a également appris que l'art ce n'est pas forcément quelque chose de beau.

E.R

Mon masque

 

Pour commencer,  nous avons rencontré  Lise, une artiste plasticienne, au musée du Quai Branly, puis nous avons commencé à travailler avec elle au collège. Elle nous a montré des photos de masques et  nous a expliqué qu'on allait devoir en fabriquer. Elle nous a aussi montré son travail et parlé de quelques masques d'artistes connus, comme Picasso.

Quand on est passé à la partie création, on a d'abord dessiné des croquis, puis Lise a apporter des matériaux. 

Pour mon masque, je me suis inspiré de mes croquis pour certains matériaux, comme le cuir pour le support, des plumes pour décorer et de petits objets métalliques. Pour le reste, j'ai ajouté de la laine pour accrocher, d'autres morceaux de cuir de couleur bordeaux, argentée et bleue pour décorer.

J'ai voulu représenter un oiseau sans bec pour dire que ce n'est pas parce qu'on est différent qu'on doit être à l'écart de tout, c'est pourquoi je l'ai nommé "l'oiseau sans bec".

Ce travail m'a apporté de la créativité et de l'imagination. J'ai aussi compris que l'art permettait de dire des choses de façon différente, comme si on pouvait faire passer un message sans utiliser de mots.

M.H.

21 mars 2017

Notre Visite au Quai Branly.

Quand nous sommes allés visiter le musée du Quai Branly, nous avions vus de nombreux masques et statues venant d'Afrique:
 certains masques étaient plus long que d'autres, et certains se tenaient par la bouche. Ils avaient chacun de différentes significations: un des masques signifie la beauté de la femme, d'autres représentent des animaux car la plupart des habitants Dakar Djibouti croient aux esprits de la nature.

Nous avions vus une statue représentant une reine, on peut la reconnaître grâce aux faits que ses pieds ne touchent pas le sol, à sa couronne, son trône, et aux scarifications qu'elle à sur le torse et aux poignets.

Il y avait de belles statues, comme le Cochon de Lait qui fut volé comme plusieurs des masques que Marcel Griaule a rapporté.                                                                    Les plus grands masques sont mis sur des murs, les statues sont dans des vitrines.

A la fin, des mots sont projetés sur le sol afin de former une rivière de mots.

 

 

J.E, C.L