Travail réalisé par les 1ère sur le thème de l'émigration portugaise dans les années 1960 et plus spécifiquement de l'immigration des Portugais en France, suite à la sortie à la cité de l'immigration.

A imigração portuguesa : aqui e ali e lugares para se viver

Quando os imigrantes chegaram em França eles eram amaciados em barracas feitas de restos de materiais recuperados das obras ou do lixo. A diferencia a chegada em França era enorme. Em Portugal ao menos tinham casas de tijolos mais em França só tinham um chão coberto de alcatrão. Obviamente nos bairros de lata não tinham agua corrente nem electricidade. Para ter agua eles faziam poços ilegais e aqueciam-se com a lareira. Faltava tudo e por isso a maioria dos portugueses tinham vergonha de dizer que eles viviam na desgraça a família que ficou em Portugal. Ainda por cima os portugueses eram em maioria clandestinos e por isso eram mal vistos e rejeitados pelos franceses. O bairro de lata mais conhecido é o bairro de Champigny.

Os bairros de lata eram uma solução improvisada e clandestina mais era tolerada porque a França necessitava de mão-de-obra para reconstruir o pais depois da secunda guerra mundial. O trabalho era duro mais os portugueses não tinham outras hipóteses e os patrões o sabiam bem. Eles não hesitavam a pagar muito mal os trabalhadores e a dar mais horas de trabalho. Além disso, aviam muitos patrões que faziam chantagem aos trabalhadores pela obtenção dos papéis. Isto atesta bem das dificuldades da instalação.

Também era difícil pelas crianças. Eles viviam na miséria e não tinha dinheiro suficiente para comprar brinquedos ou roupa nova. Os únicos brinquedos que eles tinham eram encontrados no lixo. Além disso era muito perigoso pelas crianças de viver e brincar nesses bairros de lixo. As crianças vão na mesma a escola onde eles aprendam a escrever e a falar o francês.

Para enfrentar a distancia e a falta doloroso da família, os imigrantes mantenham o mais possível as ligações entre eles. Antes de 1914, eles usavam as cartas e pouco a pouco o telefone. Depois os meios de comunicação modernizaram-se ainda mais e isso reduziu a distância para dar a sensação de uma presença real.

Entre a vontade de reconstituir aqui, a vida de lá e o sentimento de estar em suspenso entre dois mundos, os imigrantes guardam ligações com o pais de origem. As ligações almodam a vida nova em França. Eles fazem tudo para se lembrar de Portugal. Eles estão em comunidade portuguesa e comem a mesma coisa do que em Portugal. Eles também organizam eventos tradicionais portugueses. A imigração não é um historia fixa. As pessoas que o acompanhem o provem com os movimentos frequentes Franco-Português.

As casas construídas em Portugal são construídas pelas proporias mãos dos imigrantes. Eles materializam as ligações com o chão nativo e misturam tradições arquitecturais do pais para modelos francês e contribuam ao modificar as aldeias portuguesas.

Depôs de 1945, o estado estabelece, politicas publicas que melhoram de mais a mais a habitação e o conforto. Mesmo se 20% dos portugueses que moram nos bairros de lata deviam ter sido relogiados, ficaram quase 20 anos dentro. Outros portugueses compram casas velhas a um preço barato e reconstruíam essas casas. Foi assim que pouco a pouco os lugares d’exclusão que eram os bairros de lata despereceram. Mesmo se eles ainda existam para outros povos.

L’immigration portugaise : ici et là-bas et lieux de vie

Quand les immigrés sont arrivés en France ils étaient entassés dans des bidonvilles fait de matériaux récupérés dans des chantiers ou dans des poubelles. La différence quand ils ont arrivés en France était énorme. Au Portugal Ils avaient au moins une maison en briques mais en France ils n’avaient qu’un sol recouvert de goudron. Evidement il n’y avait ni électricité ni eau courante dans les bidonvilles. Pour avoir de l’eau ils foraient des puits illégaux et se chauffaient avec des poêles. Ils manquaient de tout, et à cause de cela, la plus part des portugais avaient hontes de dire qu’ils vivaient dans la disgrâce a la famille qui étaient resté au pays. De plus, la plus part de la population portugaise était clandestine et pour cela ils étaient rejetée par les Français. Le bidonville portugais le plus connu est celui de Champigny.

Les bidonvilles était une solution provisoire et clandestine mais elle été tolérée car en la France nécessité de la main d’œuvre pour reconstruire le pays suite à la Seconde Guerre mondial. Le travail était difficile mais les Portugais n’avaient pas le choix et les patrons le savaient bien. Beaucoup d’entre eux n’hésitaient pas à sous-payer les travailleurs et à leur faire faire des heures supplémentaires. En outre, énormément de patrons faisaient du chantage aux travailleurs pour l’obtention de leur papier. Tout cela atteste bien des difficultés d’installations.

C’était tout aussi dur pour les enfants, ils vivaient dans la misère et n’avaient pas assez d’argent pour des jouets ou des habits neufs. Les uniques jouets qu’ils possédaient venaient des poubelles. De surcroît, ils sont étaient très dangereux pour les enfants de vivre et de jouer dans ces bidonvilles. Les enfants vont quand même à l’école où ils prenaient à écrire et à parler le français.

Pour affronter la distance et le douloureux manque de la famille, les immigrés tente de conserver au mieux les liens qui les unis. Avant 1914, ils sont communiquaient par le biais de lettres et de coup de téléphone. Après, les moyens de communication se sont modernisées et cela a permis de réduire la distance pour donner la sensation d'une réelle présance.

Entre la volonté de reconstituer ici, la vie de là-bas et le sentiment d’être en suspend au milieu de deux mondes, les immigrés gardent des liens avec leur pays d’origine. Ses liens façonnent la nouvelle vie en France. Ils font tout pour se souvenir du Portugal. Des communautés portugaises sont créés, ils mangent des plats traditionnels portugais et organisent également des événements traditionnels. L’immigration n’est pas une histoire fixe. Les personnes qui l’accompagnent le prouvent avec les voyages fréquent entre la France et le Portugal.

Les maisons construites au Portugal sont construitent par les propres mains des immigrants. Elles matérialisent les lients avec le pays d’origine et mélangent les traditions architecturalles du pays avec celles de la France ; et ainsi mofifient les villages portugais.

Après 1945, l’Etat établit des politiques publiques qui améliorent de plus en plus les habitations et le confort. Même si 20% des portugais qui vivaient dans les bidonvilles devaient être relogé, les portugais sont restés près de 20 ans dans ces bidonvilles. D’autres portugais ont rachetés des vieilles maisons pas chères pour les reconstruirent ensuite eux-mêmes. C’est ainsi que petit à petit les lieux d’exclusion, qu’étaient les bidonvilles ont disparus même s’ils existent encore pour d’autres peuples.

Travail réalisé par Bruno, Eduardo et Sonia