Extrait et commentaire d'Aurore
Par stsimon le 19 décembre 2014, - "Histoires comme ça" de Kipling - Lien permanent
« La situation finit par s'envenimer à tel point que toute la chère famille fila à la queue leu leu jusqu'aux berges du grand fleuve Limpopo gris, gras, vert et tout brodé d'arbres de fièvre, pour emprunter de nouveaux nez aux crocodile. Quand ils revinrent, personne ne tapa plus sur personne. »
J'aime bien ce passage parce qu'à la fin, plus personne ne tape sur personne.
J'aime bien ce passage parce qu'à la fin, plus personne ne tape sur personne.