Benjamin
01 décembre 2015
Nuage de mots pour Ma famille
Par Sébastien Féranec (Collège Claude Monet, Magny en Vexin (95)) le 01 décembre 2015, 15:22
01 décembre 2015
Par Sébastien Féranec (Collège Claude Monet, Magny en Vexin (95)) le 01 décembre 2015, 15:22
Benjamin
29 novembre 2015
Par Sébastien Féranec (Collège Claude Monet, Magny en Vexin (95)) le 29 novembre 2015, 17:48
Maman
Alcoolique
Fils
Argent
Marché
Illuminée
Laid
Lumière
Enfants
Bastien
Par Sébastien Féranec (Collège Claude Monet, Magny en Vexin (95)) le 29 novembre 2015, 17:47
J’ai beaucoup apprécié la pièce de Ma famille de Carlos Liscano, un dramaturge pas très connu, mais un bon auteur.
Tout d’abord, l’humour de cette pièce était intéressant et m’a plu car il était très noir, mais bien mis en scène, cela rendant très comique. En effet, l’une des comédiennes imitait un accent très original la ridiculisant en parlant de la première vente de son père, un sujet assez difficile à aborder, ce qui ne dérange absolument pas le personnage.
La mise en scène, cependant, n’était pas spécialement réussi et m’a déplu par son absence d’éléments. Effectivement, le seul décor était une table, où les deux comédiennes jouaient la pièce, assises. Sur la table, il y avait seulement 2 lampes, servant d’éclairage, et une bouteille rempli d’eau, qui permettait d'interpréter l'alcoolisme du père. Même si je n’ai pas spécialement apprécie ce sujet, c’était tout de même original, et cela ne risque pas de déplaire à tout le monde.
En tout cas, j’ai préféré l’histoire de la pièce qui était très originale, je l’ai beaucoup apprécié car c’est une histoire assez folle. Ainsi, la famille vend ses enfants pour cher, mais les rachètent pour encore plus cher, quelque chose de complètement idiot et d’aucunement commercial.Par Sébastien Féranec (Collège Claude Monet, Magny en Vexin (95)) le 29 novembre 2015, 17:45
Nous sommes allés voir la pièce Le pays de rien de Nathalie Papin le 4 novembre à Taverny. Nous avons trouvé que cette pièce comportait de somptueux éclairages et de magnifiques musiques.
Dans un royaume emprisonné, le spectateur découvre une princesse enfermée, un roi cruel et un jeune homme qui bouleverse l’histoire. Les couleurs des éclairages montrent les sentiments de ces personnages. Mais comme le roi ne veut aucun sentiment, il oblige sa fille à les mettre en cage d’un mouvement. L’histoire parle également d’un amour caché. En effet, un jeune homme venu de nulle part apparaît pendant la scène, pour aider la jeune femme. Mais celle-ci est septique. De plus, le jeune homme ne montre aucun signe d’amour (baiser, geste de tendresse etc…). Et on ne sait pas si l’homme existe, rien ne le prouve clairement. L ’homme est habillé de rouge qui représente la passion, la liberté. Puis à la fin, la fille enlève ses vêtements sombres et en dessous elle a un pantalon rouge et un tee-shirt rouge qui représente sa liberté.
Nous avons pensé que cette pièce est originale par rapport à ses couleurs au sol et ses musiques douces. Nous l’avons trouvé un peu courte car nous avons pensé que ce jeune homme sera amoureux de cette jeune fille, enfermée par son père.
Linissa, Juliane & Manon
« billets précédents - page 2 de 4 - billets suivants »