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Whiplash

Whiplash, un film rythmé par le tempo d’une batterie et une violence entre un professeur et son élève. Andrew un jeune batteur obsédé par sa passion, jusqu’à en imprégner les murs de sa chambre rêve d’intégrer le grand orchestre de Terence Fletcher. Le jour où il réalise son rêve, sa vie devient cauchemar. Maltraité autant physiquement que moralement par son propre professeur. Il se consacrera à sa batterie jusqu’à en saigner des mains pour convaincre Fletcher de son talent.

De nombreuses critiques ont été publiées sur Whiplash, dont celle de Laura Tuffery. Une critique claire, bien écrite et qui donne une affreuse envie de regarder ce long-métrage.

J’ai également pu lire celle de GabriellKast sur allociné, cette critique ma extrêmement plu. Je suis tout à fait d’accord avec lui mais ce que j’ai le plus apprécié dans cet article est cette phrase « Il ne faut pas lire ce film comme une œuvre morale, on est au-delà de toute morale, on est dans un film de haine de tension et de passion partagée. » et il a bien raison.

J’ai pu aussi lire une critique de Craoux qui m’a beaucoup déplu puisque pour moi il n’a pas vraiment compris le sens du film. Il doute que l’humiliation permanante soit une méthode d’apprentissage, alors que pour moi c’est ce qui fait tout le film. Il ne serait pas intéressant si Fletcher restait neutre devant son élève, au contraire il l’humilie afin qu’il se surpasse.