En 1940, Christiane, avec le drapeau de la France, c'est la liberté. Son ami a des pistolets. Il y a des personnes mortes, des personnes avec des couteaux et des pistolets. C'est la triste histoire de la liberté : des maisons détruites, des personnes sans mains, sans pieds. Les pauvres sont les premiers à mourir. Sans argent on ne peut pas acheter d'armes.
Ils sont plus forts s'ils peuvent survivre plus longtemps.
Le jeune garçon avec des pistolets, il défend Christiane, la femme de la liberté qui a un fusil pour se défendre.
Elle se met debout et elle domine tout parce qu'elle représente la liberté de la France.
La femme en bleue, elle est contente parce qu'il y a la liberté.
Le monsieur en bleu, qui est mort, il était contre la liberté.
Les messieurs avec des chapeaux, ils sont aussi contre la liberté.
Le liberté ne peut pas exister sans des règles communes pour tous.
Avec Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple, 1830
Élisabeth, Christiane, Anita, Sabrina, Annabelle, Julie, Anna, Rose et Nathalie sont sorties avec le carrosse entre amies. Elles sont allées à leur endroit secret.
Les femmes se demandent quand elles vont trouver un prince charmant.
Anna : - Rose, tu peux me donner ces fleurs, s'il te plaît ? C'est pour mon prince.
Rose : - Oui, Anna, tiens, c'est pour toi.
Anna : - Merci, Rose.
Anita se tourne vers Élisabeth : « Tu me prêtes ces fleurs, s'il te plaît ? »
- Oui, Anita, répond Élisabeth.
- Les filles, on rentre au château ? , demande Annabelle.
Tout le monde a répondu « oui ».
Elles sont alors rentrées au château.
Avec Winterhalter Franz Xaver, L'lmpératrice Eugénie et ses dames d'honneur, 1855