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2. Faire oeuvre avec les oeuvres

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mardi, 30 janvier, 2018

La liberté guidant le peuple - La liberté de la France en l'an 1940

oneline-liberte-guidant-peuple-delacroix.jpg

 

La liberté de la France en l'an 1940

 

En 1940, Christiane, avec le drapeau de la France, c'est la liberté. Son ami a des pistolets. Il y a des personnes mortes, des personnes avec des couteaux et des pistolets. C'est la triste histoire de la liberté : des maisons détruites, des personnes sans mains, sans pieds. Les pauvres sont les premiers à mourir. Sans argent on ne peut pas acheter d'armes.

 

Ils sont plus forts s'ils peuvent survivre plus longtemps.

Le jeune garçon avec des pistolets, il défend Christiane, la femme de la liberté qui a un fusil pour se défendre.

Elle se met debout et elle domine tout parce qu'elle représente la liberté de la France.

La femme en bleue, elle est contente parce qu'il y a la liberté.

Le monsieur en bleu, qui est mort, il était contre la liberté.

Les messieurs avec des chapeaux, ils sont aussi contre la liberté.

Le liberté ne peut pas exister sans des règles communes pour tous.

 

Avec Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple, 1830

https://www.histoire-image.org/etudes/liberte-guidant-peuple-eugene-delacroix

Danse dans la neige

Danse dans la neige

 

Raymond : - Bonjour Nathalie.

Nathalie : - Bonjour Raymond.

Raymond : - Nathalie, tu t'es entraînée, hier ?

Nathalie : - Oui, monsieur Raymond.

Raymond : - Mais alors, pourquoi tu es triste ?

Nathalie : - Parce que je vais partir demain au Canada.

Raymond : - Non, non et non. Et alors le spectacle de noël ?

Nathalie : - Je ne peux pas y participer.

Raymond : - D'accord ! Mais alors je vais te remplacer par Carla.

Nathalie : - Non, pas Carla ! Mais je vais revenir !

Raymond : - Oui, mais tu ne seras plus ma Nathalie.

Nathalie : - Mais pourquoi ?

Raymond : - Va t'en maintenant. Tu n'es plus dans l'équipe, c'est compris ?

Carla, tu viens, j'ai besoin de toi.

Carla : - D'accord, j'arrive. J'enfile juste mes ballerines.

Raymond : - Viens, tu vas prendre la place de Nathalie.

Carla : - Ah bon, mais pourquoi ?

Raymond : - Parce qu'elle est partie au Canada.

Carla : - D'accord. Au revoir.

Raymond : - Au revoir, Carla, je veux dire Nathalie. Ahahaha.

Carla : - Yes ! Je vais prendre le rôle de Nathalie.

 

Un peu plus tard, pendant la répétition.

Raymond : - Oh non, je me demande ce qu'il se passe avec Carla. Non, non et non. Allez, on recommence l'entraînement pour le spectacle de Noël.

Carla : - Ok, je vais réussir, maintenant.

Raymond : - Nooooooooon, mais c'est la catastrophe !!! Bon, j'ai besoin de la vraie Nathalie, là !

 

Pendant ce temps, au Canada.

Nathalie : - Ces vacances sont inoubliables.

Bon, on retourne à Paris, maman ?

Sa mère : - Oui, si tu veux reprendre ton rôle de danseuse.

Nathalie : - D'accord mais pas dans le même palais.

Sa mère : - Ah bon, mais pourquoi pas ?

Nathalie : - Je ne suis pas invitée.

Sa mère : - D'accord.

 

De retour à Paris.

Nathalie : - Mais maman, ce palais est encore plus beau que l'autre.

Sa mère : - Oui.

Nathalie : - Merci, maman.

Sa mère : - De rien, Nathalie.

 

Pendant ce temps, le répétitions du spectacle de Noël continuent.

Raymond : - Oh là là, Carla, va t'en. Tu ne fais plus partie de l'équipe.

Carla : - D'accord, au revoir !!!

Je vais faire un autre métier.

Raymond : - D'accord.

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http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-danseuse-saluant-degas-173151.html

 

Avec Degas Edgar, Danseuse saluant, 1876-1877

 

 

La cachette secrète

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https://www.repro-tableaux.com/a/franz-xaver-winterhalter.html?sfl=1&mpos=1022&INCLUDE=LIST

 

La cachette secrète

Élisabeth, Christiane, Anita, Sabrina, Annabelle, Julie, Anna, Rose et Nathalie sont sorties avec le carrosse entre amies. Elles sont allées à leur endroit secret.

Les femmes se demandent quand elles vont trouver un prince charmant.

Anna : - Rose, tu peux me donner ces fleurs, s'il te plaît ? C'est pour mon prince.

Rose : - Oui, Anna, tiens, c'est pour toi.

Anna : - Merci, Rose.

Anita se tourne vers Élisabeth : « Tu me prêtes ces fleurs, s'il te plaît ? »

- Oui, Anita, répond Élisabeth.

- Les filles, on rentre au château ? , demande Annabelle.

Tout le monde a répondu « oui ».

Elles sont alors rentrées au château.

 

Avec Winterhalter Franz Xaver, L'lmpératrice Eugénie et ses dames d'honneur, 1855

La Liberté Guidant Le Peuple - La liberté de la France en l'an 1940

 

 

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vendredi, 26 janvier, 2018

La bataille de la rivière de Sainte-Marie

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A la rivière Sainte-Marie, Martin, Abdoulaye et Julio se disputent.

Martin dit que la rivière lui appartient.

Abdoulaye et Julio disent que la rivière n'appartient à personne,que tout le monde a le droit de

venir. Mais Martin ne veut rien entendre.

Ce n'est pas à toi qui la fabriquée, donc la rivière n'est pas à toi, point barre.

Martin envoie beaucoup d'hommes. Abdoulaye et Julio envoient eux aussi des hommes et se battent.

Cinq heures plus tard Martin a compris qu'il a perdu donc il s'en va et n'est plus jamais revenu.

FIN.

 

Avec Auguste Renoir, La Seine à Argenteuil, 1873

mardi, 23 janvier, 2018

La vie et le temps

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http://www.municipiosdeelsalvador.com/san-salvador/santiago-texacuangos

La vie et le temps

 

Il était une fois, dans une petite ville, le 8 février 2007, un bébé est né.

Le père : "Je vais appeler mon fils Julio César."

La mère : "Oui, j'aime ce prénom."

Julio est resté neuf ans dans cette ville.

Neuf ans dans ce petit pays qui s'appelle El Salvador.

Julio est arrivé en France en 2015.

Mais il se souvient de toutes les personnes qu'il aimait.

Cette petite ville, c'est Santiago Texacuango.

FIN.

 

avec

Wassily Kandinsky, Passage à la tour, 1908