Après tout ce qui est arrivé nous avons décidé de nous allons les tuer tout la mafia ( la casa de papel )
3 heures après << nous allons tuer tout le monde ! >> dit le capitaine de la police.
Mais la mafia elle est déjà partie, et un policier crie << ils sont derrière >> mais c'était trop tard la mafia elle avait déjà tué tout les policiers, et la mafia gagne.
Magali tu est la meilleure maitresse que j'ai eu depuis le ce2 . J'espère qu'on se croiseras quand je serait au collège tu m'as apris des trucs incroyables . depuis aujord'huit je ne veut plus te quitter bisous
Moi césar le directeur de la CRM je vais faire dès recherchés sur ce cas. Dans une église de la Colombie 20 personnes ont été tuées par La Casa de papel.
C'est une mafia colombienne on a trouvé le personns de la église qui s'appelle la Casita on a trouvé le personnes qui sont tuées par la casa de papel ces personnes sont Francisco,Diego et Emmanuel était mon meilleur ami
Dans la nuit de l'hiver, un grand bonhomme de neige arrive dans un village. Dans une petite maison, il entre sans frapper pour se réchauffer. Il fond directement dans une poêle. Mais le bonhomme de neige est toujours vivant. Quelques minutes plus tard, le propriétaire de la maison, il revient d'où il était parti et il a vu l'eau et il s'est dit : « Tiens, je pourrais utiliser cette eau. » Alors, il prépare une bonne soupe avec l'eau du bonhomme de neige et il mange la soupe. Et puis, il est fatigué. Alors, il veut dormir, mais le bonhomme de neige qui est dans son ventre l'empêche de dormir. Le matin, l'homme vomit le bonhomme de neige tout neuf. L'homme est effrayé, alors il part en courant. Le bonhomme de neige, lui, il est resté à la maison, pour toujours.
Mais le froid entre par la porte, envahit la maison et comme le vent est rentré, le bonhomme de neige redevient un bonhomme de neige. Il part, pour ne plus fondre. Il sort de la maison et il voit un autre bonhomme de neige. C'était une femme : une bonne femme de neige !
« Ne bouge pas ! », lui a dit le bonhomme de neige. « Comme tu es belle, toi ! Notre enfant sera un garçon ou une fille ? Allez, donne-moi un bisou ! »
Un autre bonhomme de neige arrive.
« Ah, non ! Vous avez détruit ma jolie femme ! » dit-il. « Ah, bah moi aussi je suis cassé maintenant. Mais au moins, je suis avec toi, ma future femme. » dit-il enfin.
Mais le froid entre par la porte, envahit la maison et comme le vent est rentré, le bonhomme de neige redevient un bonhomme de neige. Il part, pour ne plus fondre. Il sort de la maison et il voit un autre bonhomme de neige. C'était une femme : une bonne femme de neige !
« Ne bouge pas ! », lui a dit le bonhomme de neige. « Comme tu es belle, toi ! Notre enfant sera un garçon ou une fille ? Allez, donne-moi un bisou ! »
Un autre bonhomme de neige arrive.
« Ah, non ! Vous avez détruit ma jolie femme ! » dit-il. « Ah, bah moi aussi je suis cassé maintenant. Mais au moins, je suis avec toi, ma future femme. » dit-il enfin.
En 1940, Christiane, avec le drapeau de la France, c'est la liberté. Son ami a des pistolets. Il y a des personnes mortes, des personnes avec des couteaux et des pistolets. C'est la triste histoire de la liberté : des maisons détruites, des personnes sans mains, sans pieds. Les pauvres sont les premiers à mourir. Sans argent on ne peut pas acheter d'armes.
Ils sont plus forts s'ils peuvent survivre plus longtemps.
Le jeune garçon avec des pistolets, il défend Christiane, la femme de la liberté qui a un fusil pour se défendre.
Elle se met debout et elle domine tout parce qu'elle représente la liberté de la France.
La femme en bleue, elle est contente parce qu'il y a la liberté.
Le monsieur en bleu, qui est mort, il était contre la liberté.
Les messieurs avec des chapeaux, ils sont aussi contre la liberté.
Le liberté ne peut pas exister sans des règles communes pour tous.
Avec Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple, 1830
Élisabeth, Christiane, Anita, Sabrina, Annabelle, Julie, Anna, Rose et Nathalie sont sorties avec le carrosse entre amies. Elles sont allées à leur endroit secret.
Les femmes se demandent quand elles vont trouver un prince charmant.
Anna : - Rose, tu peux me donner ces fleurs, s'il te plaît ? C'est pour mon prince.
Rose : - Oui, Anna, tiens, c'est pour toi.
Anna : - Merci, Rose.
Anita se tourne vers Élisabeth : « Tu me prêtes ces fleurs, s'il te plaît ? »
- Oui, Anita, répond Élisabeth.
- Les filles, on rentre au château ? , demande Annabelle.
Tout le monde a répondu « oui ».
Elles sont alors rentrées au château.
Avec Winterhalter Franz Xaver, L'lmpératrice Eugénie et ses dames d'honneur, 1855
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