La découverte : Génération K de Marine Carteron !
Par Rayan HOMAND le 07 juin 2017, 09:24 - Critique littéraire - Lien permanent
L’auteur de la trilogie Les Autodafeurs écrit son nouveau roman, Génération K, en septembre 2016. Kassandre, Mina et Georges, trois jeunes que tout oppose ont en commun un ADN unique à l’origine de leurs pouvoirs. Un ADN qui attire certaines personnes et va les obliger à fuir pour sauver leur vie.
Génération K, roman écrit par Marine Carteron, est addictif et mouvementé. L’histoire, racontée de trois façons et de trois points de vue différents, n’offre aucun répit pour les petits lecteurs.
Génération K, un drôle de cas !
Lorsque Kassandre est envoyée dans une pension en Suisse (car elle s’est mal comportée lors de son anniversaire) elle se fait une amie nommé Yolande, aussi appelée « Yo ». À ce moment-là, Ka et Yo s’entraident pour que Ka puisse trouver un endroit où téléphoner à Mina et que Yo puisse passer le test sanguin sans problèmes. En effet, Yo avait fumé et si on le voyait dans son sang on la punirait. Donc pour aider Yo, Kassandre remplace son sang avec celui de Yo. En échange, le soir venu,Yo emmènerait Ka à un endroit où il y aurait du réseau pour téléphoner à Mina.
De son côté Mina est partie voir son père qu’elle ne connaît pas, grâce aux informations obtenues de force (grâce à ses pouvoirs mystérieux). Son père, aussi appelé le cannibale de Naples… Arrivée chez son père, Mina frappe à la porte et découvre une veille femme qui se dit être sa grand-mère. Sa grand-mère appelée Khiara lui montre une chambre ou se reposer.
Georges, l’autre jeune, a été libéré de prison car il doit aller lui aussi retrouver son père. Son père, appelé Don VitaliCamponi, parrain de la camorra, lui explique ses origines et lui dit d’aller retrouver ses semblables et la première se trouve en Suisse dans une pension. Puis Georges part en Suisse et explique tout ce qu’il sait de ses pouvoirs à une fille qui s’appelle Kassandre.
Ce que j’ai aimé
J’ai bien aimé le livre mais n’étant pas un grand lecteur (à l’exclusion des mangas), il y avait des passages que je devais relire une deuxième fois pour comprendre. Mais j’ai quand même aimé l’histoire et ce qui m’a étonné c’est que ce livre me tenait en haleine, c’est-à-dire que je ne voulais pas arrêter, je ne voulais pas lâcher le livre car il est très addictif.
Marine Carteron, Génération K, Editions du Rouergue, 2016