blog de la 3e3

Ce que l’on voit :

On voit un homme, qui se tient la tête par les mains, avec les yeux grands ouverts. Il est vêtu  assez simplement, un tablier et une chemise, l’homme n’avait pas l’air dans la misère. Il y a comme fond, un mur uni.

Analyse de l’œuvre :

Le personnage est en plein au centre, avec un fond uni et sombre ce qu’il fait qu’il est le seul qu’on voit, et c’est son expression qui nous frappe en premier, l’angle de vue est normal, à la hauteur du personnage. Ce ne sont pas des couleurs inhabituelles, du beige pour la peau, sauf un peu de orange en bas à gauche, ce qui donne un effet réaliste au tableau.

Les lignes dominantes sont plutôt en diagonale, comme le fond, le pli des vêtements du personnage, ainsi que ses veines sur ses bras.

Le désespoir est montré par des yeux grands ouverts, la bouche semi-ouverte, les mains sur le visage.

Dylan

Moi, Olivia Dorce, 14ans, plutôt petite de taille, corps mal proportionné : pieds tordus, jambes arquées , petites cuisses, énorme ventre, petite poitrine, épaules larges, cou invisible, tête imposante. Suis-je humaine ?!

Mon visage : gros yeux en forme d'amande, petit front, lèvres pulpeuses, mâchoire énorme comme celles des crapauds, pommettes relevées, nez applati. Suis-je un Animal ?! 

Qui suis-je ? Une jeune fille généreuse au cœur tendre ? Ou... Une jeune femme solitaire au cœur de pierre ? Je suis intelligente et sotte à la fois c'est ce qui fait que je suis unique et impossible à copier ! Je suis tout simplement MOI !

Olivia

J'ai pris quelques bonnes idées parmi vos copies (il fallait inventer un monologue dit par Christian à Roxane) et voici le résultat :

Christian, s’assied sur le banc – Oh Roxane ! Depuis le temps que j’attends ce moment ! Le vent chuchote votre nom, les nuages forment votre visage. Les branches des saules pleureurs me font penser à vos cheveux, se balançant sur votre dos. J’ai tant rêvé d’entendre votre voix… Elle doit ressembler au chant d’un oiseau… Je vous aime, Roxane ! Votre beauté est semblable à celle d’Aphrodite. Sans vous je serais comme un oiseau sans ailes,  comme un homme sans air, comme une tortue sans sa carapace. Je serais aussi inutile qu’une plume sans encre, qu’un bateau sans voile, qu’une horloge sans aiguilles, qu’un été sans soleil et que mes lèvres… sans les vôtres.