Classe d'accueil UPE2A Collège Marcel Pagnol 2018

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29 mars 2019

Mon premier jour en France

wide_fullhd_france-paris-eiffel-tower.jpgMon premier jour en France, quand je suis arrivée, j'ai vu beaucoup de choses que je n'avais jamais vu de ma vie.

Je pensais que c'était la fin du monde parce que c'était loin. Ensuite, je suis arrivée à Paris.

J'ai pris le train et le bus et je suis arrivée chez moi.

J'ai vu ma mère mon frère et ma soeur

J'ai vu ma famille toute ensemble.

J'étais contente.

 

 

Mon premier jour en France

 Bonjour Je m'appelle Chadrak Vilsaint.

Je vais vous parler de mon premier jour en France.

C'était le 24 janvier 2018.

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Quand je suis arrivé en France, j'ai vu  que c'était un beau pays.

J'étais content. J'ai vu mon père qui est venu me chercher

Il  y avait beaucoup  de neige. Il n'y avait pas de feuille dans les arbres et j'étais un peu triste,

parce que c'était mon premier jour en France.

27 mars 2019

Les misérables de Victor Hugo 9

Les Barricades

A Paris le 5 Juin 1832, les parisiens en colère manifestent dans les rues. Ils font une barricade pour se cacher et se protéger. La barricade ressemble à l'éléphant de Gavroche. Un policier arrive et les manifestants l'attrapent. Les soldats vont bientôt arriver et attaquer les parisiens. Alors, Marius écrit une lettre à Cosette pour lui dire adieu. Gavroche apporte la lettre à Cosette mais son père la prend et la lit. Jean Val Jean et Gavroche vont aller à la barricade. Un policier tire sur Gavroche qui était en train de chanter et il tombe par terre mortellement blessé. Pendant ce temps Jean Val Jean libère le policier. A la fin les manifestants sont tous morts. Ils ont perdu.

 

26 mars 2019

La blessure

Je me souviens quand j'étais petit dans ma ville, Je suis monté sur un vélo j'ai fait le tour d'un terrain.

Il y avait un trou, pas profond, et je suis tombé dedans. J'avais mal à la jambe et au doigt.

Il y avait un peu de sang, j'avais  très mal ensuite.

Je  suis rentré chez moi et ma mère m'a soigné .

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De la difficulté qu'il y a á imaginer une cité idéale par Georges Perec

Je n'aimerais pas vivre dans la campagne mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre à Pontoise mais parfois si.

J'aimerais bien vivre au Portugal mais parfois non.

Je n'aimerais pas vivre sur une autre planète mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans une prison mais parfois si.

J'aime bien vivre á Saint-Oue l'Aumône mais parfois non.

J'aimerais bien vivre dans un bateau mais pas trop longtemps.

Je n'aimerais pas vivre dans mon collège mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre tout seul mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre en Chine mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans un pays très pauvre mais parfois si.

J'aurais bien aimé connaître mon grand père mais c'est un peu tard.

Je n'aimerais pas vivre en Asie mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans un autre univers mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans le ventre d'une baleine mais parfois si.

J'aime bien vivre avec ma mère mais parfois non.

Je n'aimerais pas vivre avec mon père mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre au Brésil mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans l'Antarctique mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans une école mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre dans une école mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre avec mons neveux mais parfois si.

J'aimerais bien vivre á côté de la plage mais parfois non.

Je n'aimerais pas vivre en Australie mais parfois si.

J'aime bien vivre en la France mais même, pas pour toujours.

Je n'aimerais pas vivre dans une cercueil mais parfois si.

Je n'aimerais pas que nous vivions tous sur la Lune mais parfois si.

25 mars 2019

La blessure

C'est une collégienne qui raconte l'histoire de sa blessure en CM2. Elle était avec son frère pour essayer le skateboard.

C'était la première fois de sa vie qu'elle faisait du skate. Elle est tombée en arrière et elle s'est rattrapée sur les mains.

Elle s'est tordue le poignet et elle a eu une attelle pendant un mois au moins. Elle espère qu'elle ne va pas tomber une autre fois.

Le Tsunami

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Sur l'île, il y avait beaucoup de petits immeubles et aussi un grand bâtiment.

Le grand bâtiment était le plus grand de tous.

Il était fier de sa hauteur.

Il tenait aux autres petits immeubles.

Alors quand le tsunami est arrivé, il a sauvé tous les petits immeubles.

Il les a porté dans sa bouche de leur île à une autre terre où c'était sûr.

Chaque immeuble était heureux que le grand bâtiment ait utilisé sa taille pour une bonne cause.

​​​​​​

22 mars 2019

Le Tsunami

Il y a une île habitée par les bâtiments.

Un jour sur cette île, un gratte-ciel est construit.

Au début le gratte-ciel est très vantard et tous les autres bâtiments le détestaient.

Par une journée pluvieuse un tsunami vient et inonde l'île.

Le gratte-ciel se moque des petits bâtiments mais, plus tard il se rend compte de sa faute et aide à transporter les petits bâtiments sur une grande terre.

Il aide à  les transporter pendant toute la nuit et au matin, tous les petits bâtiments ont été transportés.

Le gratte-ciel était très fatigué, mais il était heureux d'avoir aidé et les petits bâtiments lui étaient très reconnaissant.

À la fin le gratte-ciel creuse la terre pour lui même et y entre pour rester à la même hauteur que les autres bâtiments.

 

 

FIN.... 

 

L'histoire d'animation

PHO8b8fb7a4-d26e-11e6-a9e9-ec8855ae56b6-805x453.jpgL'histoire se passe dans la petite ville.

Il y a beaucoup petits immeuble et il y avait  un grand bâtiment ou un gratte-ciel. Ils vivaient heureux mais un jour dans la nuit, Il a plu beaucoup. Alors la ville devient comme la mer et toute la petite ville avait peur. Puis le grand bâtiment a pensé  beaucoup à aider les  autres. Il a plu  beaucoup. Enfin, après avoir beaucoup réfléchi, ce grand bâtiment a sauvé tous les petits immeubles en les amenant tous sur la falaise en les mettant dans sa bouche. Le grand bâtiment était très gentil. À la fin, ils chantaient tous ensembles et vivaient leur vie comme avant.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     - Au revoir

18 mars 2019

De la difficulté qu'il y a à imaginer une cité idéale, par GEORGES PEREC.

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Je n'aimerais pas vivre dans une grange mais parfois si.

J'aimerais bien vivre comme un sportifs mais parfois non.

Je n'aimerais pas vivre en Inde mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre sans manger de gâteau, mais parfois si.

J'aime bien vivre à Dubaï mais parfois non.

J'aimerais bien vivre au Japon mais pas trop longtemps.

Je n'aimerais pas vivre au Mc Donald's mais parfois si.

Je n'aimerais pas vivre en Chine mais parfois si.

J'aurais bien aimé aller sur Mars mais c'est un peu tard.

Je n'aimerais par vivre dans un Centre Commerciale mais parfois si.

J'aime bien vivre au Tibet mais parfois non.

Je n'aimerais pas vivre à New York mais parfois si.

 

 

 

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