En vrac, faites toutes les remarques qui vous viennent à l'esprit à la lecture de cette première page de roman! (le texte n°4 dans votre corpus des premières pages)
Des compléments de cours pour aider à faire face aux épreuves des examens, mais aussi alimenter votre curiosité!
17 sept. 2016 00:17
En vrac, faites toutes les remarques qui vous viennent à l'esprit à la lecture de cette première page de roman! (le texte n°4 dans votre corpus des premières pages)
Commentaires
- L'auteur exagère le nom de ce personnage sûrement est-ce une façon de montrer qu'il aura plusieurs identités
Adamkiewicz Corentin- on apprend qu'il est militaire
- il se situe à Vincennes (gare de paris)
- le petit vélo appartient à un certains Henri POLLAK qui est né à Montparnasse et qui tous les soirs venait rejoindre le personnage et ses amis dans des bars pour discuter.
Suite à la lecture du texte n°4, les remarques qui me viennent à l'esprit sont les suivantes :
Maxime LechevallierIl y a des mots étranges (Yoghourtophage, Slavophile).
Les différents corps de métiers militaires mêlés à d'autre corps de métiers (Maréchal des logis, régiment du Train).
Cette phrase qui ne signifie rien (enfin je crois) "D'une paire de godasse tout ce qu'il y avait de plus godasses".
Voici mes remarques sur cette première page de roman:
1) le vocabulaire utilisé dans ce roman est un langage vulgaire.
2)la première page de ce roman est plutôt amusante par rapport à d'autres romans.
3)j'ai l impression que l'histoire est racontée entièrement dans cette première page.
4)c'est la première fois que je vois un auteur de roman jouer avec les mots comme il le fait.
l'Incipit de ce Roman est une description de personnages. La description du personnage est peu précise sur le nom et les origines mais elle nous informe sur son enfance, son métier et ses connaissances. On constate que cet incipit est une description chronologique croissante, on commence par le début de la vie du personnage pour terminer sur un moment et une action récente vécue.
F.BettayebQue de pistes! que de pistes déjà en quelques mots!
la profoui! on dirait bien que l'on retrouve des éléments caractéristiques d'un incipit!
et oui aussi! l'auteur... et le narrateur s'amusent avec nous. Voici de belles pistes que vos nouvelles remarques vont sans doute nous aider à creuser!
La première chose frappante pour le lecteur est le mélange des langages : familier et soutenu. L'auteur décrit le personnage de façon classique mais tout d'un coup le décrit grossièrement, c'est sans doute un trait d'humour. On sait que c'est un militaire. Ensuite, il parle d'un "pote" à lui, lui aussi militaire toujours dans un langage grossier et termine par une histoire de routine en décrivant leurs habitudes du soir. Je ne sais pas à quoi m'attendre pour la suite de l'histoire car j'ai l'impression que tout est dit dans cet incipit.
ValentinUn langage un peu familier, le narrateur nous présente un premier personnage en nous faisant comprendre qu'il a un prénom assez long et compliqué. Il nous dit qu'un autre mène une "double vie" en disant qu'il est militaire le matin et à dix huit heures et demi il montait sur son vélomoteur et regagnait sa ville natale. Le narrateur se présente comme un ami de ce personnage à la fin du texte : "nous ses potes et ses chers bouquins", cette citation nous fait comprendre que le personnage aime les livres, ainsi que ses amis dont le narrateur. Ce personnage a une vie normale.
KevinOn peut voir que l'auteur n'hésite pas à se jouer de nous en ne donnant pas tous les détails sur son personnage principal. Tout d'abord comme son nom qui pour lui était un nom "qu'on n'oubliait pas facilement" Pourtant tout au long de l’œuvre le personnage ne sera appelé que par son surnom qui est "Kara". Puis l'origine du personnage nous est toujours inconnue. Georges Pérec ne nous donne que des suppositions du coup ils nous est impossible de savoir d'où vient Kara.
M.DenisAlors premièrement l'écrivain est assez original pour un auteur de roman, il parle comme s'l parlait dans la vraie vie et il mélange des mots: Balkanique, Yoghourtophage, Slavophile, junomme. Deuxièmement il dit : "un nom peu banal, un nom qui vous disait quelque chose, qu'on n'oubliait pas facilement." Pour moi "un nom peu banal" ça ne peut pas être "un nom qu'on n'oubliait pas facilement". Et troisièmement il classe les origines: "un abstrait arménien de l'École de Paris, un catcheur bulgare".
Dawidski LouisLa première chose que je remarque en lisant le texte c'est la façon dont le personnage parle, il dit des mots plutôt familiers du genre "mec" ou encore Kara"truc". Cette première page ne ressemble à aucune autre.
KarimL auteur nous donne des indices afin de nous montrer une chose.
Kagandu78200quivieamanteslajolieAprès la lecture du texte numero 4 , j'ai trouvé de nombreuses remarques à faire sur ce texte qui sont les suivantes :
Anas Mourafik-Tout d'abord au début du texte on comprend que le nom du personnage est compliqué à retenir et à prononcer et que son nom pourrait provenir d'un pays de l'Est de l'Europe.
-Ensuite on remarque que le vocabulaire utilisé dans ce texte est un langage plutôt familier .
-De plus le vélo à guidon chromé appartient à Henri Pollak
-Enfin on sait que Karatruc est un militaire.
On peut remarquer : -un langage familier
Erkam C.-qu'il cite beaucoup de nationalité
le narrateur nous présente le premier personnage de manière assez confuse, ce qui laisse à penser qu'il se souvient vaguement de ce dernier, non seulement en évoquant plusieurs variantes de son nom puis en essayant vainement de deviner ses origines à partir du nom. On remarque aussi que l'autre personnage, Henri Pollak, a une "double-vie" séparant sa vie privée de sa vie professionnelle, le langage semble s'adapter au texte: lorsque le narrateur nous présente le personnage, le langage est familier puis il parle de sa vie professionnelle et le langage devient courant voire soutenu et enfin quand le narrateur parle de sa vie privée, le langage redevient soudainement familier.
Romain.L