une préoccupation mondiale!
Comment connaître la qualité de l’air ?
Par l’indice ATMO (voir échelle ci-dessus)
Cet indice varie de 1 (excellent ou très bon) à 10 (exécrable ou très mauvais), Il est calculé à partir des concentrations mesurées des principaux polluants comme les oxydes de soufre, les oxydes d’azote, l’ozone présent dans l’air d’une agglomération.
Quels sont les effets de la pollution de l’air sur la santé ?
Les effets de la pollution sur la santé augmentent en fonction des concentrations des substances polluantes dans l’air et de la durée d’exposition. C’est la raison pour laquelle il est conseillé aux personnes sensibles, en cas d’épisode de pollution, de limiter leurs efforts physiques, de ne pas sortir de chez elles et, bien sûr, d’arrêter de fumer.
La pollution de l’air a des effets variés sur la santé et sur l’environnement ; c’est un phénomène local, continental et mondial.
Le chauffage, l’évaporation des solvants et des hydrocarbures, les fumées des usines et les gaz produits par les véhicules sont à l’origine de la pollution de l’air. S’y rajoutent à l’intérieur des habitations ou des bureaux les fumées de tabac, les émanations des chauffages individuels, des cuisines... Des phénomènes naturels comme les éruptions volcaniques perturbent également la qualité de l'air que nous respirons et peuvent s'avérer dangereux !
Cette pollution provoque différents phénomènes comme l’effet de serre, les pluies acides ou la formation d'ozone en ville !
On cherche à évaluer la qualité de l’air dans notre environnement proche : Le Parc de Morsang.
Nous allons nous intéresser à un organisme sensible à la pollution : les lichens. (Formation végétale prépondérante en Islande où le climat est plutôt hostile)
Les lichens n’ont pas de moyen de protection contre les polluants, ils les absorbent en même temps que les éléments qui leur sont essentiels et réagissent par l’apparition de symptômes (nécroses) ou de perturbations de la croissance et du développement ; ils vont ainsi pouvoir nous renseigner sur le degré de pollution du milieu (atmosphère, eau, sol…) c’est ce qu’on appelle un « bioindicateurs ».