Aujourd'hui, nous avons rappelé la règle des mots qui prennent deux "f" après "a", "o et "d".

Nous avons profité de ce point d'orthographe pour écrire: en dix à quinze minutes, il s'agit d'imaginer un texte cohérent comportant les huit mots tirés au sort parmi ceux du tableau.

Les nominés étaient: affable, afficher, offrir, effluves, offensé, offusqué, effort et efficace.

Et j'ai également fait le mien!
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Texte de Flore:

Cet après- midi, Pierre embarqua sur un beau voilier. C’était son rêve. Une semaine plus tôt, Pierre s'était présenté devant le capitaine du voilier pour avoir une chance de mettre les pieds sur les planches de bois d’un bateau et partir loin de la foule humaine. Le capitaine le regarda d’un rapide coup d’œil et pensa qu’il pourrait être efficace. Le capitaine était un homme bon et très affable.

Le 13 janvier 1432, Pierre vivait déjà son rêve. Le départ fut long. Les femmes des matelots affichaient des visages tristes.

Deux jours après, Pierre se rendit compte à quel point la vie de matelot était dure. Chaque soir, les effluves des pipes que fumaient les autres matelots le rendaient malade.

Pierre faisait de gros efforts pour être apprécié par le capitaine. Mais, celui-ci ne faisait à peine attention à lui ce qui offensait le jeune homme.

Mais ce qui a le plus offusqué Pierre était le comportement des autres matelots.

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Texte de Samuel:

Jean, l’enfant serviable

Jean était un jeune garçon très affable qui faisait beaucoup d’efforts pour servir les gens autour de lui. Il lui arrivait parfois de réparer divers objets, et cela, très efficacement.

A certains moments, on le voyait même afficher des prospectus dans la rue pour annoncer l’arrivée de certains cirques. On lui donnait également la permission d’offrir des petites babioles aux enfants et des affiches aux passants ainsi qu’aux riverains qui se trouvait dans le coin. Mais certains qui étaient mécontents de recevoir de la publicité, s’en prirent au petit garçon et celui-ci se sentit offensé ; c’est alors qu’il répliquait et ses agresseurs offusqués d’avoir reçu ce déchaînement de colère, refusèrent catégoriquement la brochure que leur tendait le jeune garçon et tournèrent les talons en laissant derrière eux, des effluves de parfums écœurants et bien trop forts à son goût.


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Texte de Manou:

Un affable monsieur qui affichait un grand sourire, offrit à un clochard un parfum qui dégageait de fortes effluves. Celui-ci, se crut offensé et en fut offusqué. Il pensait que cet homme insinuait qu’il ne sentait pas bon. Il dut faire un grand effort pour ne pas étrangler le passant. Le clochard accepta le cadeau et,  efficace, le revendit le lendemain.

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