Le refuge de tes yeux, par Cassandre

Laisse-moi te conter une nuit de tempête,

Une nature en colère, souffle le vent qui s'enchevêtre

Dans les branches qui se plient en souffrant,

Qui tombent à terre en un souffle d'expirant.

J'arrivai, mouillée par la pluie que le vent battait,

Grelottante du froid que la nuit provoquait,

Dans le creux d'une branche je m'assoupis,

Dans le froid et la pluie je m'endormis.

Au petit matin, me réveillant, tremblante de la nuit passée,

Je me redressai pour retomber,

A bout de force je suis restée

Pour dans tes yeux me réfugier.

Commentaires

1. Le 29 septembre 2014, 16:54 par valentin

:mdr: très bien