Ce film raconte l’arrivée d’un nouveau policier nommé Stéphane, tout juste arrivé de Cherbourg, il intègre la Brigade Anti-Criminalité de Montfermeil, dans le 93. Il va faire la rencontre de ses nouveaux coéquipiers, Chris et Gwada. Il découvre rapidement les tensions entre les différents groupes du quartier. Alors qu’ils se trouvent débordés lors d’une interpellation, un drone filme un accident entre les policiers et les jeunes du quartier dans leurs moindres faits et gestes.

Le 07/02/2020, nous avons vu un film « La belle époque » de Nicolas Bedos.

Il raconte la vie de Victor (joué par Daniel Auteuil), un sexagénaire désabusé, qui voit sa vie bouleversée le jour où Antoine, un brillant entrepreneur, lui propose une attraction d’un genre nouveau : mélangeant artifices théâtraux et reconstitution historique, cette entreprise propose à ses clients de replonger dans l’époque de leur choix. Victor choisit alors de revivre la semaine la plus marquante de sa vie : celle où, 40 ans plus tôt, il rencontra l’amour de sa vie.

Le 25/02/2020 nous avons visualisés cette fois trois films, le premier se nomme « Portrait de la jeune fille en feu » de Céline Sciamma.

Ce film nous plonge en 1770, ou une jeune peintre du nom de Marianne doit réaliser le portrait de mariage d’Héloïse, une jeune femme qui vient de quitter le couvent. Héloïse résiste à son destin d’épouse en refusant de poser. Introduite auprès d’elle en tant que dame de compagnie Marianne va devoir la peindre en secret. La jeune femme vivra diverse aventure au côté d’Héloïse. Le second « Hors normes »est un film réalisé par Eric Toledano et Olivier Nakache.

Bruno et Malik vivent depuis 20 ans dans un monde à part, celui des enfants et adolescents autistes. Au sein de leurs deux associations respectives, ils forment des jeunes issus des quartiers difficiles pour encadrer ces cas qualifiés "d'hyper complexes". Une alliance hors du commun pour des personnalités hors normes. Le troisième film est « Roubaix, une lumière » de Arnaud Desplechin.

À Roubaix, un soir de Noël, Daoud le chef de la police locale et Louis, fraîchement diplômé, font face au meurtre d’une vieille femme. Les voisines de la victime, deux jeunes femmes, Claude et Marie, sont arrêtées et accusé du meurtre de la vielle femme. Elles sont toxicomanes, alcooliques, amantes… .

Pour finir ce voyage cinématographique nous avons vu le film « Grâce à Dieu » de François Ozon.

Il raconte le combat d’Alexandre. Alexandre vit à Lyon avec sa femme et ses enfants. Un jour, il découvre par hasard que le prêtre qui a abusé de lui aux scouts officie toujours auprès d’enfants. Il se lance alors dans un combat, très vite rejoint par François et Emmanuel, également victimes du prêtre, pour « libérer leur parole » sur ce qu’ils ont subi. Mais les répercussions et conséquences de ces aveux ne laisseront personne indemne. 

 

A la fin du visionnage de tous ces films nous devions remettre individuellement des césars sous différentes catégories.

Mon choix personnel par rapport à ces différents films est le suivant : Le césar des meilleurs costumes pour le film « J’accuse » de Roman Polanski, le césar des meilleurs décors pour le film « La belle époque » de Nicolas Bedos, le césar du meilleur scénario original pour le film « La belle époque » de Nicolas Bedos , ainsi que le césar du meilleur film pour « Les misérables » de Ladj Ly.