Dès le générique, la mise en scène d'un Paris des années 50 avec un "sépia plein les doigts" (pour citer V. Delerm en référence au film de C.Baratier Les Choristes 2004) nous offre une première piste évidente à suivre tout au long du film, mais la seconde, celle relative aux clichés photographiques qui jalonneront le film, me semble plus intéressante à étudier.

 

 

La "photo" du film laisse alors place aux dispositifs imaginés à partir de la photographie en tant que générateur de récit. Amélie Poulain se lancera ainsi sur la trace d'un énigmatique psychopathe de photomaton qui se révélera n'être qu'un agent d'entretien de ses machines de gare ....

 

 

Dans notre extrait, un "cliché catastrophe" sera le déclencheur d'une très belle séquence comique.