.

Ces films on différentes façons de faire parler le masques. V pour Vandetta, Certains l'aiment chaud et La Piel que habito utilisent la technique traditionnel qui consiste à faire parler le personnage derrière le masque. Ce qui va nous intéresser aujourd'hui sont les trois autres films qui adopte un manière différente.

 

 

 

 

 

La Strada et Le Jour des Corneilles utilisent tout deux la gestuel afin de faire parler leurs personnages masqués. Dans La Strada le masque est représenté par le maquillage de clown. Gelsomina, personnage principal ne parle pas sous son masque mais utilise tout son corps afin de communiquer avec le public. Pareillement dans Le Jour des Corneilles, les esprits représentant des humains morts auparavant, on tous un masque d'animal. Ces esprits utilisent aussi la gestuel pour communiquer n'ayant pas la possibilité de parler au vivant. Cas à part l'esprit représentant la mère décédé du fils  de Courge, le personnage principal, communique avec son fils par des souvenirs lors d'un passage. 

 

 

Différemment, Albert Dupontel dans  Au revoir là-haut nous fait part d'une solution différente pour faire parler son personnage masqué. Dans ce film, Edouard Péricourt, gueule cassée de la second guerre mondial ce masque pour cacher son malheureux visage. Ce personnage à des difficultés à parler suites à ce que sa machoire a subit. Le personnages principal, Joseph Merlin a donc de légères difficultés à le comprendre. Il va tout d'abord utilisé la gestuel comme dans La Stada et Le Jour des Corneilles pour communiqué. Puis c'est ici qu'intervient "La petite Louise" qui va jouer le rôle d'interprétation de la gueule cassée, elle va retranscrire toutes les paroles d'Edouard Péricourt. Idée intéressante du réalisateur gardant l'handicape de celui-ci tout en pouvant le comprendre dans sa globalité.

Pelletier Liam.