paysages urbains

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Cadrages 4e1 : Pauline et Tijana

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pauline_tilly_triple_cadrage_dans_l_avion.jpeg, janv. 2018

"Surcadrage dans l'avion" par Pauline 

 

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tjana.jpeg, janv. 2018

"Naples" par Tijana 

Cadrages 4e5 : Astrid et Lucas

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astrid_coffre.JPG, janv. 2018

Balade dans Paris( le Café Pouchkine, place de la Madeleine)  (Astrid C)  

 

 

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lucas_baudry.jpg, janv. 2018

 

"Noël est mon jour préféré car la famille 

est réunie et passe un bon moment" (Lucas B) 

 

cadrage 4e5 (Evan)

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evan_photo.png, janv. 2018

" j’ai beaucoup aimé ces 2 cadeaux à Noël, l’émotion que j’éprouve est la joie et je n’ai pas pu mettre mon IPhone mais il fait partie des cadeaux que j’ai eus et qui m’ont fait plaisir." Evan, 4e5 

A mi-chemin des vacances... Premier bilan de lecture

Merci de répondre aux questions dans les commentaires 

1) Où en êtes-vous dans la lecture? 

2) A ce stade, êtes vous satisfait de votre choix de récit? 

3) Quelle est à votre avis la qualité principale du récit que vous avez choisi? 

Pensez )à justifier vos réponses.

Je vous souhaite tous mes voeux pour la nouvelle année 2018! A lundi. M. Burnel 

Surcadrage d'Astrid

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WP_20180123_013.jpg, fév. 2018

Surcadrage d'une photo prise en Angleterre

Imaginer la suite du début du Portrait ovale

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Quelques débuts de récits écrits par les élèves de 4e...

Voici dans les commentaires quelques débuts de récits écrits par les élèves de 4e... 

N'hésitez pas à dire dans les commentaires ce que vous pensez de ces textes, ou à poursuivre et continuer l'un des récits. 

palimpseste réaliste des "Trois petits cochons", à la 1ère personne, par Lucas

palimpseste réaliste des "Trois petits cochons", à la 1ère personne, par Lucas. Récit à poursuivre dans les commentaires ! 

Mes deux frères et moi étions inséparables. Nous vivions dans un village charmant et qui, chaque année, voyait sa population multipliée par dix pendant les vacances d’été. Cependant, le village avait cent-cinquante habitants, de quoi faire tout ce qu’on a envie de faire. Un beau jour, pendant les vacances d’été, moi et mes frères, nous sommes lancés un défi : construire une maison chacun de notre côté. Nous étions séparés pour la première fois. Cela fut très difficile mais je ne reculais devant aucun défi, donc nous entamâmes nos maisons. Le premier de mes frères à avoir fini était Jérôme, sa maison était en brique. Le deuxième à avoir fini était mon autre frère Christophe, sa maison était dans une vaste plaine et faite de métal. Enfin, après trois mois de travaux acharnés, je finis ma maison en béton.

Récit fantastique par Loane

 

REDACTION SUR UN PHENOMENE ETRANGE AUQUEL J’AI ASSISTE

C’était un vendredi 13, jour que la grande majorité des gens redoutent car il est généralement synonyme de malchance ou de malheur. Quant à moi, je n’étais pas particulièrement superstitieuse et je n’avais donc pas de raison d’appréhender ce jour jusqu’à ce qu’un phénomène étrange se produisit. Le vendredi 13 était-il donc un jour à craindre ? Devais-je moi aussi en avoir peur ?

Je me trouvais chez mes grands-parents en bord de mer avec mon père, ma mère, ma cousine Perle et mes deux inséparables chatons Rik et Zik.

Seule dans ma chambre au dernier étage, confortablement installée dans mon lit, le dos calé contre mon oreiller, je lisais un livre fantastique dont l’histoire faisait froid dans le dos car elle mettait en scène vampires, fantômes, spectres et autres créatures fabuleuses et terrifiantes. J’étais totalement captivée et concentrée sur ma lecture …

[SITUATION INTIALE verbes conjugués à l’imparfait]

 

 

[ELEMENT DECLENCHEUR verbes conjugués au passé simple]

lorsque soudain, j’entendis l’escalier craquer. La porte s’entrouvrit lentement et la lumière s’éteignit subitement. Je me retrouvai totalement dans le noir.

Puis, la commode se mit à bouger et à grincer. Les objets posés sur le meuble semblèrent prendre vie. Il me sembla les voir s’agiter et voler dans les airs puis retomber aussitôt dans le vide. Deux petites formes se mouvèrent de bas en haut. On aurait dit des pantins qui dansaient dans l’espace. Les rideaux accrochés aux fenêtres remuèrent également de chaque côté.

Dans l’obscurité de ma chambre, je distinguai dehors, à travers les volets, la lune qui sembla me fixer et se moquer de moi. Je pus voir ses yeux ronds et sa bouche rieuse. Puis, j’entendis au loin des bruits étranges, des cris et des plaintes qui firent penser à une bête furieuse. Elle sembla se rapprocher de la maison car j’entendis le crissement des graviers sous ses pas dans la cour. Je vis alors sur le mur, face à mon lit, l’ombre de la créature. Je vis sa forte mâchoire et ses griffes se dessiner distinctement sur un des pans du mur. On aurait dit une sorte d’araignée géante. Je la contemplai avec des yeux fixes et angoissés. Mes mains tremblèrent et je fus prise de panique. Je me blottis au fond de mon lit afin de me protéger. Que me voulait-elle ?

Etais-je en train de rêver ? Ces choses surnaturelles étaient-elles réellement en train de se passer ? A force de lire des romans fantastiques, mon cerveau n’était-il pas en train de me jouer des tours ?

Mes doutes et mes incertitudes augmentaient avec la frayeur et l’affolement de voir ces événements se dérouler sous mes yeux que je pensais éveillés. Probablement, ma cousine Perle voulait-elle me faire une farce ? Elle était sans doute cachée dans un coin de ma chambre et allait surgir soudainement. Sinon comment expliquer ces événements étranges ?

Finalement, peut-être étais-je dans un rêve ou plutôt en plein délire ? Je lisais trop d’histoires fantastiques. J’allais devenir folle. Prise de panique, je pris ma lampe de poche dans le tiroir de ma table de chevet et éclaira la pièce. Je vis alors devant moi, Rik et Zik en train de jouer en faisant voltiger toutes mes affaires à travers la pièce. Mais, bien sûr, en s’introduisant dans ma chambre, les deux compères s’étaient pris les pattes dans le fil de ma lampe électrique.

Mon cauchemar était enfin terminé et tout avait maintenant un sens rationnel. Je connaissais l’identité des coupables et mon imagination avait fait le reste. Nous étions près de la mer. Quoi de plus normal que d’entendre des bruits au dehors. Puis l’ombre projeté sur le mur n’était autre que celui de l’arbre installé sous mes fenêtres et le bruit des pas sur les graviers, celui de mon grand-père.

PALIMPSESTE REALISTE D’HANSEL et GRETEL par Sofiane

PALIMPSESTE REALISTE  D’HANSEL et GRETEL par Sofiane, à poursuivre dans les commentaires 

 

"C’était un frère et une sœur nés le même jour un mois de juin dans une famille d’agriculteurs. Leurs parents étaient tellement endettés qu’ils avaient à peine deux cents euros par mois pour vivre.

 

Cette famille habitait un petit village calme près de Toulouse. Ce village se nommait Rieux Volvestre.

 

Un jour, les huissiers sont arrivés et ont tout pris chez la famille. Alors les parents décidèrent de placer leurs enfants en foyer..." 

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