La promenade selon Jean-Jacques Rousseau et Victor Hugo (3)
Par Jean-Patrick Géraud le 11 janvier 2018, 21:34 - Littérature - Lien permanent
Le fait de se promener provoque chez Rousseau et Victor Hugo des émotions, cela les inspire et provoque un sentiment de liberté : "on s'appartient, on est libre". Cela montre qu'ils ne se sentent pas comme les autres et ne veulent pas appartenir à la société. Ils se sentent mieux seuls, contrairement aux personnes "normales".
Billal.
