Je m'appelle Aymen, j’ai 15ans.
Je suis italien et marocain, car je suis né en Italie le 31/01/2002, à Monselice, une ville à côté de Padoue.
La ville où j'habitais s'appelle Este, une ville magnifique.
Avant, on habitait dans une petite maison, mais après on a acheté une grande maison.
Mes voisins étaient mes amis. Mon collège s’appelait « Carducci ». En Italie, les cours commençaient à 8h30 jusqu’à 13h, sauf le vendredi, on terminait à 12h.
J’allais à l’école avec mes amis. Après la fin des cours, à 15 h, on allait jouer au foot ou faire un tour en ville.
En été, on allait toujours à la piscine chez mon ami parce qu’il avait une grande villa avec un terrain de foot et une grande piscine. Mais, quand il y avait sa sœur, on allait à la piscine communale.
Après, on faisait aussi des promenades en vélo.
Ma mère travaillait toute la semaine dans une société qui s’appelait Komatsu.
Mais, la société a fermé. On ne savait pas quoi faire parce que ma mère ne travaillait plus.
Elle est partie en France pour chercher du travail et mon frère et moi nous sommes allés au Maroc.
J’envoyais toujours des messages à ma mère pour savoir si elle allait bien et si elle avait trouvé du travail.
Deux mois après, l’école allait commencer en France alors ma mère nous a dit de venir.
Nous sommes partis pour la France avec ma tante en voiture.
Ma tante habitait à 500km de Paris. Alors, mon frère et moi avons pris le train pour Paris.
Une fois arrivés, il y avait ma mère et une amie.
J’étais très content parce que c’était la première fois que je venais à Paris.
Le lendemain, nous étions à Drancy, une ville du 93, mais ma mère n’aimait pas Drancy. Elle partit chercher une maison et en a trouvé une belle maison à Argenteuil.
J’aime beaucoup Argenteuil parce que c’est une belle ville.
Le 6 janvier 2016, c’était le premier jour d’école en France.
La première personne que j’ai vue, c’est madame Lévy. Je ne savais pas bien parler français, c’est pourquoi je suis allé avec elle pour apprendre le français.
Quand je suis entré en classe les premières personnes qui m’ont parlé étaient Abadir, Mohamed et Bruno, qui sont encore mes meilleurs amis.
Maintenant, j’ai beaucoup d’amis, je m’amuse et je ne me sens plus exclu. Dans les cours, maintenant, j’arrive à parler français avec mes amis et quand je me trompe, ils me corrigent, mais à l’écrit ce n’est pas encore bien.
Et voilà mon histoire.
Aymen
