Jusqu' ici tout allait bien jusqu'au moment où la maîtresse  .....commença par me dire de m' asseoir immédiatement d'une voix calme mais on sentait que la maîtresse n'était pas totalement calme . Je regardais Florent qui lui me répondit par un haussement d’épaule. Toujours dans le doute je pensais que quelqu’un dans la classe avait fait une ÉNORME bêtise je dis bien: énorme parce qu'il en faut beaucoup pour énerver notre maîtresse .

D'habitude son sourire et son humour étaient toujours au premier plan de son visage... mais le masque de colère quelle portait  là  m' était totalement inconnu . Puis elle prit la parole  : 
- Je vous demande votre attention  . dit elle clairement .
Toutes les têtes se tournèrent vers elle .
- Vous savez que la moquerie est interdite dans l'enceinte de cette école ?
Toute les têtes firent" oui" enfin les têtes qui écoutaient encore ... Puis elle reprit :
- Alors Charles pourquoi tu t es moqué de Jérémie quand il est tombé dans la cour ?!
Charles leva la tête de la gomme qu'il limait avec son compas . " Hein ... ? " fut la chose seule chose qu'il put dire puisque la maîtresse le coupa froidement : 
-Pourquoi t'es tu moqué de Jérémie quand il est tombé ?!! répéta la maîtresse encore plus énervée .. Charles lui répondit :
- Hein quoi, non je .... 
-QUOI , MAINTENANT TU TE PERMETS DE ME DIRE QUE J AI TORT ?!!!
 La GROSSE boulette ....

-Alors déjà tu vas présenter tes excuses à Jérémie !! Puis tu va me copier 50 fois  : je ne dirai plus que la maîtresse a tort ! Et... à faire signer par tes parents !!!

Charles, décapité et dépité par les évènements,  présenta ses excuses à Jérémie puis nota sur son agenda la punition qu'il devra faire . Je comprends l'attitude de la maîtresse envers ce que Charles a fait mais ..... Je ne comprends comment elle a fait pour le  savoir... c'est vrai quoi... j' étais en retard avec Jérémie et Charles et je n'ai vu aucune autre personne ni même aucune fenêtre ouverte . Étrange .....

                                                                                       FIN du chapitre un