Les mangas Par Louis P

Les mangas

 

Il y a plusieurs types de mangas les

Shonen

Une grande partie de la BD japonaise est destinée aux garçons, de 10 à 15 ans environ.
Elle encourage l’adolescent à développer des énergies positives : le courage, la persévérance, l’amitié ou encore le don de soi.
La plupart des récits mettent en avant un héros juvénile auquel le
lecteur s’identifie facilement, mais il possède aussi un talent caché qui lui permettra de se dépasser et d’accomplir de grandes choses. Le lecteur est immédiatement plongé dans l’action. Les auteurs optent d’ailleurs souvent pour une mise en page qui exaltent les prouesses de leurs personnages.
Exemples:
-Dragon Ball de Akira Toriyama
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Bleach de Tite Kubo
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Naruto de Masashi Kishimoto
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Hikaru no go de Yumi Hotta
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Kekkaishi de Yellow Tanabe
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One Piece de Eiichirō Oda
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Mx Zéro de Yasuhira Kano
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Death Note de Takeshi Obata
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GTO de Tôru Fujisawa


 

Shojo

Ce terme signifie jeune fille. Le shojo s’adresse aux écolières, collégiennes, lycéennes ! Il est un peu l'équivalent du shonen mais destiné a un public féminin. Les récits abordent des sujets variés tels que la musique, le sport, l’école, la mode avec souvent des histoires d’amour en toile de fond.
La plupart du temps ils sont réalisés par des auteurs féminins.
Ce genre possède évidemment ses propres codes graphiques : les personnages sont longilignes aux visages finement détaillés. Il offre une grande créativité en matière de mise en page.

Exemples :
L’académie Alice de Tachibana Higuchi
La Rose de Versailles de Riyoko Ikeda
Tôkyô mew mew de Reiko Yoshida
Nana de Ai Yazawa
Fruits basket de Natsuki Takaya


 

Kodomo

Ce mot signifie enfant.
Ici, les mangas ciblent un public plus jeune que le shonen et le shojo, de 6 à 11 ans. La principale fonction du kodomo et de divertir les enfants (fille et garcon). Le succès de certains d’entre eux, comme Pokémon, élargit leur audience.

Exemples :
Astro boy de Osamu Tesuka
Manga science de Yoshitoh Asari
Pokémon de Hidenori Kusaka
Hamtaro de Ritsuko Kawai


 

Seinen

Récits d’aventure, intrigues sentimentales, thrillers ou chroniques de la vie quotidienne, les mangas pour adultes abordent tous les thèmes et tous les registres imaginables. Sujets, univers, graphismes varient, du réalisme le plus sobre à l’outrance, qu’elle soit comique ou dramatique. Les récits sont pour la plupart graves, intimistes, ou au contraire épiques.
Si ce type de manga reprend les thèmes abordés dans les shonens, les intrigues sont plus complexes et les personnages plus subtils et plus difficile a cerner.

Exemples :
Akira de Katsuhiro Ōtomo
L’Homme qui marche de Jiro Taniguchi
Berserk de Kentaro Miura
La vie de Bouddha de Osamu Tezuka
Samurai Champloo de Shinichirō Watanabe et Sato Dai
Le fleuve Shinano de Kazuo Kamimura
Solanin de Inio Asano
Tueur de Hiroshi Hirata
Lone wolf and cub de Kasuo Koike


 

Young Seinen

Ce genre de manga ce situe juste entre shonen et seinen, il s'adresse aux jeunes adultes, lycéens et étudiants, il traite pour la plupart du temps de science-fiction,de sport ou de combat. Les dessin de ce style sont plus réaliste, et il reste assez courant de voir des jeunes filles plus dénudé.
Exemples :
Gunnm de Yukito Jishiro
Hajime no Ippo de George Morikawa
Happy Mania de Moyoko Anno
Les petites fraises de Ichigo Mashimaro
Le roi des ronces de Yuji Iwahara
Booking life de Yuzo Takada


 

Josei

C’est le pendant féminin du seinen. On l’appelle également «ladies comic».
Les intrigues y sont plus complexes que dans le shojo. Les relations amoureuses, la séduction et les relations sexuelles sont souvent les sujets principaux de ces récits, tout comme les préoccupations des jeunes femmes modernes tels que le célibat, le travail, le partenaire idéal.

Exemples :
Intrigues au pays du matin calme de Natsuki Sumeragi
Nonamour de Kyoko Okazaki
Pékin Années folles de Natsuki Sumeragi Subaru
Danse vers les étoiles de Masahito Soda


 

Manwha

Prononcé «man-houa», c’est le nom donné à la bande dessinée coréenne par simple traduction du terme manga. Le manwha est né sous l’influence des mangas japonais importés massivement vers 1928 pour réduire à néant la création coréenne : alors satirique elle dépeignait la vie quotidienne à Séoul sous le joug de l’occupation japonaise. La bande dessinée coréenne se décline sur de nombreux supports comme le papier, l’internet ou le téléphone mobile. L’auteur de manwha est appelé manwhaga.
Exemple :
La bicyclette rouge de Kim Dong Hwa
Les nourritures de l’âme de Kim Dong Hwa
Z le chat de Byun Ki-hyun
Priest de Hyung Min Woo


 

Manhua

Le Manhuajia est l'équivalent du mangaka japonais, le manhua désigne la bande dessinée chinoise, équivalent du manga au Japon. Le Manhuajia possède des codes graphiques différent de celui du mangaka : le dessin y est très souvent réaliste avec beaucoup de planches en pleine page. La plupart des ouvrages sont réalisé en couleur. Dans ces mangas, on sent une volonté des créateurs de se tourner vers la tradition européenne et américaine.
Exemple :
My way de Ji Di Remember de Benjamin
Le Fils du Marchand de Xiao Pan
Pourquoi j’veux manger mon chien de Ah Ko

 

Anime

Prononcé animé, il s’agit d’une série télévisée ou d’un film d’animation japonais. Ces réalisations ont largement contribué en France à l’implantation des mangas. Les films d’animation ont connu le succès au Japon dès la première série, Astro Boy, créée en 1963. Elle est suivie en 1965 du Roi Léo puis des films de science fiction tels Goldorak et Albator. Ceux-ci arrivent en France en 1978 dans l’émission Récré A2 où Candy et Tom Sawyer ont aussi leurs heures de gloire. A partir de 1980, la France produit ses propres séries en s’entourant de professionnels japonais. Le Club Dorothée se fait l’écho de ces réalisations et permet l’importation massive de japanimation. Une nouvelle reconnaissance du grand public arrive en 1997 avec les réalisations de Miyazaki telles que Princesse Mononoké ou le Voyage de Chihiro, mais aussi les personnages Pokémons créés par Satoshi Tajiri !
Exemples :
Princesse mononoké de Hayao Miyazaki
Le château dans le ciel de Hayao Miyazaki
Ghost in the shell de Mamoru Oshii

 

Alternatifs

Cette expression n’existe pas au Japon.
«Elle désigne les œuvres n’obéissant pas aux contraintes régissant la production destinée au grand public. Ce sont des œuvres d’une plus grande inventivité graphique, le plus souvent produites en-dehors du giron des principales maisons d’édition.»

Exemples :
Dreamland de Reno Lemaire
Underskin de Andrea Iovinelli

 

Conclusion

Nous avons pu voir qu'il existe énormément de variété de manga, la plupart de ces genres permettent de suivre un japonais tout au long de sa vie et l'aide à surmonter les épreuves difficile. Il existe tellement de genre de manga (nous avons détaillé ici les plus connus et plus répandu d'entre eux). Grâce à cette large gamme de choix, vous trouverez certainement votre bonheur...
Il ne reste plus qu'a définir dans quel type de lecture vous voulez vous lancer.

 

Le mot «manga» 漫画 ou まんが est constitué de 2 kanji ou chacun a un sens particulier :
Le premier kanji «man»
signifie distraction, légèreté, pureté...
Le second, «ga»
ou en hiragana, désigne la peinture, l’illustration, le dessin..

 

le clasement des 8 meilleurs manga est

One Piece


 


 


 

Dragon Ball


 


 


 


 

Death Note


 


 


 


 


 


 

Berserk


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Full Metal Alchimist


 


 


 


 


 


 


 

Akira


 


 


 

Naruto


 


 


 


 


 


 

Monster


 


 

 

Les aventures de BIC

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Une bande dessinée de Nil  

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