Entrée 1 : chapitre I
Cher journal, nous sommes actuellement le lundi 5 octobre dans la soirée. Je suis dans mon lit, et je suis très motivé pour lire Thérèse Raquin.
Dans le chapitre I, je suis très surpris par le nombre d'adjectifs employés par l'auteur, je n'ai pas l'habitude d'en voir autant. Je suis également étonné de voir comment l'auteur commence ce chapitre, qui est le premier. Il commence tout d'abord par la description du paysage avec des adjectifs qui rendent l'atmosphère remplie de froideur et de malaise, je ressens ces sensations.
Les passages les plus importants et qui décrivent le mieux ce que je viens de dire sont :
- ''A gauche se creusent des boutiques obscures, basses, écrasées, laissant échapper des souffles froids de caveau.''
- ''Le passage de Pont-Neuf n'est pas un lieu de promenade. On le prend pour éviter un détour.''
- ''Les boutiquiers regardent d'un air inquiet les passants qui, par miracle, s'arrêtent devant les étalages.''
Ces passages m'ont permis de savoir ce que l'auteur décrit, c'est-à-dire la misère qui se déroule sur le passage du Pont-Neuf (à l'époque de l'auteur) dans laquelle se trouvent des boutiques basses et sombres où les marchands sont constamment sans client. Néanmoins, je n'ai pas très bien compris ce passage : ''On y voit encore des vieillards se trainant dans le crépuscule morne qui tombe des vitres.''
Les personnages décrits à la fin du chapitre sont pour moi importants pour le déroulement de l'histoire. Ce livre m'apporte énormément d'émotions via les adjectifs.
Dans les chapitres II à V, j'ai été ému lorsque l'auteur a raconté le passé tragique de Thérèse, dans lequel elle n'a jamais connu l'amour d'un père et d'une mère. Les personnages décrits à la fin du chapitre I ont bien de l'importance dans l'histoire, car parmi eux se trouvent Thérèse, son cousin Camille et sa tante. J'ai été très surpris par le mariage de Thérèse avec Camille, car je n'ai pas l'habitude de voir des mariages au sein d'une même famille. Durant ma lecture, Thérèse m'a fait de la peine, j'ai ressenti de la tristesse car en plus de n'avoir jamais connu l'amour de ses parents, elle se contente de répondre à sa tante sans exprimer ce qu'elle ressent. De plus, Thérèse ne fait que passer ses journées à rester indifférente et froide, cherchant désespérément un être qui lui ressemble et qu'elle voudrait aimer. Cependant, dans le chapitre V, j'ai été très content de voir que Thérèse était intriguée par l'ami de son mari se nommant Laurent. Cela me permettra peut-être d'en connaître un peu plus sur elle.
Les passages les plus importants, marquants et qui résument le mieux ce que j’ai ressenti sont :
- « Le capitaine Degans lui apporta une petite fille dans les bras »
- « Voici une enfant dont tu es la tante, […] sa mère est morte… Moi je ne sais qu’en faire. Je te la donne. »
- « Il est parti et on ne le revit plus, quelques années plus tard, il fut tué en Afrique. »
- « Pendant des heures ; elle restait accroupie devant le feu, pensive, regardant les flammes en face, sans baisser les paupières. »
- « Cette vie forcée de convalescence la replia sur elle-même . »
Ce passage m’a beaucoup touché, cela résume ma tristesse envers elle, j’ai l’impression que cette famille de lui plaît pas
Selon moi, par la suite, Laurent aura un rôle très important sur le déroulement de l’histoire.
Je pense qu’il sera la clé pour ouvrir les sentiments de Thérèse, et donc de lui donner goût à la vie.
Entrée 2 : chapitres VI à XI
Cher journal, nous sommes actuellement le mardi 6 octobre dans l'après-midi. Je viens de revenir des cours et une suis très motivé pour continuer le livre.
Dans les chapitres VI à XI, il s'est passé énormément d’évènements. Au début, je savais qu'il y avait des ambiguïtés entre Thérèse et Laurent, notamment lorsque Laurent est venu tous les jours sous le prétexte de finir le tableau de Camille. Je savais très bien que ce n'était pas l'unique raison. C'est pourquoi, j'ai pensé que Laurent et Thérèse commençaient à s’apprécier de plus en plus. Un jour, lorsque Laurent était sur le chemin du Pont-Neuf pour aller chez les Raquin, il se posa des questions au sujet de Thérèse. Je n’ai pas du tout apprécié sa façon de penser à elle car pour lui « Thérèse, il est vrai était laide, et il ne l’aimait pas, mais en somme, elle ne lui coûterait rien, les femmes qu’il achetait à bas prix n’étaient ni plus belles ni plus aimées ».
En plus de la trouver laide et de ne pas l’aimer, il considère les femmes comme des objets à acheter, je n’ai pas apprécié ce passage.
Quelques jours plus tard, lorsque Laurent a fini le portrait de Camille, Thérèse et Laurent se trouvaient seuls dans la même pièce en se jetant des regards. Puis, Laurent s’est dit que c’était sa seule chance et il est allé vers Thérèse et ils ont accompli l’acte sexuel en silence.
Suite à cela, je suis à la fois content pour Thérèse car elle a enfin trouvée un être qu’elle aime. Cependant, j’ai également beaucoup de peine pour Madame Raquin qui ne se doute de rien, et qui a toujours cru que Thérèse était sincère et qu’elle aimait son fils.
Au fur et à mesure des chapitres, Thérèse et Laurent se voyaient régulièrement et je voyais que Thérèse se sentait bien avec lui, j’étais très heureux de les voir ensemble. Cependant, je trouve cela très dégoûtant de la part de Thérèse de ne rien dire à personne au sujet de leur relation.
Plus tard, Thérèse a senti que Camille était un problème dans leur relation, Laurent a donc cherché un moyen de s’en débarrasser. Je me suis donc dit qu’ils préparaient quelque chose, peut être un meurtre ? Je ne sais pas.
Jamais je n’aurais imaginé que cela se passerait ainsi. C’était lors d’une balade entre Thérèse, Camille et Laurent. Ils étaient tous trois près de le Seine, puis, ils ont pris un café et en attendant, Laurent a proposé à Camille d’aller sur l’eau en barque. Camille a accepté malgré le fait qu’il ne sache pas nager, ce que Laurent et Thérèse savaient très bien.
Ils ont donc embarqué, Thérèse embarqua aussi et lorsque la barque arriva au milieu de l’eau Laurent pris le corps maigre de Camille et le suspendit au dessus de l’eau, Camille a d’abord cru que ce n’était qu’une simple blague. Mais il s’avère que ce n’en était pas une, Camille se débattait comme il a pu et j’en fus très choqué. Ensuite Camille a mordu le cou de Laurent puis celui-ci lâcha le corps chétif de ce dernier, il est tombé et se noya.
J’ai été très choqué de se meurtre mais je m’y attendais, sauf que je n’aurais jamais imaginé que cela se déroulerait ainsi.
Suite à cela, le meurtrier, accompagné de sa maîtresse qui était terrorisée, a fait croire aux canotiers à proximité que c’était un tragique accident. J’ai trouvé cela très mauvais de leur part d’avoir eu recours au mensonge, c’était très vicieux. J’ai été également assez triste qu’il ait eu recours au meurtre alors qu’il était ami depuis bien longtemps.
Les passages marquants selon moi sont :
- « Au contraire, Camille mort, il épousait Thérèse ! ».
- « Camille tomba en poussant un hurlement ».
- « Cette tête broyée lui aurait mis toute la police sur les bras ».
Grâce à ces passages, j’ai compris qu’il voulait tuer Camille pour pouvoir épouser Thérèse. Ce que j’apprécie avec ce livre, c’est que j’arrive à comprendre tous les passages.
Selon moi, Mme Raquin ne supportera pas la mort de son fils, je pense qu’elle en fera même un dépression.
Je suppose également que les deux amants vont regretter leur acte. Dans tous les cas, nous avons pu confirmer mes précédentes suppositions : Laurent était bel et bien la personne qui a permis de révéler les sentiments de Thérèse.
Entrée 3 : Chapitre XII à XV
Cher journal, nous sommes actuellement le mercredi 7 octobre dans la matinée. Je viens de rentrer des cours, et je suis actuellement installé à mon bureau. Je suis très motivé pour continuer ma lecture et pouvoir avancer vite. Lorsque Madame Raquin a appris la nouvelle, elle a été anéantie, elle était désespérée de voir que son fils était mort. Je me suis mis à sa place. J’ai été très triste pour elle, j’ai ressenti énormément de tristesse et je n’imagine pas ce qu’elle a dû ressentir de perdre son fils tant aimé. Néanmoins, mes suppositions étaient bonnes et Madame Raquin ne supporte pas la mort de son fils. Mais je n'ai pas apprécié lorsque Laurent a été considéré comme un héros pour ses collègues, et que Madame Raquin l'a trouvé très aimable envers elle et sa nièce. Pourtant, j’ai conscience qu’ils ne sont au courant de rien et qu’ils sont tous tombés dans le mensonge que je trouve très répugnant de la part de Thérèse et Laurent, mais cela me dégoûte. Néanmoins, lorsque les soirées du jeudi ont repris, j’ai trouvé cela très aimable que les quatre invités aient réconforté Madame Raquin qui était en sanglots à cause de la mort de son fils.
- « Voyons, chère dame, s’écria le vieux Michaud avec une légère impatience, il ne faut pas vous désespérer comme cela. Vous vous rendez malade »
- « Nous sommes tous mortels, affirma Gnivet »
- « Vos pleurs ne vous rendront pas votre fils, dit sentencieusement Olivier »
- « Je vous prie, murmura Suzanne, ne nous faites pas de la peine »
Mais, voyant qu’elle n’avait pas cessé de pleurer, j’ai été très déçu d’elle mais je la comprends, elle n’aurait pas dû inviter des gens si elle était toujours triste et en pleurs. Je pense donc qu’ils auraient dû attendre avant de reprendre les soirées, car trois jours ne sont pour moi pas suffisants. Cependant, et je l’admets, j’ai de l’admiration envers Michaud car il a réussi à faire sécher les larmes de Mme Raquin juste avec une phrase : « Allons, allons, reprit Michaud, un peu de courage. Vous comprenez bien que ne nous venons ici pour vous distraire. Que diable ! ne nous attristons pas, tâchons d’oublier ! Nous jouons à deux sous la partie. Hein ! qu’en dites-vous ? ». Selon moi ces passages on été les plus marquants car ils m’ont beaucoup touché. J’espère qu’un jour Madame Raquin sera au courant des vraies causes de la mort de Camille, j’en serais ravi.
Entrée 4 : Chapitre XVI à XX
Cher journal, nous sommes actuellement le dimanche 11 octobre. Je suis très dépassé par le temps car je dois avoir fini pour mardi. C'est pourquoi je vais faire de mon mieux pour vite terminer la lecture de mon livre. A présent, je suis sur mon lit, prêt à lire pendant cette matinée.
Durant ces chapitres, j'ai été très content que Thérèse et Laurent aient eu des insomnies durant leurs nuits. Selon moi, ils le méritent et doivent en payer les conséquences. Donc je trouve cela très bien qu'ils regrettent leur acte notamment avec la blessure que Camille a infligé à Laurent au cou. C'est notamment grâce à cela que Laurent regrette son acte, mais également lorsqu'il a vu Madame Raquin en dépression. Son passage à la morgue l'a également touché et j'en ai été ravi. Cependant, j'aimerais que leurs insomnies n'engendrent pas leur rupture car sinon, ils auront commis un meurtre en vain. J'apprécie que Thérèse retrouve goût à la vie. Mais suite au meurtre, je trouve leur relation très distante. C'est pour ces raisons que j'espère que leur mariage arrangera tout cela.
Les passages importants selon moi sont:
- ''Laurent quitta le passage, l'esprit tendu, la chair inquiète''.
- ''Il sentit le froid du caveau, il eut peur !''
- ''Il y avait eu à la même heure, chez cette femme et chez cet homme, une sorte de détraquement nerveux qui les rendait pantelants et terrifiés, à leurs horribles amours.''
Ces passages m'ont fait conclure que le meurtre leur a causé des insomnies communes. J'espère que la situation s'arrangera et que madame Raquin sera au courant de la réelle cause de la mort de son fils.
Entrée 5 : Chapitre XXI à XXXII
Bonsoir cher journal, nous sommes actuellement le lundi 12 octobre, je reviens de cours et je ne suis pas du tout motivé pour finir le livre, mais, il faut que je le fasse. Nous sommes actuellement sur la dernière semaine avant les vacances et je me suis un peu relâché à cause de la fatigue.
Je suis actuellement à mon bureau, dans l’après-midi.
Dans ces derniers chapitres, il se passe énormément de choses.
Lors des nuits de noces, j'ai vu qu'il y avait plus du tout d'amour entre les deux, j'en fus déçu, très déçu. Le mariage n'a pas arrêté leurs insomnies et leurs regrets, ils ont commencé à se détester.
J'ai été très déçu de leur relation. Lorsque Madame Raquin est devenue paralysée j’ai été ému mais je me suis dis que c’était le triste destin, mêlé à de la vieillesse.
Durant les chapitres, j’attendais avec impatience que Madame Raquin soit au courant au sujet de la mort de son fils.
Lorsqu’elle a été au courant j’ai été très content or, elle ne pouvait parler et donc ne pouvait pas dénoncer les coupables, elle ne put écrire qu’une infime partie d’un message les dénonçant : « Thérèse et Laurent ont… ». La phrase a ensuite été mal comprise par les amies de la famille : « Thérèse et Laurent ont bien besoin de moi !… » .
Cependant, j’ai été très énervé et je n’ai pas apprécié lorsque Thérèse se faisait frapper au ventre par Laurent car elle était enceinte. J’ai été triste lorsqu’elle a fait une fausse couche.
Leur haine l’un envers l’autre grandit, Thérèse trompe Laurent et les deux finissent par se suicider avec le poison de Laurent, sous le regard de Madame Raquin. J’ai été à la fois triste, mais également content pour Madame Raquin car elle a vu les meurtriers de son fils mourir, et donc son fils a été vengé. C'était une relation très triste, j’ai été très triste de leur mort.
Selon moi, les passages marquants de ces chapitres sont :
- « Ce fut un éclair. Ils tombèrent l’un sur l’autre, foudroyés, trouvant enfin une consolation dans la mort. »
- « L’infidélité de sa femme le laissait parfaitement froid. »
Ce passage m’a surpris car Laurent aussi a été infidèle. Cela m'a évoqué l’expression « C’est l’hôpital qui se fout de la charité ».
Synthèse :
Ce livre a été riche en émotions, Zola nous a fait parvenir énormément de sentiments. Je n'ai jamais ressenti cela auparavant.
Le début a été pour moi un peu énervant à lire puis vers le milieu et la fin, j'ai trouvé cela plutôt intéressant notamment la fin, durant laquelle j'ai été très triste de leurs suicides. J'ai cependant remarqué que durant ma lecture, Zola a fait plusieurs références au réalisme. J'ai trouvé cela drôle car nous avons justement travaillé là dessus en classe.
J'ai trouvé que leur relation a été gâchée à cause de leur meurtre.